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Brice de Nice un Médium ?

Voici un article écrit il y a des années et qui, selon moi, pourrait intéresser quelques-uns par son contenu qui sort un peu de l’ordinaire mais demeure d’actualité.

 

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ange male 01Une fois n’est pas coutume, je vais vous présenter la face «positive» et de bonne augure d’une habitude psychologique contractée par une grande quantité de gens, en France ou ailleurs…. Je vais vous parler brièvement et, surtout, autrement, de ce réflexe qui consiste à « casser » les autres, en parole, comme cela et sans raison ou besoin apparent. La plupart on vu le film « Brice de Nice » ou en on entendu parler de son personnage principal, je suppose…

 

C’est celui qui dit sans arrêt : « Je t’ai cassé !»
Mais je suis certain que vous seriez surpris d’apprendre l’origine énergétique de cette manie pour le moins désagréable, n’est-ce pas ? Eh bien ! C’est une réponse naturelle et automatique de l’homme à une des subdivisions énergétiques de la grosse vague de 2012 !

 

En clair, ça signifie que les gens qui, pour des raisons traitées plus loin, sont ouverts à ce train d’ondes (ou longueur d’ondes) spécifique, ne font en fait que RÉPONDRE à un besoin naturel et…. positif ! Du moins pour eux, certes ! Comme vous le savez, la conscience de l’humanité aspire farouchement à se libérer de sa gangue de matérialité et, surtout, de ce voile d’illusion qui ressemble plus à une couette épaisse de trois mètres qu’à un voile !

 

 

fantastique2Et pour se faire, elle s’est donné des instructions, avant de revenir dans la chair, afin que, le moment voulu et désiré, elle puisse recevoir des outils psycho-énergétiques lui permettant de quitter l’horizontalité et retrouver le chemin Ascendant.

Et le fait de se faire casser à tout bout de champs par des cons qui feraient mieux de se regarder eux, est censé nous y aider, Monsieur le Curé ?

 

Oui.  Mais pas directement, certes ! Tous ceux qui font ça « captent », sans le réaliser, un égrégore positif du passé qui a été engendré par de Belles et Grandes Âmes qui vivaient, il y a très longtemps, sur les plateaux du Tibet et qui, plus tard, se déplacèrent un peu vers le sud pour s’y réfugier (et avoir la paix.) Cet égrégore est celui qui inspira, durant des siècles, la plupart des Guru (gourous) de l’Inde (les vrais, pas les truffes d’aujourd’hui) et dont le but avoué était de… casser l’égo de l’homme qui veut Remonter vers son Père. En fait, et sans le savoir, beaucoup de gens qui dénoncent les sectes se conduisent exactement comme des guru (ou gourous si francisé) !

 

 

Vous me direz, OK, ils captent l’égrégore formé par les autres Machins Illuminés de partout, là, très bien. Mais dans tout ça, on ne comprend toujours pas pourquoi ces gens là captent cet égrégore (et pas les autres) et surtout, quel est le but envisagé, attendu que les effets de ces « cassages » intempestifs sont plutôt désagréables et, surtout, rarement fondés ! Et vous auriez raison de me rétorquer cela !

Voici une réponse que je vous propose : Si elle vous défrise ou vous met mal à l’aise, sortez ce texte à l’imprimante puis employez-le pour remplacer le papier toilette de vos WC ! Nous sommes en république et vous seuls pouvez vous imposer quelque chose, pas moi Smile

 

 

itkeyscqPremièrement, ils captent le train d’ondes mentales de cet égrégore pour la simple raison qu’il faut absolument qu’ils se comportent comme des guru qui voient les défauts des autres mais n’en ont plus eux-mêmes (ce qui était exact par ailleurs pour les vrais guru, jadis) Pourquoi ? La belle affaire ! Pour qu’ils réagissent favorablement (comme prévu) et qu’ils se mettent à casser de l’ego (avéré ou présumé) à tour de bras autour de eux et… chez les autres ! Mais pourquoi ? Parce que c’est la seule façon de RÉVEILLER ENFIN la troisième faction Atlante ! Ah, ah ! ça vous scie, hein ?

 

 

De quoi ?! Une troisième faction Atlante ? Mais il est fou : il n’y en avait que deux, tout le monde sait ça, voyons ! Tout le monde sait ce qu’il a envie de savoir, oui. En Atlantide, nous disent la plupart des voyants et médiums, il existait deux factions opposées, juste avant la chute :

1. Les Fils de la Loi de Un (les gentils, il parait ^^)
2. Les Enfants de Bélial (les gros vilains pas beaux tout plein.)

 

 

mage sorcier 163D’autres vous diront qu’ils se nommaient en fait « Les Fils d’Adon-Inca » (du Seigneur Incréé) et « Les Enfants de Belzatl » (des eaux tumultueuses ou agitées), mais on s’en fout, n’est-ce pas, puisque l’essentiel est de comprendre de quoi il retourne… Or donc, selon les plus visionnaires, il n’existait, au moment de la chute, que deux types d’individus : les gentils et les méchants pas beaux (lol) Pour qui sait observer autour de lui, à notre époque, il est évident qu’il n’existe pas deux mais bien TROIS catégories d’individus ! Mieux encore : il a toujours existé TROIS catégories d’individus :

 

1. Ceux qui sont orientés Lumière, paix, service à autrui et qui se dévouent à quelque cause (si possible perdue d’avance, mais bon, hein, chut, on nous écoute !)
2. Ceux qui sont toujours excités, arrogants, hargneux, égoïstes et qui ne pensent qu’à eux, même si cet état d’esprit peut nuire à d’autres (ou surtout ?)
3. Enfin, il y a… Les Tièdes !

 

C’est-à-dire tous ceux qui ne veulent pas s’engager, se « mouiller » s’exprimer, faire valoir leurs droits ou leurs idées, ceux qui se contentent de ce qu’il y a et qui frémissent dès qu’on leur demande : «Et toi, tu en penses quoi ?» Ou encore :
« Et toi, tu es pour qui ? Tu dois te positionner ! » Dans la Bible il est écrit, noir sur blanc et en toutes lettres :

« Dieu vomit les tièdes »

(beurk !)

 

Bon, OK, nous avons à peu près suivi, mais quel rapport avec notre sujet ?
Le rapport est direct et sans pitié, le voici résumé d’une manière lapidaire et vous en avez aujourd’hui la primeur :

 « Si on donne à tous ceux qui doivent se réformer mais qui n’en ont ni la force ni le courage de le faire, le pouvoir de casser (psychologiquement) ceux qui, à aucun moment, n’ont encore réussi à se positionner, s’abritant derrière des concepts surannés de « lumière » et de « positivisme » afin de mieux FUIR leurs responsabilités, alors il se passera tôt ou tard deux phénomènes jubilatoires : premièrement, les « tièdes » vont en avoir marre de s’en prendre plein la tronche et vont se révolter et ruer dans les brancards, ce qui leur permettra de se positionner enfin et avec courage. En second, le fait qu’ils soient exacerbés par les « casseurs », ils vont à leur tour se mettre à parler et vont dire tout ce qu’ils ont sur le cœur et montrer aux « casseurs » que eux aussi savent voir la paille dans l’œil du voisin ! Ce qui fait que les « casseurs » vont se faire à leur tour casser de première, et chez eux, cela aura pour l’effet d’un électrochoc qui permettra alors de se sortir leur âme de son marasme séculaire. »

Voilà, exprimé en langage moderne, une des actions de la Grande Vague de 2012 qui montre déjà quelques effets, de ci, de là.

 

 

Serge Baccino

Licence Creative Commons
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Conscience d’acte et conscience de sa propre valeur

Conscience d’acte, conscience de sa propre valeur…

Il semblerait que l’une des plaies de notre société moderne soit la perte de certains repères fondamentaux. L’un de ces repères psychologiques fondamentaux est le sens de notre valeur personnelle. Si nous ignorons notre valeur réelle, nous ignorons du même coup quelle peut être notre place légitime au sein de la société en général.

En clair, les gens ont perdu le sens de leur valeur véritable. Ils ne savent plus ce qu’ils valent vraiment ! Du coup, soit ils se surestiment, soit il se placent volontiers plus bas que terre. Cela se manifeste d’une manière tristement évidente au niveau de la jeune génération.

Et bien que chaque jeune y réagisse soit en argumentant sans cesse sur sa valeur présumée, soit en accusant autrui de ne pas accepter de la reconnaître, le résultat est le même en fin de compte : De nombreux jeunes sont devenus déprimés, paumés et prêts à se vendre au plus offrant, telles de vulgaires marchandises comestibles.

Voir à ce sujet le succès hautement suspect des « Reality shows » et autre « Stars académies » ou la prostitution morale est de rigueur.

Nous pourrions argumenter sans fin au sujet des « responsabilités » qui incombent à nos dirigeants qui ont le pouvoir décisionnel et ont installé les diverses méthodes d’instructions académiques imposées dans nos écoles laïques. Mais cela ne ferait que compliquer le problème et ne nous offrirait pas pour autant un moyen rapide et efficace de nous extraire de ce marasme définitivement installé par ailleurs.

 

Notre but n’est pas de rechercher des coupables pouvant encore plus nous DÉRESPONSABILISER : notre propos et de comprendre réellement ce qui nous arrive puis d’y remédier du mieux possible et… Au plus tôt.

Que dit l’ego d’une personne complexée ou qui ignore totalement sa valeur, cela au point d’avoir recours au jugement d’autrui afin de pouvoir la définir ?
Il dit à peu près ceci :

« Tu ne vaux rien, tu es une vrai merde, le sais-tu seulement ? »

Pour compenser cette affreuse prise de conscience, ce sentiment écrasant de nullité, le « Moi-Idéalisé » arrive au galop et se met à claironner :

« Faux ! Si seulement on t’offrait une chance de prouver ta valeur, tu pourrais alors montrer à la face du monde qui tu es vraiment ! »

Bien entendu, ces termes ne font que renforcer plus encore le sentiment de dépendance à autrui (« Si seulement on t’offrait une chance…« )

Les moins atteints ignorent simplement leur valeur et n’attendent que certains indices positifs -et bien évidemment EXTÉRIEURS- pour réussir à compenser cette absence d’informations qualifiantes à leur propre sujet.

 

Mais la plupart des gens n’ont pas cette « chance » et ce qu’ils sentent, à chaque minute de leur vie, est hélas bien trop puissant et surtout précis pour leur laisser la moindre chance de ne pas bien capter le message.
Et ce message est celui-ci :

« Tu es une merde, voilà tout ! »

Essayons de comprendre tout d’abord l’origine de ce sentiment affreux et terrible à porter une vie durant. Nous n’évoquerons ces origines que très brièvement, car ce sujet est traité ailleurs dans un autre article qui lui est consacré.

Au départ, l’enfant doit obéir à ses parents, cela est un fait évident pour chacun de nous. Que cette obéissance découle d’une façon « légitime » de penser ou que ce soit « pour le bien de l’enfant » (sic), force nous est de constater que peu importe le motif et l’état d’esprit à la base du fait, un enfant n’est pas libre de penser et d’agir comme il le souhaite : il doit obéir à ses parents, un point c’est tout.

Fort de cette prémisse, il est dès lors plus facile d’avancer logiquement et de définir l’origine de ce manque de confiance en soi qui cède rapidement la place à la perte totale du sentiment de notre valeur personnelle.

Si l’enfant doit « répondre » aux attentes (légitimes ou pas) de ses parents, il devra du même coup dépendre également de ces derniers pour savoir si son comportement correspond vraiment à leurs attentes. (« Tout est double« )

 

Du coup, l’enfant passe sous la double tutelle mentale et émotionnelle des parents, car ses pensées et ses sentiments découleront désormais de sa capacité à satisfaire l’état d’esprit de ses géniteurs.

L’enfant commence alors à demander :

« Vous, là, dehors, dites-moi vite ce que vaut mon comportement, car j’ai besoin de vous pour le savoir ! »
Avec les années, l’habitude sera installée et deviendra une seconde nature.
L’adulte aura besoin du regard d’autrui pour connaître sa valeur véritable, c’est à dire sa capacité à répondre aux exigences quelques peu tyranniques de notre société et des olibrius qui la composent gaiement.
Cela, c’est l’origine, OK ?

Voyons à présent ce qui peut se passer « en profondeur » c’est-à-dire dans la conscience intime d’une personne d’âge mûr (après la trentaine, donc)

Nous savons déjà que les plus jeune se contentent soit de souffrir en silence (et de se droguer ou « d’inexister » avec une application louable), soit de se transformer en excités de première, capables de camper toute une nuit sur un trottoir et par un froid d’hiver et ce, dans le seul espoir d’être accepté aux présélections de « la Star ‘AC. »

 

Nous savons ce que recherchent ces jeunes gens : le sentiment de leur valeur.  Mais ils le cherchent là où il ne se trouvera jamais. C’est d’ailleurs pour cela qu’ils le cherchent encore, à l’orée de la trentaine d’années.

Pour les plus âgés, la chose est un peu différente. Leur expérience vivante a eu le temps linéaire de leur démontrer que l’extérieur et les autres ne semblaient pas posséder ce qui leur manquait si cruellement.
Leur Quête change alors de direction : ils vont visiter un peu leur intérieur à la recherche de cette fameuse valeur. Bien que certains ne le fassent pas, nous sommes bien d’accord là dessus. Je ne m’arrêterai qu’à des généralités, seul compte l’état d’esprit et non le nombre exact de ses représentants.

Bien évidemment, il ne la trouvent pas plus « au-dedans » qu’au dehors.
Mais n’allons pas trop vite et essayons de comprendre pourquoi.

 

Certains, supposant s’y être mal pris, vont alors se tourner vers la spiritualité : les moins chanceux vont devenir… Bouddhistes !
(Non ! Je déconne, respirez ! lol) Les plus futés se tourneront plutôt vers l’ésotérisme puis, rapidement, vers la forme de psychologie transpersonnelle qui semble lui être intimement liée.

C’est à ce stade que nous voyons débarquer de nouveaux « chercheurs de Lumière » sur un forum de spiritualité quelconque.
Grâce à ces nouveaux outils, -du moins lorsqu’ils ne se sont pas perdus carrément en cours de route à la recherche d’eux-mêmes- voici nos chercheurs tous beaux et propres sur eux et occupés à apprendre des techniques efficaces censées leur permettre de s’intérioriser plus encore, cela au point d’atteindre, tôt ou tard, les premières strates de leur subconscience.

Et que trouvent-ils dans ces mêmes strasses premières ?
La preuve formelle que si, à l’origine, d’autres qu’ eux étaient responsables de leur dépendance, ils sont devenus désormais responsables de leur penchant naturel à demeurer dépendant d’autrui !

Il est en effet plus pratique d’attribuer la cause de nos échecs à l’incompétence d’autrui et de s’attribuer les mérites de tout ce qui ressemble de près ou de loin à une forme quelconque de réussite.

Cela, c’est la première chose qu’ils découvrent et, en général, la plupart font un peu la grimace et rient jaune mais se prétendent disposés à poursuivre leurs investigations et même à se déguiser en spéléologues de l’âme, si besoin est !

Mais là où leur enthousiasme chute comme un avion dont les moteurs se serraient brusquement arrêtés de fonctionner, c’est lorsqu’ils atteignent la couche subconsciente dans laquelle se trouvent enregistrés les actes qui découlent de leur propre façon de penser en tant qu’adulte libre et responsable !

Et là, c’est la catastrophe ! Non pas parce que ce qu’ils découvrent alors est horrible ou est « impossible à imaginer » au préalable mais bien et au contraire, parce que ce qu’ils découvrent est d’une logique effroyable, car incontournable et absolue. Et ce qu’ils découvrent pourrait se résumer ainsi :

« Ta valeur dépend de la valeur de tes pensées et des actes qui en découlent : si tu n’as pas conscience de ta valeur, c’est que tu ne poses jamais aucun acte de valeur. Et si tu as le sentiment d’être une merde, c’est parce que tu te conduis comme si tu étais effectivement de la merde ! »

Comme vous pouvez le constatez, c’est à la fois simple, logique, rationnel et surtout, sans pitié ! Ainsi, ceux qui n’ont aucune conscience de leur valeur sont aussi et surtout ceux qui « ne se mouillent jamais » et n’ont encore rien fait qui puisse avoir de la valeur.

Ils ne sont pas « moches » : ils sont… Rien du tout !  Leur Tiédeur naturelle fait que par peur de passer pour des cons ou par honte d’assumer d’éventuels échecs, ils n’ont encore rien fait de notoire et qui soit susceptible de les informer sur leur valeur véritable. Vous captez l’idée ?

OK, Mais pour les autres, alors ? Est-ce à dire que si je me sens moche, c’est parce que… Je le suis en vérité ? Oui et non !
(J’adore écrire ça, les apparents paradoxes me font jouir.)

Oui, si vous avez commis l’erreur de VOUS IDENTIFIER à vos processus mentaux de merde (en Français dans le texte)
Non, si vous comprenez que vous n’êtes pas ce que vous pensez mais celui qui pense toutes ces choses merdiques au possible !

En clair, c’est votre état d’esprit qui est merdeux, pas vous.
Vous suivez toujours ou vous êtes déjà évanoui d’horreur ?
Pour ceux qui n’ont pas encore succombé, nous poursuivons gaiement.

 
Seconde partie

 

Dans la première partie de cet article, nous avons appris qu’il existe deux types d’individus incapables de définir avec quelque exactitude leur valeur :

1. Ceux qui ne ressentent rien, car il n’existe en fait rien à ressentir à ce propos, et qui devraient apprendre à se mouiller un peu, à « prendre des risques » et, en un mot, qui devraient commencer à se mettre à VIVRE pour de vrai, et non pas seulement « en esprit » (ou dans leur imagination débordante.)

2. Ceux qui se sentent étrangement merdeux ou moches et qui, en fait, se servent de processus mentaux si négatifs ou destructeurs (égoïsme, rancune, jalousie, etc.), qu’ils ne peuvent avoir un autre ressenti que celui qui est présentement le leur. (Relisez, au cas ^^)

Dans le premier cas, il existe un vide à combler pour prendre conscience de sa valeur. Dans le second cas, il serait temps de transformer son état d’esprit général, cesser de faire des choses moches pour se sentir enfin quelque peu valeureux, en somme.

Inutile de dire ici que ceux qui se découvrent appartenir à la seconde catégorie se dépêchent de se trouver des justificatifs ou de mettre en doute le degré d’exactitude de leur découverte !
Bien que de se contenter de nier le mal ne le transforme pas en bien pour autant, mais bon, c’est « humain« , il paraît…

Mais une fois le premier moment de découragement passé et si la colère ne prend pas le dessus sur le bon sens, la personne met son mouchoir là-dessus, comme on dit (elle ne s’y attarde pas) et passe courageusement à la seconde étape, la seule qui coûte et qui consiste à se réformer complètement.

C’est d’ailleurs à cette fin que les psy éso ont mis au point le fameux P.R.P. ou Processus de Réforme Psychologique.

Grâce à cette technique, une personne apprend lentement mais surement à inverser les processus mentaux entérinés dès la prime enfance.
Elle apprend à obéir à ses besoins naturels, à sa nature la plus authentique (même si jugée moche), ceci afin de réapprendre à S’ASSUMER totalement et à retrouver le goût de l’effort personnel, seul garant officiel du sentiment véritable de notre valeur à tous.

A l’évidence, si vos pensées et vos actes sont ceux d’un animal sauvage, vous ne pourrez pas vous ressentir comme étant un saint homme ! Mais le but n’est pas de se flatter ou de devenir un surhomme : le but est de redevenir responsable de ce que nous sommes et des sentiments qui en découlent.

Car peu importe qui vous pensez être en ce moment :

Si vous n’êtes que le pâle reflet de votre éducation, alors vous n’existez même pas encore !
Essayez de le comprendre vraiment, complètement et une fois que vous aurez dépassé le stade bien compréhensible de tous les « Oui, mais… », (lol)
venez en discuter avec moi. En psy éso, on ne paye jamais « pour voir » !

Je vous attends avec vos questions, commentaires ou avis personnels.

N’hésitez pas, personne ne mord sur ce Blog 🙂