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Le subconscient

subconscient-contenuPour ceux qui aimeraient avoir un rapide aperçu de ce qu’est le subconscient, du moins selon l’enseignement propre aux psychologues ésotéristes, voici ce que je puis en dire, très succinctement… Qu’est-ce que le subconscient ? Il est formé par la somme de l’intelligence de toutes les cellules de notre corps. Le subconscient comporte deux parties :

 

1. La première s’occupe des fonctions autonomes de notre corps (respiration, battements cardiaques, digestion, etc.)
2. La seconde consiste en une vaste bibliothèque dans les rayons de laquelle sont rangés et référencés les registres qui centralisent tout ce que nous avons vu, entendu, connu, compris, pas compris ainsi que toutes les infos que nous n’avons pas eu le temps ou le désir de traiter au coup-par-coup. En résumé, cette seconde partie de la double activité du subconscient, se réfère à tout ce qui a été emmagasiné, tout ce qui nous concerne, que nous en soyons conscients (mémoire, souvenir) ou non.

 

 

 

subconscient4C‘est dans le subconscient que se trouvent « engrammés » (mémoire qui pèse, car gravée dans la substance psychique) les divers traumatismes ou refoulements. Attendu que ce subconscient s’appuie sur nos cellules pour exister, il n’est pas étonnant que les diverses maladies qui nous affectent soient à l’origine d’une mémoire cellulaire saturée et donc d’un fonctionnement cellulaire compromis.

 

 

 

 

zones d'ombreÊtre malade, c’est un peu « se souvenir de force de nos diverses erreurs. » De toutes ces erreurs que nous aurions préféré oublier, d’ailleurs. Soigner les cellules c’est donc un peu « effacer les traces vivantes d’un passé qui commence un peu trop à peser en nous et sur nous. » Le subconscient contient des « zones d’ombre », c’est à dire que certaines cellules de notre corps fonctionnent mal et ne sont pas ou plus éclairées par la Lumière de l’Esprit en nous. Cette Lumière (de la compréhension) est nommée « Boddhicité » en sanskrit. C’est le fameux « Plan Bouddhique. »

 

 

 

 

Comment mettre de la lumière (compréhension) là où se trouvaient préalablement les ténèbres de l’ignorance ?
La plus grande des lumières est celle de la Conscience !
Ainsi, si vous focalisez votre attention consciente sur une zone quelconque de votre corps, vous faites immédiatement réagir les cellules de cette zones qui se mettent à briller de la Lumière spirituelle. Et cette Lumière est Pure Intelligence (3e Rayon Divin.)

Dès lors, l’ombre se transforme en Lumière, la subconscience en Conscience et les erreurs en Vérité. Je laisse le lecteur méditer sur ces quelques considérations, mais si vous voulez, vous pouvez émettre des commentaires et nous pourrons en débattre plus avant (sur Facebook, de préférence.)

 

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Deux écoles de pensée

Orient-OccidentJ‘ai envie de vous parler de deux écoles de pensée qui sévissent au sein de l’ésotérisme. Je vais essayer de résumer et de faire simple car le sujet est assez subtil et, d’habitude, seuls les membres les plus avancés de certaines écoles initiatiques – du moins les quelques rares qui dispensent encore un enseignement de valeur – en discutent entre eux et sous le manteau (« Sub Rosa », comme disent certains), comme s’il s’agissait d’un sujet pestiféré !

 

 

 

esprit universelSelon la première école de pensée (ou tendance) l’homme n’aurait pas « un esprit » mais se servirait « de l’esprit » pour penser. Comprenez que selon cette tendance ou école, le cerveau de l’homme agirait comme une sorte de poste récepteur et n’aurait donc pas d’esprit personnel mais se servirait, pour penser, de l’esprit universel (le même pour tous, donc.) A partir d’une telle façon de concevoir l’esprit, il devient évident que l’homme qui a des problèmes, des défauts, etc., est simplement un homme qui conserve son attention consciente polarisée sur une « région » de l’esprit universel dans laquelle se trouvent inscrits des processus mentaux qui entraînent de la souffrance pour soi et/ou pour autrui.

 

 

 

Les défenseurs de cette première école (surtout issus de la pensée orientale) préconisent donc de ne plus conserver notre appareil récepteur mental (notre cerveau) « branché » ou « orienté » vers ces émissions d’ondes spirituelles morbides, mais de l’orienter vers une autre région de l’espace spirituel commun (Inconscient Collectif) et ce, afin de capter d’autres processus mentaux qui seront, sinon contraires aux premiers, du moins bien plus heureux ou simplement plus adaptés à nous.

 

 

 

Pour résumer, cette première école part du principe que même si l’on a fait des conneries ou que l’on a été méchant, cruel envers soi ou envers les autres, puisque RIEN n’est conservé ou mémorisé dans un esprit qui serait « nous » ou « à nous », il suffit de changer d’état d’esprit et le tour est joué ! Les erreurs commises resteront donc « suspendues » au sein de l’esprit universel, c’est à dire à l’état potentiel et donc, ne seront plus employées ou « réactivées »

 

 

 

 

La seconde école se marre comme une bossue à l’énoncé de cette version.
Pour elle, il existe bien un esprit universel auquel nous sommes tous reliés, que nous en soyons conscients ou non, soit ! Mais lorsque l’homme se sert de ce même esprit universel pour penser des conneries, il devient responsable, au même titre que tous les autres, de tout ce qu’il a écrit en esprit et dans son mental. Car ce qui est écrit spirituellement par un être demeure bien dans l’esprit universel, à l’état potentiel, mais également dans son mental, à l’état avéré ou actif. Il ne peut se soustraire à sa pensée qui s’est incarnée dans ses cellules mêmes.

 

 

 

 

De fait, et toujours d’après cette seconde école de pensée, il est inutile voire immature de dire que le fait de « ne plus penser au mal » suffit pour nous en guérir, ou même, que le fait de « penser positif » suffit à effacer le négatif préalablement engrangé. Tout ceci est un leurre de l’ego. Cette seconde école donne un exemple concret, développé ci-dessous.

 

 

 

 

tacher le tapisvous êtes chez un ami et en buvant le café, vous tachez son beau tapis Persan. Allez-vous fuir et « ignorer » l’incident afin que le tapis se nettoie tout seul ou nier l’incident et positiver afin que votre maladresse soit effacée de la conscience universelle ? Si des pensées récurrentes vous obsèdent, allez-vous feindre d’ignorer leur existence en attendant qu’elles disparaissent toutes seules, sans chercher à comprendre d’où elles proviennent et pourquoi elles vous obsèdent ainsi ?

 

 

 

verre sale

 

On aura compris que pour cette seconde école, il n’est pas question de verser de l’eau pure dans un verre sale dans l’espoir que le propre lavera l’impur.

Mais au fait, et vous, de quelle école êtes-vous ?

 

 

 

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

La nouvelle réalité en cours…

frigoIl y a quelques années de cela, Nous avons changé de frigo ! Quoi de plus banal, me direz-vous ? Est-ce là l’occasion d’en faire un article sur ce blog ? Pour le changement de frigo, j’en doute fort, en effet !

Mais pour ce que cela m’a permis de constater et pour la méditation qui s’en est suivi, disons que je devrais remercier mon frigo ! Notre ancien frigo était à un endroit précis, depuis des mois et, juste au-dessus, nous avions placé notre micro-onde car cela était plus pratique et nous faisait économiser de la place. Puis, nous avons changé de frigo.

Le nouveau ne permet pas de placer le micro onde au-dessus. Nous avons donc du nous résoudre à lui trouver une nouvelle place, ce qui fut fait sans grand problème, attendu qu’une autre place venait de se libérer, juste à un mètre cinquante de l’emplacement du frigo.

 

 

 

frigo-micro-ondeDepuis, chaque fois que je remplie ma tasse de café et que je me tourne vers l’endroit ou « devrait être » le micro-onde (au-dessus de l’ancien frigo), je marque un temps d’arrêt et mets une seconde pour comprendre que le micro-onde n’est plus là mais plus sur la droite. Apparemment, j’ai un peu de mal à me rentrer dans le crâne la nouvelle position de ce fichu micro onde ! Toutefois, comme mon être intérieur semble à chaque fois ravi de cette erreur, j’ai décidé, quelques jours après, de m’arrêter un instant sur le phénomène et de voir s’il ne me proposait pas quelque riche enseignement spirituel et/ou psychologique (que voulez-vous, on ne se refait pas, n’est-ce pas ?)

 

 

 

manipulateur07Bien entendu et à ma grande joie, comme d’hab’, j’en suis vite arrivé à la conclusion que « Dieu en moi » espérait, par cette apparente erreur non seulement très anodine mais tout à fait explicable, selon notre science académique de la psychologie, m’instruire de quelque loi de l’âme bien sentie ! J’ai pris le temps de méditer sur ce sujet, sachant par expérience qu’il n’existe pas de « petites choses » dans notre vie mais seulement de « petits intérêts » pour ces magnifiques synchronicités déguisées en petites choses on ne peut plus anodines, dans notre vie de tous les jours. Et voici le résumé des résultats de cette méditation que je nommerai :

« Ce que m’a enseigné mon micro onde un matin. »

 

 

 

asep9776Nous sommes nombreux à réaliser que nous vivons une époque de changements. Que l’on ait été sensible ou non à cette fameuse fièvre de Décembre 2012, chacun de nous a pu ressentir, d’une manière parfois très nette, que certaines choses bougent, désormais et que plus rien de ce qui existe, actuellement, ne pourra perdurer bien longtemps. Les changements sont vitaux et auront lieu AVEC ou SANS notre participation consciente de « moi humain » incarné. (Ils s’effectueront donc au niveau de l’âme et plus haut en premier, puis deviendront effectifs sur Terre et d’une manière objective ensuite, d’ici deux ans environ.)

 

 

 

choix-trois cheminsMais qui dit changement dit forcément période de transition. En effet, rien ne peut changer sans passer d’une condition x à une condition y respectant les lois et les principes qui régissent le monde de la matière dense (plan physique.) Et sur le plan physique, tout changement implique la durée, c’est-à-dire un certain temps durant lequel une condition se transforme et arrive à un nouvel état différent du premier. En clair, tout changement nécessite un moment où les choses ne sont plus comme « avant » mais ne sont pas encore nouvelles ni même complètement installées.

 

 

 

 

pendule-plageAinsi, j’ai pu vérifier par moi-même que les choses avaient déjà changé mais que la plupart des gens ne s’en étaient pas encore rendu compte. Du coup, ils se réfèrent encore et toujours aux anciennes énergies, sans comprendre qu’elles ne se trouvent plus à la même place et… N’existent plus telles qu’avant !
C’est pour cela que certaines choses ou conditions « ne marchent plus », comme on dit, et c’est aussi la raison pour laquelle la plupart des gens ne savent pas encore comment compenser ou que faire à la place de ce qui était fait auparavant.

 

 

 

Imaginez que durant la nuit, quelque force mystérieuse ait pris la peine de changer tout votre mobilier de place ! Le matin venu, vous vous levez, comme d’habitude, vous dirigez vers votre salle de bain et faites votre toilette, comme vous le faites depuis des années…

Oui mais voilà : la serviette ne se trouve pas à sa place et l’armoire de toilette se situe à présent contre un autre mur ! Vous sortez de votre salle de bain, un peu déboussolé et vous allez dans la cuisine et lorsque vous tendez la main dans un placard pour y prendre un bol, vous vous retrouvez face à des paquets de pâtes et de café ! Vous ouvrez le tiroir des couverts et vous trouvez à la place des livres et des fiches de cuisine !

Et au moment ou vous voulez faire chauffer votre lait, le micro-onde n’est plus… Au-dessus du frigo !

 

 

 

mental08Lors de tout changement notoire, le subconscient qui a pour charge de contrôler à votre place les gestes habituels de votre vie de tous les jours, continue, durant un certain temps, à vous envoyer les anciennes informations car ses « fiches » n’ont pas encore été mises à jour. Cette mise à jour s’effectue normalement dans un laps de temps allant de quelques heures à quelques jours, ceci en fonction de votre degré d’acceptation des dits changements.

 

 

 

 

mental03Lorsque nous envoyons la main en direction d’un objet qui devrait se trouver à cet endroit mais qui a changé de place, durant une fraction de seconde, notre esprit se vide et nous avons une sorte de « trou mental » ou d’absence d’activité cérébrale. Notre conscience de veille (5 sens) se retrouve confrontée à l’incapacité de notre subconscient à traiter une info pourtant préalablement enregistrée et correctement traitée durant un temps conséquent.

Face à ce incapacité à traiter une info pré-enregistrée, le subconscient repasse brusquement les commandes à la conscience de veille afin que cette dernière puisse traiter en urgence le problème. Et c’est ce brusque transfert d’information qui nous plonge durant une fraction de seconde, dans une sorte de vide mental, appelé « Koan » par les bouddhistes Zen du Japon.

 

 

 

esoterikosTout comme pour mon micro-onde baladeur, les anciennes énergies ont été déplacées dans l’intention d’être remplacées par de nouvelles qui se trouveront ailleurs que dans nos cheminement mentaux habituels. Pour les trouver, nous devrons nous servir de notre esprit d’une manière sensiblement différente ou, pour les puristes, il nous faudra « ouvrir » d’autres circuits nerveux dans notre cerveau, employer des fonctions qui ne sont plus stimulées, certaines depuis des milliers d’années, peut-être. Oui mais voilà : l’exemple avec mon micro-onde s’arrête là car s’il est vrai que l’appareil a été déplacé de gauche à droite, il est tout aussi vrai que les énergies anciennes ont été déplacées (retirées) MAIS que, pour le moment, les nouvelles énergies ne sont pas encore « stabilisées » et que l’on ne sait pas encore dans quelle directions (état d’esprit) nous allons pouvoir les trouver !

 

 

 

mental health02Nous sommes dans la situation du type qui a porté son micro-onde en réparation au S.A.V. mais qui du coup et pour l’instant, n’a plus rien pour réchauffer rapidement ses plats ou son café.

En résumé, les anciennes énergies se meurent rapidement et disparaissent de plus en plus. Les nouvelles énergies sont déjà là certes, mais comme elles réclament un emploi de notre esprit radicalement différent, nous ne pouvons pas encore les percevoir et donc les invoquer pour nous aider dans notre vie. Nous sommes dans une sorte de no man’s land peu agréable à vivre, car nous avons le net sentiment que tandis que plus rien ne marche comme avant, il n’existe pas encore de nouvelles façons de nous sortir de nos problèmes et que ces derniers paraissent s’éterniser.

Comparez ce que je vous explique là à un virement bancaire : l’argent est déjà sur votre compte, il est bien à vous, mais vous devez attendre de 24 à 48 heures afin que la transaction soit finalisée. D’ici là, vous êtes riche de… Rien !

 

 

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ADDENDA

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Comme je l’ai dis et répété souvent sur le forum de l’association culturelle présidée par Lætitia, mon épouse, ainsi que sur l’ancien Blog officiel, très peu d’ésotéristes, à notre époque, ont été informés du fait que La Grande Loge Blanche, cette Assemblée de Maîtres, plusieurs fois millénaire, a cessé d’exister (autour des années 1984/1986 environ) Pourquoi ne le savent-ils pas ? Sont-ils si peu réceptifs ou perceptifs ? Ceux qui sont au courant seraient-ils « meilleurs » ou « plus initiés » ?

Non, c’est simplement que l’on ne peut « entendre » que ce que l’on est capable de concevoir et surtout… D’accepter, voilà tout. Celui dont l’esprit est libre de toute contrainte psychologique, spirituelle et sociale, peut tout entendre, même ce qui le dérange, l’étonne et le contrarie fortement (car ce n’est pas incompatible.)

 

 

prince psyMais celui qui « sait beaucoup » mais n’a pas pensé à « beaucoup être », à beaucoup SE CONNAÎTRE, celui-là deviendra peu à peu sourd, aveugle et donc muet. Et croyez-moi, la plupart des ésotéristes ont parfaitement « capté » le Message, mais quelque chose de puissamment ancré en eux s’est tout bonnement refusé à accepter les faits pourtant évidents, voire prévisibles à long terme.

 

Car si la Loge des Maîtres de La Hiérarchie Ésotérique cesse d’exister, alors ce qui furent patiemment des « élèves » dans l’espoir secret de devenir des Maîtres, devront à s’adapter à une autre idéologie, à d’autres « Buts et Destins glorieux » (si vous me suivez bien)

Or, quel était le Message des Maîtres ? Était-il :

« Voici, nous sommes des Maîtres et vous tous, des élèves à vie » ?

Ou était-il plutôt :

« Voici : Vous êtes tous des dieux, des Fils du Dieu Vivant ! »

 

 

 

connexionMais peut-on décemment enseigner que nous sommes tous « Un », que nous sommes tous égaux en divinité, que chacun de nous doit prendre conscience de sa Souveraine Appartenance, et en même temps, imposer éternellement une hiérarchie de « plus humains » et de « plus divins » que les autres ?

L’idée même de cette relation si confortable pour l’ego et qui est celle de «Maître à Disciple», ne saurait durer éternellement. Car si cette notion spirituelle perdure, c’est elle qui devient alors la vérité de notre être et, éternellement, l’homme cherchera à demeurer élève ou à opposer sa supposée maîtrise à l’ignorance (avérée ou non) de son prochain.

 

 

 

i0rg8rp0Non pas qu’il ne puisse plus y avoir de hiérarchie naturelle, c’est-à-dire de différence notoire entre les êtres en matière d’évolution spirituelle. A l’évidence, il nous suffit d’observer sans passion notre entourage le plus immédiat pour constater que les hommes sont parfois très différents entre eux et que tandis que celui-ci ne pense qu’au bien commun et à la paix, celui-là ne pense qu’à ses propres satisfactions personnelles et n’hésiterait pas un instant à ôter la vie à quiconque ferait mine de lui interdire de vivre son rêve éveillé.

 

 

 

Toutefois, le fait même de mettre l’accent sur cette différence n’est plus la meilleure façon de la voir disparaître, bien au contraire. Ainsi, ceux qui furent nos Maîtres et Instructeurs, se veulent désormais être nos amis et nos confidents.  C’est du moins sous cette forme qu’ils se présenteront, désormais, à celles et ceux suffisamment raisonnables et mûrs pour comprendre qui ils sont vraiment et qui nous sommes tous, en vérité.

 

 

 

nlcm2c25Toutefois, les anciens Maîtres demeurent conscients non pas d’une « différence » entre nous et eux, mais d’une profonde croyance en cette différence.

Ils sont même conscients que, pour une fois, ce seront les « matérialistes » qui s’avèreront être leurs plus surs alliés en cette nouvelle Démarche initiatique qui est désormais la leur. En effet, les hommes et les femmes qui n’ont jamais étudié la spiritualité d’une manière réelle et poussée, ont l’esprit et le cœur disponibles et n’auront pas à se DÉPROGRAMMER, d’un point de vu spirituel. Une fois qu’il leur sera expliqué qu’ils sont divins eux aussi mais n’en étaient simplement pas conscients, ils iront aussi vite, sinon plus, que tous ceux et celles qui, contre vents et marées (de l’esprit) persisteront à se rêver élèves et à avoir besoin d’un maître différent de celui qui attend depuis toujours au centre de leur poitrine.

 

 

 

Bien sur, nous ignorons ce que nous réservent les « nouvelles énergies » qui cherchent à se mettre en place et à se signaler à nous, mais nous savons déjà ce qu’elles refuseront désormais de nous offrir, comme supports mentaux et autres « béquilles de l’âme. » L’homme va mûrir très rapidement. Celui qui ne suivra pas le Mouvement (Karma) sera laissé sur place et personne d’autre que lui-même ne viendra pour le relever et lui proposer de poursuivre la route.

Mais est-il seulement possible de « rester en arrière » quand c’est une vague de fond qui vient déferler sur la conscience des hommes ? L’avenir nous le dira car, comme je le dis souvent : « Le temps explique tout. »

 

 

 

Serge Baccino

Licence Creative Commons
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Hier chez les Atlans

Nota : Ce dossier présente une série de textes qui, à l’origine, n’étaient prévus que pour les membres du forum d’une association culturelle présidée par mon épouse, Lætitia. Avec le temps, il apparaît comme évident que son contenu pourrait, peu ou prou, intéresser aussi certaines personnes complètement étrangères à cette association ainsi qu’à son esprit. C‘est en ce sens que cette série de texte rassemblée et présentée sous la forme compacte d’un dossier est portée à la connaissance du public. Le fait que ces textes soient prévus pour un public restreint et, en particulier, pour des personnes qui se connaissent personnellement et physiquement, explique le ton badin voire carrément décontracté employé ici. J’ai préféré courir le risque d’un peu choquer le lecteur par trop conservateur plutôt que d’en remanier la forme ainsi que la texture. A chacun de réagir selon ses propres limites et, pourquoi pas, d’en tirer des conclusions personnelles qui s’imposent !


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Comme je le présentais déjà, il y a quelques années en arrière à quelques uns qui me connaissent depuis longtemps, en Atlantide, il n’y avait pas deux clans ou deux factions, au moment de sa chute, mais bien trois. D’ailleurs, il est IMPOSSIBLE à l’homme d’être soit tout blanc, soit tout noir, et l’idée même qu’il puissent y avoir « des gentils » et des « gros vilains » en place, à l’époque de la chute, démontre le côté naïf voire pudique de certains visionnaires qui décidèrent à un moment de notre histoire, de nous livrer un pan ou un autre de l’épopée Atlante. Sachez que nous nous retrouvons de nouveau dans la même « atmosphère psychologique » que du temps de l’Atlantide et que presque tous les acteurs de ces temps jadis sont désormais incarnés et… en place (connus du public, actifs, même si certains sont encore jeunes.)

Bien sur, les conditions sociales et technologiques sont un peu différentes; les divers gouvernements ont largement abusé de leur influence sur la masse et qu’ils ont fait en sorte que, d’un point de vue technologique et social, nous soyons un peu en retard. Mais aucun gouvernement, occulte ou déclaré, n’avait le pouvoir d’empêcher qu’une chose se produise à l’instant « T » : c’est le climat psychologique (comment se sentent les gens, leurs réactions et leur état d’esprit général.) Le vrai pouvoir est de nature psychologique et, cette fois ci, il n’a pas été laissé entre les mains inexpérimentées des hommes mais entre celles de leurs Frères Ainés.

Or donc, en Atlantide, et dans la quatrième période, il se forma des factions, c’est à dire que le peuple pris comme un tout et jusque là soudé, se divisa progressivement en plusieurs factions ennemies ou, pour le moins, qui ne se côtoyaient guère et si ce n’est avec la plus grande prudence. Il n’était alors plus question de « bas peuple », de magistrature, de science, de religion et de noblesse (comme se fut le cas à un moment) mais bien de « fidèles à la Loi » « d’enfants rebelles » « de frères du loup », etc. Je sais bien que certains ont écrit sur ce sujet, qu’ils ont proposé des noms tels que « Fils de la Loi de Un » et « Enfants de Bélial », par exemple. Mais il n’y avait PAS seulement deux factions mais TROIS et, en fait, il y en avait bien plus que cela, car chacun des trois camps principaux, se scindaient eux-mêmes en plusieurs sous-camps. Peu d’âmes étaient alors capables de se montrer soudées et honnêtes, même envers leur propre groupe (on retrouve cela à notre époque, ouvrez bien les n’oeils !)

J’ai proposé moi-même, il y a de nombreuses années, des appellations un peu différentes, non pas parce que j’adore faire du zèle mais parce que j’adore rattacher les mots au pouvoir (Matrika Shakti) qui les a fait naître. Ainsi, comme les Atlantes adorèrent « Adon-Inca » (le Seigneur Incréé) à une époque, au lieu de « Fils de la Loi de Un », je préfère dire quand à moi « Fils d’Adon-Inca » et au lieu de « Enfants de Bélial », je préfère proposer « Enfant de Belzatl » qui signifie en atlante « qui demeure fidèle aux mouvances de ses émotions » (la racine « Atl« , en Atlante, a le même sens qu’en Quiché (Maya) et en Berbère (Arabe), c’est à dire « Eau » et « Belz » = « remuer, foncer, mouvances désordonnées », etc. en Atlante) Donc, parmi les Fils d’Adon-Inca, il y avait déjà plusieurs factions car même les plus brillantes particules qui forment la Lumière ne sont pas toujours d’accord entre elles, quant à savoir quand il faut briller, combien de temps et… Avec qui, surtout ! Sans rentrer dans des détails politico-religieux, disons que les uns affirmaient péremptoirement qu’il fallait aider les plus c… euh… les moins évolués (lol) tandis que les autres étaient persuadés que d’instruire les cons, ça les rend plus cons encore !

L’idée n’est pas de savoir qui avait tort ou raison, qui était un enc… euh.. un radin et qui était dégoulinant d’amour jusque dans son slip. L’idée qui nous intéresse ici, d’un point de vue psychologique, c’est que même les Maîtres de l’époque et à ce moment de l’histoire de l’humanité, n’étaient pas d’accord entre eux. Ils ne se disputaient pas, certes, mais leurs avis divergeaient parfois énormément, ce qui pourra déjà surprendre et en faire réfléchir quelques-uns. Suite dans un autre post, pour ne pas alourdir, mais j’attends d’abord vos réactions avant d’écrire la suite car, croyez-moi, ce sujet est TRÈS lourd de réflexion et de découvertes étonnantes sur soi-même !
(Pour le voisin, on verra plus tard, hein !)

 

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Or donc, en Atlantide, dans la quatrième et dernière période, il y avait plusieurs factions qui se disputaient plus ou moins le droit de gérer certains conflits internes. A notre époque, nous parlerions presque de « guerre civile », mais il ne s’agissait pas vraiment d’une guerre dans le sens où nous l’entendons de nos jours mais plutôt d’un climat tendu. Depuis de nombreuses années, les Maîtres n’avaient plus qu’un pouvoir purement consultatif, au niveau des trois grands blocs qui se partageaient un « pouvoir » plus illusoire que réel : le Royaume, l’Armée et le Commerce (en fait, l’industrie de la mer.) Le Royaume était constitué du premier Atlan (Roi) et de tous les membres de la Cour Royale. Le Royaume était un peu comparable à la royauté en Angleterre : ce n’était pas une monarchie à proprement parler, mais plutôt une forme de tradition conservée plus par habitude que par réelle nécessité ou envie.

Le Roi était bien plus respecté que aimé, certes, mais de toutes façons, il ne s’occupait guère de gérer les affaires du royaume. Pour cela, il y avait une sorte de Haut Conseil formé de douze personnes, chacune à la tête d’une sorte de ministère formé de douze autres personnes (ce qui faisait 144 personnes, notez le nombre.) Le Haut Conseil n’était pas vraiment formé de « ministres » mais de sortes de personnages qui étonneraient, de nos jours, car ils étaient à la fois prêtres, scientifiques, médecins et avocats ! Le mode de fonctionnement de ce Conseil de sages (qui ne l’étaient plus guère), posait plus de problèmes qu’il n’apportait de solutions, car pour qu’une décision soit prise, il fallait qu’une cellule de douze ministres étudient un problème puis donne le résultat de son travail d’équipe à un membre du Haut Conseil. Ce dernier soumettait alors le fruit du labeur de ses ministres et le tout était soumis à vote, par exemple les soirs où la lune était « vide »

Inutile de dire que cette tentative de démocratisation du pouvoir par des représentants du peuple, paralysait la bonne marche du royaume, car il fallait parfois des mois pour que les hiérarques du haut Conseil réussissent à tomber d’accord. Et pour qu’une solution soit retenue, il fallait un vote… à l’unanimité, ce qui n’était presque jamais le cas ! Ensuite venait les pontes du Commerce et de l’industrie de la mer qui, selon certaines mauvaises langues, détenaient le véritable pouvoir temporel, cela grâce à une alliance officieuse (mais avérée) avec l’Armée. Les personnes qui siégeaient au Commerce avaient surtout à cœur non pas de faire prospérer le royaume mais surtout, de faire prospérer leurs propres bourses et assoir chaque jour un peu plus leur pouvoir temporel.
Il est vrai qu’en ce temps reculé, maîtriser l’industrie de la mer revenait à avoir la main-mise sur le monde et tous ceux qui l’habitent.

Ensuite venait l’Armée et, ma foi, il me semble inutile d’expliquer à quoi sert une armée et comment elle fonctionne, puisque cela n’a pas varié depuis des millénaires. Sauf que cette armée là n’était plus occupée à se battre mais à faire carrière dans la politique et à fomenter intrigues et complots en tous genres.
L’armée n’était pas sous le contrôle du Royaume (le premier Atlan ou Roi) mais sous celui de quelques membres du Haut Conseil qui, depuis belle lurette, avaient pris l’habitude de se passer du suffrage universel pour prendre quelques viriles décisions, s’imposant pour conserver le pouvoir et s’enrichir un peu plus, et ce, en bonne intelligence avec le Commerce et l’Industrie de la mer. C’est pour un peu vous camper le décors que je vous raconte ces choses qui, bien que secondaires, permettent de se faire une petite idée du climat quelques temps avant la chute. Et les Maîtres, dans tout cela ?

Un des ministères du Haut Conseil avait pour charge d’encourager la recherche dans tous les domaines, y compris ceux que nous qualifierions, aujourd’hui, de « cosmo-physique » (je ne trouve pas d’autres termes modernes, désolé.)
Les Atlantes étaient très avancés en matière de « philosophie cosmique » et c’est depuis belle lurette que les religions, telles que nous les concevons encore de nos jours, avaient été supprimées au profit d’une sorte de mélange entre l’astrophysique et le mysticisme. (à ce titre, Hubert Reeves n’est pas un précurseur mais quelqu’un qui perpétue une très ancienne tendance, sans même s’en douter !) Cette « cosmo-physique », alliant recherche spirituelle et maîtrise des lois universelles, commençait à prendre une tournure qui laissait dubitatifs les Maîtres de l’époque. En effet, tandis que ces derniers recommandaient un développement moral et psychologique devant aller de pair avec une augmentation du pouvoir personnel (psychique et mental), certains « avant-gardistes » affirmaient haut et fort que « la prise de conscience de certaines valeurs vient du pouvoir, et non l’inverse. »

En clair, tandis que les Maîtres recommandaient à leurs contemporains de muscler leur âme au lieu de briguer le pouvoir spirituel et temporel, d’autres commençaient à émettre l’idée qu’après les diverses religions et philosophies, il était sans doute temps de mettre au placard l’enseignement des « Frères du Silence », comme on appelait alors les Maîtres. Enseignement qui était jugé par beaucoup comme étant rétrograde et indigne d’une personne libre et consciente de sa valeur.

C’est à ce moment que se détachèrent les deux factions qui ont été retenues par l’histoire ésotérique, à savoir celles des « Fils d’Adon-Inca » et des « Enfants de Belzatl. » C’est du moins l’appellation retenue par les psy éso et qui est non officielle. D’autres préfèreront dire « Fils de la Loi de Un » et « Enfants de Bélial ».

L’enseignement des Frères du Silence dispensé depuis des générations avec largesse, était pour ainsi dire tombé dans le domaine public. Imaginez que l’on enseigne l’ésotérisme aux enfants, à l’école et ce, dès les classes préparatoires, par exemple. Toutefois, les Frères conservaient encore quelques menus secrets ésotériques qu’ils réservaient prudemment à leur élèves les plus sincères et zélés. Voilà qui n’était pas du gout des Enfants de Belzatl qui trouvaient injuste de devoir travailler dur sur eux-mêmes afin de se développer psychiquement, alors qu’il était clair qu’il était possible de gagner plusieurs années de labeur, simplement en connaissant certains secrets réservés à ceux qui étaient considérés comme « les larbins des Maîtres. »

Cet état d’esprit marqua très fortement l’inconscient collectif, cela au point que des milliers d’années plus tard, on le retrouve encore et largement répandu. En résumé, il consiste à désirer obtenir sans effort la même chose que possèdent ceux qui ont bossé dur pour l’obtenir, et si cela n’est pas possible, de priver ceux qui détiennent cette chose, pour les remettre au même niveau que ceux qui ne possèdent pas encore…. Vous reconnaissez quelques proches et « amis » ? (lol)

 

—-

 

La connaissance qui était diffusée depuis des siècles dans les universités atlantes était d’assez haut niveau, sans toutefois excéder un certain niveau de sécurité qui était imposé par les Grands Maîtres, non incarnés à cette époque, mais en contact télépathique quasi permanent avec les Maîtres. La Loi Atlante laissait beaucoup de liberté à tout le monde, même à ceux qui ne faisaient que des conneries avec cette même liberté. L’idée était que personne ne peut devenir responsable de sa vie et de sa relation à autrui s’il existe trop d’instances, au-dessus de lui, pour régenter cette vie et ces relations à autrui.

J’ai dis que la connaissance initiatique avait atteint un très bon niveau, mais les Maîtres se réservaient le droit d’offrir à qui ils jugeaient bon, un enseignement plus « pointu » encore… Dans celui-ci, il était offert aux élèves les plus responsables et avancés, l’occasion de tester directement et « en live » quelques-uns des hauts pouvoirs spirituels ou « psychiques. » Les Maîtres décidaient de qui était prêt ou non en fonction du degré d’écoute, de responsabilité et, surtout, du travail effectué sur soi pour progresser. A un moment, les Maîtres eurent l’occasion unique de démontrer, d’une manière à la fois pratique et magistrale, le pouvoir de l’esprit sur la matière, la nature et les éléments… (Chose qui était théoriquement présenté aux élèves des universités, en même temps que les études d’ingénierie, de physique, de sociologie et d’industrie.)

Un des volcans d’une des sept iles se remit brusquement en éruption et menaçait de détruire des milliers d’habitations et de tuer toute forme de vie marine sur deux kilomètres de côte à la ronde… Les Maîtres demandèrent à la population de la capitale (Atlxanti) de se rassembler aux pieds de ce qui est l’actuel « Mont Pico » (archipel des Açores), c’est à dire sur la Grand Place ou trônait, voici plusieurs centaines d’années plus tôt, le Grand Temple de M… et son fameux Autel sacré sur lequel brulait une Flamme sans chaleur, à présent retirée par les Grands Hiérophante, quatre cents ans plus tôt, à la suite de la destruction du Temple et du meurtre de l’un des derniers Incala (Grand-Prêtre) vraiment initiés. (Nous aurons à en reparler une autre fois, les Atlantes n’en étaient pas à une connerie près ! )

Donc, une fois la populace rassemblée là (et non avertie de ce qu’on attendait d’elle), les Maîtres demandèrent à quelques-uns de leurs meilleurs disciples, de bien vouloir s’assoir, de se bander les yeux et les oreilles afin de mieux pouvoir se concentrer, puis de visualiser l’intérieur du Volcan et de demander à l’esprit qui compose la matière de bien vouloir cesser ces enfantillages (lol) et de tout remettre en ordre comme au départ. Les Maîtres précisèrent qu’ils avaient le plein accord des Grands Hiérophantes (ceux que nous appelons « Grands Maîtres »), ce dont la foule se foutait pas mal, vu que la plupart des Atlantes n’avaient plus aucune idée de ce que pouvaient être ces fameux « Hiérophantes » ou même quel était leur rôle exact (ou s’ils existaient seulement ! ) En réalité, les gens avaient surtout du mal à comprendre qui étaient les Maîtres, ce qu’ils foutaient là et pourquoi ils avaient tant d’idées à la con, impossibles à incarner lorsqu’on est un homme digne de ce nom…

Donc, les Maîtres réclamèrent le silence, et quelques Ministres du Commerce et de l’Industrie firent des signes discrets à la foule qui décida de tenir compte de « l’intérêt du pouvoir en place » à la simple présence intrigante de ces fameux Maîtres… Aussitôt, l’atmosphère changea et devint différente, comme alourdie.
Les oiseaux cessèrent de chanter, les animaux se tinrent immobiles et quelques chiens pourtant joueurs se mirent même à trembler sur place en gémissant doucement. La foule senti que quelque chose se passait de pas commun et prêta alors plus attention au petit manège des 23 individus assis apparemment comme des cons sur la mosaïque artistiquement posée de la Grand Place.

Un des Maîtres demanda si quelques-uns ne ressentaient pas une pression inhabituelle au niveau des oreilles ou au sommet du crâne, ce à quoi plusieurs parmi la foule répondirent discrètement par l’affirmative. Puis un des disciples ôta son bandeau, se dressa souplement, ses 22 autres collègues en firent de même et tous se dispersèrent dans la foule sans émettre le moindre commentaire ni faire le moindre signe à leurs compagnons. Le lendemain, la Citée d’Atlxanti fut informée que l’activité du volcan avait brusquement cessée, à des dizaines de kilomètres de là, et que plus aucune secousse, plus aucune fumée ne s’était manifestée depuis plusieurs heures… Cette nouvelle eut l’effet d’un coup de tonnerre. Il est clair, vu depuis notre époque, que l’effet obtenu alors fut bien plus étendu (et inattendu) que ce que les plus expérimentés et intelligents des Maîtres n’avaient pu le prévoir !

Quelques figures représentatives du peuple demandèrent qu’une cellule d’inspection soit rapidement formée pour définir le pouvoir exact que les Maitres avaient à leur disposition et, surtout, pour savoir dans quelle mesure certaines connaissances pourraient être conservées secrètes pour les yeux et les oreilles du commun, alors qu’apparemment, certains proches de ces Maîtres y avaient un droit de regard…

 

 

Ceux de l’Industrie et du Commerce avaient déjà et en quelque sorte le pouvoir, d’un point de vue social, mais ce pouvoir là n’était pas vraiment affirmé ni même ouvertement déclaré. En fait, les Notables du Conseil auraient bien voulu se débarrasser à la fois et du Roi, et du Collège des Maîtres.
L’armée ne posait pas de problème car, de toutes façon, les Atlantes étaient devenus un peu comme les Romains : décadents, gras du dedans et vivant sur le compte de leur réputation sans plus chercher à en démontrer le bien fondé.
L’armée était surtout une armée d’incapables qui ne pensait qu’à s’enrichir, se goinfrer, trousser de la gueuse et, surtout, faire une carrière politique rondement menée… Bref, vous voyez le tableau.

Bien sur, les Notables ne pouvaient pas directement s’attaquer au Roi et encore moins aux Maîtres, mais ils savaient que personne n’est immortel et inattaquable, que chacun possède des faiblesses et qu’il vient toujours un temps où il devient possible de renverser même les plus hautes montagnes.
(Notez bien cette phrase, elle résonne encore dans l’éther de la planète, douze mille années plus tard, je l’ai juste marquée en Français.)

Les Notables du Conseil étaient à la fois patients, raisonnables et à l’affût de la moindre occasion de se débarrasser, peu ou prou, de ces deux empêcheur de régner en rond qu’étaient « le Royaume » et ce que nous pourrions nommer « le Magistère » (le Collège des Maîtres dirigé par l’Incala.) Ce manège dura une soixantaine d’années, environ, et à l’époque qui nous intéresse ici, il n’y avait plus beaucoup de Maîtres en Atlantide (300, peut-être) et l’Incala savait qu’il serait le dernier de sa longue lignée.

Le Roi (qui portait un nom imprononçable pour nous, on va donc éviter de l’écrire !) était lui-même un « Frère du Silence », c’est à dire un de ces Maîtres qui, déçus par le manque de probité morale de leurs semblables, avaient décidé de ne plus instruire personne et de cacher son savoir et ses capacités hors du commun. (Ici, le mot « silence » signifie « cacher, ne plus révéler. ») Le Roi savait très bien ce qu’il se passait car il lisait dans le cœur de tous ses frères atlantes aussi bien que nous lorsque nous lisons la marque de la bière que nous buvons.
Mais son appartenance au Collège d’Adon-Inca, ainsi qu’à un autre beaucoup plus ancien et infiniment plus précieux à son cœur, lui interdisait d’intervenir dans les affaires de ses semblables.

Car il faut comprendre certaines choses pour être à même de juger sainement des actes et des non-actes des Maîtres du passé… Et nous allons devoir nous arrêter un moment sur ce sujet avant de pouvoir aller plus loin, car sinon, vous ne pourrez pas comprendre correctement la suite… D’ailleurs, même de véritables ésotéristes n’ont toujours pas compris, de nos jours, pourquoi certaines choses ont pu arriver malgré la présence lénifiante d’individus qui étaient capables de changer la face du monde s’ils l’avaient désiré…

 

Développement :

 

Au sujet du nom « Adon-Inca »… Cette racine « Inca » signifie à peu près « Incréé ». Un peu d’histoire politico-religieuse, même si je ne l’avais pas prévu dans ce topic ! Les Atlantes savaient depuis belle lurette et quasiment dès l’école préparatoire (ou assimilée de l’époque) qu’il n’existe pas de « Dieu » tels que certains cornichons modernes le supposent encore. Cela était si évident, pour les Atlans, que l’idée même de disserter sur le sujet, même par plaisir, aurait parut immédiatement suspecte. L’homme et la femme « moyens » savaient que « seul existe l’esprit » et que ce dernier est au service de la conscience individuelle, même si, fait amusant, c’est l’esprit qui, « dans son mouvement et dans son progrès éternel », donne vie, force et durée à toutes les individualités conscientes. Toutes naissent de l’esprit, aucune ne peut disparaître ensuite, et, bien évidemment, tous les êtres n’ont pas le même « âge », si on peut présenter l’enfant ainsi…

Donc, l’esprit était considéré comme une incroyable machine à engendrer la conscience d’être et d’exister. Mais tous savaient que « l’esprit ne veut rien et ne poursuit d’autre but que celui de bouger, de remuer sans cesse dans l’espoir de créer de nouvelles formes, de plus en plus complexes et capables, tôt ou tard, de manifester la conscience potentielle contenu dans l’esprit depuis toujours et à jamais. » Partant d’une telle prémisse, on peut facilement imaginer les innombrables débordements qui peuvent naître de cette prise de conscience que « rien n’est au-dessus de celui qui est conscient de sa propre divinité et de sa liberté sans limite »…

Comme la religion « n’accrochait » pas, chez les Atlans, cela à cause de leur culture et de leur degré d’intelligence (pour l’époque), il fallait bien créer des garde-fous afin que nul n’ait l’idée de prendre la place d’un Bon Dieu puisque cette dernière était apparemment vacante ! (En clair : pas de lois, pas de règles = c’est le bordel ! ) Pour notre mentalité actuelle, il est difficile d’imaginer ce qu’étaient les premiers « sages » qui eurent le rôle de Médiateurs entre le pouvoir illimité de l’esprit en chaque être, et sa propre capacité à l’assumer sans péter un câble ou sans se transformer en tyran spirituel absolu…

Imaginez des hommes et des femmes qui seraient à la fois des scientifiques, des médecins, des prêtres et des légistes, et vous aurez une vague idée de ce que furent les premiers Maîtres du Haut Conseil de l’Atlantide. Cette fonction quasi « sacerdotale » fut d’abord celle de vrais Maîtres qui, n’hésitons pas à l’avouer aujourd’hui, avaient surtout pour rôle de surveiller et d’intervenir sans se poser des questions existentielles, lorsqu’un individu commençait à partir en quenouille et à se prendre pour Napoléon ! Bref, les Maîtres du début ressemblaient plus à un tribunal sévère et attentif aux moindres déviations psychiques qu’à des instructeurs remplis d’amour et de compassion dégoulinante ! Ensuite, un certain équilibre fut atteint et « En Haut Lieu » on compris que de surveiller ainsi des êtres considérés comme des enfants jouant avec des mitraillettes chargées, ça n’allait pas le faire bien longtemps !

En effet, l’aventure humaine devait offrir un riche panel d’émotions, d’idées, d’actes et d’expériences vivantes en tout genre : une vraie responsabilité devait aller de pair avec un authentique liberté, fut-elle capable de raser tout un continent (sans commentaires ) en cas d’expression non contrôlée.
Il fut donc décidé de rendre « laïque » (façon de parler) le Collège de sages qui avait à charge ce qu’on pourrait considérer comme la somme de toutes les règles concernant la morale, l’éthique et l’économie de la vie. Rapidement, ce ne fut plus des Maîtres exclusivement qui siégeaient à ce Conseil, mais des hommes et des femmes « ordinaires » et pas nécessairement si initiés que cela.
Il fallait que « l’homme surveille l’homme avec le regard d’un homme et non celui d’un Dieu. » L’homme qui se dirige lui-même, se prend enfin en main et se prouve à lui-même, en son âme et conscience, qu’il est prêt ou non à se servir de toute la liberté spirituelle qui lui revient de droit…

Comment imaginer, à notre époque, que des Maîtres apparemment si intelligents et puissants, n’aient pas su, par avance, ce qui allait arriver, et comment imaginer qu’ils n’aient pas eu le pouvoir de l’empêcher ? En effet, c’est difficile de l’imaginer ! (lol) En fait, ils savaient pertinemment ce qu’il allait advenir de l’Atlantide. Et oui, ils avaient, même seulement à trois ou quatre cent, le pouvoir de tout arrêter, et même le pouvoir de transformer leurs semblables, même sans leur accord et même sans leur participation ! (ça vous la coupe, hein ?)

Les enc…. ! Me direz-vous, dans un élan viril d’émotion spontanée (lol)
C’est une façon de voir, oui Smile Pour tenter d’expliquer une chose qui ne plaira certainement pas à quelques-uns, parmi les plus émotifs (on va le dire ainsi, hein), je vais prendre l’exemple d’une mère qui adore ses deux enfants, cela au point de se soucier d’eux à chaque instant et de devancer tous leurs désirs et de faire disparaitre chaque problèmes qu’ils pourraient créer ou qu’on pourrait leur créer, cela avant même qu’ils ne soient eux-mêmes concernés par ces problèmes potentiels… Une telle mère serait assurément bénie entre toutes les femmes et considérée comme une sainte, non ? o_Ô
Pourtant son amour peut se transformer rapidement en une catastrophe pour ses deux enfants… A tel point que tous deux s’écrieront un jour et en chœur :

« Mamaaaaaaan ! Arrête de nous aider, de nous mâcher tous le travail et d’aplanir le chemin sous nos semelles, car tu es en train de faire durer, en nous, cette immaturité spirituelle et sociale propre aux enfants qui réclament, en effet, toute l’attention et la prévention d’une mère aimante ! Si tu nous aimes vraiment, lâche-nous la grappe et laisse-nous commettre nos propres erreurs, connaître nos propres réussites et, en clair, laisse-nous vivre enfin ! »

(Ils causent bien, les petiots, non ? Moi je dis… ^^)
Quand l’Âme humaine (cette conne) n’est pas occupée à vivre son incarnation, c’est à dire lorsque toute l’attention mentale individuelle n’est pas (ou plus) investie dans les choses de ce monde, elle est en contact permanent avec ceux que nous appelons les « Maîtres » et les « Grands Maîtres »… En contact même avec les Anges, Archanges et autres Principautés (Monaco mis à part, bien entendu.) Du coup, les Âmes humaines (ou Soi), c’est à dire ces anciens anges qui ont accepté de venir se fendre la poire au sein de l’aventure humaine, ont de tout temps la capacité et le pouvoir de demander de l’aide, de la refuser, de dire « oui » et de dire « non », même aux plus rutilants des Archanges de la Face. Et devinez quoi ? Les Âmes humaines demandèrent à ce que l’on arrête de les prendre pour des Tanches de la Baltique et exigèrent le droit à l’autogestion…
Évidemment, cela leur fut accordé sans problème mais toutes furent averties que, désormais, la responsabilité de la suite de l’Aventure Humaine serait sous leur seule et entière responsabilité, les Hiérarques ne demeurant là et n’étant actifs qu’à titre consultatif et, éventuellement, pour empêcher certains de faire sauter tout un quartier de l’univers en faisant mumuse avec leurs nouveaux pouvoirs ! Alors voilà pourquoi les Maîtres n’intervinrent pas (ou si peu, les coquins !) dans la suite de l’Épisode Atlante dont vous présumez la fin dernière…

Vous me direz : « Mais alors, Mec, à quoi servent les Maîtres, depuis des millénaires ? » A initier ceux qui le demandent, pardi !
Ah bon ? Voui ! (En Provençal dans le texte.) Parce que, pour être libre, il faut avoir la possibilité de refuser ou, à l’inverse, de réclamer de devenir moins con que tous les autres….

 

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Au fur et à mesure que les Membres du Conseil se transformaient plus en marchands, en politiciens véreux et en personnages plus soucieux de prestige personnel que de bien-être pour le peuple, les Maîtres se « retiraient » de plus en plus… Ils ne se retiraient pas dans le sens physique du terme, bien que comme tout un chacun, ces Maîtres devaient, tôt ou tard, passer par l’expérience inéluctable de la « transition » (décès du corps physique), mais ils se tenaient « en arrière », d’un point de vue psychologique, par rapport à la scène sociale.

Il faut se souvenir qu’il existe toujours plus haut que soi : les Maîtres comme toutes les créatures vivantes et conscientes, avaient leurs propres Instructeurs, que nous appellerions de nos jours et en Français : « Les Grands Maîtres. »
Évidemment, les rapports étroits qui unissaient, à cette époque, les Maîtres avec leurs propres Instructeurs des Consciences, étaient très différents des rapports qu’un Maître pouvait alors entretenir avec ses propres élèves ou « disciples », avancés ou non.
Tout le monde apprend, même les Dieux.

Si vous comprenez VRAIMENT ce qu’implique cette simple phrase, vous comprenez déjà beaucoup de choses, vous pouvez me croire sur parole !
Mais il faut vraiment comprendre, non pas le sens littéraire de cette phrase, mais plutôt, tout ce qu’elle implique par ailleurs… Les Grands Maîtres apprirent beaucoup du comportement des Maîtres et de leurs disciples…
Plus haut, certaines individualités que vous connaitrez lorsque vous serez prêts, apprirent également beaucoup des Grands Maîtres et de « plus bas qu’eux« …
Et encore plus haut…
Et encore plus haut…
Sans fin !

Ressentez-vous ? Ressentez-vous cet Amour inconditionnel, sans limite, proprement effarant, écrasant, monstrueux peut-être, pour nous frêles créatures de chair, qui se cache derrière… la vérité ? Si ce n’est pas encore le cas, cela ne saurait tarder.

Tout le monde sait un jour…
Tout le monde saura…
Et quand vous saurez… Eh bien ! Vous saurez, hein !

S’étant retirés, les Maîtres laissèrent donc le peuple Atlante montrer ce qu’il avait dans le ventre. Précisons, pour être honnête, que c’était la toute première fois dans l’histoire Atlante, que les Maîtres se plaçaient ainsi volontairement en recul. Personne ne les avait obligés à le faire; leur action était concertée et devait aider à la prise réelle de pouvoir de l’humanité « en cours » sur sa planète, sur son monde, sur sa fréquence propre.

Les parents doivent, tôt ou tard, agir de la sorte envers leurs propres enfants car s’ils ne le font pas, s’ils ne savent pas, le moment voulu, se placer « en arrière », alors leur progéniture n’atteindra jamais l’âge de maturité spirituelle. Seul leur corps vieillira et l’avancée en âge sera confondue avec l’avancée spirituelle. (Comme c’est encore le cas de nos jours.) Une fois les Maîtres en arrière plan, c’est à dire une fois que leur seule présence bienveillante ne pouvait même plus « faire honte » à ceux dont la pensée n’était plus orientée vers le Bon et le Bien de tous, les choses s’accélérèrent un peu…

Les membres du Conseil prirent la discrétion des Maîtres pour de la faiblesse, du découragement, ou encore pour une sorte de désintérêt pour « plus bas qu’eux » (sic) Ces gamins turbulents et attardés que furent les Atlantes de cette époque, étaient lâchés à eux-mêmes et les premiers effets de cette émancipation forcée ne se firent pas attendre…

 

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C‘est à ce moment que se manifestèrent deux groupes d’individus qui jouèrent, sans le réaliser, un rôle important dans la suite des évènements qui menèrent ce peuple à sa ruine morale, sociale et biologique. Les premiers furent plus tard nommés « les Tièdes » et formèrent cette troisième faction atlante dont personne, chroniquer ou voyant, ne semble désirer parler ou même évoquer même discrètement l’importance (on se demande pourquoi.)

Les seconds étaient les fameux « Enfants de Belzatl » qui furent rebaptisés plus tard « Enfants de Bélial » à la suite des écrits d’un très célèbre visionnaire américain (Edgard Cayce.) Il est vrai que non seulement cette seconde appellation est plus aisée à prononcer mais, de plus, elle a l’avantage de rendre compte symboliquement du principal défaut de cette faction d’excités (le bélier est présumé foncer sans réfléchir.)

Les Tièdes étaient ceux qui n’osaient pas prendre partie, se positionner ou même exprimer leur modeste avis. Non pas qu’ils n’en eurent pas mais plutôt qu’ils n’eurent jamais la force nécessaire pour s’exprimer vraiment et de leur propre chef. Par nature, le « Tiède » était faible et lâche par définition. L’idée même de prendre partie lui donnait le vertige et des nausées. De nombreux tièdes reçurent l’enseignement ésotérique de base, tel qu’il était proposé à cette époque et quelques-uns faillirent même « sortir du rang » et bénéficier d’un certain degré d’illumination spirituelle, mais aucun n’était assez ferme et ordonné d’esprit pour atteindre et connaître la véritable initiation.

Quand aux Enfants de Belzatl, leurs mots d’ordre étaient « justice et équité » et cette devise apparemment légitime cachait en fait une profonde aversion pour les initiés et une jalousie maladive au sujet de ce que ce terme évoquait comme avantages et pouvoirs personnels. En somme et pour résumer le propos, l’Enfant de Belzatl type avait des vues évidentes sur les connaissances ésotériques et les supposés avantages qu’elles impliquent, et aurait tué père et mère pour les acquérir. Bien entendu, il ne pouvait pas supporter l’idée que quelqu’un d’autre, méritant ou pas, puisse posséder des connaissances que lui n’avait pas.

D’ailleurs, que devient la notion de « mérite », c’est à dire « recevoir à la mesure de son labeur », lorsqu’il est question de justice et d’équité ? N’était-il pas légitime que tous les atlantes puissent bénéficier des secrets des Maîtres, qu’ils aient travaillé dur pour les acquérir ou non ? C’est du moins ce que pensaient les Enfants de Belzatl….

Quels pouvaient bien être ces fameux « secrets des Maîtres » ? Pour ceux qui s’en souviennent, il a été évoqué, dans un autre post, certains désordres géologiques au niveau du sol atlante. Les Maîtres eurent la permission de laisser leur élèves se grouper, publiquement, et se servir de leurs connaissances pour en atténuer les effets, voire les annuler carrément. Le but de ces démonstrations était (entre autres) de démontrer que l’union fait la force et qu’il était possible qu’un être humain ordinaire accomplisse de grandes choses à la condition qu’il accepte de s’unir à son prochain au lieu de le craindre. Si la populace pouvait être touchée, cela produirait l’émulation et de nombreuses personnes auraient demandé l’initiation véritable, différente de ce qui était alors dispensé dans les écoles et universités de l’époque.

Et en effet, cette populace fut touchée. Plus que prévu, d’ailleurs ! Tellement touchée, qu’elle manifesta un degré de réaction qui dépassait et de beaucoup les attentes des Maîtres et de leurs disciples directs ! En clair, tous les atlantes désirèrent obtenir les mêmes pouvoirs que les disciples, et si possible sans effort (Tièdes) sans avoir à bosser longtemps (Belzatl) et sans avoir à se grouper nécessairement pour que ça marche (la bourgeoisie ou assimilé.)

Suite quand j’aurais le temps et l’envie de me « reconnecter »…

 

 

Serge
 
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Premier Quizz éso de la psy éso

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Dans la série Quizz éso de la psy éso, voici la première question proposée à votre sagacité !

aura04Tout le monde connaît ce sujet des fameuses couleurs de l’aura humaine.
Du moins, chaque étudiant de l’ésotérisme et de la spiritualité, est-il au courant du fait que certaines personnes affirment voir des couleurs autour des corps et même réussir à définir l’état de santé voire l’état mental et émotionnel d’une personne, ceci grâce à l’interprétation de ces mêmes couleurs.

énergie2Pourtant, les psychologues ésotéristes ont été les premiers à affirmer une chose très contrariante et qui, fort étonnamment, a surtout été rejetée -et avec le plus de force, par les spiritualistes et ésotéristes eux-mêmes ! Jusqu’à ce que, voici quelques années, les scientifiques fassent une découverte majeure à propos du fonctionnement de notre cerveau et qui a donné entièrement raison à ce qu’enseignait la psy éso.
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Question : Quelle est la nature exacte de cette affirmation qui était contenue dans l’enseignement évoqué et que la science est venue, bien involontairement il est vrai, ratifier il y a de cela quelques années ?

Qui se lance ? 😀

 

Nota : Merci à celles et à ceux qui ont déjà étudié cette discipline (la psychologie ésotérique) de laisser jouer en priorité ceux qui n’y sont pas encore initiés ! 😆

 

Reporter de l’Au-Delà

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Reporter de l’Au-Delà

 

Résumé du contenu de ce livre

Présentation de l’éditeur

Christian Balmain est un électricien sans problèmes qui vit à Toulon, dans le sud de la France et qui est marié et père de deux ravissantes petites filles. Sa vie est aussi banale que sans surprises, jusqu’au jour où il a la malencontreuse idée de mourir.

Ce roman plein d’humour et de tendresse, est une excuse à peine voilée pour permettre à son auteur de transmettre un enseignement ésotérique de valeur, à la fois simple et profond. Certaines lois relatives au fonctionnement de l’esprit et encore mal connues en Europe et ce, à cause de leur apparente complexité, sont ici présentées à travers un langage aéré et enfin accessible à tous.

Les amateurs de psychologie propre à l’ésotérisme ainsi que les personnes sensibles aux sujets traitant de l’Après-Vie, devraient trouver en ce roman, matière à de savoureuses et non moins fructueuses méditations.

Ceux qui demeurent sceptiques en ce qui concerne ce sujet de la survie de l’âme, devraient pouvoir y trouver de quoi passer un moment de réflexion, de détente et de rire.
Un mélange étonnant de sérieux et d’humour décapant font de ce roman, premier volet d’une trilogie, une œuvre qui pourrait bien être considérée comme novatrice dans un domaine qui, quelques fois, manque un peu de fraîcheur et de spontanéité.

 

Les deux autres volets de cette trilogie ont pour titre :

« Rencontre avec un Mage Rouge »   (à paraître sur Amazon )
« Enseignement d’un Mage Rouge » (à paraître sur Amazon )

Détails pratiques concernant ce livre

État: En ligne et disponible à la vente ! 

 

 

Prix conseillé :  7.71 euros.

Nombre de pages : (dépend du format de lecture mais entre 170 et 200 pages maxi.)

Taille du fichier : A venir, pas encore calculé.

Formats disponibles : Kindle sur Amazon.

Pour les lecteurs ayant acheté cet ouvrage, sur Amazon ou ailleurs :

Je suis à votre disposition si vous avez besoin de plus amples informations ou si vous avez des questions à me poser à propos de ce livre ou de son contenu. Dans tous les cas, vos commentaires et éventuels conseils bienveillants, seront les bienvenus. Il sera répondu à tous.

 

Serge Baccino

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