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Se nettoyer de toute cette crasse

 

 

Inconscient CollectifL‘idée présentée ici est celle-ci : selon l’axiome « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, et réciproquement », s’il existe un inconscient collectif qui ressemble actuellement à une grosse poubelle géante, il doit bien exister un inconscient individuel, qui représente donc notre poubelle intime ! Et si nous désirons vraiment aider la planète nous pouvons déjà commencer à cesser de nous polluer nous-mêmes, dans un premier temps, puis essayer de nous dépolluer de tous nos abus passés concernant nos constructions mentales les plus morbides.

 

 

 

oeil4Plutôt que de me lancer dans de grandes théories compliquées, je vais me borner à vous raconter, en le résumant, ce que je fais moi-même lorsque j’aide les gens à se nettoyer, énergétiquement.

Ce témoignage me servira de base de travail au niveau purement intellectuel, à savoir l’énoncé des lois et des principes impliqués.

 

 

 

aimantLa prémisse de base est celle-ci : ce que l’on nomme notre poubellescorps astral est un aimant-poubelle qui attire toutes les formes astrales (émotions, sentiments, sensations, perceptions faussées, etc.) Bien entendu, il ne peut attirer que ce qui correspond à notre façon de penser. Le corps astral contient donc les poubelles auto produites (nos processus mentaux) ainsi que celles attirées, justement, par notre façon de penser et qui leur correspondent ou qui les complètent. C’est ce qui forme les poubelles induites, en somme.

 

 

 

corps astral3Ce fameux corps astral (comme nous dirions tout aussi bien « corps d’armée ») rayonne à l’extérieur sous forme d’une aura du même nom. (Astral vient du latin « aster » = « lumineux ») Dans cette aura, on peut « lire » (percevoir) l’origine de la plupart des problèmes émotionnels, des désordres psychologiques, etc. Selon les Principes de Polarité et de Vibration (voir mon étude sur l’Hermétisme, dans ce même blog), toute forme psychique vibre à une certaine fréquence et c’est cette fréquence qui détermine sa nature ainsi que sa polarité.

 

 

 

corps astral2A noter que si l’on augmente ou diminue cette fréquence, la polarité change en fonction des cycles vibratoires qui suivent une gamme bien précise.) Sachant cela, j’ai à ma disposition deux méthodes : « attirer » (pôle opposé) la forme morbide puis accélérer ses vibrations pour la détruire, ou bien la laisser en place mais augmenter sa fréquence, changer ainsi sa polarité et lui interdire de demeurer plus longtemps dans le corps astral de la personne soignée. Selon la loi impliquée, le plus (+) et le plus (+) se repoussent, le moins (-) et le moins (-) aussi, mais les plus (+) et les moins (-) s’attirent respectivement.

 

 

 

Qu’est-ce qui me fait choisir une méthode plutôt qu’une autre ? Le plaisir de faire sentir à la personne sur qui je bosse, des effets qui concordent avec ce que je me propose de faire. Lorsqu’une personne sent ce qui se passe, elle peut mieux le « conscientiser », suivre une partie du processus et m’aider à la débarrasser définitivement de ses problèmes. En somme, elle m’aide à l’aider et ça va beaucoup plus vite et on évite ainsi l’assistanat complet.

 

 

 

vibration2Bien entendu, à la partie purement énergétique se joint la partie psychologique. J’explique à la personne ce qu’il lui faut savoir sur ce qui se passait en elle, pourquoi cela se passait et ce qui s’y passera, désormais, si elle ne commet plus l’erreur mentale à la base de la présence, en elle, de la forme astrale morbide.

 

 

 

 

esprit-matiereCar il est bon de savoir que l’astral dépend en très grande partie du mental. Nous sentons toujours ce que nous pensons. Ou, présenté autrement, chacune de nos pensées s’accompagne nécessairement de sentiments et/ou d’émotions, dont la qualité et l’intensité dépendent, bien évidemment, de la nature de nos pensées et de ce qu’elles sont capables de faire naître en nous.

 

 

 

 

Nos pensées, même apparemment anodines, peuvent provoquer de violentes émotions en réaction, si elles viennent réveiller certains schémas dormants. Dit autrement, si ce que nous pensons vient alimenter l’un quelconque de nos « démons intimes » (schémas mentaux compulsifs) nous risquons, en réaction, d’avoir un comportement qui ne correspondra pas nécessairement à ce que nous avons pensé et ressenti. Du moins, en apparence.

 

 

 

subconscientNotre subconscience regorge de blessures profondes qui ont été mémorisées et qui n’attendent qu’une occasion favorable pour refaire surface et nous submerger en quelques secondes. C’est ce qui explique pourquoi, certaines personnes, ont une réaction démesurée en regard de ce que l’on a pu faire ou dire en leur présence.

 

 

 

 

Il est dit que Jésus chassait les démons des gens. Si c’était bien le cas, pourquoi prenait-il la peine de dire, après chacune de ses interventions : « Va, et ne pêche plus  » ?  Simplement parce que ce fameux démon ne dépendait pas de circonstances extérieures ou des caprices d’un présumé Prince des Démons. Le mot hébreu qui a été traduit par « pécher » signifie en réalité « mal viser«  et se réfère à la possibilité, pour le mental humain, de se tromper de « cible », de but ou d’adresse et donc, de ne pas toujours reconnaître quels sont ses propres intérêts.

 

 

 

autruche stupideEn effet, il nous arrive souvent de parler ou d’agir d’une manière qui ne sert pas vraiment nos buts. Quand cela ne s’oppose pas carrément à l’effet que nous désirions obtenir ! Or, nos paroles et nos actes découlent TOUJOURS de ce que nous pensons. Ainsi, « pécher » revient à se tromper de cible, à ne pas viser correctement en direction de ce ce que nous désirons atteindre ou obtenir.

 

 

 

Les émotions qui en découlent sont d’une nature démoniaque et peuvent nous nuire de différentes façons et, bien évidemment, nous rendre gravement malade, à la longue.

Chasser les démons revient donc à supprimer les effets cumulés de processus mentaux morbides ou destructeurs. Hélas, si la personne recommence à penser la même chose et de la même façon, elle produira de nouveaux des énergies hautement morbides et toxiques qui reproduiront les symptômes extérieurs de la maladie, du « démon », donc. C’est pour cela qu’une réforme psychologique devrait toujours accompagner un soin purement énergétique, car l’homme est un producteur de démons en masse ! Soigner le foie d’un alcoolique peut être utile, certes, mais le convaincre de ne plus boire est préférable !

 

 

 

affirmationsDans ma pratique, j’emploie donc des méthodes dites « psycho-énergétiques », car elles font aussi bien intervenir la psychologie que les énergies de guérison. Nous ne sommes plus à l’époque où l’homme peut se contenter de dire « Médecin, soigne-moi et laisse mon esprit tranquille avec ton savoir ! » L’assistanat est chose révolue ! Nous ne devons plus nous prêter à cette sorte de jeu risqué qui consiste à maintenir les « patients » dans l’attente de notre aide : nous devons les aider à se prendre en charge, voire les libérer de nous ! C’est ce que s’appliquent à faire tous les psychologues ésotéristes, même ceux qui sont également des thérapeutes (ce qui n’est pas nécessairement le cas.)

 

 

 

esprit5Il est également intéressant de savoir que notre façon de penser s’inscrit en réaction (effets morbides) sur la surface de l’aura astrale et peut se lire comme un livre ouvert. Lorsque je rencontre quelqu’un qui est en demande de soins,  je ne sais pas tout de suite à qui j’ai affaire. Juger serait d’ailleurs présomptueux de ma part. Mais je sais, par contre, comment fonctionne l’esprit et le cœur de cette personne, ce qui me permet de m’adapter à elle, ne pas la faire réagir par la différence vibratoire, si je ne désire pas l’aider ou, au contraire, augmenter ma propre fréquence, si je sens que la personne est ouverte à l’aide bienveillante et désintéressée.

Par désintéressée, je n’entends pas nécessairement œuvrer en toute gratuité, même si, dans mon cas, ce fut souvent le cas et que ça l’est encore quelques fois. Ici, l’intérêt qui se doit d’être absent, se résume à ce besoin de pouvoir sur autrui, d’ascendance psychologique.

Méfiez-vous toujours de l’apparente  » gratuité  » qui pourrait bien vous coûter, en fin de compte, la peau des fesses de votre âme !

 

 

 

charlatansNous savons, le lecteur et moi, que certains praticiens peu scrupuleux, font un peu durer le plaisir et collectionnent les séances de soins comme d’autres les timbres postes. Bien sûr, il est rare qu’une personne soit guérie en une seule séance, j’en convient, mais si le nombre de séances est supérieur à ce que le bon sens entérine, alors le récipiendaire (le patient) est en droit de se poser des questions. Ne serait que sur l’efficacité de la méthode employée et en ce qui le concerne du moins. Ceci n’est pas valable en ce qui concerne les traitements de fond ou de long terme, en cas de maladies très lourdes, évidemment.

 

 

 

J‘attends vos réactions, vos questions et vos commentaires. Et si cela se justifie, lorsque je serai assuré que mes lecteurs ont capté l’essentiel de la partie purement théorique de ce sujet (corps astral), nous passerons alors à un petit exercice pratique très simple mais non moins efficace, non pour permettre au Moi-Idéalisé de se mettre à briller plus fort encore, mais pour laisser briller, en nous, cette Lumière, cet « Aster » primordial (Akasha) que nous avons terni, comme des polissons que nous sommes.

 

(Note : la proposition faite d’exercice en fin de cet article, n’est désormais plus d’actualité.)

 

 

Serge Baccino

Licence Creative Commons
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Tourner l’épaule

[Note au lecteur de passage : Cet article est tiré, en partie, d’un long post écrit dans la partie privée du forum de l’association culturelle dirigée par mon épouse, qui enseignait, jusqu’à peu de temps en arrière, les techniques de développement personnel et dont la première phase consiste à passer en revue tout ce qui nous limite afin de nous en débarrasser. Sachant que certains ont une attraction morbide pour tout ce qui est sombre et négatif, il m’a paru naturel de placer ici une partie de ce texte qui indique que ceux qui, depuis des années, se concentrent sur ce qui ne va pas en eux afin de pouvoir le dépasser, doivent, à un moment, inverser les polarités et ne se concentrer que sur le pôle opposé, c’est à dire sur tout ce qui est déjà bon et installé en soi et ce, afin de le faire grandir.]

 

 

712vbcylIl y a quelques temps de cela (écrit en 2010), je faisais allusion au fait que, très bientôt, il nous faudrait « inverser les polarités » en ce qui concerne le sens et l’objet de notre attention mentale, à ce qui a trait à notre évolution.

Jusqu’à présent, le plus difficile était, pour un homme désireux d’évolution, d’avoir le courage de se concentrer sur tout ce qui ne va pas, en lui (PRP) ceci afin de connaître les causes profondes à ses diverses souffrances intimes.

 

Désormais, il va falloir à ce même homme un courage tout aussi grand mais complètement opposé, lui permettant de se concentrer exclusivement sur ce qui est positif, déjà installé, qui marche bien, qui n’a aucun besoin de réforme, etc.

Un changement de pôle nous intimant de tourner l’épaule et… De voir ailleurs si nous y sommes ! Le pieds, direz-vous ? Faut voir ! Et si cette new version s’avérait aussi difficile, sinon plus, que la précédente ?

 

 

 

pensee-positivePourquoi ces changements ? Pourquoi une méthode éprouvée sur des milliers d’années, se mettrait-elle brusquement à ne plus marcher ? Existe-t-il des raisons intérieures ou extérieures à ce revirement ?

Est-ce qu’il existe, là aussi, des méthodes, des astuces, des moyens d’enclencher ce nouveau processus, de produire de nouveaux réflexes, etc. ? Si le sujet vous interpelle, nous pouvons le développer ensemble (ici, sur ce blog et grâce aux commentaires) et comprendre ainsi beaucoup de choses qui, sans certaines clefs, nous demeureraient obscures, du moins pour quelques paires années.

 

Vous remarquerez d’ailleurs que certaines des anciennes techniques, méthodes, astuces, etc., données sur le forum de Lætitia ou même ailleurs, semblent ne plus fonctionner ou offrir des résultats décevants.

Les anciennes techniques ont perdu l’essentiel de leur pouvoir de vous assister dans votre démarche ascendante, pour me résumer.

 

 

indexSi vous avez pu le remarquer vous aussi, c’est que déjà, elles ne vous servent plus. Mais si vous insistez à les employer tout de même, alors c’est vous qui vous mettrez à les servir ! Et à servir tous les « retardataires » qui désirent conserver une avance et un pouvoir sur les autres, qui leur paraît avoir été « chèrement acquis. »

 

 

 

Serge Baccino

Licence Creative Commons
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

L’éducation et les lois spirituelles

L’éducation et les lois spirituelles

 

 

L‘un des sujet favoris des psy éso est l’éducation.
C’est également sur ce sujet que les psy éso se montrent les plus agaçants possible ! En effet -et pour parler franc- les psy éso pensent que les spécialistes de l’éducation des enfants s’y prennent comme des manches !
D’ailleurs, si leur méthode était si bonne que cela, il y aurait bien moins de jeunes loubards dans les rues et nous devrions bien moins faire semblant de ne pas voir la réalité en face.

 

Mais bien que leur méthode ne soit pas efficace, se sont encore et toujours les mêmes qui conservent « le pouvoir de faire changer les choses ou de les laisser stagner. » Une méthode qui MARCHE, qui a fait ses preuves, mérite de perdurer, de devenir « l’étalon modèle » d’une société qui se veut prospère.
Au lieu de cela, que voyons-nous vraiment ?
Des parents désabusés, qui ont baissé les bras et sont complètement découragés en réalisant que leurs efforts en vue d’élever leurs enfants et de leur transmettre certaines valeurs humaines, se soldent souvent par un échec.

 

Et ceux qui ont réussi, me rétorquerez-vous passablement outrés car piqués au vif en tant que parent ? Réussi à quoi ? A avoir des enfants qui se sont élevés seuls et étaient, de toutes façons, déjà formés et éveillés dès leur prime adolescence ?
Formez un jeune athlète qui s’ignore aux jeux olympiques puis essayez la même chose sur un homme handicapé et dans un fauteuil roulant et vous comprendrez !

 

Avons-nous le pouvoir de faire changer les choses ? Si les « autorités compétentes » ne réagissent toujours pas, c’est qu’elles ont très peur de devoir avouer leur propre incompétence à répondre aux besoin réels du peuple.
Pour mémoire, notre actuelle manière de concevoir la « Démocratie » se résume à voter pour des gens qui, ensuite, décideront à notre place et en notre nom, de promulguer des décrets (ou des lois) susceptibles de nous protéger et de faire respecter la liberté et le bien-être de tous.
Mais est-ce vraiment le cas, concrètement ?

 

Qui détient le pouvoir et en abuse sans même plus prendre la peine de se cacher ? Ceux qui pensent que tout va pour le mieux dans le meilleurs des mondes devraient courir, de toute urgence, chez un bon Ophtalmo !
Pour les moins frileux de l’âme, pour ceux qui n’ont pas froid aux yeux et osent regarder la réalité en face, la réponse est bien évidemment celle-ci :
NON ! Cela ne marche pas et, d’ailleurs, cela ne marchera jamais !
Du moins, tant que les gens n’accepteront pas de s’avouer deux vérités humaines essentielles :

 

1. Chacun ne pense en réalité qu’à sa propre gueule et les autres ne servent que de prétexte extérieur pour arriver à des fins individuelles précises.

 

2. Personne ne veut voir la vérité en face car chacun craint de devoir ainsi se remettre en cause à chaque instant et pour chaque domaine de la vie.

 

Évidemment, l’une des répliques les plus succulentes -et les plus ringardes aussi- des inconditionnels de notre chère « Raie Publique » (lol) est celle-ci :
« Et toi, qu’as-tu à nous proposer de mieux, beau parleur prompt à la critique mais pauvre en la méthode ? »
(Oui, les pleutres ont parfois un langage des plus châtié !)
Le problème n’est jamais de trouver des solutions mais de se donner le pouvoir de les appliquer.  Ou de s’autoriser à agir enfin.
Car il est inutile d’attendre de le recevoir de la main de ceux et de celles qui ne le lâcheront jamais et pour rien au monde !
L’évolution préférable à la révolution.
Autant dire que les « beaux parleurs » seront forcés de le demeurer, faute de pouvoir démontrer qu’il est toujours possible de faire mieux.
Nous pouvons transformer notre vie et à notre propre niveau mais pour transformer une société, il faut être plus nombreux.
Ainsi, pour  » faire mieux « , il est absolument nécessaire que le pouvoir puisse changer de mains.
Mais pas « changer de mains » dans le sens de passer des mains de la droite à celles de la gauche, toutes deux composées d’hommes et de femmes qui ne songent qu’à leur propre nombril.
Ce qu’il nous faut, peu importe les origines et appartenance politique, ce sont des êtres humains véritables, des hommes et des femmes qui acceptent de se mettre à la place des autres et qui refuseraient de faire aux autres ce qu’ils ont horreur que l’on fasse à eux-mêmes.

 

Mais avez-vous déjà rencontré un Tyran qui accepte de céder sa place à meilleur que lui ? A « meilleur tyran » que lui, certes, il en existe, mais à MEILLEUR tout court, il n’en existe pas car dans le cas contraire, il ne s’agirait pas d’un tyran mais d’un grand sage.

 

Donc, et pour le moment, nous ne parlerons de « solutions » à court terme car ces dernières nécessitent que le pouvoir soit réellement rendu au peuple et ne soit plus entre les mains crispées de vieillards décrépis et aigris dont l’avenir repose sur l’inexistence forcée des autres. Réagir ne serait-ce qu’à notre humble niveau est déjà une révolution en soi !

 

Nous allons plutôt parler « d’astuces » à appliquer en famille et individuellement et à ne pas mettre sous les yeux des « spécialistes diplômés d’État » qui, par nécessité, sont obligés de se ranger du côté du plus fort s’ils désirent conserver les avantages sociaux relatifs à leurs postes.
Donc, homme de pouvoir, tu es prié de cesser de lire à ce point de mon article et d’aller boire un café en méditant sur une manière novatrice pour prendre au peuple cela-même que tu lui a promis, afin d’accéder au pouvoir.

 

Plus sérieusement, sachez que plus une méthode d’enseignement fait hurler un spécialiste des enfants, plus elle est susceptible d’être efficace et donc, de démontrer l’incompétence de ceux qui ont des diplômes à la place d’un cœur et des programmes à suivre à la place du cerveau.
La véritable psychologie de l’enfance est invariable car elle est relative au fonctionnement de lois spirituelles bien spécifiques et invariables elles aussi.
Ces lois s’appliquent de ce fait à TOUS les enfants, quels qu’ils soient, bien que les effets, en terme de qualité et de « réponse dans le temps », puissent varier d’un enfant à un autre, bien évidemment.

 

Les enfants sont intuitifs et non intellectuels. Du moins, au départ.
Ils sont donc tout naturellement guidés par les lois spirituelles et n’ont aucune raison de s’y opposer.
Certains enfants naissent avec un caractère déjà formé.
Le mieux, dans ce cas, c’est de leur offrir ce dont ILS ont vraiment besoin, et NON ce dont Vous croyez qu’ils ont besoin.
De toutes manières, dans le cas contraire, les résultats seront aussi catastrophiques pour l’adulte que pour l’enfant.
Bien que ce sera l’enfant qui en pâtira le plus et en fin de compte.
Voyez si c’est là un de vos buts visés !

 

Un peu de technique pour techniciens de l’esprit !

 

Passons à présent à une partie un peu plus technique.
Nous progresserons lentement et, si cela s’avère nécessaire, nous découperons ce présent article en plusieurs morceaux afin d’en faciliter la lecture.
Question : pourquoi les parents sont généralement énervés et stressés lorsqu’ils doivent sévir avec leurs enfants ? En voilà une question qu’elle est bonne, non ? (En français dans le texte.) La réponse est évidente et, comme souvent, se trouve sous notre nez, comme on dit.

 

Savez-vous ce qu’est une « DDP« , en électricité ?
Ce une « Différence De Potentiel »
Lorsqu’une chose est « plus chargée » qu’une autre, on parle alors de différence entre le potentiel énergétique (sa charge) de l’une par rapport au potentiel énergétique de l’autre.
Dans le cas qui nous concerne ici, qu’avons-nous exactement ?
Nous avons d’un côté un parent qui essaye d’enseigner « les bonnes manières » à son enfant parce qu’il est persuadé que cela est juste et bon, et de l’autre côté, nous avons un enfant qui n’en a rien à braire et qui se réjouit à la seule idée de n’en faire qu’à sa tête !

 

Conserver toujours une vision dépassionné du sujet.

 

Vous voyez mieux le tableau une fois dépeint selon une vision dépassionnée qui n’est ni « pour » l’adulte, ni « pour » l’enfant mais juste « pour » ce qui existe et se passe  » dans l’actualité  » ?
Selon cette loi, ce « principe de polarité », vous êtes le pôle qui es « chargé à fond », par rapport à l’enfant qui, lui, est complètement « déchargé. »
Ici, la « charge » correspond à un savoir donné (ce qu’il faut ou non dire ou faire en société, par exemple.)

 

Quels que soient le but, le motif et les moyens invoqués, lorsque vous tombez sous le coup d’une loi (ou l’employez sans même le réaliser), vous devez à tout prix suivre les directives de cette même loi sinon, vous courrez à l’échec, au mieux et à la catastrophe au pire.
Sans doute serez-vous quelque peu étonné d’apprendre que la plupart de nos actes tombent tout naturellement sous le coup d’une ou de plusieurs lois.
Il ne devrait pas vus paraître difficile d’en comprendre intellectuellement l’énoncé.

 

C’est après que cela se corse, comme on dit à Ajaccio !
L’homme a créé de hautes murailles dans son mental, de véritables forteresses de certitudes, comme le dit un poète méconnu (==> Serge Baccino ^^)
Nombreux sont ceux qui croient que ce qui appartient à un domaine précis, doit nécessairement tomber sous le coup d’une loi différente de tout ce qui appartient à un autre domaine tout aussi précis et différent.

 

Les lois spirituelles omniprésentes dans notre vie.

 

En réalité, l’essentiel de ce que pense, dit ou fait un homme, dépend d’une loi spirituelle ou d’une autre et est totalement régit par elle !
C’est l’action de cette Loi qui fait « réussir » ou bien « échouer » nos plans.
Comprenez-vous que je suis en train de vous dire que non seulement le hasard n’existe pas mais que, de plus, il est fort probable que vous n’ayez jamais « réussi » ou « raté » quelque chose que vous ayez entreprit en méconnaissant totalement l’existence de ces lois spirituelles ?

Relisez ces trois dernières phrases car elle valent leur pesant d’or, en terme de connaissance spirituelle.

 

L’homme qui ignore comment fonctionne son propre esprit, ignore du même coup qu’il n’agit pas vraiment mais que ce sont des énergies spirituelles (lois) qui agissent pour lui, à travers lui et… A sa place ! C’est un peu comme si vous aviez l’habitude de faire la sieste au soleil et en maillot de bain, tout en ignorant les effets de l’exposition au rayonnement de l’astre solaire.
Vous pourriez en arriver à croire que « vous vous faites bronzer la peau » (sic) alors qu’en vérité, c’est le soleil qui fait cela pour vous et à votre place !

Celui qui ignore les lois du fonctionnement de l’esprit, vit sa vie comme il jouerait une partie de dés !

 

Il est naturel et compréhensible qu’il en arrive à croire ensuite au destin », au « hasard », à « la chance », etc. Toute notions aussi abstraites que fausses qui disparaissent dès que nous remplaçons l’ignorance par la connaissance.

Par la connaissance des lois et des principes qui régissent le fonctionnement de l’esprit.

 

Une célèbre phrase dit «Homme, connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les Dieux.» Cette phrase qui ne fait que deux mots, en Grec, était gravée sur le fronton du Temple de Delphes, en Grèce. On serait en droit de se demander par quel miracle le fait de se connaître soi-même pourrait ainsi nous instruire sur tout le reste !
Et pourtant ! Lorsqu’on a compris que notre esprit est le même que celui de tous et qu’il fonctionne donc de la même manière que pour tous les autres, connaître le fonctionnement de notre esprit, revient à s’offrir la capacité de comprendre et de connaître tout le monde.
Dès lors, nous commençons à pressentir l’existence d’une formidable vérité.
Une vérité qui nous laisse admiratif et infiniment plus libres et en paix qu’auparavant. Mais revenons au sujet de l’éducation des enfants par des adultes qui ne connaissent rien aux lois mentales (ou spirituelles)

 

Nous avions laissé un adulte qui essayait de transmettre sa connaissance du « bien vivre en société » à son enfant. Nous avons compris que lorsque deux personnes discutent (ici un adulte avec un enfant), celle qui sait le plus de choses est également celle qui est le plus « polarisé », c’est à dire celle à partir de laquelle l’énergie pourra circuler du pôle plus au pôle moins.
C’est donc vraiment comme en électricité, et comme, par exemple, les deux bornes de la batterie de notre automobile.

 

Ne pas toucher aux pôles !

 

Il est évident que des deux, l’adulte est celui qui est le plus polarisé (instruit) en « savoir vivre » et l’enfant est celui des deux qui l’est le moins. Ou qui est le plus privé de conditionnements mentaux, en fait ! L’adulte s’imagine donc qu’en étant lui-même le pôle à partir duquel circulera l’énergie, il réussira à repolariser l’enfant et ce, afin de le rendre identique à lui.
Le but inavoué est donc d’en faire une copie conforme de son père (ou de sa mère, pour une fille) Et même si ce n’est pas là le but poursuivi sciemment, c’est du moins le résultat que cette méthode pourrait donner si elle venait à être couronnée de succès.

 

Hélas ! Trois fois hélas ! (Hélas, hélas, hélas, donc) Ce n’est pas ainsi que les choses se passent dans les faits ! L’idée première étant de faire circuler l’énergie d’un pôle à un autre (enseigner, éduquer), le subconscient des deux parties (l’adulte et l’enfant) va donc faire en sorte que cette même circulation d’énergie DURE le plus longtemps possible.

Pourquoi cela ? Parce que c’est l’un des rôles du subconscient de faire durer tout ce qui produit du plaisir. Et il est plaisant et valorisant, pour un enfant, d’avoir un parent… Qui s’occupe de lui ! (et qu’importe de quelle manière.)

 

Bien sûr, l’adulte croit agir dans l’intérêt de son enfant. Son but est de l’éduquer, de le former, de lui apprendre « les bonnes manières », et ce, en fonction de ce que l’adulte a lui-même appris et qui l’a aidé à devenir ce qu’il est devenu. En somme, cela revient, pour cette adulte, à SE reproduire mentalement dans son propre enfant et donc d’en faire un fac-similé.
Il nous faut bien comprendre arriver à cette partie de cet article, que :

Quels que soient nos buts et motivations, le subconscient réagira en fonction des lois spirituelles et produire donc des effets qui correspondront à ses mêmes lois et pas nécessairement à nos attentes, toutes légitimes qu’elles soient par ailleurs.

 

Remplacer le devoir ou l’obligation par le plaisir de savoir enfin.

 

La plupart des adultes qui ont des enfant désirent sincèrement remplir leurs devoirs et obligations de parents. Et l’un de ces devoir qui n’est d’ailleurs en rien « une obligations », consiste à faire circuler le savoir. De le faire circuler d’un pôle + à un pôle – et non de changer la polarité d’origine.
Et c’est ce qu’un parent inattentif aux lois de l’esprit, peut réussir à produire s’il essaye de «se transmettre» (dans le sens de se déverser) au mental de son enfant. Un enfant qui n’a nul besoin de reproduire son père (ou sa mère) mais qui a un besoin urgent de se connaître lui-même.
Du moins, de se connaître tel qu’il serait si on lui laissait la chance d’être ! D’être lui-même et non pas cette pâle photocopie ratée de l’un quelconque de ses parents, voire des deux à la fois !

 

Notre subconscient raisonne par déduction et par association d’idées.

 

Notre subconscient raisonne par déduction et par association d’idées. Il perçoit immédiatement tout ce qui nous tient à cœur et aussi bien ce qui nous réjouit que ce qui nous terrorise. L’un de ses rôles pourrait s’identifier à celui d’un serviteur aussi docile qu’attentif à satisfaire la moindre de nos requêtes.
Toutefois, son principal « défaut » est qu’il est incapable de discernement.
C’est à la conscience objective (ou « de veille ») qu’il appartient de juger, de réfléchir, de mesurer, de peser et de prévoir. Le subconscient est incapable de mesurer les conséquences de ce que nous réclamons de lui et ce, plus ou moins consciemment.

 

Un allié précieux.

 

Notre subconscient fera toujours tout son possible pour nous faire plaisir, pour accéder à nos requêtes, mais il ne peut pas fonctionner à l’encontre des lois spirituelles. Ne pouvant transformer un enfant/ignorant en un adulte/connaissant (ni même d’ailleurs un « adulte/connaissant en un « enfant/ignorant »), il choisira l’option la plus logique : faire durer le plaisir !
A savoir, faire durer l’échange énergétique et psychologique, cette transmission de savoir. Et c’est cela qui tisse des liens parfois difficiles à gérer, plus tard et dans la vie relationnelle enfants/parents. En effet, arrivé à l’âge adulte, cette transmission d’énergie ininterrompue qui s’écoule toujours du « pôle parent » au « pôle enfant » peut devenir pesante pour ne pas dire mieux.

 

Ainsi, l’énergie va circuler sans cesse entre les deux pôles (adulte-enfant)sans jamais cesser et, plus fâcheusement encore, sans jamais parvenir à réaliser ce qui était préalablement visé comme but : instruire l’enfant ! Comprenez-vous bien ce que je suis en train de vous révéler ici ? Et, surtout, tout ce que cette révélation apparemment anodine implique ?
Bien sûr, l’adulte pourra se convaincre qu’il a bien remplit son rôle. En fait, il aura en effet essayé et l’enfant pourra alors apprendre à tricher et à faire semblant d’avoir était correctement éduqué.


Mais tout ceci sera aussi illusoire qu’inutile.
Vous doutez ? Alors observez les adultes qui composent actuellement notre société et dites-moi honnêtement si, au volant et sur les routes, par exemple, ils se conduisent VRAIMENT de la manière qui a leur a été enseignée !
Vous doutez moins, maintenant ?

 

Commencer par changer notre propre monde intérieur.

 

Voyons à présent non pas «la solution», puisque nous n’avons aucune reconnaissance officielle ou pouvoir de décision à notre disposition, mais une astuce.
Une astuce que vous pourrez d’ailleurs mettre directement à l’épreuve quand vous voudrez et si, bien sûr, vous avez des enfants de moins de 17 ans sous votre responsabilité. Car après dix-sept ans, les enfants se désintéressent du degré de véracité de ce que leur inculquent leurs parents et se terminent seuls, pour ainsi dire.

Cette astuce repose sur une loi spirituelle qui explique que : «La nature humaine fonctionne par mimétisme et ce, aussi longtemps que l’intellect, formé par la mémoire de ce qui est appris et retenu, ne vienne détourner l’attention mentale d’un individu des objets extérieurs pour la concentrer sur ses propres processus mentaux.»

Traduction : De la naissance jusqu’à ce que l’éducation perturbe le fonctionnement naturel de l’esprit de l’homme, l’attention est presque exclusivement orientée vers l’extérieur et les évènements qui s’y déroulent.

Une fois éduqué, un adulte aura son attention mentale détournée vers ses processus mentaux et ne saura plus vraiment distinguer «ce qui se passe au-dehors et dans l’actualité» de tout «ce qui se passe au-dedans et au sein de sa réalité personnelle.» Vous comprenez ?

 

Observez les jeunes enfants : on pourrait croire qu’il passent le plus clair de leur temps à découvrir le monde ! Pour eux, tout n’est qu’une excuse supplémentaire pour découvrir le monde et, surtout, pour jouer ! D’ailleurs, ce jeu ne leur sert à son tour que d’excuse pour découvrir comment ça marche, comme fonctionne ce monde extérieur si fascinant.

 

La nuit venue, les bambins insouciants tombent dans un profond sommeil durant lequel tout ce qui a été découvert et observé, durant la journée, sera passé en revue, classifié et précieusement archivé par la mémoire subconsciente.

Et c’est tout ce que l’enfant aura découvert et rencontré vraiment qui formera plus tard son monde réel, et non ce que des parents surtout soucieux de remplir correctement leur rôle et des éducateurs surtout soucieux de conserver le leur, lui auront inculqué de force, de la manière que l’on gave les oies d’élevage.

 

Quand l’art du Mime devient enfantin.

 

Le mot a été lâché quelques lignes plus haut : MIMÉTISME.
Nous sommes à peu près tous persuadés de connaître ce mot et d’en comprendre le sens général. Mais sommes-nous bien certains d’en connaître les diverses implications psychologiques ?

Une petite fille va tenter de copier sa mère, d’en reproduire les gestes et attitudes (Mudra, en sanskrit) et enfilera ses chaussures à talon, mettra ses robes et tentera de suivre le tracé de sa petite bouche avec le rouge à lèvres de maman. Le petit garçon, de son côté, adorera suivre son père dans l’atelier pour le voir travailler et, si possible, pour lui emprunter certains outils susceptibles de lui couper un doigt ou deux au passage.

 

Pour nous, c’est cela, le «Mimétisme» et uniquement cela. Quelques-uns penseront à faire allusion à cette mode à laquelle succombent un nombre effrayant de jeunes et qui consiste à se prostituer moralement pour devenir «une star» en une semaine et remplir tous les écrans de télévision.
Mais pour la plupart, le mimétisme, c’est ce qui consiste à copier ceux que nous aimons ou admirons, un point c’est tout.

Mais ceci n’est que la partie émergée de l’iceberg ! C’est seulement «Le principe du centième singe» mais hélas, revu et corrigé puis enseigné par une scientifique, c’est à dire une personne programmée à ne voir et ne retenir que ce qui coïncide avec ce qui se trouve déjà dans sa tête ou qui n’en dérange pas trop l’admirable ordonnance.

Autant dire que les découvertes ne dépasseront pas notre besoin de réussir à tout étiqueter et de nous sentir ainsi plus rassurés.

 

Un enfant ne va pas se contenter de reproduire bêtement les gestes et attitudes (Mudra) des membres adultes de sa famille : il va surtout se mettre dans leur peau pour comprendre ce qu’ils ressentent, pourquoi et, surtout, s’il est légitime pour eux de suivre leurs traces. C’est cet aspect beaucoup moins connu de l’enfance qui nous intéresse ici.

 

Ne pas prendre les canards du Bon Dieu pour des enfants sauvages !

 

Bien que les enfants soient considérés comme étant sans vice, il ne faut pas non plus les prendre pour des tarés ! Par exemple, si vous leur interdisez de fumer, de boire de l’alcool ou bien encore d’employer des mots grossiers, il faudra alors leur expliquer pour quelles raisons vous pouvez vous-mêmes fumer, boire et jurer comme un véritable charretier !
Leur intention ne sera pas de «défier votre autorité», comme vous pourriez être tentés de le croire, ou encore de vous placer dans une situation psychologique inconfortable : ils n’ont pas d’intellect assez développé pour être déjà aussi cons !

 

Leur position est simple et sans détours : Pourquoi devraient-ils ne pas faire certaines choses considérées comme mauvaises ou indésirables alors que votre comportement à vous démontre que ces mêmes choses sont en vérité bonnes et désirables ?

A moins de leur expliquer que vous êtes totalement abruti et incapable de vous appliquer à vous-mêmes une hygiène de vie que vous tentez de faire admettre à vos enfants !

 

Des réponses-bateaux du genre : «Cherche pas à comprendre et obéis !» et «Parce que toi tu es petit et que moi je suis un adulte!» vous feront perdre définitivement toute crédibilité aux yeux de vos enfants. Bien sûr, ils ne l’intellectualiseront pas ainsi, mais réagiront désormais en fonction de cette  version de vous-mêmes que vous leur avez imposée.

Ils seront sans aucun doute déçus et chercherons, intuitivement, d’autres méthodes d’apprentissage, voire d’autres personnes à mimer. Sans doute que vous non plus ne réaliserez pas tout de suite ce qui vient de se passer. Ce n’est que bien plus tard que, à leur tour, ils vous manqueront également de respect mais à leur manière.

 

Nos actes instruisent bien mieux que de belles paroles.

 

Comprenez bien ceci : vos enfants se moquent comme de l’an quarante du pouvoir relatif autant qu’illusoire que les adultes prêtent aux mots prononcés ! Eux ne se fient qu’à l’évènementiel et ne sont capables de comprendre que par reproduction de faits extérieurs avérés.

En clair, ils doivent voir ce que vous leur dites ou, si vous préférez, en avoir la preuve formelle, extérieure et concrète. Intuitivement, ils compareront toujours ce que vous dites aux faits, à vos actes et donc, à tout ce qui se passe vraiment et sous leurs yeux.

 

Si vous leur enseignez une chose mais en faites une autre, ils retiendront uniquement vos actes et se désintéresseront de vos paroles. Les paroles et le sens qui doit leur être prêté, ne s’adresse qu’à un intellect correctement formé (ou plutôt déformé, mais bon )
Et les enfants n’ont pas ET NE DEVRAIENT JAMAIS AVOIR un intellect de formé, du moins pas avant la fin des sept premières années

Il n’est pas dans mes intentions de rentrer dans les détails à propos de cette dernière assertion car il nous faudrait alors évoquer des sujets assez complexes concernant le fonctionnement naturel de certaines glandes endocrines, dont l’activité décroît rapidement entre l’âge de cinq et de sept ans.

 

Réfléchir sur l’image projetée sur nos enfants.

 

Il est bien plus important de se souvenir, par exemple, que si les deux parents sont des personnes stressés en permanence, l’enfant le deviendra aussi. Sauf si son chemin de vie ou sa trajectoire spirituelle n’avaient pas prévu ce trait de caractère et qu’il puisse fortement contrarier ses buts.

Instruire un enfant d’une manière intensive ne sert à rien, du moins les sept première années. Vos enfants vous observent avec une acuité extraordinaire au vu de leur âge et agiront et réagiront toujours EN FONCTION de votre propre comportement, et non de ce que vous attendez d’eux.
Même si l’envie vous prend de les rouer de coups.
Toutefois, s’il leur est fait violence, ils feront mine d’obéir à vos paroles puis chercheront à vous mentir et même à vous manipuler, dès que leur âge ou leur développement mental le leur permettra.

 

Les enfants apprennent très vite à mentir car les parents mentent sans arrêt à leurs enfants, prétextant en cela qu’ils sont trop jeunes, trop fragiles, etc. En fait, les enfants sont souvent une bonne excuse pour permettre à leurs géniteurs de se trahir en toute quiétude et avec une raison valable aux yeux de tous. Mais même s’il est universellement partagé et admis, un mensonge ne se transforme pas pour autant en vérité !

Les enfants sont des machines à dire la vérité; c’est pour cela que, dans un magasin, ils vous mettent la honte en vous demandant à voix haute :

« Dis, maman, pourquoi elle est si grosse, la dame, là ? »
Ils font ce genre de chose car ils captent intuitivement que les adultes partagent souvent des secrets qui leur bouffe l’âme. Et vous savez à quel point les enfants peuvent se montrer curieux !

 

Et vous, qu’est-ce que vous en dites ?

 

Voilà un premier jet au sujet de l’éducation des enfants, selon les psychologue ésotéristes. Plutôt que de poursuivre sur le même rythme, je préfère vous inviter à participer à un échange convivial sous la forme de commentaires, ce qui sera sans doute bien plus enrichissant, pour vous et pour moi, que de nous borner moi à écrire et vous, à me lire.


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Conscience d’acte et conscience de sa propre valeur

Conscience d’acte, conscience de sa propre valeur…

Il semblerait que l’une des plaies de notre société moderne soit la perte de certains repères fondamentaux. L’un de ces repères psychologiques fondamentaux est le sens de notre valeur personnelle. Si nous ignorons notre valeur réelle, nous ignorons du même coup quelle peut être notre place légitime au sein de la société en général.

En clair, les gens ont perdu le sens de leur valeur véritable. Ils ne savent plus ce qu’ils valent vraiment ! Du coup, soit ils se surestiment, soit il se placent volontiers plus bas que terre. Cela se manifeste d’une manière tristement évidente au niveau de la jeune génération.

Et bien que chaque jeune y réagisse soit en argumentant sans cesse sur sa valeur présumée, soit en accusant autrui de ne pas accepter de la reconnaître, le résultat est le même en fin de compte : De nombreux jeunes sont devenus déprimés, paumés et prêts à se vendre au plus offrant, telles de vulgaires marchandises comestibles.

Voir à ce sujet le succès hautement suspect des « Reality shows » et autre « Stars académies » ou la prostitution morale est de rigueur.

Nous pourrions argumenter sans fin au sujet des « responsabilités » qui incombent à nos dirigeants qui ont le pouvoir décisionnel et ont installé les diverses méthodes d’instructions académiques imposées dans nos écoles laïques. Mais cela ne ferait que compliquer le problème et ne nous offrirait pas pour autant un moyen rapide et efficace de nous extraire de ce marasme définitivement installé par ailleurs.

 

Notre but n’est pas de rechercher des coupables pouvant encore plus nous DÉRESPONSABILISER : notre propos et de comprendre réellement ce qui nous arrive puis d’y remédier du mieux possible et… Au plus tôt.

Que dit l’ego d’une personne complexée ou qui ignore totalement sa valeur, cela au point d’avoir recours au jugement d’autrui afin de pouvoir la définir ?
Il dit à peu près ceci :

« Tu ne vaux rien, tu es une vrai merde, le sais-tu seulement ? »

Pour compenser cette affreuse prise de conscience, ce sentiment écrasant de nullité, le « Moi-Idéalisé » arrive au galop et se met à claironner :

« Faux ! Si seulement on t’offrait une chance de prouver ta valeur, tu pourrais alors montrer à la face du monde qui tu es vraiment ! »

Bien entendu, ces termes ne font que renforcer plus encore le sentiment de dépendance à autrui (« Si seulement on t’offrait une chance…« )

Les moins atteints ignorent simplement leur valeur et n’attendent que certains indices positifs -et bien évidemment EXTÉRIEURS- pour réussir à compenser cette absence d’informations qualifiantes à leur propre sujet.

 

Mais la plupart des gens n’ont pas cette « chance » et ce qu’ils sentent, à chaque minute de leur vie, est hélas bien trop puissant et surtout précis pour leur laisser la moindre chance de ne pas bien capter le message.
Et ce message est celui-ci :

« Tu es une merde, voilà tout ! »

Essayons de comprendre tout d’abord l’origine de ce sentiment affreux et terrible à porter une vie durant. Nous n’évoquerons ces origines que très brièvement, car ce sujet est traité ailleurs dans un autre article qui lui est consacré.

Au départ, l’enfant doit obéir à ses parents, cela est un fait évident pour chacun de nous. Que cette obéissance découle d’une façon « légitime » de penser ou que ce soit « pour le bien de l’enfant » (sic), force nous est de constater que peu importe le motif et l’état d’esprit à la base du fait, un enfant n’est pas libre de penser et d’agir comme il le souhaite : il doit obéir à ses parents, un point c’est tout.

Fort de cette prémisse, il est dès lors plus facile d’avancer logiquement et de définir l’origine de ce manque de confiance en soi qui cède rapidement la place à la perte totale du sentiment de notre valeur personnelle.

Si l’enfant doit « répondre » aux attentes (légitimes ou pas) de ses parents, il devra du même coup dépendre également de ces derniers pour savoir si son comportement correspond vraiment à leurs attentes. (« Tout est double« )

 

Du coup, l’enfant passe sous la double tutelle mentale et émotionnelle des parents, car ses pensées et ses sentiments découleront désormais de sa capacité à satisfaire l’état d’esprit de ses géniteurs.

L’enfant commence alors à demander :

« Vous, là, dehors, dites-moi vite ce que vaut mon comportement, car j’ai besoin de vous pour le savoir ! »
Avec les années, l’habitude sera installée et deviendra une seconde nature.
L’adulte aura besoin du regard d’autrui pour connaître sa valeur véritable, c’est à dire sa capacité à répondre aux exigences quelques peu tyranniques de notre société et des olibrius qui la composent gaiement.
Cela, c’est l’origine, OK ?

Voyons à présent ce qui peut se passer « en profondeur » c’est-à-dire dans la conscience intime d’une personne d’âge mûr (après la trentaine, donc)

Nous savons déjà que les plus jeune se contentent soit de souffrir en silence (et de se droguer ou « d’inexister » avec une application louable), soit de se transformer en excités de première, capables de camper toute une nuit sur un trottoir et par un froid d’hiver et ce, dans le seul espoir d’être accepté aux présélections de « la Star ‘AC. »

 

Nous savons ce que recherchent ces jeunes gens : le sentiment de leur valeur.  Mais ils le cherchent là où il ne se trouvera jamais. C’est d’ailleurs pour cela qu’ils le cherchent encore, à l’orée de la trentaine d’années.

Pour les plus âgés, la chose est un peu différente. Leur expérience vivante a eu le temps linéaire de leur démontrer que l’extérieur et les autres ne semblaient pas posséder ce qui leur manquait si cruellement.
Leur Quête change alors de direction : ils vont visiter un peu leur intérieur à la recherche de cette fameuse valeur. Bien que certains ne le fassent pas, nous sommes bien d’accord là dessus. Je ne m’arrêterai qu’à des généralités, seul compte l’état d’esprit et non le nombre exact de ses représentants.

Bien évidemment, il ne la trouvent pas plus « au-dedans » qu’au dehors.
Mais n’allons pas trop vite et essayons de comprendre pourquoi.

 

Certains, supposant s’y être mal pris, vont alors se tourner vers la spiritualité : les moins chanceux vont devenir… Bouddhistes !
(Non ! Je déconne, respirez ! lol) Les plus futés se tourneront plutôt vers l’ésotérisme puis, rapidement, vers la forme de psychologie transpersonnelle qui semble lui être intimement liée.

C’est à ce stade que nous voyons débarquer de nouveaux « chercheurs de Lumière » sur un forum de spiritualité quelconque.
Grâce à ces nouveaux outils, -du moins lorsqu’ils ne se sont pas perdus carrément en cours de route à la recherche d’eux-mêmes- voici nos chercheurs tous beaux et propres sur eux et occupés à apprendre des techniques efficaces censées leur permettre de s’intérioriser plus encore, cela au point d’atteindre, tôt ou tard, les premières strates de leur subconscience.

Et que trouvent-ils dans ces mêmes strasses premières ?
La preuve formelle que si, à l’origine, d’autres qu’ eux étaient responsables de leur dépendance, ils sont devenus désormais responsables de leur penchant naturel à demeurer dépendant d’autrui !

Il est en effet plus pratique d’attribuer la cause de nos échecs à l’incompétence d’autrui et de s’attribuer les mérites de tout ce qui ressemble de près ou de loin à une forme quelconque de réussite.

Cela, c’est la première chose qu’ils découvrent et, en général, la plupart font un peu la grimace et rient jaune mais se prétendent disposés à poursuivre leurs investigations et même à se déguiser en spéléologues de l’âme, si besoin est !

Mais là où leur enthousiasme chute comme un avion dont les moteurs se serraient brusquement arrêtés de fonctionner, c’est lorsqu’ils atteignent la couche subconsciente dans laquelle se trouvent enregistrés les actes qui découlent de leur propre façon de penser en tant qu’adulte libre et responsable !

Et là, c’est la catastrophe ! Non pas parce que ce qu’ils découvrent alors est horrible ou est « impossible à imaginer » au préalable mais bien et au contraire, parce que ce qu’ils découvrent est d’une logique effroyable, car incontournable et absolue. Et ce qu’ils découvrent pourrait se résumer ainsi :

« Ta valeur dépend de la valeur de tes pensées et des actes qui en découlent : si tu n’as pas conscience de ta valeur, c’est que tu ne poses jamais aucun acte de valeur. Et si tu as le sentiment d’être une merde, c’est parce que tu te conduis comme si tu étais effectivement de la merde ! »

Comme vous pouvez le constatez, c’est à la fois simple, logique, rationnel et surtout, sans pitié ! Ainsi, ceux qui n’ont aucune conscience de leur valeur sont aussi et surtout ceux qui « ne se mouillent jamais » et n’ont encore rien fait qui puisse avoir de la valeur.

Ils ne sont pas « moches » : ils sont… Rien du tout !  Leur Tiédeur naturelle fait que par peur de passer pour des cons ou par honte d’assumer d’éventuels échecs, ils n’ont encore rien fait de notoire et qui soit susceptible de les informer sur leur valeur véritable. Vous captez l’idée ?

OK, Mais pour les autres, alors ? Est-ce à dire que si je me sens moche, c’est parce que… Je le suis en vérité ? Oui et non !
(J’adore écrire ça, les apparents paradoxes me font jouir.)

Oui, si vous avez commis l’erreur de VOUS IDENTIFIER à vos processus mentaux de merde (en Français dans le texte)
Non, si vous comprenez que vous n’êtes pas ce que vous pensez mais celui qui pense toutes ces choses merdiques au possible !

En clair, c’est votre état d’esprit qui est merdeux, pas vous.
Vous suivez toujours ou vous êtes déjà évanoui d’horreur ?
Pour ceux qui n’ont pas encore succombé, nous poursuivons gaiement.

 
Seconde partie

 

Dans la première partie de cet article, nous avons appris qu’il existe deux types d’individus incapables de définir avec quelque exactitude leur valeur :

1. Ceux qui ne ressentent rien, car il n’existe en fait rien à ressentir à ce propos, et qui devraient apprendre à se mouiller un peu, à « prendre des risques » et, en un mot, qui devraient commencer à se mettre à VIVRE pour de vrai, et non pas seulement « en esprit » (ou dans leur imagination débordante.)

2. Ceux qui se sentent étrangement merdeux ou moches et qui, en fait, se servent de processus mentaux si négatifs ou destructeurs (égoïsme, rancune, jalousie, etc.), qu’ils ne peuvent avoir un autre ressenti que celui qui est présentement le leur. (Relisez, au cas ^^)

Dans le premier cas, il existe un vide à combler pour prendre conscience de sa valeur. Dans le second cas, il serait temps de transformer son état d’esprit général, cesser de faire des choses moches pour se sentir enfin quelque peu valeureux, en somme.

Inutile de dire ici que ceux qui se découvrent appartenir à la seconde catégorie se dépêchent de se trouver des justificatifs ou de mettre en doute le degré d’exactitude de leur découverte !
Bien que de se contenter de nier le mal ne le transforme pas en bien pour autant, mais bon, c’est « humain« , il paraît…

Mais une fois le premier moment de découragement passé et si la colère ne prend pas le dessus sur le bon sens, la personne met son mouchoir là-dessus, comme on dit (elle ne s’y attarde pas) et passe courageusement à la seconde étape, la seule qui coûte et qui consiste à se réformer complètement.

C’est d’ailleurs à cette fin que les psy éso ont mis au point le fameux P.R.P. ou Processus de Réforme Psychologique.

Grâce à cette technique, une personne apprend lentement mais surement à inverser les processus mentaux entérinés dès la prime enfance.
Elle apprend à obéir à ses besoins naturels, à sa nature la plus authentique (même si jugée moche), ceci afin de réapprendre à S’ASSUMER totalement et à retrouver le goût de l’effort personnel, seul garant officiel du sentiment véritable de notre valeur à tous.

A l’évidence, si vos pensées et vos actes sont ceux d’un animal sauvage, vous ne pourrez pas vous ressentir comme étant un saint homme ! Mais le but n’est pas de se flatter ou de devenir un surhomme : le but est de redevenir responsable de ce que nous sommes et des sentiments qui en découlent.

Car peu importe qui vous pensez être en ce moment :

Si vous n’êtes que le pâle reflet de votre éducation, alors vous n’existez même pas encore !
Essayez de le comprendre vraiment, complètement et une fois que vous aurez dépassé le stade bien compréhensible de tous les « Oui, mais… », (lol)
venez en discuter avec moi. En psy éso, on ne paye jamais « pour voir » !

Je vous attends avec vos questions, commentaires ou avis personnels.

N’hésitez pas, personne ne mord sur ce Blog 🙂

 

 

Le Détachement Spirituel

LE DÉTACHEMENT

 

 

Ou comment commencer à prendre possession de son esprit après dix minutes de lecture !

 

 

Les spiritualistes modernes ont une compréhension désastreuse de ce concept ésotérique. Que signifie ce terme « détachement » ? Et de quoi donc devrions-nous nous détacher ?
Du bonheur ? Du plaisir ? De l’argent ? De tout ce qui rend la vie terrestre supportable une fois qu’on y est ?

 

 

Un bien qui nous ferait du mal ?

 

 

N‘avez-vous pas la sournoise impression qu’on vous demande de vous « détacher » de tout ce qui est agréable et désirable ?
A moins qu’il ne nous faille vous détacher de tout ce qui provoque de la souffrance ? Tiens donc ! Et qu’est-ce qui provoque de la souffrance ?
Réponse : L’attachement ! Ben voyons !

 

On ne sait toujours pas ce qui nous « attache » et ce qui nous « détache« , en fin de compte. Qu’à cela ne tienne : il existe des gourous, des maîtres à penser et des institutions « sérieuses » à n’en plus pouvoir qui se chargeront certainement de nous faire savoir ce que nous devons faire.

 

L’idée de détachement provient évidemment du désir de faire cesser la souffrance. Les Bouddhistes nous proposent de nous détacher du désir, qui selon eux est « à l’origine de la souffrance. » Cela sans même réaliser qu’un tel but ne peut provenir lui-même que d’un ÉNORME désir : celui de de se détacher pour faire cesser la souffrance ! Gag !

 

 

Qui est responsable de notre souffrance ?

 

 

Partons de l’idée que ce désir de « détachement » provient en droite ligne du désir (on ne peut plus légitime et humain) de faire cesser la souffrance.
Il nous reste donc à définir cette souffrance, sa cause ainsi que la méthode qui permet de s’en libérer. De quoi souffrons-nous, pourquoi souffrons-nous et comment ne plus souffrir, en clair.

 

A la première question « de quoi souffrons-nous ?« , la réponse est évidente :

De dépendance à autrui.

 

A la seconde question « Pourquoi souffrons-nous ? « , la réponse est toute aussi évidente :

Parce que nous pensons que nous dépendons des autres pour exister.

 

A la dernière question « Comment ne plus souffrir ?« , la réponse s’impose d’elle-même :

Il faut cesser de penser que nous dépendons des autres pour exister.

 

Une loi spirituelle affirme que « Tout est double et avance par paires d’opposés. » Merci de noter le fait que le contraire (ou l’opposé) de nos trois précédentes affirmations est tout aussi valable ! Nous devons aussi et absolument arrêtez de croire que les autres peuvent dépendre de nous ! Bien que la chose puisse paraître logique, il m’a semblé utile de le mentionner tout de même.  😀

 

A partir de ce point, nous pouvons déjà proposer les grandes lignes d’une méthode capable de nous libérer de la souffrance morale.
Cette méthode doit être simple et facile à appliquer.
Elle doit également être logique et s’inspirer des lois spirituelles qui ont cet avantage de ne jamais varier et d’être reproductibles à volonté.

En effet, puisqu’une loi est invariable, chaque fois que nous y faisons appel, cela donne les mêmes effets et les mêmes résultats.
Ce qui, il nous faut bien l’avouer ici, est plutôt rassurant !

 

 

Construire sur de bonnes bases dès le départ.

 

 

Pour commencer, nous pouvons poser les bases de travail et de réflexion suivantes : La souffrance est un sentiment, pas une simple idée.
Puisqu’elle peut être ressentie, c’est qu’elle n’est pas illusoire.

Notre mental ne saurait prendre conscience d’une chose qui n’existe pas et ce, au moins pour nous ! Un sentiment provient toujours d’une pensée : la pensée est donc toujours à l’origine du sentiment de souffrance.

 

De plus, les lois spirituelles nous apprennent qu’à une même pensée sera toujours attaché le même sentiment de souffrance. Par exemple, chaque fois que vous pensez à un ami décédé, vous ressentez des émotions identiques.

Chacune de nos pensées est donc reliée à des sentiments bien précis et chaque fois que nous pensons la même chose ou de la même façon, nous ressentons la même chose ou de la même façon.

 

 

Personne ne désire souffrir volontairement.

 

 

Il est clair que personne ne désire penser à ce qui le fait souffrir.
La souffrance provient donc de formes mentales « involontaires » (ou mécaniques.) Autrement dit, il nous arrive de penser sans même le réaliser et sans réussir à tracer un lien direct entre ce que nous pensons et ce que nous ressentons alors.

Toutes les pensées sont faites d’esprit : la souffrance trouve donc sa cause première dans les mouvements de notre esprit.

 

Les initiés de l’Inde affirment que ce qui nous fait le plus souffrir n’est pas vraiment la pensée en elle-même mais plutôt le fait qu’elle varie sans cesse.
Ils nomment cela « les vritti« , c’est à dire et en français, les « modifications » de l’esprit. On pourrait aussi bien dire que le fait de « sautiller » d’une pensée à une autre engendre une forme de déséquilibre mental qui nous prédispose au stress, à l’anxiété, etc.

Il a été démontré que les personnes capables de se concentrer correctement et assez longtemps sur ce qu’ils sont en train de faire, sont également celles qui sont les plus équilibrées, d’un point de vu psychologique.

 

 

L’esprit, un excellent serviteur mais un très mauvais maître !

 

 

L‘esprit peut produire des pensées mais pas des sentiments : c’est donc en l’homme (et grâce à son système nerveux) que se manifeste la sensation de souffrance. L’esprit peut produire toutes les pensées, sans distinction de formes ou de qualités : c’est donc au niveau de la conscience de l’homme que peut s’établir cette distinction (le discernement) entre les pensées qui produisent des sentiments agréables et celles qui ne donnent naissance qu’à des sentiments désagréables.

L’esprit ne veut ni ne désire quoi que ce soit. Son rôle unique est de créer, de donner forme à toutes les idées possibles et imaginables. C’est donc à l’homme qu’il appartient de choisir les créations mentales (pensées) qui lui sont le plus bénéfiques. Cela, bien évidemment, en fonction de sa volonté et de ses désirs humains. Des désirs qui sont nécessairement « légitimes » puisque ils proviennent de sa façon de penser et de sa manière de vivre.

 

Si la volonté et les désirs sont orientés vers un idéal de bonheur, la présence d’un sentiment de souffrance dans la conscience, trahit également la présence de formes mentales totalement contraires à cet idéal (croyances, superstitions.)
C’est à dire des idées, des croyances, des doutes qui sont comme autant de poisons pour le mental puisqu’ils ont le pouvoir de nier notre prétention au bonheur.

 

 

Notre conscience se résume à notre univers mental.

 

 

L‘homme ne peut être conscient que de ce qui se trouve dans son propre mental et qui est produit par l’esprit. La souffrance est donc engendrée par des formes spirituelles qui se trouvent dans le mental de l’homme, et nulle part ailleurs.  C’est donc à la personne qui souffre et à elle seule, qu’il appartient de faire cesser toute forme de souffrance psychologique.
Les « autres » n’y sont pour rien, même si, bien souvent, ils jouent le rôle, bien involontaire d’ailleurs, de « Révélateurs » de cette souffrance qui est en nous.

 

L’énergie suit toujours l’attention mentale : en se concentrant sur les pensées qui produisent un sentiment de souffrance, on leur donne plus de force et de pouvoir encore. Il est donc de première importance d’apprendre à SE DÉTACHER immédiatement de toute pensée morbide, négative et, d’une manière générale, capable de produire, dans notre système nerveux, un sentiment de souffrance.

 

 

L’origine de la souffrance : Une question de concentration ?

 

 

L‘origine de la souffrance provient donc de l’attention mentale, inconsidérément accordée à des idées négatives puis maintenue sur elles et qui contrarient l’idéal de bonheur.
Présenté autrement, si vous conservez la fâcheuse habitude de rester concentré sur une pensée négative et donc désagréable, non seulement vous lui donnez plus de force mais, de plus, vous perdez un peu de votre propre vitalité !
En effet, c’est votre propre vitalité qui vient « nourrir » vos processus mentaux ! Et c’est votre attention mentale qui « canalise » (dirige) cette même énergie vitale en direction de telle ou de telle autre pensée. D’où l’intérêt de ne se concentrer que sur des pensées ou des idées agréables et saines !

 

 

Se détourner du mal pour donner la priorité au bien.

 

 

Pour faire cesser la souffrance, il suffit donc de SE DÉTOURNER de toutes les pensées qui contrarient l’idéal de bonheur, puis de se concentrer fermement sur leur opposé direct. Par exemple, l’inverse de la tristesse est la joie.

On nomme « L’Art de la polarisation mentale » la technique qui consiste à concentrer notre attention sur quelque chose de précis (pensée, idée, souvenir, image mentale, etc.) En général, il s’agit d’une chose opposée à ce qui pourrait produire un sentiment désagréable. Ainsi, on ne se concentre pas sur l’idée d’échouer mais sur l’idée de réussite totale et définitive.

En polarisant notre attention mentale sur une idée à la fois joyeuse et positive, nous transformons complètement la fréquence vibratoire de notre mental et lui permettons de se repolariser, (de redevenir positif et donc puissant.)
Ce qui lui permet ensuite d’attirer à lui des formes mentales semblables, correspondantes ou complémentaires, selon le cas et les besoins. C’est là l’un des fondements de la fameuse « Loi d’Attraction » si médiatisée.

 

 

Quand le cinéma vient à notre secours !

 

 

Lorsque j’étais plus jeune, il me suffisait de visionner l’un quelconque des épisodes de « Laurel et Hardy » pour me bidonner comme un gros malade !
Il nous est facile de faire appel à tout média, support ou technique moderne pouvant favoriser la repolarisation mentale.

Visionner un bon film comique, aller voir un pote ou lire une blague marrante sur internet lorsqu’on n’a pas le moral, peut nous aider à le retrouver.
Se concentrer de nouveau sur l’aspect positif et heureux d’une chose, d’une condition, d’une personne ou d’un lieu, est LA SEULE MANIÈRE d’appliquer le détachement spirituel avec un maximum d’intelligence et… D’efficacité !

 

 

La formule du Détachement spirituel.

 

 

Nous voici à présent en mesure de formuler correctement notre technique appelée « détachement. » Bien que l’énoncé de la loi spirituelle qui va suivre a été largement revu et corrigé pour le rendre plus « buvable« , j’ai pris malgré tout un vif plaisir à en conserver le rythme et le souffle uniques.
Voici donc l’énoncé de la Loi qui concerne le Détachement, sous une forme moderne, plus aérée et plus en rapport avec notre mentalité d’Occidentaux.
« Le détachement consiste à se désintéresser de toutes les pensées qui produisent un sentiment de souffrance, pour orienter fermement notre attention mentale sur toutes les pensées qui génèrent le plaisir. Le plaisir est le contraire de la souffrance, et la présence de l’un de ses deux sentiments, contrarie ou annule la présence de l’autre et réciproquement. »

 

Nous avons compris, désormais, que du choix de nous concentrer sur une idée négative et triste ou sur une idée positive et gaie, dépendra notre état d’esprit du moment et, bien évidemment, notre caractère ou notre manière de nous comporter en société.

Possédant la technique, il ne nous reste plus qu’à l’appliquer avec courage et conviction ! Il serait bon de créer un mécanisme, une habitude, qui nous permettra de virer immédiatement toute idée négative et morbide de notre mental puis de la remplacer sur le champ par une idée positive et vivante.

 

 

Jouer avec les couples d’opposés.

 

 

Il suffit généralement de prendre l’exact opposé d’une l’idée qui produit des sentiments embarrassants ou morbides, pour en annuler presque instantanément les effets ! C’est presque magique !

Retenez bien ceci : Notre mental ne peut pas se concentrer sur plus d’une chose à la fois.

Ainsi, tandis que notre attention se trouve polarisée (concentrée) sur l’idée de joie, il ne nous est pas possible de penser à la tristesse et donc, de la ressentir.
L’inverse est également vrai, bien évidemment.

Nous ressentons toujours ce que nous pensons !

Et nous ne pouvons pas penser une chose et en ressentir une autre.
En résumé, la connaissance des lois et des principes qui régissent le fonctionnement de l’esprit, peuvent grandement nous aider à améliorer notre quotidien et, si on s’en donne vraiment la peine, peut même transformer notre vie. Si vous avez des questions ou des commentaires, je demeure à votre disposition.

 

 

 

    Serge

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La Réponse de Jésus à Pilate

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La Réponse de Jésus à Pilate

Résumé du contenu de ce livre

Dans ce second essai, je suis surtout soucieux de mettre à la portée du public, des connaissances issues de la kabbale, de l’hermétisme, de l’ésotérisme et de la psychologie des profondeurs, sujets qui comptent sans doute parmi les plus complexes au monde. Pour y parvenir, j’ emploie une méthode d’enseignement simplifié que j’ai mise au point, il y a quelques années et que j’emploie sur un forum ou j’enseigne la psychologie ésotérique par l’intermédiaire d’une association culturelle.

Cette méthode permet à un lecteur motivé mais pas particulièrement initié aux choses de l’esprit, de comprendre et de suivre, sans trop d’efforts, le développement de sujets qui, d’ordinaire, sont réputés comme étant extrêmement compliqués et d’un abord très technique.

Des sujets qui, d’ailleurs, n’étaient autrefois réservés qu’à de rares initiés qui devaient étudier de très longues années, et dans des écoles spécialisées, dans le seul but d’en déchiffrer les arcanes. Et tous n’y parvenaient pas avec le même bonheur !

Ainsi, ce petit livre permet d’avoir accès à un large panel de lois et de principes qui régissent le fonctionnement de l’esprit, apportant ainsi quelques précieuses lumières supplémentaires et pratiques, sur certains aspects encore mystérieux du comportement humain.

A noter que, même si ce n’est pas là le sujet principal de l’ouvrage, ceux qui se passionnent pour la désormais célèbre Loi d’Attraction, y trouveront très certainement de quoi alimenter leur curiosité. Surtout s’ils cherchent à comprendre comment fonctionne cette dite Loi et, surtout, pourquoi il est obligatoire qu’elle puisse aussi bien fonctionner, du moins lorsqu’on applique correctement certaines règles bien spécifiques.

Dans ce livre comme dans le précédent, je m’adresse directement au lecteur et avec avec cet forme particulière d’humour et de décontraction qui me caractérisent et qui en agace plus d’un, j’essaye de démontrer que « L‘homme est plus puissant qu’il ne le pense tout en étant bien moins libre qu’il ne le croit.

Durant la lecture de cet petit livre électronique de moins de deux cents pages, ma méthode d’enseignement, très discrète, ne semble ni apparente ni même si évidente que cela à déceler. Mais une fois ce book refermé, on peut en mesurer l’efficacité, ne serait-ce que par cette sensation inusité qui en résulte, cette impression agréable d’avoir enfin compris quelque chose à propos d’un sujet considéré comme  » réservé à une élite «  spirituelle.

D’ailleurs, je ne manque jamais -et à la moindre occasion- dans ma vie de tous les jours, de me moquer de tous ces initiés à la grise mine et à la longue barbe, sérieux et obséquieux et dont même les vêtements sentent bon le camphre, la naphtaline et la poussière qui donne envie de tousser.

                                        
Détails pratiques concernant ce livre.

État: En ligne et disponible à la vente !

Prix conseillé7.71 euros.

Nombre de pages : (dépend du format de lecture mais entre 170 et 200 pages maxi.)

Taille du fichier : A venir, pas encore calculé.

Formats disponibles : Kindle sur Amazon.

Pour les lecteurs ayant acheté cet ouvrage, sur Amazon ou ailleurs :

Je suis à votre disposition si vous avez besoin de plus amples informations ou si vous avez des questions à me poser à propos de ce livre ou de son contenu. Dans tous les cas, vos commentaires et éventuels conseils bienveillants, seront les bienvenus. Il sera répondu à tous.

 

Serge Baccino

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