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La Vitesse Mentale

 

Comme chacun le sait, nous vivons à une époque et dans un pays où il est largement conseillé d’être instruit, de connaître beaucoup de choses, d’être au courant de beaucoup de chose et de se maintenir volontairement et personnellement à niveau de cette sur-dose massive de connaissances intellectuelles.

 

 

 

 

L‘enseignement académique en est un exemple concret : la jeunesse actuelle est poussée à étudier le plus longtemps et le plus tard possible, ceci afin de justifier l’état d’esprit de ceux et celles qui sont à l’origine de cette course folle au savoir livresque qui ne laisse presque plus aucune place à l’individu (car il faut toujours « citer ses sources », n’est-ce pas, et donc, se laisser soi-même de côté.)

 

 

 

 

bac2Il est clair que les jeunes qui arrivent en fin d’études, après un solide « BAC + quelque chose » sont tout sauf armés pour commencer à vivre vraiment. Ils savent beaucoup de choses, certes, mais ignorent toujours « qui ils sont » , quels sont leurs désirs les plus légitimes et, surtout… Quel métiers ils veulent faire pour se plonger dans la vie active !

 

 

 

Arriver ainsi en fin d’étude sans même savoir quel métier on a vraiment envie de faire, relève presque de l’aberration mentale ! Certes, nos jeunes diplômés pourraient nous réciter par cœur tous les différents métiers qu’ils « pourraient » faire, mais cela aussi, il l’ont appris et aimeraient sans doute qu’on leur apprennent aussi quel métier ils doivent choisir en fin de compte !

 

 

 

 

Ainsi, nous voici face à des têtes bien pleines, certes, mais surtout à des jeunes hommes et des jeunes femmes qui ne savent pas s’en servir ! Cette déclaration n’est ni exagérée ni méchante et encore moins négative : c’est un fait avéré mais dont l’exposé peut en effet irriter les plus… Diplômés !

 

 

 

 

L‘expérience m’a démontré, s’il en était besoin, car la chose est largement connue, que ceux qui ont le plus étudié à l’école, sont également ceux qui ont le plus de mal à percuter avec l’enseignement spirituel véritable. Je ne parle certainement pas d’un certain « ésotérisme de Prisunic » que l’on trouve dans les livres ou sur Internet et qui pousse la jeunesse actuelle à se croire « demi-Elfe » et à lire couramment le Tolkien dans le texte ! Je parle de cet ésotérisme véritable que ne connaissent pas deux français spiritualistes sur dix (et non deux français sur dix, lisez bien !)

 

 

 

 

jeunesLà encore, il ne s’agit pas de critique gratuite mais d’un simple constat.
Lorsqu’on interroge discrètement un jeune homme ou une jeune femme dont l’âge se situe entre 17 et 24 ans et qu’on leur propose d’exprimer ce qu’ils ont appris (ou croient connaître) de l’ésotérisme ou de la spiritualité, on comprend vite que si on leur avait retiré les livres, la télé et les sites web « spécialisés » (sic), ils ne connaitraient absolument rien du sujet.

D’ailleurs, même avec ces artifices, ils ne connaissent toujours rien du vrai sujet, puisqu’ils ont encore appris tant et tant de choses, mais continuent à s’ignorer complètement eux-mêmes !

 

 

 

 

la jeunesse2Entendons-nous bien : je ne dresse pas ici le procès de la jeunesse, je donne simplement des indications précises qui permettront peut-être à quelques jeunes de freiner avant le déraillement. Leur locomotive intellectuelle adopte un rythme endiablé et elle s’apprête à prendre une courbe sans même ralentir, ce qui pourrait avoir des effets fâcheux à plus ou moins long terme (je parle pour la société qu’ils vont eux mêmes incarner dans quelques années et après le départ des « anciens. »)

Car bien que leur intellect soit en surchauffe, leur mental est désormais trop encombré pour réussir à se mouvoir avec vivacité. Trop encombré, également, pour être apte à recevoir à nouveau. A recevoir du nouveau….

 

 

 

 

Connaissez vous votre vitesse mentale ? C’est la rapidité avec laquelle votre esprit peut se mouvoir d’un sujet connu à un sujet qui ne l’est pas, d’une façon d’apprendre connue à une façon qui ne l’est pas. En général, plus on a de la peine à aborder de nouveaux sujets et à vivre de nouvelles expériences, à « se lancer« , comme on dit, moins la vitesse de votre mental est élevée.

Les ésotéristes ont la réputation d’avoir une vitesse mentale élevée… Cela serait toujours vrai si les ésotéristes, comme tout le monde, avaient eut la bonne idée d’évoluer, de « faire bouger » leur âme et de souffler sur la poussière qui recouvre certains de leurs grimoires antiques.

 

 

 

 

mental-surcharge3Les Psychologues ésotéristes expliquent que d’être un ésotériste ne met pas à l’abri de la « surcharge mentale » et que l’ont peut tout aussi bien s’accrocher à d’anciennes formulations spirituelles dépassées, qu’à une façon de vivre matérialiste dépassée elle aussi. Bref, vous comprendrez qu’il n’existe pas de « passe droit » et que pour conserver un esprit alerte, il faut le mener, de temps à autres, à une salle de musculation spirituelle.

Voici une définition, une sorte de Loi moderne du fonctionnement de l’esprit :

 

 

Plus on se libère des archétypes mentaux qui sévissent depuis des millénaires au sein de mental planétaire, plus notre mental individuel devient véloce.

 

 

 

De tels archétypes proposent, par exemple, une manière d’apprendre, de comprendre puis de concevoir les choses, qui demeure marmoréenne. Les archétypes mentaux ne concernent donc pas tant les choses apprises que la façon de les apprendre puis de s’en servir. Une des propositions de la psychologie ésotérique est de mettre l’accent sur une manière plus libre, plus dynamique et surtout plus aérée de penser et ce, grâce à des techniques simples et qui ont fait leurs preuves au court des siècles. Comme quoi, une connaissance peut durer depuis des millénaires et demeurer jeune et novatrice en même temps !

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

L’Art de la non-concertation

On nous a appris, à l’école, au sein de notre famille biologique ou même ailleurs, que nous devions toujours tenir compte de l’avis des autres, car ce dernier pouvait nous enrichir, voire nous démontrer que nous n’étions pas dans la vérité. Mais comment être « dans la vérité » ? Et de quelle vérité parlons-nous, puisque ceux qui réclament que nous les concertions sont ceux-là même qui nous diront, la bouche en cœur, que ce que nous disons consiste en « notre » vérité, et non en « La Vérité » ? On se demande si cette sagesse est unilatérale ou si elle concerne aussi ceux qui refusent notre vérité sous le prétexte (valable par ailleurs) qu’elle ne peut concerner que nous-mêmes !

 

 

 

croyances2Ainsi, il est une croyance qui consiste à dire qu’en écoutant les conseils des autres, leur vérité, en somme, nous pouvons faire évoluer la notre, voire l’épouser carrément pour peu que cette vérité soit jugée supérieure à la notre. Seulement voilà : la vérité, notre vérité, correspond exclusivement à ce que nous sentons.

Ce n’est pas un matériel intellectuel mais une perception animique (de l’âme) directe. Ce que nous sentons comme étant vrai (car c’est vrai que nous sentons ce que nous sentons vraiment) provient en droite ligne de nos processus mentaux. Tel que nous pensons, nous sentons.

 

 

 

Si nous « épousons » une autre vérité que la notre, c’est à dire si nous essayons de nous unir à un ressenti qui ne provient pas de notre état d’esprit individuel, nous faussons le « Jeu de l’âme » et semons une confusion terrible dans notre mental. Voyez tous ces jeunes « Bac + quelque chose » qui ont appris tant de choses « véridiques » mais qui, à présent, sont paumés et ne savent que faire de cette vérité proposée en intraveineuse durant des années… Sont-ils plus heureux, mieux armés contre la vie et ses dangers ? Savent-ils mieux ce qu’ils sont vraiment, ce qu’ils veulent être et où ils se dirigent ?

Lorsque nous suivons notre ressenti, c’est à dire notre vérité, nous sommes alors capables de vérifier si cette vérité correspond bien à l’actualité et si elle n’y correspond pas, nos « erreurs » deviennent alors cette expérience qui nous permet de retoucher au coup par coup notre état d’esprit général.

 

 

 

Mais si notre vérité provient du ressenti d’une autre personne (ou d’un groupe quelconque) alors nous ne pouvons plus rectifier notre état d’esprit, car nous ne savons plus à quoi correspond ce que nous avons senti. On ne peut rien apprendre du ressenti d’autrui. En somme, épouser une autre sensibilité que la notre revient à commettre un adultère spirituel (voir le commandement Biblique correspondant et méditer sur son sens psychologique premier et profond.) Ceci pour en venir à un sujet de plus en plus d’actualité.

 

 

 

En lisant les spiritualistes les plus en vue (et donc réputés) de notre époque New-Âge, il paraît évident que l’effort est placé sur cette volonté compulsive de réunir la science et la spiritualité. Plus aucun spiritualiste ne semble pouvoir dire ou écrire quelque chose sans essayer de tracer un parallèle ou un lien avec quelque découvertes scientifiques à la mode (Du genre physique quantique, Théorie des cordes, etc.)

Or, un scientifique PENSE comme un scientifique et RESSENT comme un scientifique, et un spiritualiste PENSE et RESSENT comme un spiritualiste.
Leur mode de perception est donc nécessairement différent et leur vérité, issue de leur ressenti respectif, peut parfois être diamétralement opposée.

 

 

 

fausse scienceCette manie de vouloir à tout prix « faire scientifique » agace profondément les véritables scientifiques et je les comprends fort bien. Je serais également très agacé à leur place. Selon la plupart des scientifiques qui n’ont rien à foutre de l’esprit et de Dieu, vouloir à tout prix « faire scientifique » n’est pas une marque de sérieux mais, au contraire, une preuve supplémentaire de charlatanisme. Je cautionne l’idée.

 

 

 

charlatansEn effet, quand on veut vendre sa sauce bon marché, on colle sur le pot l’étiquette d’une marque célèbre pour être certain de l’écouler. De toutes façons, cet état d’esprit est profondément hypocrite, car les spiritualistes pensent tous (au moins en secret) que les scientifiques sont arrogants et se prennent pour Dieu, tandis que les scientifiques pensent OUVERTEMENT que les spiritualistes sont des charlots qui feraient mieux de retourner à l’école et de laisser s’exprimer « ceux qui savent. »

 

 

 

singe-origineAvouons que sur ce coup, les scientifiques, même si c’est exact qu’ils sont parfois bornés et orgueilleux, sont en tout cas plus honnêtes et francs que ceux qui ne rêvent que de les singer. Pour eux, pas question de coucher avec les charlatans et je le répète ici, sur ce point, je leur donne entièrement raison ! Cette manie de « scientiser » l’esprit pour le rendre plus crédible (ou « vendable« ) auprès des matérialistes convaincus, est semblable à cette ânerie qui consiste à vouloir rendre la femme « égale de l’homme« , alors qu’il n’est question en fait que d’équité sociale et de droits civiques. Deux notions tout à fait respectables, bien évidemment.

 

 

 

A présent, soyons un peu plus vicieux et polissons… Imaginez qu’un jour nous ayons tous, d’un seul coup et en une seule journée, la preuve formelle que la science améliore le confort matériel de l’homme mais abruti totalement son esprit…

 

 

 

abrutissement collectif

Si les spiritualistes ont réussis à fusionner avec les abr… les scientifiques, alors ils doivent partager la responsabilité de l’abrutissement collectif, puisqu’ils tenaient tant à partager leur état d’esprit et donc, leur vérité.

Par contre, s’il est prouvé que la science est sans conscience et n’est en fait qu’une profonde ruine pour l’âme, alors les spiritualistes reçoivent enfin leur plus grande récompense et peuvent pardonner tout le mal que la science leur a fait, durant des siècles.

 

 

 

singe2Quand on ne peut vaincre un ennemi, on l’épouse ? Certainement pas, car dans les deux cas, on reste concentré dessus et on lui offre une énergie inutile dont on aurait bien besoin soi-même. De même, s’il était prouvé un jour que la spiritualité est la seule science réelle de l’univers, alors si les deux ont fusionné, la science aura le droit de se pavaner et profiter des lauriers mérités de la spiritualité. Ceci serait profondément injuste pour tous les spiritualistes de l’histoire du monde qui donnèrent leur vie pour que les « savants » puissent continuer à manipuler les foules déjà bien abruties par les Religions prétendument « officielles. »

 

 

 

 

scienceBien, et si c’est l’inverse ? Si la Science réussi à prouver que la Spiritualité est une grosse merde fumante, pas même capable de servir d’engrais à nos champs de betteraves ? Eh bien ! Il adviendra alors de ce que les scientifiques, actuellement, sont persuadés qu’il ne peut qu’advenir tôt ou tard : que la Science est la seule et unique façon d’expliquer Dieu.

 

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Conserver sa Note

diapasonNous discutions dernièrement, avec mon épouse, Lætitia Beretti, de l’intérêt vital qu’il y a, pour nous tous, de conserver notre fréquence vibratoire propre, coûte que coûte. Surtout en cette époque de changements et de perturbations psychologiques unique dans l’histoire de notre humanité. Lorsque nous ne sommes pas incarné, nous avons une « signature vibratoire », une « note » spirituelle de base qui nous est propre et qui ne varie jamais. C’est ce qui nous « nomme », nous différencie et fait de nous cet être distinct et unique.

 

 

 

ondulatoireNormalement -et sauf cas exceptionnel- même une fois incarné, nous conservons cette « note », cette signature vibratoire qui est celle de notre Soi Naturel, du moins au départ. Toutefois, certains évènements tragiques et traumatisants, peuvent faire varier de quelques degrés cette vibration ou note et nous faire nous sentir très mal à l’aise sans raison apparente ou directe.

 

 

visage-murDe fortes tensions psychologiques, de nombreuses (et inutiles) remises en question peuvent aussi avoir un effet néfaste sur notre fréquence animique de base. A noter que « se » remettre en question est TRÈS différent de « remettre en question notre état d’esprit ! » Bien que nous ne soyons pas ce que nous pensons et ressentons sans cesse, nous sommes vraiment ce que nous sommes et le fait de « nous » remettre en cause à tout bout de champs pour tenter de correspondre aux attentes frustrées de nos contemporains, voici bien l’un des dangers réels qu’il nous appartient de ne plus courir à l’avenir.

 

 

 

 

subconscient-psyMais comment se manifeste ce danger, pour nous ? C’est simple : lorsque vous discutez avec une personne, il est facile de vérifier si cette personne fait des efforts honnêtes pour se faire comprendre ou s’il est clair, pour elle, que c’est à vous et à vous seul qu’il appartient de quitter votre état d’esprit pour venir dans le sien propre. Normalement, si une personne ne comprend pas ce que nous souhaitons lui dire, c’est sans doute parce qu’elle ne peut pas (ou n’a pas à) le faire. Insister pour amener une personne « vers soi » (la faire abonder en notre sens) est la plus sure façon de la faire se détourner de… Soi, justement ! De son propre Soi.

 

 

 

 

Si les gens se groupaient par affinités (ou similitudes) et non par complémentarités (comme ils essayent maladroitement de le faire depuis des siècles), il n’y aurait aucun problème de communication, c’est très évident.
Mais les gens se groupent par paires d’opposés qui font simplement mine de se compléter, alors qu’ils ne font que se repousser et se nier mutuellement.
Quand deux personnes ne sont pas en phase et pensent différemment, il est généralement attendu que l’une des deux fasse le sacrifice de son individualité et se mettre à penser comme l’autre. Cette façon d’agir n’est pas simplement criminelle, elle est extrêmement stupide en vérité.

 

 

 

 

positionnementIl existe de part le monde assez de gens qui sont déjà en harmonie avec ce que nous sommes, pour ne pas avoir d’efforts à faire en vue d’en créer de toutes pièces des «comme nous» ! Ainsi, sur mon forum, par exemple, il est attendu aimablement (mais fermement) des nouveaux membres, qu’ils restent avec nous seulement s’ils pensent et sentent que leur état d’esprit peut s’accorder au notre. En somme, nous espérons la venue de ceux qui sont déjà comme nous et encourageons tous les autres à réagir selon leur intuition.

 

 

 

les nouvellesIl ne leur est pas demandé de rester de force, ni de se soumettre à notre état d’esprit s’il diffère du leur. Et il est encore moins attendu d’eux qu’ils nous fassent savoir, avant de partir en se comportant comme des gamins attardés, qu’ils ne nous aiment pas et nous trouvent trop ceci ou pas assez cela. Évidemment, nous n’avons que peu d’intérêt pour leur avis, mais cela n’est pas une raison valable pour faire d’eux des emmerdeurs et de nous des personnes faibles qui ne réagissent à aucune médiocrité affichée.

 

 

 

bonheur10Donc, sur mon forum, nous avons l’occasion de nous grouper afin de renforcer l’état d’esprit qui est le notre. Mais comment se nomme cet état d’esprit ? A quoi se résume-t-il ? Il se nomme vérité et se résume à ne plus se mentir pour se faire plus beau de peur d’être trop moche.

Il se nomme aussi « J’apprends à me connaître sans concession aucune. » Et il propose à ses membres de découvrir qui ils sont vraiment, puis de se mettre à s’aimer très fort « en l’état », ceci tout en continuant à être conscient de tout ce qu’ils sont et pourraient être, par ailleurs.

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Sur la peur de devoir assumer

AscensionDe nombreuses personnes ont peur de devoir assumer… Ce qui est effarant, c’est qu’elles ne réalisent même pas l’origine (fondée) de cette peur immense ! Si on fouille un peu dans l’âme d’une personne qui a peur d’assumer, on trouve des siècles d’esclavage spirituel !

Les personnes qui ont le plus peur de devoir assumer quoique se soit, sont aussi celles qui assument déjà les plus lourdes charges psychologiques, depuis des années et dans cette vie !

 

 

 

Ajoutons à cela le poids que l’âme (qui se souvient de tout) fait peser sur leurs petites épaules, et vous aurez alors une nette idée du véritable problème ! Le voici exposé en termes simples :

 

 

 

AtlasCeux qui ont peur de devoir assumer ont peur trop tard : ils assument déjà et fort inutilement d’ailleurs, une trop lourde charge et ce, depuis toutes ces années durant lesquelles ils se sont efforcé de correspondre aux attentes frustrées d’un parent, d’un tuteur, d’un conjoint, d’un patron, etc.

Pourtant, qu’avons-nous à assumer, si ce n’est tout ce qui provient de nous, que ce soit nos paroles ou nos actes ?

Mais ce qui vient de nous n’a pas à être assumé, puisque nous en portons déjà l’entière responsabilité. Et voyez : nous n’en sommes pas morts pour autant !

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Passage de Flambeau

La plupart des psychistes de ces trente dernières années s’accordent pour dire qu’il y a eu un « mouvement » au sein de la Grande Loge Blanche, c’est-à-dire au sein même de la Hiérarchie Ésotérique. Depuis les années 1984 et 1986, les « Gardiens de la Flamme » se sont lentement retirés de leur fonction. Cela dans le but généreux et prévu d’avance de céder la place à une nouvelle vague de Maîtres à l’état d’esprit bien plus adapté, car originaire des ces deux derniers siècles.

 

 

 

Pour ceux qui l’ignorent encore, la  Hiérarchie Ésotérique était un groupe informel de Maîtres et de Grands Maîtres, c’est à dire d’Individualités Réalisées, qui s’était donnée pour lumineuse Mission de guider leurs frères humains sur le Sentier de la Réalisation du Soi….

 

 

 

La « Grande Loge Blanche », quand à elle, est formée des mêmes Êtres qui, outre le désir généreux de transmettre la Connaissance, ont parallèlement à cœur de CONSERVER une Flamme Vivante dont la couleur est identique à la petite flamme bleue qui brule dans le cœur des hommes et des femmes de cette planète. Bien évidemment, ceux que l’on appellent « les Maîtres », et quel que soit leur degré de Réalisation (il existe des dizaines de paliers !) NE SONT PAS TOUS des Hiérarques, à savoir des Instructeurs de l’humanité capables de conduire un individu jusqu’au même niveau qu’eux (la Maîtrise.)

 

 

 

Tout comme il existe par exemple d’excellents ouvriers qui sont incapables d’enseigner leur métier à d’autres personnes, de même, il existe des Maîtres, même de haut niveau, qui ne sont pas capables de transmettre la Connaissance à d’autres (les deux n’étant pas nécessairement liés) ou qui, plus sobrement, n’en ressentent pas le désir.

 

 

 

 

De ce fait, bien que le nombre des Maîtres et des Grands Maîtres (Loge Blanche) commence à devenir impressionnant, il n’existe pas tant que ça d’Instructeurs capables de REPRENDRE LE FLAMBEAU et de venir grossir les rangs de la Hiérarchie Ésotérique.

Comprenez qu’il n’existe pas beaucoup d’hommes et de femmes capables de faire leur classe sur Terre et dans cette vie pour, à leur mort, devenir à leur tour non seulement des Maîtres, mais encore des Hiérarques, c’est-à-dire des Instructeurs de conscience dignes de ce nom.

 

 

 

Si ces propos vous paraissent osés ou un peu trop fantaisistes, essayez de songer que même au sein de votre boulot, de votre entreprise, de votre garage, etc., il faudra bien un jour que VOUS preniez la place de ceux qui partiront avant vous à la retraite ou… Dans la tombe ! Est-ce si difficile à admettre que, puisque nous sommes tous des « dieux » en devenir (ou en puissance), il nous est très facile de devenir moins que cela, à savoir de devenir des Maîtres et des Grands Maîtres ?

 

Réfléchissez-y, s’il vous plaît ! Réfléchissez à cela puis venez jubiler avec moi ! Mais si c’est juste pour critiquer et/ou étaler votre science supérieure à la mienne, faites-le sur vos propres supports (blogs ou autres) afin de conserver chez vous les salissures astrales et mentales que votre état d’esprit est capable d’engendrer puis de distribuer dans les Demeures Sacrées d’autrui.

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et qui pourront être retirées sur simple demande.)

 

Brice de Nice un Médium ?

Voici un article écrit il y a des années et qui, selon moi, pourrait intéresser quelques-uns par son contenu qui sort un peu de l’ordinaire mais demeure d’actualité.

 

*****

 

ange male 01Une fois n’est pas coutume, je vais vous présenter la face «positive» et de bonne augure d’une habitude psychologique contractée par une grande quantité de gens, en France ou ailleurs…. Je vais vous parler brièvement et, surtout, autrement, de ce réflexe qui consiste à « casser » les autres, en parole, comme cela et sans raison ou besoin apparent. La plupart on vu le film « Brice de Nice » ou en on entendu parler de son personnage principal, je suppose…

 

C’est celui qui dit sans arrêt : « Je t’ai cassé !»
Mais je suis certain que vous seriez surpris d’apprendre l’origine énergétique de cette manie pour le moins désagréable, n’est-ce pas ? Eh bien ! C’est une réponse naturelle et automatique de l’homme à une des subdivisions énergétiques de la grosse vague de 2012 !

 

En clair, ça signifie que les gens qui, pour des raisons traitées plus loin, sont ouverts à ce train d’ondes (ou longueur d’ondes) spécifique, ne font en fait que RÉPONDRE à un besoin naturel et…. positif ! Du moins pour eux, certes ! Comme vous le savez, la conscience de l’humanité aspire farouchement à se libérer de sa gangue de matérialité et, surtout, de ce voile d’illusion qui ressemble plus à une couette épaisse de trois mètres qu’à un voile !

 

 

fantastique2Et pour se faire, elle s’est donné des instructions, avant de revenir dans la chair, afin que, le moment voulu et désiré, elle puisse recevoir des outils psycho-énergétiques lui permettant de quitter l’horizontalité et retrouver le chemin Ascendant.

Et le fait de se faire casser à tout bout de champs par des cons qui feraient mieux de se regarder eux, est censé nous y aider, Monsieur le Curé ?

 

Oui.  Mais pas directement, certes ! Tous ceux qui font ça « captent », sans le réaliser, un égrégore positif du passé qui a été engendré par de Belles et Grandes Âmes qui vivaient, il y a très longtemps, sur les plateaux du Tibet et qui, plus tard, se déplacèrent un peu vers le sud pour s’y réfugier (et avoir la paix.) Cet égrégore est celui qui inspira, durant des siècles, la plupart des Guru (gourous) de l’Inde (les vrais, pas les truffes d’aujourd’hui) et dont le but avoué était de… casser l’égo de l’homme qui veut Remonter vers son Père. En fait, et sans le savoir, beaucoup de gens qui dénoncent les sectes se conduisent exactement comme des guru (ou gourous si francisé) !

 

 

Vous me direz, OK, ils captent l’égrégore formé par les autres Machins Illuminés de partout, là, très bien. Mais dans tout ça, on ne comprend toujours pas pourquoi ces gens là captent cet égrégore (et pas les autres) et surtout, quel est le but envisagé, attendu que les effets de ces « cassages » intempestifs sont plutôt désagréables et, surtout, rarement fondés ! Et vous auriez raison de me rétorquer cela !

Voici une réponse que je vous propose : Si elle vous défrise ou vous met mal à l’aise, sortez ce texte à l’imprimante puis employez-le pour remplacer le papier toilette de vos WC ! Nous sommes en république et vous seuls pouvez vous imposer quelque chose, pas moi Smile

 

 

itkeyscqPremièrement, ils captent le train d’ondes mentales de cet égrégore pour la simple raison qu’il faut absolument qu’ils se comportent comme des guru qui voient les défauts des autres mais n’en ont plus eux-mêmes (ce qui était exact par ailleurs pour les vrais guru, jadis) Pourquoi ? La belle affaire ! Pour qu’ils réagissent favorablement (comme prévu) et qu’ils se mettent à casser de l’ego (avéré ou présumé) à tour de bras autour de eux et… chez les autres ! Mais pourquoi ? Parce que c’est la seule façon de RÉVEILLER ENFIN la troisième faction Atlante ! Ah, ah ! ça vous scie, hein ?

 

 

De quoi ?! Une troisième faction Atlante ? Mais il est fou : il n’y en avait que deux, tout le monde sait ça, voyons ! Tout le monde sait ce qu’il a envie de savoir, oui. En Atlantide, nous disent la plupart des voyants et médiums, il existait deux factions opposées, juste avant la chute :

1. Les Fils de la Loi de Un (les gentils, il parait ^^)
2. Les Enfants de Bélial (les gros vilains pas beaux tout plein.)

 

 

mage sorcier 163D’autres vous diront qu’ils se nommaient en fait « Les Fils d’Adon-Inca » (du Seigneur Incréé) et « Les Enfants de Belzatl » (des eaux tumultueuses ou agitées), mais on s’en fout, n’est-ce pas, puisque l’essentiel est de comprendre de quoi il retourne… Or donc, selon les plus visionnaires, il n’existait, au moment de la chute, que deux types d’individus : les gentils et les méchants pas beaux (lol) Pour qui sait observer autour de lui, à notre époque, il est évident qu’il n’existe pas deux mais bien TROIS catégories d’individus ! Mieux encore : il a toujours existé TROIS catégories d’individus :

 

1. Ceux qui sont orientés Lumière, paix, service à autrui et qui se dévouent à quelque cause (si possible perdue d’avance, mais bon, hein, chut, on nous écoute !)
2. Ceux qui sont toujours excités, arrogants, hargneux, égoïstes et qui ne pensent qu’à eux, même si cet état d’esprit peut nuire à d’autres (ou surtout ?)
3. Enfin, il y a… Les Tièdes !

 

C’est-à-dire tous ceux qui ne veulent pas s’engager, se « mouiller » s’exprimer, faire valoir leurs droits ou leurs idées, ceux qui se contentent de ce qu’il y a et qui frémissent dès qu’on leur demande : «Et toi, tu en penses quoi ?» Ou encore :
« Et toi, tu es pour qui ? Tu dois te positionner ! » Dans la Bible il est écrit, noir sur blanc et en toutes lettres :

« Dieu vomit les tièdes »

(beurk !)

 

Bon, OK, nous avons à peu près suivi, mais quel rapport avec notre sujet ?
Le rapport est direct et sans pitié, le voici résumé d’une manière lapidaire et vous en avez aujourd’hui la primeur :

 « Si on donne à tous ceux qui doivent se réformer mais qui n’en ont ni la force ni le courage de le faire, le pouvoir de casser (psychologiquement) ceux qui, à aucun moment, n’ont encore réussi à se positionner, s’abritant derrière des concepts surannés de « lumière » et de « positivisme » afin de mieux FUIR leurs responsabilités, alors il se passera tôt ou tard deux phénomènes jubilatoires : premièrement, les « tièdes » vont en avoir marre de s’en prendre plein la tronche et vont se révolter et ruer dans les brancards, ce qui leur permettra de se positionner enfin et avec courage. En second, le fait qu’ils soient exacerbés par les « casseurs », ils vont à leur tour se mettre à parler et vont dire tout ce qu’ils ont sur le cœur et montrer aux « casseurs » que eux aussi savent voir la paille dans l’œil du voisin ! Ce qui fait que les « casseurs » vont se faire à leur tour casser de première, et chez eux, cela aura pour l’effet d’un électrochoc qui permettra alors de se sortir leur âme de son marasme séculaire. »

Voilà, exprimé en langage moderne, une des actions de la Grande Vague de 2012 qui montre déjà quelques effets, de ci, de là.

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)