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L’amour et la compassion pour cacher la lâcheté de vivre

bsaopz6qJe vous propose un sujet dérangeant (si, si, vous verrez) et qui est un pavé de plus dans la mare, dans cette soupe d’hypocrisie humaine qu’est devenue une partie de la spiritualité à notre époque (heureusement, il reste l’Autre.) Comme vous le savez, nous ne sommes avant tout que des humains, même si une partie de nous demeure divine (ou se propose de le redevenir un jour prochain.)

Et ceux qui refusent d’assumer leur part évidente d’humanité ne feront que retarder leurs progrès et, en un sens, retarder le progrès de tous, car ils fausseront souvent les échanges ordinaires et légitimes entre chercheurs de Lumière, cela à cause de leur trouille bleue à l’idée de devoir assumer leurs limites pourtant toutes aussi légitimes que ce besoin de se grouper avec les autres et d’échanger avec eux.

Une chose vitale devrait être retenu ici pour la bonne compréhension de la suite :

Nous sommes tous, sans exceptions, bien imparfaits parce que nous exprimons, actuellement, qu’une faible partie de notre divinité présumée ou même acquise. Et en tant qu’être imparfaits, nous connaissons tous le doute, la peur et l’inconfort spirituel, quand ce n’est pas carrément le stress voire la dépression, ne serait-ce que passagère et minime.

 

 

Peur des autresJe le redis : tout ceci est normal, car nous sommes avant tout humains et donc faillibles. OK jusque-là ? Du coup, nous devrions, en tant qu’êtres humains faillibles, manquer d’amour et de compassion face à des personnes se montrant inutilement cruelles ou critiques, alors que leur avis sur nous n’a pas été réclamé. Allons plus loin : si nous avions, en nous, quelque schéma spirituel à la con nous faisant croire que nous devons aimer notre prochain, même si ce dernier est un enfant de P…, nous devrions souffrir mille morts à l’idée de ne pas pouvoir incarner un tel idéal (placé bien au-dessus de nos moyens réels.) Vous me suivez toujours, là ?  Donc, revenons deux minutes aux gens qui sont lâches et ont peur de vivre et « d’affronter le mal », comme ils disent (se plaçant eux-mêmes du même coup du côté du «Bien», of course ! )

 

Est-il humain aussi d’avoir peur du mal, d’avoir peur de devoir souffrir à cause des cons qui ne font aucun effort pour se rendre «aimables» (digne d’amour, donc) mais qui comptent sur notre stupidité pour être tout de même «aimés tels qu’ils sont» ? Réponse : Mais oui, parbleu ! C’est humain et même : «plus humain que ça, tu meurs» !

Au départ, avoir peur d’affronter le mal, refuser de souffrir sans y être obligé, sont des réactions naturelles, logiques et légitimes à n’en plus pouvoir ! Pourquoi devrions-nous supporter ce qui nous déplaît par nature, nom d’un petit Poucet émasculé ?

 

humain2Et comme cela est naturel et légitime, avons-nous besoin de nous justifier auprès de qui que ce soit avant de réagir instinctivement en être humain ordinaire ? (ce que sont même -ou surtout- les initiés) Réponse : non, bien évidemment ! Alors voici ma question :  Pourquoi le Net foisonne t-il de gens qui, au travers de salons ou de forums spiritualistes (ou supposés tels), prétendent que nous devons aimer nos ennemis et que si nous sommes insultés, maltraités ou pris grossièrement à partie, c’est alors le moment pour nous de montrer notre amour, notre compassion et notre tolérance ?

Et pourquoi réagissent-ils violemment et sans aucune maîtrise émotionnelle dès que nous leur laissons entendre que nous ne partageons pas cet avis et que réagir ainsi est au-dessus des moyens réels d’une personne ordinaire ? D’ailleurs, une telle réaction, aussi agressive qu’intolérante, ne s’inscrit-elle pas en contre de ce qui était préalablement prêché ? (paix, amour, tolérance, compassion, bla, bla, bla, prout ! Oh, pardon, Monsieur le curé !)

 

hypocrisie2D’où vient un tel engouement pour cette soi-disant « luminosité de l’être », et surtout, à notre époque où la plupart des gens se conduisent sur la route et avec leur bagnole comme de véritables sauvages ? Si on ne possède pas de réelles connaissances psychologiques, on est en effet en droit de se perdre en conjectures et de se manquer un peu de respect en concluant, pour se débarrasser du problème gênant, que les gens feraient mieux d’incarner ce qu’ils prêchent aux autres… Bien que cette remarque soit justifiée par ailleurs (ma foi !) elle n’explique pas pourquoi autant de gens, hommes et femmes, se barricadent d’une manière aussi ridicule derrière des préceptes évidemment lumineux, certes, (qui oserait dire le contraire ?) mais réservés apparemment à des êtres d’exception tels les Grands Maîtres ?

 

humainsSeriez-vous capables, vous, d’aimer les gens qui vous détestent et vous poursuivent de leur médiocrité ? Moi non, et c’est un fait, pour ne pas dire carrément UN CHOIX ! Vous non plus, dites-vous ? Horreur ! Nous sommes donc des êtres humains ordinaires, et non des êtres d’exception, imposant la plus grande admiration à tous les Anges du Paradis et de sa proche banlieue ? (Prouuut !) C’est ballot, non ? Bien, à présent que nous voilà promu au grade très rare (car très rarement envié) d’être humain ordinaire, voyons si nous pouvons répondre à notre question, plus haut…

 

Mage3Pourquoi les gens s’abritent-ils ainsi derrière leur carapace d’initié qui DOIT absolument aimer ses ennemis et se comporter, d’une manière générale, comme si une auréole remplaçait son anus ?  D’ailleurs, en ont-il était capables, à un moment quelconque de leur vie, il y a dix ou quinze ans, par exemple ? Réponse qui va vous faire hurler : OUI ! Ils en étaient apparemment capables puisqu’ils envoyaient de l’amour à ceux qui leur décalquaient le cœur avec application et une jouissance que je leur envie ! Ah bon ?  Ouep ! (notez la sobriété magnifique de cette réponse, frôlant le prix Goncourt de justesse !)

 

divins secretsJe ne dis pas ici qu’ils réussissaient vraiment à aimer leurs ennemis ! Je dis simplement que certaines énergies mentales, en présence, à cette époque, leur permettaient non seulement de mentir aux autres avec succès mais également de se mentir à eux-mêmes, ceci avec presque autant de succès ! Mais les énergies en présence ont changé ! La Conscience Collective de l’humanité a décidé, à la fin des années 80, d’arrêter de se faire des films et de se mettre à vivre plus authentiquement. Dès l’année 1998 (pour ceux qui adorent encore l’astrologie) les gens qui préalablement se mentaient comme de véritables initiés… Au mensonge, n’y parvinrent plus du tout ! Mais sans toutefois remarquer la chose !

 

mentir-femme croise doigtsAujourd’hui, lorsqu’ils essayent d’abuser leur prochain au sujet de leur degré présumé de luminosité spirituelle, eux pourtant si instruits et entraînés au mensonge, ne réussissent qu’à se ridiculiser, tant il est devenu flagrant qu’ils sont incapables d’appliquer à eux-mêmes ce qu’ils persistent pourtant à prêcher à autrui.  Pire encore : ils font preuve de beaucoup moins de maîtrise, d’affection réelle et de tolérance que ceux qui se prétendant encore matérialistes, n’essayent même pas de tricher avec leur nature un brin stressée d’homme et de femme de ce nouveau millénaire. (Et qui ne l’est pas peu ou prou, d’ailleurs ?)

Bon, OK, ça correspond à peu-près à ce qui se passe sous les yeux de tous, car même nos parents, censés nous témoigner tout de même plus que des «initiés», amour, compassion et tolérance, se mettent à nous pomper l’air, à devenir un poil tyrans et nous montrent, en définitive, que ce qu’ils aimaient, en nous, c’était l’image qu’ils s’étaient construite de l’enfant bien sage et obéissant.

A croire que si nous ne sommes plus « leurs petits », nous ne sommes plus rien du tout. Bref, vous voyez peut-être à quoi je souhaite faire allusion ? (Bien que je ne vous le souhaite pas non plus !) Donc, les initiés « bourrés d’amour et de compassion » sont en fait surtout bourrés de colère, de rancune et d’animosité envers tous ceux et toutes celles qui ne se prêtent plus à leur petit manège pitoyable, digne d’un second rôle d’un mauvais film de série B.

 

asep9776Certains d’entre eux s’éveillent lentement d’un songe collégial dans lequel ils étaient plongés, ainsi que leurs semblables. Ils réalisent qu’on leur a menti, qu’on les a trompé et qu’ils n’ont jamais été cette « Lumière extraordinaire », quasi aveuglante qu’on leur a fait croire qu’ils pouvaient être ou devenir. C’est ballot, non ? Quelques-uns réalisent du même coup qu’ils ne demandaient que cela, d’être bernés, car leur Moi-Idéalisé surpuissant, construit à partir d’un ego tremblant de peur à l’idée d’être médiocre et inutile, était à la base non pas de cette trahison mais de cette auto-trahison ! De quoi ressentir de l’amertume sinon de la colère, non ? Ou pour le moins quelques frustrations, je dirais.

 

Cette idée à la fois magnifique et absurde « d’aimer son ennemi » alors qu’il suffirait amplement de le respecter, faisait bien l’affaire de certains, trop lâches, de toutes façons, pour se défendre du mal et sachant par ailleurs que le mal, lui, n’a pas de Moi-Idéalisé et se contente de frapper très fort là où ça fait le plus mal ! Osez dire l’inverse, vous que la vie ne semble pas avoir épargné ! Donc, aimer, compatir, bla, bla, bla, ne servait en fait que d’excuse «lumineuse» pour cacher une lâcheté de vivre et de participer à ce que quelques-uns nomment encore «le karma collectif.» (qui se résume à regrouper des êtres qui pensent de la même façon, soit dit en passant.)

 

yoda 01Car en effet et après tout, si celui qui nous traite comme une merde nous « instruit », alors une bonne baffe dans sa gueule devrait pouvoir l’instruire à son tour, non ?

A moins que seul ce qui est moche, sombre et générateur de souffrance, puisse avoir le pouvoir de nous instruire et se faire le véhicule inconscient du Divin ? Dans ce cas, la Lumière serait une chose bien inutile, ne croyez-vous pas ?
Mais que Maître Yoda se rassure, nous n’aurons pas à «passer du côté obscur» de la Force… Car une partie de notre présente humanité est déjà passée du côté obscur de la Farce et ce, depuis belle lurette !

Vous étiez prévenus que ce texte allait déranger, alors ne venez pas vous plaindre ensuite d’avoir eu l’idée de pouvoir le lire en toute impunité !

 

Serge Baccino

Je fonctionne comme l’Univers et Lui comme moi

Je fonctionne comme l’Univers…

Et Lui comme moi

 

 

Je vais essayer ici de vous expliquer concrètement l’un des Mystères de l’ésotérisme et de la spiritualité en général, à savoir le mode de fonctionnement particulier de « l’Univers et des Dieux » comme on disait avant, ceci et dans un premier temps de cet article, faisant suite au Dossier sur le Kybalion et l’Art Alchimique de la création mentale. (Créer tout ce dont nous avons besoin.)
Bien évidemment, il s’agit là de la vision d’un psychologue ésotériste, pas d’un ésotériste tout court qui, sans doute, trouverait à redire de mes propositions…

 

Comme cela n’est pas gagné d’avance, attendu que le sujet est ardu et que les explications écrites ou parlées sont très pauvres pour témoigner des Lois Cosmiques, j’aurais donc besoin de votre aide à tous, cela en attendant de vous que vous posiez les bonnes questions qui me permettront de vous proposer les bonnes réponses, à la suite de cette introduction, de ce résumé de la Loi de Création spirituelle. Vous ne devrez pas lâcher l’affaire tant que vous n’aurez pas parfaitement compris, OK ?

Pour commencer, je suis certain que vous avez tous entendu parler de la manière dont enseignait le Maître Jésus (son Vrai Nom était « Iéshuah », soit dit en passant) à propos du pouvoir créateur de l’esprit. Il disait en substance :

« Lorsque vous demandez à Mon Père une chose, faites comme si vous l’aviez déjà reçue, et vous obtiendrez toutes choses en Mon Nom ! »

Aujourd’hui, nous dirions bien autrement, par exemple comme ceci :

 

« Lorsque vous devenez conscient que vous êtes le Grand « Je Suis », que vous êtes la Conscience, que vous faites partie de Dieu et partagez la Même Essence que la Sienne, vous ne devez pas demander une chose mais affirmer que vous la possédez déjà…. »

Essayons de comprendre ces étonnants conseils :

« Faites comme si vous possédiez déjà…. » et…

« Remerciez Dieu pour ce qu’il vous a déjà donné…. » (par exemple)

Pourquoi devrions-nous agir de la sorte et prendre apparemment l’univers et les Dieux pour des cons, cela en faisant mine de posséder déjà…Ce dont nous manquons et avons besoin ?

 

En effet, puisque nous désirons une chose, c’est bien la preuve que nous ne la possédons pas, la chose paraît être entendue !
Certes ! Elle est apparemment logique d’un point de vue humain, mais pas pour l’esprit universel, c’est à dire ce quelque chose capable de tout créer, de donner naissance à toutes choses sur notre ordre !

Oui, nous pouvons ordonner à l’esprit de rendre manifeste tout ce dont nous avons besoin ! Nous pouvons de ce fait non seulement ne manquer de rien mais, de plus, obtenir toutes ces choses dont nous rêvons sans cesse, cela quasiment à volonté et même en obtenir plus que ce qu’il nous faudrait pour satisfaire nos attentes les plus légitimes ! Le rêve, non ?
Nous sommes bien d’accord sur ce point également. Bon, OK, mais alors, puisque notre esprit -qui est aussi ou surtout- l’esprit de Dieu, est si puissant, pourquoi nous n’obtenons que rarement ce que nous voulons et espérons ? Hum ? o_Ô
Réponse : Parce que nous nous y prenons comme des manches et, plus précisément, carrément à l’envers !
A l’envers ? Mais à l’envers de quoi ?

En fait, à l’inverse de ce qu’il nous faudrait faire pour obtenir, justement, tout ce dont nous avons besoin.
Je vous demande à présent de vous montrer très attentifs car je vais vous révéler en termes modernes le « secret spirituel » qui vous permettra de comprendre  ce qu’il faut faire pour créer votre vie comme vous l’entendez, plutôt que d’arriver à le faire intuitivement et comme on vous l’aura appris.

 

Ce que faisaient bien souvent les Mystiques du passé.
Leur foi était immense mais leur compréhension limitée par un manque évident de développement mental. C’est la raison pour laquelle ils ne réussissaient que rarement à transmettre leurs connaissances à leurs disciples… Mais ceci est une autre histoire ! Voici les faits :

 

******* Le subconscient de l’homme est en fait le Subconscient Universel : ce qui concerne le mode de fonctionnement précis et définitif du subconscient humain, concerne également le mode de fonctionnement précis et définitif de celui de l’Univers. Comprendre l’un revient à comprendre l’Autre, maîtriser l’un revient à Maîtriser l’Autre car les deux ne sont en fait qu’une seule et même chose, comme la goutte d’eau de mer n’est pas séparée de l’étendue d’eau qu’elle compose et réciproquement. *******

 

Bon, OK, me direz-vous, ça a l’air bien joli, tout ça, mais ça nous avance à quoi ?
Cela nous permet de comprendre le fonctionnement exact de l’Univers en étudiant celui de l’intelligence cellulaire du corps physique de l’homme !

Ce sont les mêmes lois qui sont en présence et toutes deux fonctionnement exactement de la même manière.
A notre époque, nous connaissons suffisamment de choses sur le mode de fonctionnement de « la somme de l’intelligence de toutes les cellules de notre corps », plus spécifiquement nommée « subconscient »

 

De fait, nous ne sommes même pas conscients d’être des Maîtres de l’Univers en potentiel ! Il nous manquait juste la compréhension intellectuelle de cette connaissance sublime :

« L’univers et notre corps fonctionnent de la même façon car les deux forment, en réalité, une seule et même chose : le Grand Corps De Dieu-Le-Tout ! »

Ou son subconscient, puisque c’est la même chose ! Ainsi et très véritablement, se connaître soi-même revient à connaître l’univers et les Dieux !

 

Bon, nous pouvons à présent avancer plus vite et étudier rapidement les deux premières Lois impliquées dans l’Art de la Création Mentale, Lois sans la compréhension desquelles il est impossible de créer en esprit et dans notre mental (qui est aussi et surtout celui de Dieu, n’est-ce pas)

Voici l’énoncé pur et dur de l’une de ces deux Lois :

 

« L’esprit du Tout est à la fois rien et toutes choses. Il contient déjà et à l’état potentiel ou « en devenir », tout ce que l’imagination de l’homme et des Dieux a pu, peut et pourra jamais imaginer. L’esprit universel contient déjà toutes les formes de réalités probables et se borne à les exprimer ou à les rendre manifestes, et non à les créer véritablement. »

 

Voici l’énoncé pur et dur de la seconde de ces deux Lois :

 

« Le subconscient raisonne par déduction et associations d’idées et ne connait qu’un seul temps : le présent. Tout ce que l’homme pense et tel que cela est pensé, est fidèlement enregistré comme Loi. Le subconscient mettra immédiatement tout en œuvre pour que cette loi-pensée puisse se concrétiser et être rendue manifeste dans le plan sur lequel se manifeste l’entité qui a invoqué la Loi de création par son esprit et dans son mental. »

 

 

Imaginez que vous écrivez, sur une feuille de papier :

« Aujourd’hui, je me sens très con ! »
Ensuite vous placez ce mot écrit dans le tiroir d’une table de nuit et vous ne touchez plus à ce papier et son mot écrit dessus durant disons… Une bonne dizaine d’années.
Au bout de dix ans, vous ouvrez enfin ce tiroir, découvrez le papier et lisez ce qu’il y a d’écrit dessus. Voici ma question : Est-ce qu’il y aura mentionné que voici dix ans, vous pensiez être con ?
Non, n’est-ce pas ? Le papier et son mot écrit dessus ne tiennent pas compte du temps qui passe : il y aura écrit la même chose, au présent, que ce qu’il a été écrit, dix années plus tôt.
De même, notre subconscient enregistre fidèlement tout ce que nous pensons et disons au présent et ne tient pas compte du temps qui passe, de l’expérience, du contexte, etc.
Ce que vous avez pensé de vous et d’autrui jadis, il le pense désormais automatiquement et à votre place aujourd’hui, et toujours au présent, comme si rien n’avait changé ou évolué entre temps.

Sachant que le subconscient raisonne par déduction et par associations d’idées et que pour lui, SEUL EXISTE UN ÉTERNEL PRÉSENT, si vous commettez l’erreur d’affirmer vos désirs « au futur » (ce que vous voulez obtenir et ce dont vous manquez forcément encore aujourd’hui), le subconscient enregistrera au présent que vous manquez de tout ce que vous désirez par ailleurs et que c’est en ceci que consiste votre volonté et donc, la Loi Cosmique !

 

Vous saisissez le gros merdier ? (en français dans le texte)
Sinon, laissez-moi vous « faire un dessin », vous allez vite capter le problème !
Nous allons prendre pour exemple que vous désirez plus de fric, même si c’est rare venant de vous, OK, je vous l’accorde volontiers.
Tout naturellement, vous allez formuler votre demande à peu près de la sorte :

« Je vais avoir plus de fric très bientôt ! »

Ou encore :
« J’ai besoin d’argent rapidement, donc, je vais en gagner ! »

 

Notez le temps employé (conjugaison) pour ces deux requêtes adressées à l’Intelligence Universelle, à l’esprit, c’est à dire au… Subconscient de Dieu qui manifeste toutes choses selon la Loi.
Que va enregistrer l’esprit, en fait ? Dans le premier cas que… « Très bientôt…. »
Donc, dans trois mille ans, sur le « bout de papier », il y aura toujours marqué que « Très bientôt… » vous serez riche !
Dans le second cas, l’esprit universel enregistre comme Loi absolue que « Vous avez besoin d’argent. » Et dans trois mille ans, votre volonté créatrice sera toujours respectée et vous en aurez donc toujours besoin, n’est-ce pas !

Vous captez un peu mieux, là ?

Pour l’esprit, vous devez absolument obtenir « plus tard », et vous devez « avoir besoin » le plus longtemps possible, ceci afin de respecter la Loi. Du coup; si vous obteniez ce que vous désirez et tout de suite, il y aurait violation de la Loi.

Comprenez bien que votre subconscient et l’intelligence divine, savent tous deux (en fait ils ne forment qu’Une seule chose, mais bon) que selon la Loi :

« Tout existe déjà en esprit et ne demande qu’à être rendu manifeste… »

 

Du coup, si vous affirmez qu’une chose va exister « plus tard » pour vous, non seulement vous retardez éternellement sa manifestation mais, de plus, vous réclamez de l’esprit universel une chose qui lui est impossible : créer ce qui existe déjà !

 

Bon, OK, nous avons bien compris la subtilité mais, dans ce cas, comment doit-on « demander » ou « faire savoir à l’univers tout ce dont nous… Avons besoin » ? Sachant que si nous réclamons une chose, cela revient à affirmer que nous ne la possédons pas et que, de ce fait, elle n’existe pas encore.
Car là se situe bien le « hic » !

Un gros, gros « hic », même ! Le fait de demander ou d’exprimer un besoin quelconque revient à affirmer à l’univers que ce que nous désirons n’existe pas encore et que de ce fait, nous ne le possédons pas présentement ! On est à peine bloqué, là, non ? Ben oui, on l’est !

 

Nous voici avec un magnifique paradoxe sur les bras : si nous disons qu’une chose nous manque et que nous voulons l’obtenir, l’esprit universel enregistre le fait que nous ne pouvons pas obtenir cette chose, puisqu’elle n’existe pas déjà actuellement !

D’un autre côté, affirmer de but en blanc que nous possédons une chose alors que nous savons pertinemment que nous la désirons justement parce que nous ne l’avons pas, revient à prendre l’Univers et les dieux pour des pastèques ! (lol)
Alors que faire ?

Que faire ? Mais fonctionner comme l’esprit ! Raisonner comme lui !
Retourner son mode de fonctionnement dans sa direction et lui intimer de ce fait d’agir « comme si » même s’il constate par ailleurs que nous ne possédons pas encore au niveau purement linéaire. Ce qui pour lui n’est pas un problème en soi, bien au contraire !
En gros, l’idée est de mettre l’esprit dans l’impossibilité de faire mentir sa propre Loi ! la Clef se situe au niveau du mode déductif de raisonnement de l’esprit universel. Ou de notre subconscient, c’est la même chose.

Réfléchissons deux secondes… Puis-je en toute logique donner ce que je ne possède pas ? La réponse est évidente… Du moins pour nous !
Pour l’esprit, elle est l’inverse ! En effet, pour Lui, tout existe déjà !
Il est donc non seulement « possible » mais tout naturel, d’offrir par exemple ce qui existe déjà et depuis toujours pour nous et en esprit ! Vous captez l’idée ?
Non ? Alors on va vous faire un dessin, allez !

 

De quoi ai-je besoin ? Une fois la chose désirée définie clairement, je vais me mettre à la donner aux autres, comme si non seulement je la possédais déjà (ce qui est « légalement » le cas) mais de plus, comme si vraiment j’en étais rempli jusqu’à la couenne (du moins s’agit-il de « faire comme si », n’est-ce pas ^^)
Par exemple ? Allez, faisons péter les exemples, d’accord !

Je veux avoir la connaissance ? Alors je me mets maintenant à instruire les autres, à la transmettre comme si je la possédais ! (ce qui est le cas, souvenez-vous : tout est déjà là !)
Plus je vais instruire, plus la connaissance va me venir !
Pourquoi ? Parce que l’esprit est obligé de me la fournir rapidement afin de ne pas faire mentir la Loi Cosmique qui dit que « Tout existe déjà, maintenant ! »
S’il ne me donne pas la Connaissance tandis que je la donne moi-même, alors c’est que cette connaissance est absente de l’esprit, qu’elle n’existe pas, même en potentiel. Ce qui reviendrait à faire mentir Dieu !

Alors moi qui ne savait rien, me voici à transmettre ce que je ne possédais pas le moment auparavant. Et instantanément, me voici « Instruit par Dieu afin de donner à mes frères » car… C’EST LA LOI !

 

Vous avez le droit d’être émerveillés et très émus, comme je le suis présentement moi-même, oui, merci bien.
Voyons un autre exemple, pourquoi pas l’argent (même si ce sujet n’intéresse généralement pas les spiritualiste ^^)

Vous NE devez PAS « désirer de l’argent » ou « plus d’argent », cela sous peine d’affirmer qu’il n’en existe pas assez pour vous « présentement. »

Mais si vous l’affirmer tout de même, pour ne pas faire mentir la Loi -qui énonce que tout existe et doit déjà exister en esprit, même la connerie- le subconscient universel va satisfaire à votre demande et donne forme à votre désir du moment (désirer de l’argent et en manquer toujours)

 

En somme, tout ce que vous affirmez, même sans le réaliser, fait Loi et sera rendu manifeste. Mais vous l’aviez déjà compris, n’est-ce pas ?
Pour contourner le problème, vous devez agir « comme si » l’argent ne pouvait pas vous manquer, puisque vous êtes pétés de fric ! Après tout, n’êtes vous pas un Fils de Dieu, un Fils du Dieu Vivant ? (Bible dixit) C’est en effet le cas, je vous l’assure très affectueusement. Alors dépensez, donnez, faites comme si vous ne pouviez pas manquer d’argent !

Bien entendu, c’est surtout l’état d’esprit qui correspond à ce que je viens d’écrire, que vous devez installer en vous et auquel vous devrez désormais vous fier pour vivre !

Il ne s’agit pas de crâner, de dilapider votre argent et de vous cribler de dettes ! (lol) Vous devez juste conserver à l’avant scène de votre conscience de veille, un sentiment de richesse inépuisable.

Vous buvez un café ? Lorsque le garçon vous rend la monnaie, laissez quelques pièces sur la table ou sur le comptoir. Ne craignez point, vous ne manquerez jamais de rien, sauf si VOUS LE RÉCLAMEZ à l’univers et par le biais d’un état d’esprit fondé sur le doute, la peur du manque et l’idée de pauvreté.

 

C’est en fait à vous-mêmes que vous devez offrir le plus de choses !

Offrez-vous des idées de richesses ainsi que tous ces merveilleux sentiments qui vont avec. Car ce que vous pensez, vous le ressentez ensuite.

Si vous pensez au manque, à la rareté, au fait qu’il n’y a pas assez de ceci ou de cela pour tous, alors c’est ce genre d’idée que vous allez ressentir et vous vivrez en conformité avec ces croyances moyenâgeuses.

 

Vous n’avez pas à vous mentir ou à feindre l’opulence; il suffit que vous sachiez que, RÉELLEMENT, tout existe déjà en esprit et dans le mental de Dieu (l’Univers) Souvenez-vous de ça, affirmez-le, croyez-le et vivez en concordance avec ces nouvelles idées et ces nouvelles émotions.

Car ce sont elles qui vont vous rendre riche !

Car ce sont elles qui, là, immédiatement, viennent de vous rendre instantanément riche. Vous le savez désormais :

Tout existe déjà en esprit et dans le mental de Dieu (ou de l’esprit, c’est pareil.)

Offrez-vous sans compter car votre richesse n’a de limite que celle de l’esprit. Autrement dit… Aucune !

 

Offrez-vous tout ce qui a de la valeur.

Offrez-vous l’amour (en apprenant à vous aimer tels que vous êtes déjà)

Offrez-vous la paix, en cessant de vous faire la guerre à tout bout de champ et à la moindre occasion de pointer un doigt accusateur en direction de vos faiblesses.

Offrez-vous la Joie, cela en comprenant que rien n’a vraiment d’importance, que rien n’existe vraiment dans un univers où tout peut être remodelé en esprit et mentalement.

 

Offrez-vous Éros ! C’est à dire tous les plaisirs, et pas seulement ceux relatifs au sexe. Et parmi ces dernières, vous devez vous offrir cette sérénité et cette force tranquille qui découlent d’un sentiment de richesse permanent, aussi bien intérieur et spirituel, qu’extérieur et purement social.

Réfléchissez bien : Est-ce la quantité d’argent stockée sur votre compte en banque, qui fait de vous une personne riche, ou ce fait miraculeux de ne manquer jamais de rien et d’obtenir tout ce que vous désirez et qui est humainement réalisable ? (Ne cherchez pas à faire sortir la lune de son orbite !)

 

Mais attention ! Ne mettez pas Dieu « au banc d’essai » et ne le testez jamais !

N’oubliez pas que le subconscient raisonne par déduction et par associations d’idées ! S’il réalise que vous testez la Loi pour vérifier si elle marche, il fera en sorte que vous soyez assuré de la vérifier pendant des lustres !

Agissez vraiment et dans les petites choses de la vie de tous les jours, COMME SI vous étiez assuré de ne jamais manquer de rien. Encore une fois, seul compte votre état d’esprit, pas vos actes à l’extérieur.

 

Par exemple, donnez UN EURO (vous n’en mourrez pas) à un mendiant. Laissez des pourboires au restau, au bar, etc.
N’hésitez pas à prêter de petites sommes sans vous soucier de leur remboursement futur, car si vous vous installez dans un état d’esprit d’attente (de remboursement, en l’occurrence) le subconscient en déduira que vous adorez ATTENDRE et pour vous y aider, il fera en sorte que vous ne soyez jamais remboursé ! (lol)

Bref ! Faites comme si et… Savourez les résultats !
Je vous donne moins de trois semaines pour constater les effets sur vous (état d’esprit) et à l’extérieur et sur les autres.

En fait, une semaine suffirait, mais bon, on va dire que notre foi est souvent vacillante, surtout au début !

 

Poursuivons gaiement, car le sujet va bien au-delà des simples (mais nécessaires) acquisitions matérielles, comme vous allez le constater en étudiant tranquillement la suite de cet article.
Prenons un autre exemple encore : le boulot.

Nous avons tous connu ces périodes un brin décourageantes de recherche d’emploi. Et tandis que nous cherchions – et avant d’avoir trouvé – nous ne savions pas, avec certitude, SI nous allions trouver un emploi.

 

Jusque là, rien de bien transcendant, je vous l’accorde (d’alpiniste.)
Maintenant, compressons le temps et rendons-nous trois mois plus tard, à la date à laquelle nous avons enfin trouvé une entreprise qui a accepté de nous offrir un travail.

Question : Notre emploi vient-il d’être créé ou inventé par l’esprit universel au moment où nous le trouvons ?

Non, n’est-ce pas ? Cet entreprise et cet emploi existaient déjà.

 

Toutefois, comme nous ne savions rien de cet entreprise, ni son existence, ni même que nous allions pouvoir y être embauché, nous ne pouvions pas nous comporter comme si nous avions déjà ce boulot…

Du moins, serions-nous tentés de présenter les choses ainsi…

En réalité, au moment même où vous cherchiez du boulot, ce dernier non seulement existait déjà (et pas seulement en esprit, heureusement pour lui ) mais de plus, votre poste était déjà réservée et n’attendait que….

Que quoi, au fait ?

 

Réponse : Que vous arrêtiez d’être con ! (lol)

C’est l’Univers Lui-Même qui attend patiemment que vous retrouviez la Mémoire, que vous réalisiez enfin la Vérité. C’est à vous qu’il échoit de faire cesser ce jeu stupide qui consiste, pour l’homme, à faire semblant d’être distinct et séparé de tout et de tous.

Vous êtes un Dieu qui fait semblant de pouvoir manquer de quelque chose ou de manquer une chose quelconque ! Au début, c’était follement amusant, c’est vrai, mais à présent, la plaisanterie doit s’arrêter et très vite !

 

Ne voyez-vous donc pas que le plus grand nombre commence déjà à croire en un tas de choses stupides et sans saveur ? A croire en la mort, la séparation, la souffrance, et le manque… A croire aussi en l’existence d’un Dieu jaloux et tyrannique qui jouit de voir ramper et s’humilier ses humbles sujets mais qui, comble de l’ironie, est infiniment moins puissant que son Adversaire, le Ténébreux Prince du Mal ?

 

L’homme est devenu mou, moche et craintif à force de choisir la fuite plutôt que de se prendre en charge et à assumer son propre destin. Par peur de redevenir RESPONSABLE de ses créations mentales innombrables, l’homme s’est inexorablement coupé du reste de l’univers et des Dieux qui en gouvernent les Royaumes.

Par peur d’affronter une vérité unique mais inconnue, l’être humain s’est inventé des vérités qui ressemblent étrangement à des barreaux posés au fenêtres d’une prison.

Voilà de quoi se prive l’homme, en un mot : De sa propre Divinité.

 

Et pour se conforter dans l’idée hautement positive qu’il est un moins que rien, le voici qui choisit de travailler pour vivre, alors qu’il lui suffisait d’être, pour vivre et tout simplement. Il existe encore d’autres Lois et d’autres astuces liées à ce que nos modernes ténors du New-Âge nomme La Loi d’Attraction

Mais j’aimerais d’abord vous voir participer un peu à nos échanges, car il me serait pénible voire insupportable, de réaliser que je suis, de nous tous, le seul véritable riche disposé à DONNER !

Je crois me faire comprendre, car je parle et écrit avec cette assurance et cet aplomb qui ont fait la réputation des psychologues ésotéristes et qui leur vaut de n’avoir que rarement de nombreux amis ! (sic)

 

A vos claviers braves gens : ne vous contentez pas de lire, de venir piocher ça et là dans l’espoir immature de devenir instruit des choses de l’esprit, car c’est seulement si vous apprenez vous aussi à DONNER que vous pourrez alors être correctement préparés pour RECEVOIR.

Pour « Re-Se-Voir » et donc, se voir de nouveau et se retrouver enfin…

 

 

Serge

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Illogisme de l’éducation

Illogisme de l’éducation

 

 

Lorsque nous sommes enfants, on nous apprend généralement à toujours dire la vérité, parce que cela est « Bien. » Lorsque nous faisons une bêtise, que nous cassons quelque chose ou commettons une erreur notoire, nous devons avouer notre faute parce que, justement, la vérité est « le Bien » et le mensonge est « le Mal. » Et lorsque nous avouons notre faute, notre erreur ou notre manquement aux règles des adultes, nous sommes punis car on nous apprend aussi que toute erreur commise, toute faute, mérité sa juste punition.

Et cela aussi, c’est « le Bien. » Un bien qui peut éventuellement nous empêcher de nous assoir durant quelques heures.

Voilà que l’enfant se retrouve avec un paradoxe sur les bras : s’il commet une faute et l’avoue, il est fidèle à l’idéal de Bien mais s’en prend plein la tronche !
S’il ment et cache la vérité, il penche inexorablement vers le « Mal », mais il conserve ses joues ou fesses intactes. Si vous étiez un enfant, comment réagiriez-vous à cette forme d’éducation ?
Que choisiriez-vous, « le Bien » (avec le cul qui cuit !) ou « le Mal », avec l’occasion de pouvoir vous assoir sans aucun problème ?

Vous avez été des enfants, nous l’avons tous été. Et devinez ce que certains d’entre nous ont choisi, finalement, comme option ? Appelez votre passé, il a des choses à vous raconter ! De toutes façons, ce « passé » est bien présent en vous et il conditionne depuis des lustres certains de vos comportements les plus intimes et involontaires.

Quand on n’est plus un enfant, on est en droit de réclamer la liberté qui ne nous a pas été offerte (et pour cause) lorsque nous étions des bambins inconscients.
Vivre sur un passé conditionné « à cause des parents et de leur éducation » est non seulement stupide, mais aussi très lâche.

 

 

La responsabilité des parents s’arrête là où l’adulte a commencé à refuser d’assumer les siennes.

 

 

Il est bon par contre de remarquer le « confort mental » qu’offre à certains le fait de réagir encore comme un enfant ! (n’est-ce pas ?) Mentir est aisé et en plus, cela permet de ne pas avoir à payer pour la pomme volée sur l’étalage du marchand. La faim est une excuse mais la négation est bien plus payante, surtout quand elle se transforme en réflexe.

Oui mais voilà : quand on veut s’améliorer, évoluer, s’unir à la partie divine de nous-mêmes, etc., il devient alors urgent de revisiter nos bases, assises ou repères psychologiques. Et l’une de ces bases, foyer de problèmes et de névroses en tous genres, est justement la période de l’enfance durant laquelle certaines prédispositions ont peut-être été contrariées et durant laquelle certaines habitudes malsaines ont été contractées.

Même lorsqu’un enfant fait mine d’obéir, de céder à la pression psychologique quand ce n’est pas à la violence physique, il COMPENSE toujours cette obéissance par quelque chose d’autre. Quelque chose qui, plus tard, lui nuira encore plus que le sentiment de sa dépendance passée.

 

 

Défense ou tentative de manipulation ?

 

 

Il arrive souvent qu’un mécanisme de défense (ex : mentir pour ne pas se faire punir) se transforme avec le temps en mécanisme de domination (mentir parce que ça sert à obtenir ce que l’on veut) Le subconscient raisonne par déductions et associations d’idées : pour lui, il est évident que si le mensonge préserve de la fessée, alors le mensonge est efficace puisque il préserve du mal véritable ! Énoncé ainsi… Oui mais voilà : plus ça marche et plus on emploi le mensonge, et plus on ment et moins… on ressent la vérité !

Pourquoi ? Parce que nous ressentons toujours ce que nous pensons (son contenu formel) et si nous changeons notre façon de penser, nous changeons du même coup notre ressenti.
Entendons-nous bien : la psychologie ésotérique n’a rien à voir avec les règles de morales, parfois aussi stupides et inadaptées que contraignantes à souhait. Ce qui nous intéresse ici, c’est l’efficacité réelle de nos divers états d’esprit. Nous désirons savoir ce qui est bon pour nous et rejeter ce qui ne l’est pas, un point c’est tout. Mentir aux autres n’est pas le problème, je vous l’assure, mais mentir au point de ne plus être capable de ressentir la vérité, pour soi et même en secret, alors là, ça commence sérieusement à craindre !

Une fois installé comme règle de vie (voir le mode de raisonnement déductif propre au subconscient) le mensonge nous coupe de notre ressenti et donc de notre Soi car ce dernier se manifeste surtout par ce que l’on ressent (et qui est censé provenir de lui, n’est-ce pas ?)

 

 

La conscience préfère toujours Abel à Caïn.

 

 
La vérité se résume toujours à ce que nous SENTONS, cela parce que ce que nous sentons est véritable, puisque nous le sentons en nous ! Et bien qu’il s’agisse de « notre vérité », de toute façon, nous ne pourrons jamais accéder à une autre vérité que celle qui passe par le filtre (plus ou moins propre) de notre mentalité. Pour nous, le ressenti est la plus haute forme de perception directe car elle passe par la conscience.

 

Et il n’est pas possible, pour nous, de prendre conscience d’une chose si elle n’existe pas au moins pour nous !

 

Lorsque nous étions petits, nos parents nous faisaient parfois sentir leur déception à notre égard. Par exemple, une promesse non tenues, un devoir mal (ou pas) fait ou une habitude mauvaise qu’ils pensaient que nous avions perdue (ben non, on mentait, comme eux, et toc !) Leur façon de nous faire sentir leur déception à notre sujet était soit « doucereuse », soit brutale, soit plaintive, soit vicieuse (piques, allusions, etc.)

Une fois devenus adultes, nous nous comporterons d’une certaine façon lorsque nous serons déçu par le comportement d’autrui. Cela parce qu’un tel comportement réveillera (ou évoquera) en nous des souvenirs liés aux diverses déceptions de nos parents à notre sujet. Soit nous reproduirons la manière toute particulière de réagir de nos parents, soit et à l’inverse, nous tenterons de nier ces réactions en nous comportant comme nous aurions aimé que nos parents le fassent avec nous.

 

Inutile de dire que, dans les deux cas, ce pauvre adulte ne l’est guère et que nous sommes devenus, avec le temps, se comportera d’une manière largement conditionnée.  En effet, réagir comme ou réagir à l’inverse de, cela revient à réagir et non à AGIR. Or, une individualité (du latin « Indivi » = Qui ne peut être divisé) est une chose insécable, unique et dont les actes sont sans antériorité, sans aucun schéma directionnel relatif au passé ou à l’expérience d’autrui.

Dès lors, nous ne saurons jamais comment nous aurions réagi en tant que nous et dans des conditions identiques à celles de notre enfance mais en occupant, à notre tour, ce rôle si délicat de parent ou d’éducateur. Et nous ne pourrons pas le savoir parce que ce que nous sommes devenus demeure conditionné par ce que nous avons vécu au contact d’autrui.
A moins que nous puissions nous libérer ce conditionnement.

 

 

Reproduire ou tenter de nier ?

 

 

Si nous repensons à la manière dont nos parents se comportaient envers nous lorsqu’ils étaient déçus par nos actes et si nous prenons le temps d’observer comment nous réagissons, à notre tour et aujourd’hui, lorsque une autre personne trahit nos attentes jugées « légitimes », nous en apprendrons bien plus sur nous-mêmes qu’en cinquante séances chez un psychiatre !

Et nous conserverons notre argent, surtout. Une fois les mécanismes éventés, une fois que l’on comprend pourquoi « maman faisait ceci » et pourquoi « Merde, je refais pareil qu’elle, au secours !!! » (lol) il reste à observer tranquillement, sans passion mais sans complaisance, notre degré exact de probité mentale (et non « morale. ») En clair, une fois que nous avons compris que nous reproduisons le comportement de nos parents ou que, et à l’inverse, nous essayons de nier leur influence « rien que pour les faire suer », reste à nous avouer si on tient à ce mécanisme ou s’il nous fait vraiment gerber.

 

Car ne vous y trompez pas : vous risquez d’être étonné lorsqu’il sera question pour vous de vous débarrasser d’une chose qui produit pourtant de la souffrance… Vous pourriez bien découvrir, horrifiés, que vous ADOREZ ces mécanismes et qu’il n’est pas question de les laisser tomber ! Mais même dans ce cas, vous aurez fait un grand pas : vous aurez repris le contrôle de votre vie et même vos souffrances passeraient alors immédiatement sous votre pleine et entière responsabilité. Et qui dit « redevenir responsable » dit du même coup « retrouver le pouvoir » car nous ne pouvons agir que sur ce qui nous appartient et dont nous avons la pleine responsabilité.

 

 

L’amour, une chose qui se mérite ?

 

 

Parlons à présent de ce qui fâche ou choque les frileux de l’esprit…  Il existe très certainement des enfants qui ne méritent pas l’amour inconditionnel que leur prodigue leurs parents. Suis-je dur ? Pas vraiment… En tout cas infiniment moins que ces petits morveux qui en font baver à leurs parents, cela parce qu’ils savent que ces derniers n’oseront jamais leur nuire et préfèreront plutôt souffrir en silence. « Par amour », diront-ils en grimaçant.
Et oui ! Il y en a pour tout le monde est le fait d’être objectif ne protège ni des déceptions, ni de passer pour « une personne mauvaise » en dénonçant le véritable mal chez les autres.

Il suffit d’être libre de conscience, objectif et honnête envers soi-même pour comprendre ces choses… Avoir de l’amour, de la compassion, vouloir jouer aux super héros de la spiritualité qui s’obstinent à aimer durant leurs séance journalière sodomie sans vaseline (lol), ceci est l’affaire des faibles, pas de ceux qui ont calmé les mouvements de leur propre esprit et peuvent donc voir les choses « en l’état » et d’un œil aussi détaché que viril.

 

Notez au passage que les plus grands mystiques n’avaient pas d’enfant ou s’ils en avaient, ils avaient cessé toute relation avec eux. Cela vous choque aussi ? Si oui, contrôlez par vous-mêmes et vous verrez bien. Pour les bouddhistes, revoyez donc la vie du Prince Siddhartha.
Ceux qui pensent que de bons parents « attirent » des enfants de M… et que des enfants merveilleux attirent des parents pourris ont parfaitement raison !
Cela dit, il n’est pas certain que ceux qui ont déjà trouvé cette synchro soient aussi capables d’en définir la raison logique sous-jacente. Et encore moins la Loi spirituelle qui se cache (à peine) derrière les faits.

J’arrêterai là mes propos, préférant encore répondre aux questions, commentaires et autres critiques qui, toutes, en ce qui concerne ces dernières, seront accueillies de la même manière : sans passion et avec cette objectivité qui n’est guère du goût des tempéraments par trop émotifs, dirai-je pour demeurer poli.

 

 

 

    Serge

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Le Détachement Spirituel

LE DÉTACHEMENT

 

 

Ou comment commencer à prendre possession de son esprit après dix minutes de lecture !

 

 

Les spiritualistes modernes ont une compréhension désastreuse de ce concept ésotérique. Que signifie ce terme « détachement » ? Et de quoi donc devrions-nous nous détacher ?
Du bonheur ? Du plaisir ? De l’argent ? De tout ce qui rend la vie terrestre supportable une fois qu’on y est ?

 

 

Un bien qui nous ferait du mal ?

 

 

N‘avez-vous pas la sournoise impression qu’on vous demande de vous « détacher » de tout ce qui est agréable et désirable ?
A moins qu’il ne nous faille vous détacher de tout ce qui provoque de la souffrance ? Tiens donc ! Et qu’est-ce qui provoque de la souffrance ?
Réponse : L’attachement ! Ben voyons !

 

On ne sait toujours pas ce qui nous « attache » et ce qui nous « détache« , en fin de compte. Qu’à cela ne tienne : il existe des gourous, des maîtres à penser et des institutions « sérieuses » à n’en plus pouvoir qui se chargeront certainement de nous faire savoir ce que nous devons faire.

 

L’idée de détachement provient évidemment du désir de faire cesser la souffrance. Les Bouddhistes nous proposent de nous détacher du désir, qui selon eux est « à l’origine de la souffrance. » Cela sans même réaliser qu’un tel but ne peut provenir lui-même que d’un ÉNORME désir : celui de de se détacher pour faire cesser la souffrance ! Gag !

 

 

Qui est responsable de notre souffrance ?

 

 

Partons de l’idée que ce désir de « détachement » provient en droite ligne du désir (on ne peut plus légitime et humain) de faire cesser la souffrance.
Il nous reste donc à définir cette souffrance, sa cause ainsi que la méthode qui permet de s’en libérer. De quoi souffrons-nous, pourquoi souffrons-nous et comment ne plus souffrir, en clair.

 

A la première question « de quoi souffrons-nous ?« , la réponse est évidente :

De dépendance à autrui.

 

A la seconde question « Pourquoi souffrons-nous ? « , la réponse est toute aussi évidente :

Parce que nous pensons que nous dépendons des autres pour exister.

 

A la dernière question « Comment ne plus souffrir ?« , la réponse s’impose d’elle-même :

Il faut cesser de penser que nous dépendons des autres pour exister.

 

Une loi spirituelle affirme que « Tout est double et avance par paires d’opposés. » Merci de noter le fait que le contraire (ou l’opposé) de nos trois précédentes affirmations est tout aussi valable ! Nous devons aussi et absolument arrêtez de croire que les autres peuvent dépendre de nous ! Bien que la chose puisse paraître logique, il m’a semblé utile de le mentionner tout de même.  😀

 

A partir de ce point, nous pouvons déjà proposer les grandes lignes d’une méthode capable de nous libérer de la souffrance morale.
Cette méthode doit être simple et facile à appliquer.
Elle doit également être logique et s’inspirer des lois spirituelles qui ont cet avantage de ne jamais varier et d’être reproductibles à volonté.

En effet, puisqu’une loi est invariable, chaque fois que nous y faisons appel, cela donne les mêmes effets et les mêmes résultats.
Ce qui, il nous faut bien l’avouer ici, est plutôt rassurant !

 

 

Construire sur de bonnes bases dès le départ.

 

 

Pour commencer, nous pouvons poser les bases de travail et de réflexion suivantes : La souffrance est un sentiment, pas une simple idée.
Puisqu’elle peut être ressentie, c’est qu’elle n’est pas illusoire.

Notre mental ne saurait prendre conscience d’une chose qui n’existe pas et ce, au moins pour nous ! Un sentiment provient toujours d’une pensée : la pensée est donc toujours à l’origine du sentiment de souffrance.

 

De plus, les lois spirituelles nous apprennent qu’à une même pensée sera toujours attaché le même sentiment de souffrance. Par exemple, chaque fois que vous pensez à un ami décédé, vous ressentez des émotions identiques.

Chacune de nos pensées est donc reliée à des sentiments bien précis et chaque fois que nous pensons la même chose ou de la même façon, nous ressentons la même chose ou de la même façon.

 

 

Personne ne désire souffrir volontairement.

 

 

Il est clair que personne ne désire penser à ce qui le fait souffrir.
La souffrance provient donc de formes mentales « involontaires » (ou mécaniques.) Autrement dit, il nous arrive de penser sans même le réaliser et sans réussir à tracer un lien direct entre ce que nous pensons et ce que nous ressentons alors.

Toutes les pensées sont faites d’esprit : la souffrance trouve donc sa cause première dans les mouvements de notre esprit.

 

Les initiés de l’Inde affirment que ce qui nous fait le plus souffrir n’est pas vraiment la pensée en elle-même mais plutôt le fait qu’elle varie sans cesse.
Ils nomment cela « les vritti« , c’est à dire et en français, les « modifications » de l’esprit. On pourrait aussi bien dire que le fait de « sautiller » d’une pensée à une autre engendre une forme de déséquilibre mental qui nous prédispose au stress, à l’anxiété, etc.

Il a été démontré que les personnes capables de se concentrer correctement et assez longtemps sur ce qu’ils sont en train de faire, sont également celles qui sont les plus équilibrées, d’un point de vu psychologique.

 

 

L’esprit, un excellent serviteur mais un très mauvais maître !

 

 

L‘esprit peut produire des pensées mais pas des sentiments : c’est donc en l’homme (et grâce à son système nerveux) que se manifeste la sensation de souffrance. L’esprit peut produire toutes les pensées, sans distinction de formes ou de qualités : c’est donc au niveau de la conscience de l’homme que peut s’établir cette distinction (le discernement) entre les pensées qui produisent des sentiments agréables et celles qui ne donnent naissance qu’à des sentiments désagréables.

L’esprit ne veut ni ne désire quoi que ce soit. Son rôle unique est de créer, de donner forme à toutes les idées possibles et imaginables. C’est donc à l’homme qu’il appartient de choisir les créations mentales (pensées) qui lui sont le plus bénéfiques. Cela, bien évidemment, en fonction de sa volonté et de ses désirs humains. Des désirs qui sont nécessairement « légitimes » puisque ils proviennent de sa façon de penser et de sa manière de vivre.

 

Si la volonté et les désirs sont orientés vers un idéal de bonheur, la présence d’un sentiment de souffrance dans la conscience, trahit également la présence de formes mentales totalement contraires à cet idéal (croyances, superstitions.)
C’est à dire des idées, des croyances, des doutes qui sont comme autant de poisons pour le mental puisqu’ils ont le pouvoir de nier notre prétention au bonheur.

 

 

Notre conscience se résume à notre univers mental.

 

 

L‘homme ne peut être conscient que de ce qui se trouve dans son propre mental et qui est produit par l’esprit. La souffrance est donc engendrée par des formes spirituelles qui se trouvent dans le mental de l’homme, et nulle part ailleurs.  C’est donc à la personne qui souffre et à elle seule, qu’il appartient de faire cesser toute forme de souffrance psychologique.
Les « autres » n’y sont pour rien, même si, bien souvent, ils jouent le rôle, bien involontaire d’ailleurs, de « Révélateurs » de cette souffrance qui est en nous.

 

L’énergie suit toujours l’attention mentale : en se concentrant sur les pensées qui produisent un sentiment de souffrance, on leur donne plus de force et de pouvoir encore. Il est donc de première importance d’apprendre à SE DÉTACHER immédiatement de toute pensée morbide, négative et, d’une manière générale, capable de produire, dans notre système nerveux, un sentiment de souffrance.

 

 

L’origine de la souffrance : Une question de concentration ?

 

 

L‘origine de la souffrance provient donc de l’attention mentale, inconsidérément accordée à des idées négatives puis maintenue sur elles et qui contrarient l’idéal de bonheur.
Présenté autrement, si vous conservez la fâcheuse habitude de rester concentré sur une pensée négative et donc désagréable, non seulement vous lui donnez plus de force mais, de plus, vous perdez un peu de votre propre vitalité !
En effet, c’est votre propre vitalité qui vient « nourrir » vos processus mentaux ! Et c’est votre attention mentale qui « canalise » (dirige) cette même énergie vitale en direction de telle ou de telle autre pensée. D’où l’intérêt de ne se concentrer que sur des pensées ou des idées agréables et saines !

 

 

Se détourner du mal pour donner la priorité au bien.

 

 

Pour faire cesser la souffrance, il suffit donc de SE DÉTOURNER de toutes les pensées qui contrarient l’idéal de bonheur, puis de se concentrer fermement sur leur opposé direct. Par exemple, l’inverse de la tristesse est la joie.

On nomme « L’Art de la polarisation mentale » la technique qui consiste à concentrer notre attention sur quelque chose de précis (pensée, idée, souvenir, image mentale, etc.) En général, il s’agit d’une chose opposée à ce qui pourrait produire un sentiment désagréable. Ainsi, on ne se concentre pas sur l’idée d’échouer mais sur l’idée de réussite totale et définitive.

En polarisant notre attention mentale sur une idée à la fois joyeuse et positive, nous transformons complètement la fréquence vibratoire de notre mental et lui permettons de se repolariser, (de redevenir positif et donc puissant.)
Ce qui lui permet ensuite d’attirer à lui des formes mentales semblables, correspondantes ou complémentaires, selon le cas et les besoins. C’est là l’un des fondements de la fameuse « Loi d’Attraction » si médiatisée.

 

 

Quand le cinéma vient à notre secours !

 

 

Lorsque j’étais plus jeune, il me suffisait de visionner l’un quelconque des épisodes de « Laurel et Hardy » pour me bidonner comme un gros malade !
Il nous est facile de faire appel à tout média, support ou technique moderne pouvant favoriser la repolarisation mentale.

Visionner un bon film comique, aller voir un pote ou lire une blague marrante sur internet lorsqu’on n’a pas le moral, peut nous aider à le retrouver.
Se concentrer de nouveau sur l’aspect positif et heureux d’une chose, d’une condition, d’une personne ou d’un lieu, est LA SEULE MANIÈRE d’appliquer le détachement spirituel avec un maximum d’intelligence et… D’efficacité !

 

 

La formule du Détachement spirituel.

 

 

Nous voici à présent en mesure de formuler correctement notre technique appelée « détachement. » Bien que l’énoncé de la loi spirituelle qui va suivre a été largement revu et corrigé pour le rendre plus « buvable« , j’ai pris malgré tout un vif plaisir à en conserver le rythme et le souffle uniques.
Voici donc l’énoncé de la Loi qui concerne le Détachement, sous une forme moderne, plus aérée et plus en rapport avec notre mentalité d’Occidentaux.
« Le détachement consiste à se désintéresser de toutes les pensées qui produisent un sentiment de souffrance, pour orienter fermement notre attention mentale sur toutes les pensées qui génèrent le plaisir. Le plaisir est le contraire de la souffrance, et la présence de l’un de ses deux sentiments, contrarie ou annule la présence de l’autre et réciproquement. »

 

Nous avons compris, désormais, que du choix de nous concentrer sur une idée négative et triste ou sur une idée positive et gaie, dépendra notre état d’esprit du moment et, bien évidemment, notre caractère ou notre manière de nous comporter en société.

Possédant la technique, il ne nous reste plus qu’à l’appliquer avec courage et conviction ! Il serait bon de créer un mécanisme, une habitude, qui nous permettra de virer immédiatement toute idée négative et morbide de notre mental puis de la remplacer sur le champ par une idée positive et vivante.

 

 

Jouer avec les couples d’opposés.

 

 

Il suffit généralement de prendre l’exact opposé d’une l’idée qui produit des sentiments embarrassants ou morbides, pour en annuler presque instantanément les effets ! C’est presque magique !

Retenez bien ceci : Notre mental ne peut pas se concentrer sur plus d’une chose à la fois.

Ainsi, tandis que notre attention se trouve polarisée (concentrée) sur l’idée de joie, il ne nous est pas possible de penser à la tristesse et donc, de la ressentir.
L’inverse est également vrai, bien évidemment.

Nous ressentons toujours ce que nous pensons !

Et nous ne pouvons pas penser une chose et en ressentir une autre.
En résumé, la connaissance des lois et des principes qui régissent le fonctionnement de l’esprit, peuvent grandement nous aider à améliorer notre quotidien et, si on s’en donne vraiment la peine, peut même transformer notre vie. Si vous avez des questions ou des commentaires, je demeure à votre disposition.

 

 

 

    Serge

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