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Je fonctionne comme l’Univers et Lui comme moi

Je fonctionne comme l’Univers…

Et Lui comme moi

 

 

Je vais essayer ici de vous expliquer concrètement l’un des Mystères de l’ésotérisme et de la spiritualité en général, à savoir le mode de fonctionnement particulier de « l’Univers et des Dieux » comme on disait avant, ceci et dans un premier temps de cet article, faisant suite au Dossier sur le Kybalion et l’Art Alchimique de la création mentale. (Créer tout ce dont nous avons besoin.)
Bien évidemment, il s’agit là de la vision d’un psychologue ésotériste, pas d’un ésotériste tout court qui, sans doute, trouverait à redire de mes propositions…

 

Comme cela n’est pas gagné d’avance, attendu que le sujet est ardu et que les explications écrites ou parlées sont très pauvres pour témoigner des Lois Cosmiques, j’aurais donc besoin de votre aide à tous, cela en attendant de vous que vous posiez les bonnes questions qui me permettront de vous proposer les bonnes réponses, à la suite de cette introduction, de ce résumé de la Loi de Création spirituelle. Vous ne devrez pas lâcher l’affaire tant que vous n’aurez pas parfaitement compris, OK ?

Pour commencer, je suis certain que vous avez tous entendu parler de la manière dont enseignait le Maître Jésus (son Vrai Nom était « Iéshuah », soit dit en passant) à propos du pouvoir créateur de l’esprit. Il disait en substance :

« Lorsque vous demandez à Mon Père une chose, faites comme si vous l’aviez déjà reçue, et vous obtiendrez toutes choses en Mon Nom ! »

Aujourd’hui, nous dirions bien autrement, par exemple comme ceci :

 

« Lorsque vous devenez conscient que vous êtes le Grand « Je Suis », que vous êtes la Conscience, que vous faites partie de Dieu et partagez la Même Essence que la Sienne, vous ne devez pas demander une chose mais affirmer que vous la possédez déjà…. »

Essayons de comprendre ces étonnants conseils :

« Faites comme si vous possédiez déjà…. » et…

« Remerciez Dieu pour ce qu’il vous a déjà donné…. » (par exemple)

Pourquoi devrions-nous agir de la sorte et prendre apparemment l’univers et les Dieux pour des cons, cela en faisant mine de posséder déjà…Ce dont nous manquons et avons besoin ?

 

En effet, puisque nous désirons une chose, c’est bien la preuve que nous ne la possédons pas, la chose paraît être entendue !
Certes ! Elle est apparemment logique d’un point de vue humain, mais pas pour l’esprit universel, c’est à dire ce quelque chose capable de tout créer, de donner naissance à toutes choses sur notre ordre !

Oui, nous pouvons ordonner à l’esprit de rendre manifeste tout ce dont nous avons besoin ! Nous pouvons de ce fait non seulement ne manquer de rien mais, de plus, obtenir toutes ces choses dont nous rêvons sans cesse, cela quasiment à volonté et même en obtenir plus que ce qu’il nous faudrait pour satisfaire nos attentes les plus légitimes ! Le rêve, non ?
Nous sommes bien d’accord sur ce point également. Bon, OK, mais alors, puisque notre esprit -qui est aussi ou surtout- l’esprit de Dieu, est si puissant, pourquoi nous n’obtenons que rarement ce que nous voulons et espérons ? Hum ? o_Ô
Réponse : Parce que nous nous y prenons comme des manches et, plus précisément, carrément à l’envers !
A l’envers ? Mais à l’envers de quoi ?

En fait, à l’inverse de ce qu’il nous faudrait faire pour obtenir, justement, tout ce dont nous avons besoin.
Je vous demande à présent de vous montrer très attentifs car je vais vous révéler en termes modernes le « secret spirituel » qui vous permettra de comprendre  ce qu’il faut faire pour créer votre vie comme vous l’entendez, plutôt que d’arriver à le faire intuitivement et comme on vous l’aura appris.

 

Ce que faisaient bien souvent les Mystiques du passé.
Leur foi était immense mais leur compréhension limitée par un manque évident de développement mental. C’est la raison pour laquelle ils ne réussissaient que rarement à transmettre leurs connaissances à leurs disciples… Mais ceci est une autre histoire ! Voici les faits :

 

******* Le subconscient de l’homme est en fait le Subconscient Universel : ce qui concerne le mode de fonctionnement précis et définitif du subconscient humain, concerne également le mode de fonctionnement précis et définitif de celui de l’Univers. Comprendre l’un revient à comprendre l’Autre, maîtriser l’un revient à Maîtriser l’Autre car les deux ne sont en fait qu’une seule et même chose, comme la goutte d’eau de mer n’est pas séparée de l’étendue d’eau qu’elle compose et réciproquement. *******

 

Bon, OK, me direz-vous, ça a l’air bien joli, tout ça, mais ça nous avance à quoi ?
Cela nous permet de comprendre le fonctionnement exact de l’Univers en étudiant celui de l’intelligence cellulaire du corps physique de l’homme !

Ce sont les mêmes lois qui sont en présence et toutes deux fonctionnement exactement de la même manière.
A notre époque, nous connaissons suffisamment de choses sur le mode de fonctionnement de « la somme de l’intelligence de toutes les cellules de notre corps », plus spécifiquement nommée « subconscient »

 

De fait, nous ne sommes même pas conscients d’être des Maîtres de l’Univers en potentiel ! Il nous manquait juste la compréhension intellectuelle de cette connaissance sublime :

« L’univers et notre corps fonctionnent de la même façon car les deux forment, en réalité, une seule et même chose : le Grand Corps De Dieu-Le-Tout ! »

Ou son subconscient, puisque c’est la même chose ! Ainsi et très véritablement, se connaître soi-même revient à connaître l’univers et les Dieux !

 

Bon, nous pouvons à présent avancer plus vite et étudier rapidement les deux premières Lois impliquées dans l’Art de la Création Mentale, Lois sans la compréhension desquelles il est impossible de créer en esprit et dans notre mental (qui est aussi et surtout celui de Dieu, n’est-ce pas)

Voici l’énoncé pur et dur de l’une de ces deux Lois :

 

« L’esprit du Tout est à la fois rien et toutes choses. Il contient déjà et à l’état potentiel ou « en devenir », tout ce que l’imagination de l’homme et des Dieux a pu, peut et pourra jamais imaginer. L’esprit universel contient déjà toutes les formes de réalités probables et se borne à les exprimer ou à les rendre manifestes, et non à les créer véritablement. »

 

Voici l’énoncé pur et dur de la seconde de ces deux Lois :

 

« Le subconscient raisonne par déduction et associations d’idées et ne connait qu’un seul temps : le présent. Tout ce que l’homme pense et tel que cela est pensé, est fidèlement enregistré comme Loi. Le subconscient mettra immédiatement tout en œuvre pour que cette loi-pensée puisse se concrétiser et être rendue manifeste dans le plan sur lequel se manifeste l’entité qui a invoqué la Loi de création par son esprit et dans son mental. »

 

 

Imaginez que vous écrivez, sur une feuille de papier :

« Aujourd’hui, je me sens très con ! »
Ensuite vous placez ce mot écrit dans le tiroir d’une table de nuit et vous ne touchez plus à ce papier et son mot écrit dessus durant disons… Une bonne dizaine d’années.
Au bout de dix ans, vous ouvrez enfin ce tiroir, découvrez le papier et lisez ce qu’il y a d’écrit dessus. Voici ma question : Est-ce qu’il y aura mentionné que voici dix ans, vous pensiez être con ?
Non, n’est-ce pas ? Le papier et son mot écrit dessus ne tiennent pas compte du temps qui passe : il y aura écrit la même chose, au présent, que ce qu’il a été écrit, dix années plus tôt.
De même, notre subconscient enregistre fidèlement tout ce que nous pensons et disons au présent et ne tient pas compte du temps qui passe, de l’expérience, du contexte, etc.
Ce que vous avez pensé de vous et d’autrui jadis, il le pense désormais automatiquement et à votre place aujourd’hui, et toujours au présent, comme si rien n’avait changé ou évolué entre temps.

Sachant que le subconscient raisonne par déduction et par associations d’idées et que pour lui, SEUL EXISTE UN ÉTERNEL PRÉSENT, si vous commettez l’erreur d’affirmer vos désirs « au futur » (ce que vous voulez obtenir et ce dont vous manquez forcément encore aujourd’hui), le subconscient enregistrera au présent que vous manquez de tout ce que vous désirez par ailleurs et que c’est en ceci que consiste votre volonté et donc, la Loi Cosmique !

 

Vous saisissez le gros merdier ? (en français dans le texte)
Sinon, laissez-moi vous « faire un dessin », vous allez vite capter le problème !
Nous allons prendre pour exemple que vous désirez plus de fric, même si c’est rare venant de vous, OK, je vous l’accorde volontiers.
Tout naturellement, vous allez formuler votre demande à peu près de la sorte :

« Je vais avoir plus de fric très bientôt ! »

Ou encore :
« J’ai besoin d’argent rapidement, donc, je vais en gagner ! »

 

Notez le temps employé (conjugaison) pour ces deux requêtes adressées à l’Intelligence Universelle, à l’esprit, c’est à dire au… Subconscient de Dieu qui manifeste toutes choses selon la Loi.
Que va enregistrer l’esprit, en fait ? Dans le premier cas que… « Très bientôt…. »
Donc, dans trois mille ans, sur le « bout de papier », il y aura toujours marqué que « Très bientôt… » vous serez riche !
Dans le second cas, l’esprit universel enregistre comme Loi absolue que « Vous avez besoin d’argent. » Et dans trois mille ans, votre volonté créatrice sera toujours respectée et vous en aurez donc toujours besoin, n’est-ce pas !

Vous captez un peu mieux, là ?

Pour l’esprit, vous devez absolument obtenir « plus tard », et vous devez « avoir besoin » le plus longtemps possible, ceci afin de respecter la Loi. Du coup; si vous obteniez ce que vous désirez et tout de suite, il y aurait violation de la Loi.

Comprenez bien que votre subconscient et l’intelligence divine, savent tous deux (en fait ils ne forment qu’Une seule chose, mais bon) que selon la Loi :

« Tout existe déjà en esprit et ne demande qu’à être rendu manifeste… »

 

Du coup, si vous affirmez qu’une chose va exister « plus tard » pour vous, non seulement vous retardez éternellement sa manifestation mais, de plus, vous réclamez de l’esprit universel une chose qui lui est impossible : créer ce qui existe déjà !

 

Bon, OK, nous avons bien compris la subtilité mais, dans ce cas, comment doit-on « demander » ou « faire savoir à l’univers tout ce dont nous… Avons besoin » ? Sachant que si nous réclamons une chose, cela revient à affirmer que nous ne la possédons pas et que, de ce fait, elle n’existe pas encore.
Car là se situe bien le « hic » !

Un gros, gros « hic », même ! Le fait de demander ou d’exprimer un besoin quelconque revient à affirmer à l’univers que ce que nous désirons n’existe pas encore et que de ce fait, nous ne le possédons pas présentement ! On est à peine bloqué, là, non ? Ben oui, on l’est !

 

Nous voici avec un magnifique paradoxe sur les bras : si nous disons qu’une chose nous manque et que nous voulons l’obtenir, l’esprit universel enregistre le fait que nous ne pouvons pas obtenir cette chose, puisqu’elle n’existe pas déjà actuellement !

D’un autre côté, affirmer de but en blanc que nous possédons une chose alors que nous savons pertinemment que nous la désirons justement parce que nous ne l’avons pas, revient à prendre l’Univers et les dieux pour des pastèques ! (lol)
Alors que faire ?

Que faire ? Mais fonctionner comme l’esprit ! Raisonner comme lui !
Retourner son mode de fonctionnement dans sa direction et lui intimer de ce fait d’agir « comme si » même s’il constate par ailleurs que nous ne possédons pas encore au niveau purement linéaire. Ce qui pour lui n’est pas un problème en soi, bien au contraire !
En gros, l’idée est de mettre l’esprit dans l’impossibilité de faire mentir sa propre Loi ! la Clef se situe au niveau du mode déductif de raisonnement de l’esprit universel. Ou de notre subconscient, c’est la même chose.

Réfléchissons deux secondes… Puis-je en toute logique donner ce que je ne possède pas ? La réponse est évidente… Du moins pour nous !
Pour l’esprit, elle est l’inverse ! En effet, pour Lui, tout existe déjà !
Il est donc non seulement « possible » mais tout naturel, d’offrir par exemple ce qui existe déjà et depuis toujours pour nous et en esprit ! Vous captez l’idée ?
Non ? Alors on va vous faire un dessin, allez !

 

De quoi ai-je besoin ? Une fois la chose désirée définie clairement, je vais me mettre à la donner aux autres, comme si non seulement je la possédais déjà (ce qui est « légalement » le cas) mais de plus, comme si vraiment j’en étais rempli jusqu’à la couenne (du moins s’agit-il de « faire comme si », n’est-ce pas ^^)
Par exemple ? Allez, faisons péter les exemples, d’accord !

Je veux avoir la connaissance ? Alors je me mets maintenant à instruire les autres, à la transmettre comme si je la possédais ! (ce qui est le cas, souvenez-vous : tout est déjà là !)
Plus je vais instruire, plus la connaissance va me venir !
Pourquoi ? Parce que l’esprit est obligé de me la fournir rapidement afin de ne pas faire mentir la Loi Cosmique qui dit que « Tout existe déjà, maintenant ! »
S’il ne me donne pas la Connaissance tandis que je la donne moi-même, alors c’est que cette connaissance est absente de l’esprit, qu’elle n’existe pas, même en potentiel. Ce qui reviendrait à faire mentir Dieu !

Alors moi qui ne savait rien, me voici à transmettre ce que je ne possédais pas le moment auparavant. Et instantanément, me voici « Instruit par Dieu afin de donner à mes frères » car… C’EST LA LOI !

 

Vous avez le droit d’être émerveillés et très émus, comme je le suis présentement moi-même, oui, merci bien.
Voyons un autre exemple, pourquoi pas l’argent (même si ce sujet n’intéresse généralement pas les spiritualiste ^^)

Vous NE devez PAS « désirer de l’argent » ou « plus d’argent », cela sous peine d’affirmer qu’il n’en existe pas assez pour vous « présentement. »

Mais si vous l’affirmer tout de même, pour ne pas faire mentir la Loi -qui énonce que tout existe et doit déjà exister en esprit, même la connerie- le subconscient universel va satisfaire à votre demande et donne forme à votre désir du moment (désirer de l’argent et en manquer toujours)

 

En somme, tout ce que vous affirmez, même sans le réaliser, fait Loi et sera rendu manifeste. Mais vous l’aviez déjà compris, n’est-ce pas ?
Pour contourner le problème, vous devez agir « comme si » l’argent ne pouvait pas vous manquer, puisque vous êtes pétés de fric ! Après tout, n’êtes vous pas un Fils de Dieu, un Fils du Dieu Vivant ? (Bible dixit) C’est en effet le cas, je vous l’assure très affectueusement. Alors dépensez, donnez, faites comme si vous ne pouviez pas manquer d’argent !

Bien entendu, c’est surtout l’état d’esprit qui correspond à ce que je viens d’écrire, que vous devez installer en vous et auquel vous devrez désormais vous fier pour vivre !

Il ne s’agit pas de crâner, de dilapider votre argent et de vous cribler de dettes ! (lol) Vous devez juste conserver à l’avant scène de votre conscience de veille, un sentiment de richesse inépuisable.

Vous buvez un café ? Lorsque le garçon vous rend la monnaie, laissez quelques pièces sur la table ou sur le comptoir. Ne craignez point, vous ne manquerez jamais de rien, sauf si VOUS LE RÉCLAMEZ à l’univers et par le biais d’un état d’esprit fondé sur le doute, la peur du manque et l’idée de pauvreté.

 

C’est en fait à vous-mêmes que vous devez offrir le plus de choses !

Offrez-vous des idées de richesses ainsi que tous ces merveilleux sentiments qui vont avec. Car ce que vous pensez, vous le ressentez ensuite.

Si vous pensez au manque, à la rareté, au fait qu’il n’y a pas assez de ceci ou de cela pour tous, alors c’est ce genre d’idée que vous allez ressentir et vous vivrez en conformité avec ces croyances moyenâgeuses.

 

Vous n’avez pas à vous mentir ou à feindre l’opulence; il suffit que vous sachiez que, RÉELLEMENT, tout existe déjà en esprit et dans le mental de Dieu (l’Univers) Souvenez-vous de ça, affirmez-le, croyez-le et vivez en concordance avec ces nouvelles idées et ces nouvelles émotions.

Car ce sont elles qui vont vous rendre riche !

Car ce sont elles qui, là, immédiatement, viennent de vous rendre instantanément riche. Vous le savez désormais :

Tout existe déjà en esprit et dans le mental de Dieu (ou de l’esprit, c’est pareil.)

Offrez-vous sans compter car votre richesse n’a de limite que celle de l’esprit. Autrement dit… Aucune !

 

Offrez-vous tout ce qui a de la valeur.

Offrez-vous l’amour (en apprenant à vous aimer tels que vous êtes déjà)

Offrez-vous la paix, en cessant de vous faire la guerre à tout bout de champ et à la moindre occasion de pointer un doigt accusateur en direction de vos faiblesses.

Offrez-vous la Joie, cela en comprenant que rien n’a vraiment d’importance, que rien n’existe vraiment dans un univers où tout peut être remodelé en esprit et mentalement.

 

Offrez-vous Éros ! C’est à dire tous les plaisirs, et pas seulement ceux relatifs au sexe. Et parmi ces dernières, vous devez vous offrir cette sérénité et cette force tranquille qui découlent d’un sentiment de richesse permanent, aussi bien intérieur et spirituel, qu’extérieur et purement social.

Réfléchissez bien : Est-ce la quantité d’argent stockée sur votre compte en banque, qui fait de vous une personne riche, ou ce fait miraculeux de ne manquer jamais de rien et d’obtenir tout ce que vous désirez et qui est humainement réalisable ? (Ne cherchez pas à faire sortir la lune de son orbite !)

 

Mais attention ! Ne mettez pas Dieu « au banc d’essai » et ne le testez jamais !

N’oubliez pas que le subconscient raisonne par déduction et par associations d’idées ! S’il réalise que vous testez la Loi pour vérifier si elle marche, il fera en sorte que vous soyez assuré de la vérifier pendant des lustres !

Agissez vraiment et dans les petites choses de la vie de tous les jours, COMME SI vous étiez assuré de ne jamais manquer de rien. Encore une fois, seul compte votre état d’esprit, pas vos actes à l’extérieur.

 

Par exemple, donnez UN EURO (vous n’en mourrez pas) à un mendiant. Laissez des pourboires au restau, au bar, etc.
N’hésitez pas à prêter de petites sommes sans vous soucier de leur remboursement futur, car si vous vous installez dans un état d’esprit d’attente (de remboursement, en l’occurrence) le subconscient en déduira que vous adorez ATTENDRE et pour vous y aider, il fera en sorte que vous ne soyez jamais remboursé ! (lol)

Bref ! Faites comme si et… Savourez les résultats !
Je vous donne moins de trois semaines pour constater les effets sur vous (état d’esprit) et à l’extérieur et sur les autres.

En fait, une semaine suffirait, mais bon, on va dire que notre foi est souvent vacillante, surtout au début !

 

Poursuivons gaiement, car le sujet va bien au-delà des simples (mais nécessaires) acquisitions matérielles, comme vous allez le constater en étudiant tranquillement la suite de cet article.
Prenons un autre exemple encore : le boulot.

Nous avons tous connu ces périodes un brin décourageantes de recherche d’emploi. Et tandis que nous cherchions – et avant d’avoir trouvé – nous ne savions pas, avec certitude, SI nous allions trouver un emploi.

 

Jusque là, rien de bien transcendant, je vous l’accorde (d’alpiniste.)
Maintenant, compressons le temps et rendons-nous trois mois plus tard, à la date à laquelle nous avons enfin trouvé une entreprise qui a accepté de nous offrir un travail.

Question : Notre emploi vient-il d’être créé ou inventé par l’esprit universel au moment où nous le trouvons ?

Non, n’est-ce pas ? Cet entreprise et cet emploi existaient déjà.

 

Toutefois, comme nous ne savions rien de cet entreprise, ni son existence, ni même que nous allions pouvoir y être embauché, nous ne pouvions pas nous comporter comme si nous avions déjà ce boulot…

Du moins, serions-nous tentés de présenter les choses ainsi…

En réalité, au moment même où vous cherchiez du boulot, ce dernier non seulement existait déjà (et pas seulement en esprit, heureusement pour lui ) mais de plus, votre poste était déjà réservée et n’attendait que….

Que quoi, au fait ?

 

Réponse : Que vous arrêtiez d’être con ! (lol)

C’est l’Univers Lui-Même qui attend patiemment que vous retrouviez la Mémoire, que vous réalisiez enfin la Vérité. C’est à vous qu’il échoit de faire cesser ce jeu stupide qui consiste, pour l’homme, à faire semblant d’être distinct et séparé de tout et de tous.

Vous êtes un Dieu qui fait semblant de pouvoir manquer de quelque chose ou de manquer une chose quelconque ! Au début, c’était follement amusant, c’est vrai, mais à présent, la plaisanterie doit s’arrêter et très vite !

 

Ne voyez-vous donc pas que le plus grand nombre commence déjà à croire en un tas de choses stupides et sans saveur ? A croire en la mort, la séparation, la souffrance, et le manque… A croire aussi en l’existence d’un Dieu jaloux et tyrannique qui jouit de voir ramper et s’humilier ses humbles sujets mais qui, comble de l’ironie, est infiniment moins puissant que son Adversaire, le Ténébreux Prince du Mal ?

 

L’homme est devenu mou, moche et craintif à force de choisir la fuite plutôt que de se prendre en charge et à assumer son propre destin. Par peur de redevenir RESPONSABLE de ses créations mentales innombrables, l’homme s’est inexorablement coupé du reste de l’univers et des Dieux qui en gouvernent les Royaumes.

Par peur d’affronter une vérité unique mais inconnue, l’être humain s’est inventé des vérités qui ressemblent étrangement à des barreaux posés au fenêtres d’une prison.

Voilà de quoi se prive l’homme, en un mot : De sa propre Divinité.

 

Et pour se conforter dans l’idée hautement positive qu’il est un moins que rien, le voici qui choisit de travailler pour vivre, alors qu’il lui suffisait d’être, pour vivre et tout simplement. Il existe encore d’autres Lois et d’autres astuces liées à ce que nos modernes ténors du New-Âge nomme La Loi d’Attraction

Mais j’aimerais d’abord vous voir participer un peu à nos échanges, car il me serait pénible voire insupportable, de réaliser que je suis, de nous tous, le seul véritable riche disposé à DONNER !

Je crois me faire comprendre, car je parle et écrit avec cette assurance et cet aplomb qui ont fait la réputation des psychologues ésotéristes et qui leur vaut de n’avoir que rarement de nombreux amis ! (sic)

 

A vos claviers braves gens : ne vous contentez pas de lire, de venir piocher ça et là dans l’espoir immature de devenir instruit des choses de l’esprit, car c’est seulement si vous apprenez vous aussi à DONNER que vous pourrez alors être correctement préparés pour RECEVOIR.

Pour « Re-Se-Voir » et donc, se voir de nouveau et se retrouver enfin…

 

 

Serge

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Dossier – Les fondements de la science hermétique – Chapitre 5

La Transmutation Mentale.

« L’Esprit, de même que les métaux et les éléments, peut passer d’un état à un état différent, d’un degré à un autre, d’une condition à une autre, d’un pôle à un autre pôle, d’une vibration à une autre vibration. La Vraie Transmutation Hermétique est un Art Mental ».

LE KYBALION.

 

Il a souvent été question, en Alchimie, de « Transmutation »
Au départ, l’idée est de s’instruire sur la composition secrète des éléments qui constituent les matériaux inanimés, ceci afin de devenir un jour capable de transformer une matière vulgaire en une forme de matière beaucoup plus noble.
Un très grand nombre d’alchimistes du passé se serait damné pour réussir à transformer le plomb en or ! Oui mais voilà : ces fameux « alchimistes » n’était PAS de vrais Alchimistes (avec un « A » majuscule) mais… Des Souffleurs !

 

 

Pour les Initiés, le « souffleur » est celui qui n’est pas assez intelligent pour comprendre la vérité et qui prend le symbole pour ce qu’il désigne.
C’est celui qui retient la lettre et non l’esprit.
TOUS les alchimistes qui désiraient, désirent encore et désireront plus tard transformer le plomb en or sont des abrutis qui ne comprennent absolument rien à l’Art et à la Beauté véritables. Désolé de me montrer aussi virulent mais il fallait bien que quelqu’un le leur annonce !
Ces alchimistes du dimanche ne produisent que…Du vent ! Ils soufflent mais n’expriment rien d’autre que leurs vanités et leur soif de richesse et de pouvoir.
La véritable Alchimie est un Art.

La véritable Alchimie est un Art Mental !

 

L’Alchimiste véritable transforme le plomb de son âme en l’or de sa Conscience.
Les « métaux » sur lesquels il travaille se nomment « pensées », « émotions », »ego », « Moi-Idéalisé », « peur », « doutes » et « intellect », etc.
Pour donner un exemple concret, le fameux « Mercure » est en fait l’intellect humain, et non le liquide argenté que l’on trouve dans les thermomètres !
Mais loin de moi l’idée qu’il vous faille placer votre intellect au… Même endroit que vous placez habituellement votre thermomètre ! 😛

 

Les métaux vils sont tout ce qui pourrait alourdir l’homme et le tirer vers le bas. L’Or véritable se trouve en lui, telle une pépite grossière dans une gangue et qui ne demande qu’à être dégrossie.

 

Voici ce que dit à ce sujet le Kybalion qui, on devrait toujours s’en souvenir, n’a pas été écrit « hier », si vous voyez ce que je veux dire ^^ :

 

« Par suite, la « Transmutation Mentale » est l’art de changer, de transformer des états, des formes et des conditions mentales en d’autres conditions de nature différente.
Il vous est maintenant facile de comprendre que la Transmutation Mentale n’est que « l’Art de la Chimie Mentale », ou si vous préférez, une forme de Psychologie Mystique pratique. »

 

 

Si vous remplacez le mot « Mystique » par « Ésotérique », vous obtenez la version 2010 de ce texte. (Note : Cet article a été écrit il y a trois ans.)

 

Ainsi, l’Alchimie Mentale, qui est « l’Outil du Maître« , comme le disait le Grand Hermès, s’appuie sur les 7 principales Lois spirituelles pour fonctionner.
De fait, si on veut s’améliorer ou carrément « changer », on doit se servir de ces Lois, sinon, on n’y arrivera jamais.
De plus, l’emploie des Lois est la seule manière pour que notre être intérieur, notre Conscience Profonde, accepte de nous voir nous transformer en autre chose que ce qu’il avait préalablement suggéré.

 

Que voulez-vous, l’esprit est Joueur ! Osons dire qu’il conserve un esprit ouvert et que s’il nous voit nous servir de ses Lois pour nous transformer, il nous laissera faire et nous observera d’un air curieux et attentif pour voir où nous désirons en arriver.

Évidemment, certains vont hurler et dire :

 

« Mais, mais, mais !… Et la volonté de Dieu, Bordel ? »

(oui, les gens qui bégaient sont souvent grossiers ^^)

Eh bien quoi, la Volonté de Dieu ? Sa Volonté se résume à Ses Lois, je vous ferais remarquer, et non à un vulgaire « Fais ceci et non cela » plutôt réservé à nos curés et à ceux qui cherchent à conditionner notre liberté pour nous conserver sous leur coupe.

Si vous employez les Lois ou les Principes pour obtenir ce que vous désirez, vous faites la Volonté de Dieu, point barre ! (Volonté = « Lois impersonnelles et incontournables en Action »)
A l’inverse, si vous désirez au petit bonheur et faites n’importe quoi, vous « violez la Volonté de Dieu » et vous en prenez plein la poire ! (lol)

 

Mais ce ne sera pas là l’œuvre de Dieu en vous mais de ses Lois, agissant d’une manière impersonnelle ou « aveugle« , comme on dit. Le Divin en nous encourage, aime mais n’agit pas directement sur nous, pour nous ou « contre nous. »

 

Toutefois, s’il voit que nous devenons intelligent (sic) et usons des Lois pour vivre en harmonie avec l’univers, alors il peut en effet nous envoyer de l’énergie ! Et même beaucoup d’énergie ! Et là, attention ça dégage violent ! (Dieu ne sait pas « faire sobre », que voulez-vous ^^)

 

Donc, la Transmutation, Art Royal par excellence, et qui consiste à transformer une chose « lourde » en son opposé, c’est à dire une chose « légère. »
Vous aurez compris que les fameux « métaux lourds » sont ceux qui construisent nos pensées les plus merd… grossières (lol), tandis que l’or et les pierres précieuses sont les pensées les plus élevées, chatoyantes et belles de l’humanité.

 

Et le Kybalion nous enseigne que c’est en nous concentrant sur le pôle opposé d’une condition quelconque que nous pouvons la transformer en son contraire (ou pôle opposé.) Il ne faut surtout pas « méditer sur les métaux vils » et encore moins se concentrer sur eux car l’énergie suit l’attention mentale.

Il faut au contraire se polariser fermement sur le pôle qui nous intéresse, c’est à dire celui qui manifeste la qualité ou condition contraire (ou opposée) et qui est recherchée. Je ne saurais trop vous recommander de lire le chapitre trois du Kybalion en concordance avec le contenu de cet article.

 

Note importante au lecteur : Durant toute la durée du présent Dossier et à tout moment de votre choix, vous pourrez revenir en arrière et reprendre (on dit « remonter ») ses autres articles et ce, quels qu’ils soient.
Ce qui sera d’ailleurs une bonne chose pour les futurs lecteurs qui viendront sur ce Blog et prendront le sujet en cours de route.

 

Je me ferais un plaisir de revenir en arrière et répondre à toutes les questions, même dans les prochaines années !

 

A présent, je vous invite à poser toutes les questions de votre choix ou même à donner votre avis, voire émettre quelque critique bien senti au sujet de ma manière de traiter certains sujet avec une « virilité » pouvant choquer certaines personnes.

 

LIRE LE PROCHAIN ARTICLE DE CE MÊME DOSSIER ? Cliquer ICI

 

 

 

 

Dossier – Les fondements de la science hermétique – Chapitre 3

Chapitre 3 : Présentation des sept Principes Hermétiques

 

Dans ce troisième chapitre, je me bornerai à vous présenter les Principes Hermétiques en tant que tout harmonieux, c’est à dire en tant que Lois Cosmiques principales, pouvant aussi bien intéresser les Planètes et les systèmes solaires que l’homme sur cette Terre.

 

Commençons par lister ces sept Principes :

 

      1. Le Principe de Mentalisme.
      2. Le Principe de Correspondance.
      3. Le Principe de Vibration.
      4. Le Principe de Polarité.
      5. Le Principe de Rythme.
      6. Le Principe de Cause et d’Effet.
      7. Le Principe de Genre.

Essayons de définir, ensemble, ce que sont vraiment ces Principes, en quoi ils peuvent nous concerner ou justifier une telle étude minutieuse s’étendant sur quelques jours (pour ne pas se mettre la pression inutilement non plus, ce serait idiot de notre part.)

 
Tout d’abord, est-ce que ces sept Principes nous concernent ?
Réponse : oui, bien évidemment car c’est sur eux que se base l’esprit pour fonctionner ! Excusez du peu !
Ce qui conditionne le « grand » doit nécessairement conditionner le « petit » ou, pour prendre un exemple, si une loi concerne un pays, alors cette loi concerne également chacun de ses habitants.

 
Cela est et doit demeurer simple à concevoir.
Question : est-ce que la connaissance de ces Principes pourra nous permettre de mieux vivre, voire de « maîtriser notre vie« , comme certains affirment que l’on peut le faire ?

 
Réponse : pour être à la fois honnête envers vous et raisonnable, je dirai que dans un premier temps, connaître ces Principes ou « Lois » vous permettra surtout de ne plus tenter vainement de les violer !
En fait, la plupart des gens viole les Lois du fonctionnement de l’esprit (que les hermétistes appelaient « Lois Cosmiques » ou les 7 Principes Hermétiques) sans même le réaliser ! Mais l’ignorance de la Loi ne place pas à l’abri des représailles si nous commettons l’erreur grossière de la violer, même sans en être conscient.

 

Par exemple, et même s’il est inconscient de la Loi de Gravité, l’enfant qui se jette par la fenêtre d’un dixième étage va se tuer aussi immanquablement que l’adulte qui serait instruit de cette même Loi.
Nombreux sont les gens qui se plaignent en s’écriant :

 

« Mais qu’est-ce que j’ai fais au Bon Dieu pour mériter ça ? »
D’autres s’imaginent être « maudits », « possédés » ou faire l’objet d’un travail psychique négatif à distance :

« Je suis sur que l’on m’a jeté un sort ! »
En fait, et dans la plupart des cas, ni Dieu ni l’homme ne sont responsables de nos malheurs. Et encore moins le Diable ! Quoiqu’il puisse nous arriver de fâcheux, d’un point de vue psychologique, c’est toujours à la suite de la violation d’une quelconque Loi que nous subissons les conséquences de notre… Inconséquence !
Même les évènement dramatiques qui sont censés « nous enseigner », ne nous arriveraient pas si nous étions déjà instruits, c’est évident. Moralité, pour vivre heureux et en paix, il faut s’en donner les moyens. Et c’est justement ce que nous commençons à faire ici et ensemble.
Il faut être inconséquent pour accepter la seule idée de vivre dans un monde et s’y manifester sans en connaître les lois et règles les plus élémentaires !
Dans certains pays, se lever de table tandis que l’on y est en groupe pour aller boire son café en regardant par la fenêtre, est considéré comme un affront.

 

Au Japon, la meilleure manière d’honorer une vielle famille amoureuse des coutumes, durant le thé, c’est de se lever et d’aller poser respectueusement sa tasse de thé sur l’Autel des ancêtres qui se trouve dans presque toutes les demeures des personnes âgées (une autre tasse de thé est prévue et offerte ensuite)

 

Comme on peut le constater, lorsqu’on vit quelque part, il est plus intelligent de connaître les us et coutumes pour ne pas passer pour un paysan de l’esprit et s’attirer quelques solides déconvenues !
De même est-il vivement conseillé de connaître les Lois et les Principes qui régissent le fonctionnement de l’esprit, de NOTRE esprit !

 

Dans le cas contraire, l’ensemble de notre vie ressemblera à une partie de dès.
Avez-vous envie de vivre chaque jour en tirant à pile ou face pour savoir si cette journée ci sera merdique ou bien formidable ? Moi non !

 

Imaginez-vous le mécano qui, pour réparer sa voiture, s’amuserait à démonter des pièces au hasard pour voir l’effet que ça fait ? Même pour cuisiner il nous faut connaître un minimum de lois scientifiques. Il n’existe pas de métiers dignes de ce nom qui ne possède ces propres règles, lois ou principes.

 

Tout, absolument tout, dans l’univers -visible et invisible- tombe sous le coup des Lois Spirituelles (ou Principes, c’est pareil) Il n’existe pas une seule manifestation de l’esprit, aussi modeste ou insignifiante soit-elle, qui se produise « au petit bonheur la chance. »

 

Tout dépend de Lois, tout est mathématiquement agencé et une Loi a pour règle absolue de ne jamais varier. Connaître les Lois Spirituelles revient donc à connaître la seule chose qui ne varie ou ne change jamais !

Voilà bien un savoir utile, non ?

 

Du coup, celui qui connaît les Lois Spirituelles ainsi que quelques lois secondaires (ou dites « de l’âme » = « engendrées par l’homme« ) se place dans la position enviable de celui ou de celle qui ne fera jamais plus de d’erreur de jugement, du moins sans en connaître le prix et au préalable.

 

Cesser de vivre en aveugle dans un monde sans lumière est le premier effet probant de l’étude hermétique. Sans doute n’existe-t-il pas de sujet plus passionnant et plus valorisant que cette étude là : comment tout l’univers ainsi que les Dieux fonctionnent !

 

Bien sur, comme dans tout ce qui fait intervenir l’être humain, il a existé des rigolos pour faire passer l’idée absurde que de la connaissance des Lois Divines permet de s’assurer la mainmise sur le monde et sur les autres individus…
Cette idée de tout contrôler et, en particulier son prochain, découle bien évidemment d’une peur immense de vivre et d’affronter une éventuelle adversité.

 

Tout ce que je puis vous assurer, à ce point de notre Dossier, c’est que si vous réussissez à connaître les Lois au point de ne plus commettre les erreurs grossières qui, jadis, vous ont coûté milles souffrances, alors vous possèderez déjà un savoir et un « pouvoir » immenses qui deviendront l’antichambre d’un Bonheur véritable ! Il existe pire comme destinée immédiate, je dirais…

 

Pour ce qui est de contrôler l’univers et lui imposer votre volonté, disons qu’il vous faudra un peu plus de temps ! :kingue:

 

Je vous laisse à présent réagir et apporter votre très appréciée participation à ce début de Dossier.

 

N’oubliez-pas que sans votre participation, tout ceci ne restera que du verbiage sans importance.

 

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Dossier – Les fondements de la science hermétique – Chapitre 2

Chapitre 2 : Le Kybalion, le Livre et son contenu

 

 

Note importante pour les lecteurs de cet article :

Il est évident que je ne saurais trop conseiller au lecteur de cet article et qui désire participer activement par ses commentaires et ses questions, de se procurer sans tarder le livre en question (le Kybalion.)

Il serait toutefois utile de l’avertir que cet ouvrage est souvent épuisé et que la maison d’édition responsable de sa diffusion nous la joue un peu « Ce qui est rare est nécessairement meilleur », si vous voyez ce que je veux dire !

 

Il est donc très dur d’en trouver sur le marché du neuf et même de l’occasion car les heureux possesseur de ce livre n’ont guère envie de s’en séparer.

Ainsi, et bien que je ne devrais sans doute pas aborder ici la question, certains ésotéristes ont décidé qu’il n’était pas acceptable de devoir encore cavaler derrière un livre de cette envergure en nos années 2013 et plus, et ont décidé d’en scanner le contenu et de le mettre gratuitement en libre circulation sur internet.

 

Pour eux, la chose ne s’apparente pas à du « piratage » mais en un moyen de rendre accessible à tous un des quelques (rares) trésors initiatiques de l’humanité.

Le jour où les éditeurs comprendront l’intérêt qu’ils auraient à augmenter le nombre successif de leurs rééditions, je suis absolument persuadé que les téléchargements « illicites » de ce bouquin, cesseront du même coup.

Après, à chacun de se positionner et de voir, en mon commentaire, quelque chose de rationnel et de logique basé sur la nécessité du partage intelligent ou bien une « incitation à la délinquance » sur Internet (sic)

Pour les premiers, tapez simplement « Le Kybalion en pdf » sur le moteur Google et vous trouverez au moins des extraits de l’ouvrage.

 

*******

 

 

Quelques mots d’introduction sur ce livre étonnant, puisque ce Dossier sur l’Hermétisme s’en inspirera comme support principal, du moins au départ.
Vous remarquerez que ce livre est signé « Trois Initiés. » Cela démontre que les auteurs ne désiraient pas vraiment se faire connaître, favorisant le message et faisant passer au second plan les messagers. Cette façon de procéder était jadis typique des Hermétistes.

 

 

Nous savons aujourd’hui que ce livre n’aurait jamais vu le jour sans le concourt du célèbre Maître psychiste Américain W.W. Atkinson.
Mais peu importe le ou les auteurs, seul compte le contenu de cet ouvrage.
Bien entendu, il n’est pas question pour nous de nous borner à lire ce dernier puis à le commenter « en l’état » !

 
Notre but n’est pas de « faire avec l’ancien » (l’ambiance générale de ce livre, typique de son époque) mais de s’en inspirer pour notre étude présente.
En fait, seuls les énoncés des Principes Hermétiques et quelques-uns de leur développements nous serons vraiment utiles. Vous pouvez laisser le reste de côté, si le style vous agace car par certains côtés, il peut en effet agacer le lecteur ponctuel plus soucieux de juger que de comprendre.

Les temps changent et même si la Connaissance demeure « Une et Indivisible« , la manière de la formuler doit s’adapter aux époques, aux mentalités et aux mœurs. C’est exactement ce que nous allons faire ici, dans les différents chapitre de ce Dossier.

Nous n’allons pas « réécrire l’Hermétisme« , nous allons l’adapter à nous, le faire notre pour aujourd’hui. Tout comme une certaine »Lætitia » et son polisson de compagnon (votre serviteur) ont « adapté et retraduit » une partie de l’enseignement du Shivaïsme du Cachemire et celui des psychologues ésotéristes du passé dans le but de lancer l’Association Culturelle Psukelogos, de même, nous allons adapter et retraduire ensemble l’enseignement hermétique de base et le rendre à nouveau « buvable » pour nos contemporains. L’idée vous semble-t-elle séduisante ?

« OK ! Cela à l’air cool« , direz-vous, « mais comment allons-nous faire, dans la pratique ? »

C’est très simple…

 

 

Vous aurez remarqué que nous sommes non pas dans une simple article ordinaire mais dans un DOSSIER. Nous sommes ici pour travailler ensemble et sous la direction bienveillante de votre serviteur et auteur.

 

Que diriez-vous de participer activement par vos questions, vos commentaires et vos idées personnelles, cela dans le but que ce Dossier se transforme en une sorte de « Wiki de l’Hermétisme » ? Le but n’est pas de réinventer les lois et les principes du fonctionnement de l’esprit, bien évidemment mais plutôt de les rendre plus accessibles à notre esprit occidental qui révèle un puissant et urgent de SIMPLIFIER son existence et tout ce qui la meuble.

 

 

De plus, cela pourrait permettre à quelques-uns d’entre nous d’extraire quelques temps leur attention mentale de leur petit nombril (lol) et de l’orienter fermement sur l’idée inspirante du PARTAGE. Du vrai Partage, pas de celui qui se dit avec la bouche mais qui n’a jamais le temps de descendre s’installer dans le coeur.

 

Laissons cela à certains forums dont les membres passent le plus clair de leur temps de libre à s’entre-masturber avec de belles phrases toutes faites et autre lieux communs de la spiritualité dont ils n’incarneront jamais le contenu.
En avez-vous assez des vieux grimoires aussi antiques que poussiéreux ?
En avez-vous assez de ces ouvrages moyenâgeux qui sentent le souffre et la sorcière cuite à point ? (lol)

 

Et que dire de cette protubérance intellectuelle qu’est « la Kabbale » ! (Et de ceux qui font mine d’y comprendre un traitre mot !)
Les temps ne sont plus propices à la masturbation intellectuelle, à l’étude de ce qui ne sert à rien dans notre vie de tous les jours, si ce n’est à se faire mousser en société, durant quelque soirée mondaine et auprès de collègues supposés plus ignorants.

Sachez qu’il existe aussi un ésotérisme qui sert à quelque chose !

 

 

A quelque chose d’autre que d’accumuler un savoir aussi inutile que suranné.
J’affirme qu’il est possible d’étudier l’hermétisme et l’ésotérisme des origines et… de comprendre tout ce qu’on lit !  :lol:
Non seulement de le comprendre mais aussi de pouvoir clairement l’expliquer ensuite à nos proches (parents, enfants, amis) et, pourquoi pas, à nos collègues de bureau.

 

Chacun de nous sait que nos collègues de bureau ou de travail sont tous des hermétistes… à leur manière !  :rire:
Le prochain chapitre de ce dossier (N°3) présentera succinctement les sept principes hermétiques que tout ésotériste avéré ou débutant devrait connaître et maîtriser, du moins intellectuellement.

 

J’aimerais que des débutants en ce genre d’étude se joignent à moi et m’aident à prouver que rien n’est plus facile que de rendre la connaissance ésotérique accessible à tous. Mais avant cela, ces lecteurs et participants actifs à ce Dossier doivent me faire une promesse ! La promesse de m’aider à les aider à comprendre !
Vous, lecteurs assidus ou très ponctuel de mes écrits, que ce soit sur mes forums, depuis sept ans, sur mes sites ou bien au travers de mes ouvrages qui se promènent un peu de partout sur internet (lol), vous qui croyez encore ignorer tout de l’esprit, vous devez m’aider par votre participation active, par vos commentaires et par vos questions. Vous devez m’aider à vous prouver l’inverse de ce que vous croyez de négatif et de limitatif à votre propos.

 

 

Si vous avez à coeur d’avouer franchement votre ignorance actuelle et supposée, je me fait fort de vous prouver l’existence d’un savoir atavique et avéré  qui sommeille en vous ! Qui sommeille en vous et à votre insu, bien évidemment. Sachez qu’il n’y a pas que la maladie qui est capable de nous ronger de l’intérieur sans que nous le sachions. Le Savoir désire s’exprimer aussi mais lui ne nous rendra jamais malade.
Il est évident, pour moi, que sans votre participation, je ne serais pas capable de RÉPONDRE à vos attentes. En effet, comment saurais-je que ce que je vous propose ici est simple et clair ou si je ne fais, à l’instar de mes distingués mais infortunés prédécesseurs, que pondre une suite de verbiage incompréhensible et soit- disant « réservé à une élite » ?Il est temps de faire savoir aux dinosaures de la spiritualité que le temps des « rares initiés » est révolu !

 

A présent, tout le monde peut savoir, tout le monde peut apprendre à se connaître et à « S’avoir« , c’est à dire à se posséder lui-même au lieu de dépendre des uns et des autres pour vivre et exister.

 

 

Toutefois, si vous voulez que tout soit clair, n’hésitez pas à venir m’éclairer tout d’abord de vos lumières : jouez plumes et claviers ! Offrez-moi vos questions afin que je puisse vous démontrer que les réponses demeuraient déjà en vous, n’attendant que votre désir de les questionner, en se servant de l’extérieur (et de cet auteur) comme d’une simple excuse, comme d’un modeste détonateur (ou révélateur si vous craignez le bruit ! lol)

 

 

Croyez-vous réellement qu’il puisse vous manquer énormément de choses pour devenir de véritables hermétistes modernes ? La connaissance qui vous manque encore n’est qu’une excuse si vous ne connaissez pas LE DÉSIR d’apprendre.

Si vous allumez une chandelle au lieu de maudire l’obscurité, vous œuvrerez alors en parfaite syntonie avec ce que vous prêchez sans doute et par ailleurs.

 

 

Je vous assure que cette ignorance que vous croyez subir, est actuellement votre plus grand trésor. C’est pour cela qu’elle m’est précieuse car il me faut encore apprendre comment vous transmettre ce que je sais.

 

Vous le transmettre d’une manière qui soit faite pour vous, qui soit « à vous » et non d’une manière qui soit faite pour moi ou qui soit « à moi. »
Comprenez-vous le sens exact et profond de ces paroles écrites ?
Si oui, c’est parti !

 

 

Nous allons refaire -non pas le monde- mais, plus prosaïquement, un hermétisme à notre mesure et l’adapter sans pour autant en trahir l’esprit.

Et cela commence dès que j’aurais placé le prochain chapitre de ce Dossier sur ce support virtuel mais Ô, combien riche en expériences et émotions !

 

Bien à vous 😀

 

 

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Hier chez les Atlans

Nota : Ce dossier présente une série de textes qui, à l’origine, n’étaient prévus que pour les membres du forum d’une association culturelle présidée par mon épouse, Lætitia. Avec le temps, il apparaît comme évident que son contenu pourrait, peu ou prou, intéresser aussi certaines personnes complètement étrangères à cette association ainsi qu’à son esprit. C‘est en ce sens que cette série de texte rassemblée et présentée sous la forme compacte d’un dossier est portée à la connaissance du public. Le fait que ces textes soient prévus pour un public restreint et, en particulier, pour des personnes qui se connaissent personnellement et physiquement, explique le ton badin voire carrément décontracté employé ici. J’ai préféré courir le risque d’un peu choquer le lecteur par trop conservateur plutôt que d’en remanier la forme ainsi que la texture. A chacun de réagir selon ses propres limites et, pourquoi pas, d’en tirer des conclusions personnelles qui s’imposent !


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Comme je le présentais déjà, il y a quelques années en arrière à quelques uns qui me connaissent depuis longtemps, en Atlantide, il n’y avait pas deux clans ou deux factions, au moment de sa chute, mais bien trois. D’ailleurs, il est IMPOSSIBLE à l’homme d’être soit tout blanc, soit tout noir, et l’idée même qu’il puissent y avoir « des gentils » et des « gros vilains » en place, à l’époque de la chute, démontre le côté naïf voire pudique de certains visionnaires qui décidèrent à un moment de notre histoire, de nous livrer un pan ou un autre de l’épopée Atlante. Sachez que nous nous retrouvons de nouveau dans la même « atmosphère psychologique » que du temps de l’Atlantide et que presque tous les acteurs de ces temps jadis sont désormais incarnés et… en place (connus du public, actifs, même si certains sont encore jeunes.)

Bien sur, les conditions sociales et technologiques sont un peu différentes; les divers gouvernements ont largement abusé de leur influence sur la masse et qu’ils ont fait en sorte que, d’un point de vue technologique et social, nous soyons un peu en retard. Mais aucun gouvernement, occulte ou déclaré, n’avait le pouvoir d’empêcher qu’une chose se produise à l’instant « T » : c’est le climat psychologique (comment se sentent les gens, leurs réactions et leur état d’esprit général.) Le vrai pouvoir est de nature psychologique et, cette fois ci, il n’a pas été laissé entre les mains inexpérimentées des hommes mais entre celles de leurs Frères Ainés.

Or donc, en Atlantide, et dans la quatrième période, il se forma des factions, c’est à dire que le peuple pris comme un tout et jusque là soudé, se divisa progressivement en plusieurs factions ennemies ou, pour le moins, qui ne se côtoyaient guère et si ce n’est avec la plus grande prudence. Il n’était alors plus question de « bas peuple », de magistrature, de science, de religion et de noblesse (comme se fut le cas à un moment) mais bien de « fidèles à la Loi » « d’enfants rebelles » « de frères du loup », etc. Je sais bien que certains ont écrit sur ce sujet, qu’ils ont proposé des noms tels que « Fils de la Loi de Un » et « Enfants de Bélial », par exemple. Mais il n’y avait PAS seulement deux factions mais TROIS et, en fait, il y en avait bien plus que cela, car chacun des trois camps principaux, se scindaient eux-mêmes en plusieurs sous-camps. Peu d’âmes étaient alors capables de se montrer soudées et honnêtes, même envers leur propre groupe (on retrouve cela à notre époque, ouvrez bien les n’oeils !)

J’ai proposé moi-même, il y a de nombreuses années, des appellations un peu différentes, non pas parce que j’adore faire du zèle mais parce que j’adore rattacher les mots au pouvoir (Matrika Shakti) qui les a fait naître. Ainsi, comme les Atlantes adorèrent « Adon-Inca » (le Seigneur Incréé) à une époque, au lieu de « Fils de la Loi de Un », je préfère dire quand à moi « Fils d’Adon-Inca » et au lieu de « Enfants de Bélial », je préfère proposer « Enfant de Belzatl » qui signifie en atlante « qui demeure fidèle aux mouvances de ses émotions » (la racine « Atl« , en Atlante, a le même sens qu’en Quiché (Maya) et en Berbère (Arabe), c’est à dire « Eau » et « Belz » = « remuer, foncer, mouvances désordonnées », etc. en Atlante) Donc, parmi les Fils d’Adon-Inca, il y avait déjà plusieurs factions car même les plus brillantes particules qui forment la Lumière ne sont pas toujours d’accord entre elles, quant à savoir quand il faut briller, combien de temps et… Avec qui, surtout ! Sans rentrer dans des détails politico-religieux, disons que les uns affirmaient péremptoirement qu’il fallait aider les plus c… euh… les moins évolués (lol) tandis que les autres étaient persuadés que d’instruire les cons, ça les rend plus cons encore !

L’idée n’est pas de savoir qui avait tort ou raison, qui était un enc… euh.. un radin et qui était dégoulinant d’amour jusque dans son slip. L’idée qui nous intéresse ici, d’un point de vue psychologique, c’est que même les Maîtres de l’époque et à ce moment de l’histoire de l’humanité, n’étaient pas d’accord entre eux. Ils ne se disputaient pas, certes, mais leurs avis divergeaient parfois énormément, ce qui pourra déjà surprendre et en faire réfléchir quelques-uns. Suite dans un autre post, pour ne pas alourdir, mais j’attends d’abord vos réactions avant d’écrire la suite car, croyez-moi, ce sujet est TRÈS lourd de réflexion et de découvertes étonnantes sur soi-même !
(Pour le voisin, on verra plus tard, hein !)

 

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Or donc, en Atlantide, dans la quatrième et dernière période, il y avait plusieurs factions qui se disputaient plus ou moins le droit de gérer certains conflits internes. A notre époque, nous parlerions presque de « guerre civile », mais il ne s’agissait pas vraiment d’une guerre dans le sens où nous l’entendons de nos jours mais plutôt d’un climat tendu. Depuis de nombreuses années, les Maîtres n’avaient plus qu’un pouvoir purement consultatif, au niveau des trois grands blocs qui se partageaient un « pouvoir » plus illusoire que réel : le Royaume, l’Armée et le Commerce (en fait, l’industrie de la mer.) Le Royaume était constitué du premier Atlan (Roi) et de tous les membres de la Cour Royale. Le Royaume était un peu comparable à la royauté en Angleterre : ce n’était pas une monarchie à proprement parler, mais plutôt une forme de tradition conservée plus par habitude que par réelle nécessité ou envie.

Le Roi était bien plus respecté que aimé, certes, mais de toutes façons, il ne s’occupait guère de gérer les affaires du royaume. Pour cela, il y avait une sorte de Haut Conseil formé de douze personnes, chacune à la tête d’une sorte de ministère formé de douze autres personnes (ce qui faisait 144 personnes, notez le nombre.) Le Haut Conseil n’était pas vraiment formé de « ministres » mais de sortes de personnages qui étonneraient, de nos jours, car ils étaient à la fois prêtres, scientifiques, médecins et avocats ! Le mode de fonctionnement de ce Conseil de sages (qui ne l’étaient plus guère), posait plus de problèmes qu’il n’apportait de solutions, car pour qu’une décision soit prise, il fallait qu’une cellule de douze ministres étudient un problème puis donne le résultat de son travail d’équipe à un membre du Haut Conseil. Ce dernier soumettait alors le fruit du labeur de ses ministres et le tout était soumis à vote, par exemple les soirs où la lune était « vide »

Inutile de dire que cette tentative de démocratisation du pouvoir par des représentants du peuple, paralysait la bonne marche du royaume, car il fallait parfois des mois pour que les hiérarques du haut Conseil réussissent à tomber d’accord. Et pour qu’une solution soit retenue, il fallait un vote… à l’unanimité, ce qui n’était presque jamais le cas ! Ensuite venait les pontes du Commerce et de l’industrie de la mer qui, selon certaines mauvaises langues, détenaient le véritable pouvoir temporel, cela grâce à une alliance officieuse (mais avérée) avec l’Armée. Les personnes qui siégeaient au Commerce avaient surtout à cœur non pas de faire prospérer le royaume mais surtout, de faire prospérer leurs propres bourses et assoir chaque jour un peu plus leur pouvoir temporel.
Il est vrai qu’en ce temps reculé, maîtriser l’industrie de la mer revenait à avoir la main-mise sur le monde et tous ceux qui l’habitent.

Ensuite venait l’Armée et, ma foi, il me semble inutile d’expliquer à quoi sert une armée et comment elle fonctionne, puisque cela n’a pas varié depuis des millénaires. Sauf que cette armée là n’était plus occupée à se battre mais à faire carrière dans la politique et à fomenter intrigues et complots en tous genres.
L’armée n’était pas sous le contrôle du Royaume (le premier Atlan ou Roi) mais sous celui de quelques membres du Haut Conseil qui, depuis belle lurette, avaient pris l’habitude de se passer du suffrage universel pour prendre quelques viriles décisions, s’imposant pour conserver le pouvoir et s’enrichir un peu plus, et ce, en bonne intelligence avec le Commerce et l’Industrie de la mer. C’est pour un peu vous camper le décors que je vous raconte ces choses qui, bien que secondaires, permettent de se faire une petite idée du climat quelques temps avant la chute. Et les Maîtres, dans tout cela ?

Un des ministères du Haut Conseil avait pour charge d’encourager la recherche dans tous les domaines, y compris ceux que nous qualifierions, aujourd’hui, de « cosmo-physique » (je ne trouve pas d’autres termes modernes, désolé.)
Les Atlantes étaient très avancés en matière de « philosophie cosmique » et c’est depuis belle lurette que les religions, telles que nous les concevons encore de nos jours, avaient été supprimées au profit d’une sorte de mélange entre l’astrophysique et le mysticisme. (à ce titre, Hubert Reeves n’est pas un précurseur mais quelqu’un qui perpétue une très ancienne tendance, sans même s’en douter !) Cette « cosmo-physique », alliant recherche spirituelle et maîtrise des lois universelles, commençait à prendre une tournure qui laissait dubitatifs les Maîtres de l’époque. En effet, tandis que ces derniers recommandaient un développement moral et psychologique devant aller de pair avec une augmentation du pouvoir personnel (psychique et mental), certains « avant-gardistes » affirmaient haut et fort que « la prise de conscience de certaines valeurs vient du pouvoir, et non l’inverse. »

En clair, tandis que les Maîtres recommandaient à leurs contemporains de muscler leur âme au lieu de briguer le pouvoir spirituel et temporel, d’autres commençaient à émettre l’idée qu’après les diverses religions et philosophies, il était sans doute temps de mettre au placard l’enseignement des « Frères du Silence », comme on appelait alors les Maîtres. Enseignement qui était jugé par beaucoup comme étant rétrograde et indigne d’une personne libre et consciente de sa valeur.

C’est à ce moment que se détachèrent les deux factions qui ont été retenues par l’histoire ésotérique, à savoir celles des « Fils d’Adon-Inca » et des « Enfants de Belzatl. » C’est du moins l’appellation retenue par les psy éso et qui est non officielle. D’autres préfèreront dire « Fils de la Loi de Un » et « Enfants de Bélial ».

L’enseignement des Frères du Silence dispensé depuis des générations avec largesse, était pour ainsi dire tombé dans le domaine public. Imaginez que l’on enseigne l’ésotérisme aux enfants, à l’école et ce, dès les classes préparatoires, par exemple. Toutefois, les Frères conservaient encore quelques menus secrets ésotériques qu’ils réservaient prudemment à leur élèves les plus sincères et zélés. Voilà qui n’était pas du gout des Enfants de Belzatl qui trouvaient injuste de devoir travailler dur sur eux-mêmes afin de se développer psychiquement, alors qu’il était clair qu’il était possible de gagner plusieurs années de labeur, simplement en connaissant certains secrets réservés à ceux qui étaient considérés comme « les larbins des Maîtres. »

Cet état d’esprit marqua très fortement l’inconscient collectif, cela au point que des milliers d’années plus tard, on le retrouve encore et largement répandu. En résumé, il consiste à désirer obtenir sans effort la même chose que possèdent ceux qui ont bossé dur pour l’obtenir, et si cela n’est pas possible, de priver ceux qui détiennent cette chose, pour les remettre au même niveau que ceux qui ne possèdent pas encore…. Vous reconnaissez quelques proches et « amis » ? (lol)

 

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La connaissance qui était diffusée depuis des siècles dans les universités atlantes était d’assez haut niveau, sans toutefois excéder un certain niveau de sécurité qui était imposé par les Grands Maîtres, non incarnés à cette époque, mais en contact télépathique quasi permanent avec les Maîtres. La Loi Atlante laissait beaucoup de liberté à tout le monde, même à ceux qui ne faisaient que des conneries avec cette même liberté. L’idée était que personne ne peut devenir responsable de sa vie et de sa relation à autrui s’il existe trop d’instances, au-dessus de lui, pour régenter cette vie et ces relations à autrui.

J’ai dis que la connaissance initiatique avait atteint un très bon niveau, mais les Maîtres se réservaient le droit d’offrir à qui ils jugeaient bon, un enseignement plus « pointu » encore… Dans celui-ci, il était offert aux élèves les plus responsables et avancés, l’occasion de tester directement et « en live » quelques-uns des hauts pouvoirs spirituels ou « psychiques. » Les Maîtres décidaient de qui était prêt ou non en fonction du degré d’écoute, de responsabilité et, surtout, du travail effectué sur soi pour progresser. A un moment, les Maîtres eurent l’occasion unique de démontrer, d’une manière à la fois pratique et magistrale, le pouvoir de l’esprit sur la matière, la nature et les éléments… (Chose qui était théoriquement présenté aux élèves des universités, en même temps que les études d’ingénierie, de physique, de sociologie et d’industrie.)

Un des volcans d’une des sept iles se remit brusquement en éruption et menaçait de détruire des milliers d’habitations et de tuer toute forme de vie marine sur deux kilomètres de côte à la ronde… Les Maîtres demandèrent à la population de la capitale (Atlxanti) de se rassembler aux pieds de ce qui est l’actuel « Mont Pico » (archipel des Açores), c’est à dire sur la Grand Place ou trônait, voici plusieurs centaines d’années plus tôt, le Grand Temple de M… et son fameux Autel sacré sur lequel brulait une Flamme sans chaleur, à présent retirée par les Grands Hiérophante, quatre cents ans plus tôt, à la suite de la destruction du Temple et du meurtre de l’un des derniers Incala (Grand-Prêtre) vraiment initiés. (Nous aurons à en reparler une autre fois, les Atlantes n’en étaient pas à une connerie près ! )

Donc, une fois la populace rassemblée là (et non avertie de ce qu’on attendait d’elle), les Maîtres demandèrent à quelques-uns de leurs meilleurs disciples, de bien vouloir s’assoir, de se bander les yeux et les oreilles afin de mieux pouvoir se concentrer, puis de visualiser l’intérieur du Volcan et de demander à l’esprit qui compose la matière de bien vouloir cesser ces enfantillages (lol) et de tout remettre en ordre comme au départ. Les Maîtres précisèrent qu’ils avaient le plein accord des Grands Hiérophantes (ceux que nous appelons « Grands Maîtres »), ce dont la foule se foutait pas mal, vu que la plupart des Atlantes n’avaient plus aucune idée de ce que pouvaient être ces fameux « Hiérophantes » ou même quel était leur rôle exact (ou s’ils existaient seulement ! ) En réalité, les gens avaient surtout du mal à comprendre qui étaient les Maîtres, ce qu’ils foutaient là et pourquoi ils avaient tant d’idées à la con, impossibles à incarner lorsqu’on est un homme digne de ce nom…

Donc, les Maîtres réclamèrent le silence, et quelques Ministres du Commerce et de l’Industrie firent des signes discrets à la foule qui décida de tenir compte de « l’intérêt du pouvoir en place » à la simple présence intrigante de ces fameux Maîtres… Aussitôt, l’atmosphère changea et devint différente, comme alourdie.
Les oiseaux cessèrent de chanter, les animaux se tinrent immobiles et quelques chiens pourtant joueurs se mirent même à trembler sur place en gémissant doucement. La foule senti que quelque chose se passait de pas commun et prêta alors plus attention au petit manège des 23 individus assis apparemment comme des cons sur la mosaïque artistiquement posée de la Grand Place.

Un des Maîtres demanda si quelques-uns ne ressentaient pas une pression inhabituelle au niveau des oreilles ou au sommet du crâne, ce à quoi plusieurs parmi la foule répondirent discrètement par l’affirmative. Puis un des disciples ôta son bandeau, se dressa souplement, ses 22 autres collègues en firent de même et tous se dispersèrent dans la foule sans émettre le moindre commentaire ni faire le moindre signe à leurs compagnons. Le lendemain, la Citée d’Atlxanti fut informée que l’activité du volcan avait brusquement cessée, à des dizaines de kilomètres de là, et que plus aucune secousse, plus aucune fumée ne s’était manifestée depuis plusieurs heures… Cette nouvelle eut l’effet d’un coup de tonnerre. Il est clair, vu depuis notre époque, que l’effet obtenu alors fut bien plus étendu (et inattendu) que ce que les plus expérimentés et intelligents des Maîtres n’avaient pu le prévoir !

Quelques figures représentatives du peuple demandèrent qu’une cellule d’inspection soit rapidement formée pour définir le pouvoir exact que les Maitres avaient à leur disposition et, surtout, pour savoir dans quelle mesure certaines connaissances pourraient être conservées secrètes pour les yeux et les oreilles du commun, alors qu’apparemment, certains proches de ces Maîtres y avaient un droit de regard…

 

 

Ceux de l’Industrie et du Commerce avaient déjà et en quelque sorte le pouvoir, d’un point de vue social, mais ce pouvoir là n’était pas vraiment affirmé ni même ouvertement déclaré. En fait, les Notables du Conseil auraient bien voulu se débarrasser à la fois et du Roi, et du Collège des Maîtres.
L’armée ne posait pas de problème car, de toutes façon, les Atlantes étaient devenus un peu comme les Romains : décadents, gras du dedans et vivant sur le compte de leur réputation sans plus chercher à en démontrer le bien fondé.
L’armée était surtout une armée d’incapables qui ne pensait qu’à s’enrichir, se goinfrer, trousser de la gueuse et, surtout, faire une carrière politique rondement menée… Bref, vous voyez le tableau.

Bien sur, les Notables ne pouvaient pas directement s’attaquer au Roi et encore moins aux Maîtres, mais ils savaient que personne n’est immortel et inattaquable, que chacun possède des faiblesses et qu’il vient toujours un temps où il devient possible de renverser même les plus hautes montagnes.
(Notez bien cette phrase, elle résonne encore dans l’éther de la planète, douze mille années plus tard, je l’ai juste marquée en Français.)

Les Notables du Conseil étaient à la fois patients, raisonnables et à l’affût de la moindre occasion de se débarrasser, peu ou prou, de ces deux empêcheur de régner en rond qu’étaient « le Royaume » et ce que nous pourrions nommer « le Magistère » (le Collège des Maîtres dirigé par l’Incala.) Ce manège dura une soixantaine d’années, environ, et à l’époque qui nous intéresse ici, il n’y avait plus beaucoup de Maîtres en Atlantide (300, peut-être) et l’Incala savait qu’il serait le dernier de sa longue lignée.

Le Roi (qui portait un nom imprononçable pour nous, on va donc éviter de l’écrire !) était lui-même un « Frère du Silence », c’est à dire un de ces Maîtres qui, déçus par le manque de probité morale de leurs semblables, avaient décidé de ne plus instruire personne et de cacher son savoir et ses capacités hors du commun. (Ici, le mot « silence » signifie « cacher, ne plus révéler. ») Le Roi savait très bien ce qu’il se passait car il lisait dans le cœur de tous ses frères atlantes aussi bien que nous lorsque nous lisons la marque de la bière que nous buvons.
Mais son appartenance au Collège d’Adon-Inca, ainsi qu’à un autre beaucoup plus ancien et infiniment plus précieux à son cœur, lui interdisait d’intervenir dans les affaires de ses semblables.

Car il faut comprendre certaines choses pour être à même de juger sainement des actes et des non-actes des Maîtres du passé… Et nous allons devoir nous arrêter un moment sur ce sujet avant de pouvoir aller plus loin, car sinon, vous ne pourrez pas comprendre correctement la suite… D’ailleurs, même de véritables ésotéristes n’ont toujours pas compris, de nos jours, pourquoi certaines choses ont pu arriver malgré la présence lénifiante d’individus qui étaient capables de changer la face du monde s’ils l’avaient désiré…

 

Développement :

 

Au sujet du nom « Adon-Inca »… Cette racine « Inca » signifie à peu près « Incréé ». Un peu d’histoire politico-religieuse, même si je ne l’avais pas prévu dans ce topic ! Les Atlantes savaient depuis belle lurette et quasiment dès l’école préparatoire (ou assimilée de l’époque) qu’il n’existe pas de « Dieu » tels que certains cornichons modernes le supposent encore. Cela était si évident, pour les Atlans, que l’idée même de disserter sur le sujet, même par plaisir, aurait parut immédiatement suspecte. L’homme et la femme « moyens » savaient que « seul existe l’esprit » et que ce dernier est au service de la conscience individuelle, même si, fait amusant, c’est l’esprit qui, « dans son mouvement et dans son progrès éternel », donne vie, force et durée à toutes les individualités conscientes. Toutes naissent de l’esprit, aucune ne peut disparaître ensuite, et, bien évidemment, tous les êtres n’ont pas le même « âge », si on peut présenter l’enfant ainsi…

Donc, l’esprit était considéré comme une incroyable machine à engendrer la conscience d’être et d’exister. Mais tous savaient que « l’esprit ne veut rien et ne poursuit d’autre but que celui de bouger, de remuer sans cesse dans l’espoir de créer de nouvelles formes, de plus en plus complexes et capables, tôt ou tard, de manifester la conscience potentielle contenu dans l’esprit depuis toujours et à jamais. » Partant d’une telle prémisse, on peut facilement imaginer les innombrables débordements qui peuvent naître de cette prise de conscience que « rien n’est au-dessus de celui qui est conscient de sa propre divinité et de sa liberté sans limite »…

Comme la religion « n’accrochait » pas, chez les Atlans, cela à cause de leur culture et de leur degré d’intelligence (pour l’époque), il fallait bien créer des garde-fous afin que nul n’ait l’idée de prendre la place d’un Bon Dieu puisque cette dernière était apparemment vacante ! (En clair : pas de lois, pas de règles = c’est le bordel ! ) Pour notre mentalité actuelle, il est difficile d’imaginer ce qu’étaient les premiers « sages » qui eurent le rôle de Médiateurs entre le pouvoir illimité de l’esprit en chaque être, et sa propre capacité à l’assumer sans péter un câble ou sans se transformer en tyran spirituel absolu…

Imaginez des hommes et des femmes qui seraient à la fois des scientifiques, des médecins, des prêtres et des légistes, et vous aurez une vague idée de ce que furent les premiers Maîtres du Haut Conseil de l’Atlantide. Cette fonction quasi « sacerdotale » fut d’abord celle de vrais Maîtres qui, n’hésitons pas à l’avouer aujourd’hui, avaient surtout pour rôle de surveiller et d’intervenir sans se poser des questions existentielles, lorsqu’un individu commençait à partir en quenouille et à se prendre pour Napoléon ! Bref, les Maîtres du début ressemblaient plus à un tribunal sévère et attentif aux moindres déviations psychiques qu’à des instructeurs remplis d’amour et de compassion dégoulinante ! Ensuite, un certain équilibre fut atteint et « En Haut Lieu » on compris que de surveiller ainsi des êtres considérés comme des enfants jouant avec des mitraillettes chargées, ça n’allait pas le faire bien longtemps !

En effet, l’aventure humaine devait offrir un riche panel d’émotions, d’idées, d’actes et d’expériences vivantes en tout genre : une vraie responsabilité devait aller de pair avec un authentique liberté, fut-elle capable de raser tout un continent (sans commentaires ) en cas d’expression non contrôlée.
Il fut donc décidé de rendre « laïque » (façon de parler) le Collège de sages qui avait à charge ce qu’on pourrait considérer comme la somme de toutes les règles concernant la morale, l’éthique et l’économie de la vie. Rapidement, ce ne fut plus des Maîtres exclusivement qui siégeaient à ce Conseil, mais des hommes et des femmes « ordinaires » et pas nécessairement si initiés que cela.
Il fallait que « l’homme surveille l’homme avec le regard d’un homme et non celui d’un Dieu. » L’homme qui se dirige lui-même, se prend enfin en main et se prouve à lui-même, en son âme et conscience, qu’il est prêt ou non à se servir de toute la liberté spirituelle qui lui revient de droit…

Comment imaginer, à notre époque, que des Maîtres apparemment si intelligents et puissants, n’aient pas su, par avance, ce qui allait arriver, et comment imaginer qu’ils n’aient pas eu le pouvoir de l’empêcher ? En effet, c’est difficile de l’imaginer ! (lol) En fait, ils savaient pertinemment ce qu’il allait advenir de l’Atlantide. Et oui, ils avaient, même seulement à trois ou quatre cent, le pouvoir de tout arrêter, et même le pouvoir de transformer leurs semblables, même sans leur accord et même sans leur participation ! (ça vous la coupe, hein ?)

Les enc…. ! Me direz-vous, dans un élan viril d’émotion spontanée (lol)
C’est une façon de voir, oui Smile Pour tenter d’expliquer une chose qui ne plaira certainement pas à quelques-uns, parmi les plus émotifs (on va le dire ainsi, hein), je vais prendre l’exemple d’une mère qui adore ses deux enfants, cela au point de se soucier d’eux à chaque instant et de devancer tous leurs désirs et de faire disparaitre chaque problèmes qu’ils pourraient créer ou qu’on pourrait leur créer, cela avant même qu’ils ne soient eux-mêmes concernés par ces problèmes potentiels… Une telle mère serait assurément bénie entre toutes les femmes et considérée comme une sainte, non ? o_Ô
Pourtant son amour peut se transformer rapidement en une catastrophe pour ses deux enfants… A tel point que tous deux s’écrieront un jour et en chœur :

« Mamaaaaaaan ! Arrête de nous aider, de nous mâcher tous le travail et d’aplanir le chemin sous nos semelles, car tu es en train de faire durer, en nous, cette immaturité spirituelle et sociale propre aux enfants qui réclament, en effet, toute l’attention et la prévention d’une mère aimante ! Si tu nous aimes vraiment, lâche-nous la grappe et laisse-nous commettre nos propres erreurs, connaître nos propres réussites et, en clair, laisse-nous vivre enfin ! »

(Ils causent bien, les petiots, non ? Moi je dis… ^^)
Quand l’Âme humaine (cette conne) n’est pas occupée à vivre son incarnation, c’est à dire lorsque toute l’attention mentale individuelle n’est pas (ou plus) investie dans les choses de ce monde, elle est en contact permanent avec ceux que nous appelons les « Maîtres » et les « Grands Maîtres »… En contact même avec les Anges, Archanges et autres Principautés (Monaco mis à part, bien entendu.) Du coup, les Âmes humaines (ou Soi), c’est à dire ces anciens anges qui ont accepté de venir se fendre la poire au sein de l’aventure humaine, ont de tout temps la capacité et le pouvoir de demander de l’aide, de la refuser, de dire « oui » et de dire « non », même aux plus rutilants des Archanges de la Face. Et devinez quoi ? Les Âmes humaines demandèrent à ce que l’on arrête de les prendre pour des Tanches de la Baltique et exigèrent le droit à l’autogestion…
Évidemment, cela leur fut accordé sans problème mais toutes furent averties que, désormais, la responsabilité de la suite de l’Aventure Humaine serait sous leur seule et entière responsabilité, les Hiérarques ne demeurant là et n’étant actifs qu’à titre consultatif et, éventuellement, pour empêcher certains de faire sauter tout un quartier de l’univers en faisant mumuse avec leurs nouveaux pouvoirs ! Alors voilà pourquoi les Maîtres n’intervinrent pas (ou si peu, les coquins !) dans la suite de l’Épisode Atlante dont vous présumez la fin dernière…

Vous me direz : « Mais alors, Mec, à quoi servent les Maîtres, depuis des millénaires ? » A initier ceux qui le demandent, pardi !
Ah bon ? Voui ! (En Provençal dans le texte.) Parce que, pour être libre, il faut avoir la possibilité de refuser ou, à l’inverse, de réclamer de devenir moins con que tous les autres….

 

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Au fur et à mesure que les Membres du Conseil se transformaient plus en marchands, en politiciens véreux et en personnages plus soucieux de prestige personnel que de bien-être pour le peuple, les Maîtres se « retiraient » de plus en plus… Ils ne se retiraient pas dans le sens physique du terme, bien que comme tout un chacun, ces Maîtres devaient, tôt ou tard, passer par l’expérience inéluctable de la « transition » (décès du corps physique), mais ils se tenaient « en arrière », d’un point de vue psychologique, par rapport à la scène sociale.

Il faut se souvenir qu’il existe toujours plus haut que soi : les Maîtres comme toutes les créatures vivantes et conscientes, avaient leurs propres Instructeurs, que nous appellerions de nos jours et en Français : « Les Grands Maîtres. »
Évidemment, les rapports étroits qui unissaient, à cette époque, les Maîtres avec leurs propres Instructeurs des Consciences, étaient très différents des rapports qu’un Maître pouvait alors entretenir avec ses propres élèves ou « disciples », avancés ou non.
Tout le monde apprend, même les Dieux.

Si vous comprenez VRAIMENT ce qu’implique cette simple phrase, vous comprenez déjà beaucoup de choses, vous pouvez me croire sur parole !
Mais il faut vraiment comprendre, non pas le sens littéraire de cette phrase, mais plutôt, tout ce qu’elle implique par ailleurs… Les Grands Maîtres apprirent beaucoup du comportement des Maîtres et de leurs disciples…
Plus haut, certaines individualités que vous connaitrez lorsque vous serez prêts, apprirent également beaucoup des Grands Maîtres et de « plus bas qu’eux« …
Et encore plus haut…
Et encore plus haut…
Sans fin !

Ressentez-vous ? Ressentez-vous cet Amour inconditionnel, sans limite, proprement effarant, écrasant, monstrueux peut-être, pour nous frêles créatures de chair, qui se cache derrière… la vérité ? Si ce n’est pas encore le cas, cela ne saurait tarder.

Tout le monde sait un jour…
Tout le monde saura…
Et quand vous saurez… Eh bien ! Vous saurez, hein !

S’étant retirés, les Maîtres laissèrent donc le peuple Atlante montrer ce qu’il avait dans le ventre. Précisons, pour être honnête, que c’était la toute première fois dans l’histoire Atlante, que les Maîtres se plaçaient ainsi volontairement en recul. Personne ne les avait obligés à le faire; leur action était concertée et devait aider à la prise réelle de pouvoir de l’humanité « en cours » sur sa planète, sur son monde, sur sa fréquence propre.

Les parents doivent, tôt ou tard, agir de la sorte envers leurs propres enfants car s’ils ne le font pas, s’ils ne savent pas, le moment voulu, se placer « en arrière », alors leur progéniture n’atteindra jamais l’âge de maturité spirituelle. Seul leur corps vieillira et l’avancée en âge sera confondue avec l’avancée spirituelle. (Comme c’est encore le cas de nos jours.) Une fois les Maîtres en arrière plan, c’est à dire une fois que leur seule présence bienveillante ne pouvait même plus « faire honte » à ceux dont la pensée n’était plus orientée vers le Bon et le Bien de tous, les choses s’accélérèrent un peu…

Les membres du Conseil prirent la discrétion des Maîtres pour de la faiblesse, du découragement, ou encore pour une sorte de désintérêt pour « plus bas qu’eux » (sic) Ces gamins turbulents et attardés que furent les Atlantes de cette époque, étaient lâchés à eux-mêmes et les premiers effets de cette émancipation forcée ne se firent pas attendre…

 

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C‘est à ce moment que se manifestèrent deux groupes d’individus qui jouèrent, sans le réaliser, un rôle important dans la suite des évènements qui menèrent ce peuple à sa ruine morale, sociale et biologique. Les premiers furent plus tard nommés « les Tièdes » et formèrent cette troisième faction atlante dont personne, chroniquer ou voyant, ne semble désirer parler ou même évoquer même discrètement l’importance (on se demande pourquoi.)

Les seconds étaient les fameux « Enfants de Belzatl » qui furent rebaptisés plus tard « Enfants de Bélial » à la suite des écrits d’un très célèbre visionnaire américain (Edgard Cayce.) Il est vrai que non seulement cette seconde appellation est plus aisée à prononcer mais, de plus, elle a l’avantage de rendre compte symboliquement du principal défaut de cette faction d’excités (le bélier est présumé foncer sans réfléchir.)

Les Tièdes étaient ceux qui n’osaient pas prendre partie, se positionner ou même exprimer leur modeste avis. Non pas qu’ils n’en eurent pas mais plutôt qu’ils n’eurent jamais la force nécessaire pour s’exprimer vraiment et de leur propre chef. Par nature, le « Tiède » était faible et lâche par définition. L’idée même de prendre partie lui donnait le vertige et des nausées. De nombreux tièdes reçurent l’enseignement ésotérique de base, tel qu’il était proposé à cette époque et quelques-uns faillirent même « sortir du rang » et bénéficier d’un certain degré d’illumination spirituelle, mais aucun n’était assez ferme et ordonné d’esprit pour atteindre et connaître la véritable initiation.

Quand aux Enfants de Belzatl, leurs mots d’ordre étaient « justice et équité » et cette devise apparemment légitime cachait en fait une profonde aversion pour les initiés et une jalousie maladive au sujet de ce que ce terme évoquait comme avantages et pouvoirs personnels. En somme et pour résumer le propos, l’Enfant de Belzatl type avait des vues évidentes sur les connaissances ésotériques et les supposés avantages qu’elles impliquent, et aurait tué père et mère pour les acquérir. Bien entendu, il ne pouvait pas supporter l’idée que quelqu’un d’autre, méritant ou pas, puisse posséder des connaissances que lui n’avait pas.

D’ailleurs, que devient la notion de « mérite », c’est à dire « recevoir à la mesure de son labeur », lorsqu’il est question de justice et d’équité ? N’était-il pas légitime que tous les atlantes puissent bénéficier des secrets des Maîtres, qu’ils aient travaillé dur pour les acquérir ou non ? C’est du moins ce que pensaient les Enfants de Belzatl….

Quels pouvaient bien être ces fameux « secrets des Maîtres » ? Pour ceux qui s’en souviennent, il a été évoqué, dans un autre post, certains désordres géologiques au niveau du sol atlante. Les Maîtres eurent la permission de laisser leur élèves se grouper, publiquement, et se servir de leurs connaissances pour en atténuer les effets, voire les annuler carrément. Le but de ces démonstrations était (entre autres) de démontrer que l’union fait la force et qu’il était possible qu’un être humain ordinaire accomplisse de grandes choses à la condition qu’il accepte de s’unir à son prochain au lieu de le craindre. Si la populace pouvait être touchée, cela produirait l’émulation et de nombreuses personnes auraient demandé l’initiation véritable, différente de ce qui était alors dispensé dans les écoles et universités de l’époque.

Et en effet, cette populace fut touchée. Plus que prévu, d’ailleurs ! Tellement touchée, qu’elle manifesta un degré de réaction qui dépassait et de beaucoup les attentes des Maîtres et de leurs disciples directs ! En clair, tous les atlantes désirèrent obtenir les mêmes pouvoirs que les disciples, et si possible sans effort (Tièdes) sans avoir à bosser longtemps (Belzatl) et sans avoir à se grouper nécessairement pour que ça marche (la bourgeoisie ou assimilé.)

Suite quand j’aurais le temps et l’envie de me « reconnecter »…

 

 

Serge
 
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