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La peur de la colère

Ce qui m’avait le plus étonné, en arrivant sur les t’chats (Salons de discutions) de Voilà/Wanadoo, voici une douzaine d’années de cela (1999), c’est de constater à quel point beaucoup de jeunes gens qui échangeaient des propos entre eux, avaient une sainte peur -pour ne pas dire une grande honte- à la seule idée de… S’énerver !

 

 

 

Je notais souvent des phrases du genre « Ne t’énerve pas ! » ou encore « Reste calme ! » auxquelles la sempiternelle réponse faisait immédiatement écho :
« Je ne m’énerve pas, je suis calme ! » Comme si le fait de s’énerver pouvait passer pour une maladie honteuse !
J’en ai discuté avec des amis psychologues qui partagent les mêmes passions et connaissances de l’Ontologie (étude de l’être) que moi et nous en sommes arrivés à la conclusion que beaucoup de jeunes ont peur de s’énerver à cause de ce que cela pourrait impliquer par ailleurs.

 

 

 

L‘implication serait qu’en s’énervant, ils perdraient le contrôle de leurs émotions et qu’ils en viendraient à se déverser sans plus pouvoir se tenir, cela à cause d’une colère immense qu’ils abritent en leur cœur et qu’ils tentent vainement de refouler depuis des années.

 

 

 

 

 

Un peu comme si leur âme leur chuchotait :
« Attention ! tu vas encore t’énerver et ça va mal se terminer comme la dernière fois, tu te souviens ?! »
Selon les mêmes amis psy (et ésotéristes de surcroît), cela pourrait provenir de souvenirs animiques (relatifs à l’âme, donc) reliés à des vies Atlantes (ou extensions différentes d’un même Soi), à une époque durant laquelle toutes les plus basses et plus viles passions humaines décimèrent littéralement l’humanité d’alors.

 

 

 

 

Atlantide3La tradition parle de la mort de 600 millions de personnes, en trois jours et deux nuit, lors de l’engloutissement non pas de l’Atlantide sous les eaux, mais de la conscience humaine sous les vagues déferlantes des émotions les plus débridées. Nul doute que mes lecteurs assidus ou même occasionnels, auront quelque chose à en dire, des témoignages ou même des questions à ce propos. N’hésitez pas, nous sommes là pour partager et, pour les plus simples et courageux, pour apprendre !

 

 

 

Atlantide6Alors lâchez-vous et réfléchissez ensuite, pour changer ! Il est possible que vous soyez animé « de force » par une de ces âmes qui ont tant à apprendre sur elles-mêmes et qui, désormais, sont prêtes à s’y atteler… Souvenez-vous que seuls les imbéciles et les vaniteux s’imaginent tout savoir ou pire encore « se faire seuls« , sans l’aide de personne. Ce qui est, à n’en pas douter, un signe d’humilité évident !

 

 

 

Serge Baccino
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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Un serviteur bien espiègle !

mental11On dit de l’esprit qu’il est un bon serviteur mais un très mauvais maître… Je me demande toutefois s’il est un si bon serviteur que cela… Quand on sait que c’est notre état d’esprit qui détermine l’état psychologique et physiologique dans lequel nous sommes, on est en droit de se demander si l’esprit ne serait pas un bon serviteur uniquement si on le tient à l’œil ! Cela dit, si nous ne commettions pas l’erreur monumentale de nous IDENTIFIER sans cesse avec toutes ces idées à la con qui nous traversent journellement la tête, nous ne ressentirions pas toute cette souffrance morale.

 

 

 

mental04De fait, est-ce l’esprit qui est responsable ou bien nous, ce que nous sommes réellement, c’est-à-dire NOTRE CONSCIENCE ? Vu sous le premier angle, l’esprit serait un enfant espiègle et turbulent qui n’aurait de cesse d’ennuyer l’adulte que nous sommes… Vu sous le second angle, puisque l’esprit est un enfant, espiègle ou non, il n’est pas responsable de ses actes, car il est dans la nature des enfants de se montrer turbulents, et il est du devoir et de la responsabilité des adultes d’être plus matures et responsables que de simples enfants.

 

 

bible_scroll2Selon les Shiva-Sutra (les textes primitifs du Shivaïsme du Cachemire dont la psy éso est en grande partie originaire), il est dans la nature de l’esprit de remuer sans cesse (vritti, en sanskrit = «modifications de l’esprit.») S’il est dans sa nature de remuer, il n’est donc pas sage de notre part d’attendre de lui qu’il se calme, n’est-ce pas ? Ainsi, il paraît plus intelligent de déplacer notre attention mentale qui, en règle générale, est focalisée sur tout ce que nous raconte l’esprit, à longueur de journée. De la déplacer pour la polariser (concentrer, focaliser) sur une chose qui ne remue pas, ne varie pas, est éternelle et emplie de paix, de joie, d’amour, de sagesse et de bonheur.

 

 

 

Il existmental12erait en nous une telle corne d’abondance ? Oui, et c’est notre conscience (Chitti, en sanskrit), cette partie divine de notre être global qui est sans cesse accaparée par les mouvements de l’esprit (Karma chitta), qui remue avec lui ce qui nous refile le mal de mer ! Il était déjà difficile de ne plus se concentrer exclusivement sur les choses extérieures (les autres, les évènements, les sons, etc) mais là, ça va devenir carrément impossible ! Ne plus prêter attention aux formes mentales qui nous font la danse du ventre devant notre conscience et réussissent à la séduire depuis des années ? Est-ce seulement possible, d’ailleurs ? Oui, c’est tout à fait possible. Il existe une astuce qui permet non pas de «calmer l’esprit», ce qui est impossible, mais plutôt de ne plus être fasciné et donc accaparé par ses cabrioles incessantes.

 

 

 

 

wiu5cj1bBien que nous soyons persuadés que «l’esprit est dans notre tête» ou bien que «nous pensons avec notre cerveau qui est dans notre tête» (sic), le siège véritable de l’esprit se trouve dans le cœur. Il existe des Canaux (Nadi) énergétiques qui partent du cœur et s’élèvent jusqu’au sommet du crâne et de chaque côté de notre tête, juste au-dessus de nos oreilles (dans les deux hémisphères cérébraux, donc.) A longueur de journée, de l’énergie vitale (prâna) s’élève du cœur en direction de la tête. En pénétrant certains Centres psychiques situés en effet dans notre cerveau, nous devenons conscient que nous pensons ou, plus exactement, que des pensées sont là, à portée de conscience. Il nous appartient ensuite d’y prêter attention ou non, mais ces pensées naissent en vérité de l’interaction entre de l’énergie qui s’élève du cœur et des Centres psychiques contenus dans le cerveau.

 

 

 

 

CoeurEsprit03-copieDe fait, s’il était possible de réduire -voire de faire cesser- la circulation d’énergie entre notre cœur et notre cerveau, nous n’aurions plus l’impression de penser, car nous n’en serions tout bêtement plus conscient. Lorsqu’une chose n’existe pas «pour nous», que nous n’en sommes pas conscient, alors c’est comme si elle n’existait pas en fait. En portant toute notre attention mentale non pas «sur le cœur», ni même «dans le cœur» mais sur un point précis situé sur le côté gauche de la poitrine et qui se trouve dans une partie précise du muscle cardiaque, il se passe un phénomène assez intéressant. A ce moment, non seulement l’énergie vitale réduit considérablement son débit ascendant, ce qui diminue notre perception des mouvements (Karma) de l’esprit (Chitta) en nous, mais de plus, quelque chose d’autre commence à se faire sentir en nous.

 

 

 

dans le coeurLa sensation d’Une Présence apparait et semble grandir pour notre conscience. Plus cette sensation de La Présence grandit, moins l’esprit remue et engendre des pensées. Il ne s’agit ici que de présenter les grandes lignes d’un savoir vieux de plusieurs milliers d’années et qui, jadis, n’était réservé qu’à une « élite », composée d’initiés qui, presque tous, appartenaient à une quelconque « École de Mystère » (ce que l’on nomme de nos jours les « Ordres Initiatiques. »)

 

 

 

 

auras-doublesDésormais, il nous est permis de faire connaître ce savoir antique et même de le diffuser à une plus large échelle. Toutefois, comme un tel exercice est puissant dans ses effets psychiques et mentaux et n’est pas sans conséquences sur la psychologie du comportement, du moins après un certain temps de pratique assidue, il est vivement conseillé de suivre un professeur d’ésotérisme qualifié pour exécuter cet exercice sous son contrôle bienveillant et, surtout, avec sa présence physique et effective (pour des raisons que j’expliquerai dans un autre article ou durant les commentaires qui suivront cet article de présentation.) Si vous avez des questions, et j’espère qu’elles seront nombreuses vu le sujet, je suis à votre disposition et ce, dans les limites raisonnables (et humaines ^^) de ma disponibilité. Bien à vous mes fidèles lecteurs ! 🙂

 

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Sur la peur de devoir assumer

AscensionDe nombreuses personnes ont peur de devoir assumer… Ce qui est effarant, c’est qu’elles ne réalisent même pas l’origine (fondée) de cette peur immense ! Si on fouille un peu dans l’âme d’une personne qui a peur d’assumer, on trouve des siècles d’esclavage spirituel !

Les personnes qui ont le plus peur de devoir assumer quoique se soit, sont aussi celles qui assument déjà les plus lourdes charges psychologiques, depuis des années et dans cette vie !

 

 

 

Ajoutons à cela le poids que l’âme (qui se souvient de tout) fait peser sur leurs petites épaules, et vous aurez alors une nette idée du véritable problème ! Le voici exposé en termes simples :

 

 

 

AtlasCeux qui ont peur de devoir assumer ont peur trop tard : ils assument déjà et fort inutilement d’ailleurs, une trop lourde charge et ce, depuis toutes ces années durant lesquelles ils se sont efforcé de correspondre aux attentes frustrées d’un parent, d’un tuteur, d’un conjoint, d’un patron, etc.

Pourtant, qu’avons-nous à assumer, si ce n’est tout ce qui provient de nous, que ce soit nos paroles ou nos actes ?

Mais ce qui vient de nous n’a pas à être assumé, puisque nous en portons déjà l’entière responsabilité. Et voyez : nous n’en sommes pas morts pour autant !

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Les distributeurs d’énergie

tornade psyComme vous le savez sans doute, les disputes entre humains se résument à une banale lutte de pouvoir, les premiers essayant de piquer l’énergie aux seconds, cela afin de les affaiblir puis de les dominer ensuite. Un homme ou une femme qui a atteint son propre Soi et qui se comporte comme un Maître (et qui en est un, même s’il fait tout pour le cacher aux yeux des médiocres pour éviter leur animosité naturelle), devient pour ainsi dire une sorte de pile atomique dont la polarité dépend du Genre (sexe.)

 

 

Un homme qui a atteint la Maîtrise devient un distributeur ambulant d’énergie mentale (ou spirituelle) : le simple fait de se trouver en présence d’un tel homme suffit pour éclairer les gens sur eux-mêmes, alors que cet homme se tait et ne fait rien d’autre que d’être présent.

Une femme qui a atteint la Maîtrise (et c’est encore plus beau que pour un homme) devient elle aussi un distributeur ambulant, mais d’énergie astrale (du Latin « aster » = « lumineux ») et la seule présence chaleureuse et rayonnante d’une telle Femme suffit à « Re-féminiser » n’importe qu’elle femme dépolarisée, sauf si elle résiste au Principe Féminin en action au travers du Maître Féminin, par exemple par jalousie.

 

 

Femme rayonnanteBref, un homme devient Maître du Principe Masculin incarné et rayonne sans cesse ce même principe qui peut «Re-viriliser» (psychiquement parlant) n’importe quel homme dépolarisé. Une femme Maître du Principe Féminin incarné, rayonne sans cesse ce même principe et peut redonner « vie, force et durée » (Ankh, Djed Ouas, en Égyptien) au Principe Féminin qui sommeille en n’importe quelle autre femme.

Les véritables initiateurs des hommes et des femmes ne sont pas les Maîtres en eux-mêmes, mais ces deux Principes (Masculin ou Féminin) qu’ils rayonnent.

 

Ce sont eux qui donnent l’initiation et qui réveillent « Dieu en soi. »

 

 

Il y a deux sortes de Maîtres, actuellement présents sur Terre (sans compter les Grands Maîtres) : ceux qui viennent exprès pour partager leur lumière (de plus en plus rares à notre époque car tout a déjà été dit, mais pas tout accepté.) Et ceux qui ont le « niveau » de Maître (ou qui instruisaient, jadis, sous d’autres formes charnelles) mais qui sont revenus pour eux, pour reprendre leur propre évolution qu’ils avaient un peu laissée de côté, enthousiasmés qu’ils étaient par leur passion commune d’offrir et de faire profiter aux autres un peu de leurs propres acquisitions.

 

 

Les premiers, puisqu’ils sont revenus (sans doute pour la dernière fois, d’ailleurs) pour instruire les autres, cette fois, ont emporté avec eux la panoplie complète (lol) de l’instructeur des consciences : non seulement ils ressemblent à des Maîtres (du moins l’idée que s’en font certains) mais de plus, ils ont conservé une Aura de Maître, qui a la particularité (et c’est fait pour) de « faire savoir » aux éventuels élèves potentiels, qu’ils ont bien affaire à un Maître (et non à un trou du culte !) sans qu’il soit utile de poser la question ringarde et qui tue toute relation ultérieure (et qui a le don de faire fuir les Instructeurs) :

« Serais-tu un Maître ? »

 

 

Les seconds sont revenus essentiellement pour s’occuper de quelques aspects de leur être global qu’ils avaient négligés, nécessairement, dans leurs autres vies, occupés qu’ils étaient à orienter la Lumière de leur attention mentale sur les autres (étant branchés à la Source, eux ne se vident pas en agissant ainsi.)

De fait, on pourrait dire, sans exagérer, qu’ils ressemblent à tout, sauf à un Maître, justement ! Et c’est fait exprès aussi. Ils savent, depuis des années, comment atténuer la Lumière de la Conscience de Dieu en Soi et leur aura, sans être tout à fait banale non plus, n’est pas apte à attirer le regard, même d’un voyant.

Bref, s’ils ne désirent pas que d’autres sachent qui ils sont, ils n’ont aucun mal à se fondre dans la masse, voire carrément à passer pour des cons ! (ils excellent d’ailleurs dans l’art d’avoir l’air très con aux yeux de ceux qui n’ont pas à savoir qui ils sont)

 

 

Les seuls moments où ils se trahissent un peu sans le réaliser, c’est lorsqu’ils parlent de certains sujets qui concernent la Conscience Christique et le fait que nous sommes tous « Un. » A ces moments-là, le Pouvoir Divin (Adi Shakti) qui les inondent et auquel il n’oseraient jamais résister, explose leur âme tel un Torrent qui Hurle la Vraie Vie. Ce qui fait briller une Lumière d’or pur autour du haut de leur corps (tête et épaules comprises) visible facilement par une personne un peu sensible, et leur regard retrouve cette brillance qui ne trompe plus personne.

 

 

Les Maîtres ont un petit secret (qui n’en est pas un, mais bon) : Ils savent qu’il n’est pas « cosmiquement prévu » (non obligatoire) d’aider, d’instruire, de partager et même d’aimer autrui ou d’être seulement aimable avec les autres…

(Eh oui, ça vous scie, n’est-ce pas ?)

 

moine-natureDu coup, lorsqu’ils le font tout de même, et malgré des circonstances extérieures et humaines parfois difficiles, une chaude Présence s’insinue en eux et semble vouloir les remercier d’une caresse légère… Et l’effet de cette « caresse » est le même à chaque fois : ils sont plaqués à même le sol, les bras en croix, le cœur qui bat la chamade et le système nerveux parcouru par du 20 000 volts.

Alors, à notre époque, certains ont appris à Lui répondre, avec un langage un peu moins mystique et beaucoup plus moderne, il est vrai :

 

«Père !!! Arrête de me glorifier, tu es encore en train de m’exploser l’âme !!!»

 

 

Addenda
Différence entre un Maître et un Maître Instructeur

 

 

plans de conscienceLa différence essentielle entre un Maître « ordinaire » et un Maître Instructeur, c’est que le premier n’est pas nécessairement doué pour les échanges et pour faire passer (transmettre, partager) à un autre tout ce qu’il a acquis dans un domaine ou dans un autre (Les Maîtres n’excellent pas pour autant en toutes disciplines mais seulement en une ou deux, en général, contrairement aux Grands Maîtres qui excellent en tout.)

Il est un Maître de par la maîtrise qu’il a sur son propre esprit et ne souhaite appliquer cette maîtrise sur autre chose que le contenu de son cœur et de son mental. Quand on est Maître de soi, l’ego et la plupart des illusions de l’âme humaine n’ont plus de prise : on est froidement conscient de ses qualités, de ses défauts ou limitations. Il n’existe sans doute aucun Maître qui puisse prétendre instruire, s’il n’en a pas les capacités et les qualités requises. Les Maîtres ne sont pas « humbles », ils sont seulement simples, sans manières et ont assez de discernement pour connaître leurs limites.

 

 

Un Instructeur est un Maître comme les autres mais qui adore un ou plusieurs sujets ésotériques et qui prend un vif plaisir à partager ce qu’il Maîtrise, ne serait-ce qu’intellectuellement. En somme, ce genre de Maître-là adore partager, enseigner et, en un mot, il affectionne tout particulièrement les contacts humains. Car pour enseigner, il ne suffit pas d’aimer la connaissance, fut-elle ésotérique… Comme nul n’est parfait, avec le temps, le Maître Instructeur apprend à transmettre son savoir avec plus de compétence, de sagesse et de discernement. Pour lui, il ne « réussit » jamais et « n’échoue » jamais dans sa façon d’instruire, car il connait trois secrets :

 

1. Que rien ne l’oblige à partager.
2. Qu’il appartient à celui qui ignore de se sortir lui-même de son ignorance et que lui seul « réussit » ou « rate » son apprentissage en vue d’être Soi.

3. Que c’est à l’élève de monter jusqu’à lui, pas à lui de descendre jusqu’à l’élève.

 

 

La seule chose que ni les Maîtres, ni les Instructeurs (ni sans doute personne) ne « maîtrise », c’est l’amour ainsi que cette affection immense qui peut relier celui qui enseigne et transmet la Lumière à celui qui est conscient du trésor immense qui lui est ainsi offert et qui le manifeste par une affection sans borne. Dans ce domaine, tout le monde demeure « l’élève de la vie. » La seule « faiblesse » des Maîtres Instructeurs, c’est cet amour inconditionnel et sans limites qu’ils portent à ceux qui leur témoignent leur confiance et leur reconnaissance.

Voilà ce qui est dit, voilà ce qui n’est pas encore dit mais qui le sera plus tard, et voici ce qui est contenu entre les lignes pour qui sait lire vraiment. Si vous avez des commentaires, n’hésitez pas, le sujet me parait intéressant et je sais qu’il n’a jamais été présenté de cette façon-là (et pour cause.)

 

 

 

Serge Baccino

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