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Les distributeurs d’énergie

tornade psyComme vous le savez sans doute, les disputes entre humains se résument à une banale lutte de pouvoir, les premiers essayant de piquer l’énergie aux seconds, cela afin de les affaiblir puis de les dominer ensuite. Un homme ou une femme qui a atteint son propre Soi et qui se comporte comme un Maître (et qui en est un, même s’il fait tout pour le cacher aux yeux des médiocres pour éviter leur animosité naturelle), devient pour ainsi dire une sorte de pile atomique dont la polarité dépend du Genre (sexe.)

 

 

Un homme qui a atteint la Maîtrise devient un distributeur ambulant d’énergie mentale (ou spirituelle) : le simple fait de se trouver en présence d’un tel homme suffit pour éclairer les gens sur eux-mêmes, alors que cet homme se tait et ne fait rien d’autre que d’être présent.

Une femme qui a atteint la Maîtrise (et c’est encore plus beau que pour un homme) devient elle aussi un distributeur ambulant, mais d’énergie astrale (du Latin « aster » = « lumineux ») et la seule présence chaleureuse et rayonnante d’une telle Femme suffit à « Re-féminiser » n’importe qu’elle femme dépolarisée, sauf si elle résiste au Principe Féminin en action au travers du Maître Féminin, par exemple par jalousie.

 

 

Femme rayonnanteBref, un homme devient Maître du Principe Masculin incarné et rayonne sans cesse ce même principe qui peut «Re-viriliser» (psychiquement parlant) n’importe quel homme dépolarisé. Une femme Maître du Principe Féminin incarné, rayonne sans cesse ce même principe et peut redonner « vie, force et durée » (Ankh, Djed Ouas, en Égyptien) au Principe Féminin qui sommeille en n’importe quelle autre femme.

Les véritables initiateurs des hommes et des femmes ne sont pas les Maîtres en eux-mêmes, mais ces deux Principes (Masculin ou Féminin) qu’ils rayonnent.

 

Ce sont eux qui donnent l’initiation et qui réveillent « Dieu en soi. »

 

 

Il y a deux sortes de Maîtres, actuellement présents sur Terre (sans compter les Grands Maîtres) : ceux qui viennent exprès pour partager leur lumière (de plus en plus rares à notre époque car tout a déjà été dit, mais pas tout accepté.) Et ceux qui ont le « niveau » de Maître (ou qui instruisaient, jadis, sous d’autres formes charnelles) mais qui sont revenus pour eux, pour reprendre leur propre évolution qu’ils avaient un peu laissée de côté, enthousiasmés qu’ils étaient par leur passion commune d’offrir et de faire profiter aux autres un peu de leurs propres acquisitions.

 

 

Les premiers, puisqu’ils sont revenus (sans doute pour la dernière fois, d’ailleurs) pour instruire les autres, cette fois, ont emporté avec eux la panoplie complète (lol) de l’instructeur des consciences : non seulement ils ressemblent à des Maîtres (du moins l’idée que s’en font certains) mais de plus, ils ont conservé une Aura de Maître, qui a la particularité (et c’est fait pour) de « faire savoir » aux éventuels élèves potentiels, qu’ils ont bien affaire à un Maître (et non à un trou du culte !) sans qu’il soit utile de poser la question ringarde et qui tue toute relation ultérieure (et qui a le don de faire fuir les Instructeurs) :

« Serais-tu un Maître ? »

 

 

Les seconds sont revenus essentiellement pour s’occuper de quelques aspects de leur être global qu’ils avaient négligés, nécessairement, dans leurs autres vies, occupés qu’ils étaient à orienter la Lumière de leur attention mentale sur les autres (étant branchés à la Source, eux ne se vident pas en agissant ainsi.)

De fait, on pourrait dire, sans exagérer, qu’ils ressemblent à tout, sauf à un Maître, justement ! Et c’est fait exprès aussi. Ils savent, depuis des années, comment atténuer la Lumière de la Conscience de Dieu en Soi et leur aura, sans être tout à fait banale non plus, n’est pas apte à attirer le regard, même d’un voyant.

Bref, s’ils ne désirent pas que d’autres sachent qui ils sont, ils n’ont aucun mal à se fondre dans la masse, voire carrément à passer pour des cons ! (ils excellent d’ailleurs dans l’art d’avoir l’air très con aux yeux de ceux qui n’ont pas à savoir qui ils sont)

 

 

Les seuls moments où ils se trahissent un peu sans le réaliser, c’est lorsqu’ils parlent de certains sujets qui concernent la Conscience Christique et le fait que nous sommes tous « Un. » A ces moments-là, le Pouvoir Divin (Adi Shakti) qui les inondent et auquel il n’oseraient jamais résister, explose leur âme tel un Torrent qui Hurle la Vraie Vie. Ce qui fait briller une Lumière d’or pur autour du haut de leur corps (tête et épaules comprises) visible facilement par une personne un peu sensible, et leur regard retrouve cette brillance qui ne trompe plus personne.

 

 

Les Maîtres ont un petit secret (qui n’en est pas un, mais bon) : Ils savent qu’il n’est pas « cosmiquement prévu » (non obligatoire) d’aider, d’instruire, de partager et même d’aimer autrui ou d’être seulement aimable avec les autres…

(Eh oui, ça vous scie, n’est-ce pas ?)

 

moine-natureDu coup, lorsqu’ils le font tout de même, et malgré des circonstances extérieures et humaines parfois difficiles, une chaude Présence s’insinue en eux et semble vouloir les remercier d’une caresse légère… Et l’effet de cette « caresse » est le même à chaque fois : ils sont plaqués à même le sol, les bras en croix, le cœur qui bat la chamade et le système nerveux parcouru par du 20 000 volts.

Alors, à notre époque, certains ont appris à Lui répondre, avec un langage un peu moins mystique et beaucoup plus moderne, il est vrai :

 

«Père !!! Arrête de me glorifier, tu es encore en train de m’exploser l’âme !!!»

 

 

Addenda
Différence entre un Maître et un Maître Instructeur

 

 

plans de conscienceLa différence essentielle entre un Maître « ordinaire » et un Maître Instructeur, c’est que le premier n’est pas nécessairement doué pour les échanges et pour faire passer (transmettre, partager) à un autre tout ce qu’il a acquis dans un domaine ou dans un autre (Les Maîtres n’excellent pas pour autant en toutes disciplines mais seulement en une ou deux, en général, contrairement aux Grands Maîtres qui excellent en tout.)

Il est un Maître de par la maîtrise qu’il a sur son propre esprit et ne souhaite appliquer cette maîtrise sur autre chose que le contenu de son cœur et de son mental. Quand on est Maître de soi, l’ego et la plupart des illusions de l’âme humaine n’ont plus de prise : on est froidement conscient de ses qualités, de ses défauts ou limitations. Il n’existe sans doute aucun Maître qui puisse prétendre instruire, s’il n’en a pas les capacités et les qualités requises. Les Maîtres ne sont pas « humbles », ils sont seulement simples, sans manières et ont assez de discernement pour connaître leurs limites.

 

 

Un Instructeur est un Maître comme les autres mais qui adore un ou plusieurs sujets ésotériques et qui prend un vif plaisir à partager ce qu’il Maîtrise, ne serait-ce qu’intellectuellement. En somme, ce genre de Maître-là adore partager, enseigner et, en un mot, il affectionne tout particulièrement les contacts humains. Car pour enseigner, il ne suffit pas d’aimer la connaissance, fut-elle ésotérique… Comme nul n’est parfait, avec le temps, le Maître Instructeur apprend à transmettre son savoir avec plus de compétence, de sagesse et de discernement. Pour lui, il ne « réussit » jamais et « n’échoue » jamais dans sa façon d’instruire, car il connait trois secrets :

 

1. Que rien ne l’oblige à partager.
2. Qu’il appartient à celui qui ignore de se sortir lui-même de son ignorance et que lui seul « réussit » ou « rate » son apprentissage en vue d’être Soi.

3. Que c’est à l’élève de monter jusqu’à lui, pas à lui de descendre jusqu’à l’élève.

 

 

La seule chose que ni les Maîtres, ni les Instructeurs (ni sans doute personne) ne « maîtrise », c’est l’amour ainsi que cette affection immense qui peut relier celui qui enseigne et transmet la Lumière à celui qui est conscient du trésor immense qui lui est ainsi offert et qui le manifeste par une affection sans borne. Dans ce domaine, tout le monde demeure « l’élève de la vie. » La seule « faiblesse » des Maîtres Instructeurs, c’est cet amour inconditionnel et sans limites qu’ils portent à ceux qui leur témoignent leur confiance et leur reconnaissance.

Voilà ce qui est dit, voilà ce qui n’est pas encore dit mais qui le sera plus tard, et voici ce qui est contenu entre les lignes pour qui sait lire vraiment. Si vous avez des commentaires, n’hésitez pas, le sujet me parait intéressant et je sais qu’il n’a jamais été présenté de cette façon-là (et pour cause.)

 

 

 

Serge Baccino

Licence Creative Commons

L’induction mentale

L’induction mentale

 

 

Le sujet de l’induction mentale est connu depuis des millénaires par les ésotéristes qui ont eu le courage de suivre la voie psychologique, nommée parfois « le troisième niveau » et qui, de tout temps, a été réservée, non pas à une élite (comme le prétendent les artichauts) mais bien aux plus courageux d’entre les véritables chercheurs de Lumière.
C’est d’ailleurs grâce à ce phénomène naturel d’induction mentale que les Maîtres du passé purent transmettre une grande partie de leur force et de leur savoir à leurs disciples les plus zélés.

Certains savent que les Maîtres de jadis avaient souvent une suite formée par une quantité réduite de  Chéla (en Sanskrit) ou d’élèves qui les suivaient régulièrement. En effet, vivre avec le Maître permettait alors de bénéficier en grande partie de son énergie et de son exemple vivant, bien plus efficace que toutes les belles paroles de sagesse du monde. L’induction mentale est soit positive, soit négative dans ses effets et ce, quelle que soit l’intention de départ. Cela dit, il paraît évident que le fait de fréquenter des saints ou des criminels endurcis, pourra donner des résultats sensiblement différents ! Si l’induction positive (bénéficier de l’apport énergétique et de l’exemple vivant positifs d’un tiers) est assez facile à comprendre, l’aspect négatif de ce même phénomène est beaucoup moins connu, ou, vais-je dire, moins reconnu et donc accepté.

 

 

Ces mots qui piquent et qui agacent.

 

Qui n’a pas subi l’influence négative d’un tiers ne serait-ce qu’une fois ? Qui n’a pas été influencé, plus jeune et ne serait-ce qu’une fois, par les « meneurs » d’une bande de gamins ? Nous avons tous, peu ou prou, subit l’influence négative de l’induction mentale.A fréquenter des cons…. On devient comme eux, oui ! L’exemple le plus frappant d’induction mentale négative est ce que l’on nomme l’hystérie collective.  Par exemple, les actes de barbarie perpétrés durant des matchs de foot, entre supporters, ou ces personnes piétinées par la foule en cas d’incendie, etc. Ce bref résumé pour nous amener à ce qui nous intéresse plus particulièrement ici, à savoir cette forme d’induction mentale très particulière, subie mais rarement intellectualisée, qui se produit par le biais de notre participation à un salon d’échange (Chat) ou à un forum, par exemple.

 

 

L’espace ne compte pas.

 

Il ne faut pas croire que du fait de l’éloignement physique, nous sommes tous bien à l’abri derrière notre petit écran ! Que nenni ! Et le fait de nous cacher courageusement derrière les traits impersonnel d’un avatar digne de nos années de lycée n’y change absolument rien, bien au contraire !
Même les scientifiques, dont l’ouverture d’esprit n’est plus à démontrer (sic), commencent à soupçonner la présence de particules en rapport avec l’activité mentale et qui  » voyageraient  » à une vitesse bien supérieure à celle de la lumière. Je veux parler ici des scientifiques « ordinaires », et non de ces nouveau génies que sont les physiciens quantiques.

 

 

Des particules d’énergie qui voyageraient à une vitesse supérieure à celle de la lumière ? C’est du moins leur version frileuse et lancée pour tester les réactions du public. Bref, personne n’ose encore parler de télépathie ou même d’aura universelle (la somme de toutes les auras individuelles) mais bon, hein, il ne faut pas non plus bousculer les vieillards de l’Académie des sciences alors qu’ils se proposent de disputer une course en fauteuil roulant.

 

Une efficacité qui fait peur.

 

Donc, cette fameuse induction mentale va permettre, du fait même de son manque cruel de notoriété, de remplir son office avec une précision quasi chirurgicale et à l’insu de l’intellect qui, comme chacun l’ignore (lol) demeure sous la tutelle de l’ego, ceci aussi longtemps que la personne ne bénéficie pas d’un mental dit « illuminé » (comprendre déprogrammé et auto-éclairé.)

Dans nos cours privés et sur le forum de suivi personnalisé, il est fait usage de ce phénomène naturel d’induction mentale, afin d’aider nos membres inscrits à ces mêmes études privées, d’y voir un peu plus clair en eux-mêmes. Du moins, quand ils n’oublient pas leurs bonnes résolutions, certes, puisque c’est eux-mêmes qui, en devenant étudiants, font la demande tacite d’être guidés, instruits et conseillés durant un certains temps du moins.

 

C’est à ce titre que, dans le passé, nous avons laissé librement s’exprimer de gros boulets, ceci afin d’induire un effet mental approprié dans l’esprit de nos membres. Ce qui, au passage, a permis à quelques-uns, qui n’avaient de cesse de se mentir tout en feignant une recherche spirituelle  » authentique  » (sans commentaires), de faire des choix qui s’imposent.

 

 

Quand le mal fait du mal au mal en nous.

 

D’aucuns se sont donc demandé pourquoi je laissais des personnages inquiétants demeurer sur le forum des cours, tandis que d’autres étaient virés sans crier gare et sans fanfare alors qu’ils paraissaient plutôt inoffensifs, bien qu’étant gros boulets également. En fait, certains présentent des formes de compulsions que j’oserais qualifier d’efficaces et d’utiles à l’économie de la vie, tandis que d’autres n’invoquent pas les mêmes schémas et ne servent donc pas autant la communauté. En effet, pour qu’un être se débarrasse d’une schéma mental qui conditionne son vécu, il doit pouvoir en prendre conscience et ce, d’une manière ou d’une autre. Le mieux est encore que cela se passe lorsqu’il est entouré de gens compétents et compréhensifs, capables de le guider voire d’orienter ses réactions et de lui permettre ainsi de réaliser la nature exacte du problème avant de s’en débarrasser.

 

Ceux qui trouveraient cruel ce genre de technique psychologique, n’ont qu’à se demander de quel droit une personne viendrait semer le trouble dans une communauté de gens qui désirent la paix. Réponse évidente : Du droit qu’elle s’octroie elle-même ! De ce même droit que s’offrent généreusement les dirigeants de notre forum privé.

 

 

Fuir le problème revient à fuir aussi sa solution.

 

Par ailleurs, il n’est pas nécessairement utile ou même intelligent de vouloir fuir un problème ou de chercher à s’en débarrasser sans prendre la peine de voir si ce même problème ne contient pas quelque précieuse indication à notre sujet. Pourquoi certains ont ce pouvoir de nous faire réagir ou même bondir comme si nous étions montés sur ressort ? Où se trouve le pouvoir de réaction, chez les autres ou en nous-mêmes et existant à notre insu ? Tout ceci demande réflexion. La liberté est toujours à double sens, n’en déplaise à ceux qui, agissant pour le Mal, ne supportent pas que le Bien leur fasse… Du mal (j’adore cette phrase) Vous désirez vous libérer vraiment de toute votre compulsion ?

Oui ? Juré craché ? (non, pas par terre sur le tapis, c’est dégueulasse !)
Alors surtout, ne partez pas ! Je veux dire, ne quittez pas l’état d’esprit à partir duquel vous pourrez comprendre la nature exacte de vos problèmes et donc, comprendre du même coup ce qu’il convient de faire pour y mettre un terme définitif.

 

 

Être attentif à Soi.

 

 

La prochaine fois que vous sentirez un malaise en présence d’un tiers ou lorsque les paroles d’une personne que vous connaissez bien vous blesseront, ayez le réflexe salvateur de ne pas réagir depuis l’extérieur ! Essayez, au contraire, d’aller voir en vous-mêmes (ésotérikos, en Grec) ce qui se passe et qu’elle est l’origine réelle de ce malaise, de cette vexation.
Les autres, au-dehors, ne sont au mieux que des révélateurs, un moyen comme un autre (mais très efficace !) de ne plus laisser ce qui vous bouffe de l’intérieur, œuvrer à son travail de sape en toute impunité. Une impunité qui découle simplement de l’inconscience de la cause de vos problèmes.

Si vous conservez à l’esprit que puisque c’est vous qui réagissez à ce que vous sentez en vous-mêmes, le problème se trouve donc en vous, et non dans les paroles ou dans les actes des autres, à l’extérieur, vous verrez que, très rapidement, quelqu’un va faire naître en vous agacement, jalousie, colère, etc..

Sachez que si vous n’aviez plus rien à « révéler » (ou à rendre conscient) en vous, l’extérieur et les autres n’auraient plus aucun pouvoir de vous faire ressentir des choses jugées par vous négatives. Jugées trop rapidement par vous négatives !

 

Non pas qu’il soit spécialement agréable d’être publiquement humilié ou de réaliser que les autres nous prennent pour un con depuis des lustres et à notre insu ! Disons plutôt que ce n’est là que la partie apparente de l’iceberg. L’essentiel du problème psychologique demeure encore sous des couches et des couches d’inconscience.

 

 

La peur de la mise à nue de l’ego.

 

 

Vous connaissez bien ce pouvoir démoniaque que vous prêtez hélas aux autres et qui consiste à faire naître, en vous, agacement, jalousie, colère, etc. Nous sommes rendus à une époque où tout ce que nous tentions désespérément de cacher aux autres depuis des années, semble vouloir être crier au grand jour ou « sur les toits », comme il est dit dans l’un des versets de la Bible.

Et cette peur terrible que les autres vous découvrent brusquement sous un jour qui ne serait pas complètement à votre avantage, correspond à l’activité du Moi-Idéalisé. Un autre sujet traité et débattu comme il se doit dans les cours privés et sur le forum qui leur est associé, mais sur lesquel nous pourrons disserter et à votre demande si vous ignorez l’essentiel de ce sujet.

 

A noter que l’extrême candeur et l’orgueil le plus abominable, font tous deux parties intégrantes des schémas mentaux les plus usuels de notre humanité. Il n’existe pas de bon ou de mauvais état d’esprit, car presque tous sont conditionnés par une foule de dogmes, de croyances, de peurs et de doutes sur soi. Il serait pour le moins inutile de rechercher la présence de celles et ceux qui vous paraissent incarner la Déesse ou le Dieu des Boulets !

Vous seriez surpris de tout ce que peut également déclencher, en vous,  une personne apparemment « saine d’esprit » si d’aventure vous commettiez l’outrecuidance de déranger son petit confort mental ou de ne pas être en accord total avec ses idéaux !

 

 

Ce qu’il faut retenir de tout cela.

 

 

Pour résumer mon propos, je dirais qu’il est utile, pour notre évolution, de ne pas chercher à fuir le relationnel, même si ce dernier s’avère parfois pénible et producteur de souffrances psychologiques. La souffrance provient de notre résistance à l’effort. A cette pression du pouvoir de la vérité sur notre âme. Tout, en nous, pousse vers plus de conscience et d’intelligence : si nous résistons à la vie, cela en tentant d’éluder notre processus de réforme psychologique (s’améliorer, se libérer l’esprit), nous allons nécessairement souffrir. Tout comme nous souffrons si nous refusons de manger et de boire.

 

Les ésotéristes oublient un peu trop souvent que le relationnel est la base de toute évolution véritable. Plus de 90% du travail d’une individualité, sur les Plans de conscience supérieurs (l’Au-delà, l’invisible, etc.), consiste en du relationnel. Sur Terre, il nous est possible d’éluder une partie de ce relationnel, de fuir certaines obligations, dirons-nous afin de simplifier. Mais hors du corps de chair et sur d’autres plans d’existence, cela est impossible.

Dès lors, autant nous habituer et accepter de bonne grâce d’être ainsi régulièrement « testés » par la vie et par l’intermédiaire des autres. Ces tests sont là pour nous aider à RENDRE CONSCIENT tout ce que nous ignorons encore à notre propre sujet.

 

L’induction mentale, que d’autres préfèreront appeler « interrelation » ou encore « interaction humaine », consiste en le principal outil spirituel assez puissant pour nous permettre d’évoluer, d’un point de vue spirituel. Et pour évoluer, nous devons absolument rendre conscient l‘ensemble de notre inconscience. Et c’est là un travail titanesque et de longue haleine.

Nous ne serons donc jamais assez pour nous entraider. Et pour nous entraider, il suffit de demeurer nous-mêmes, spontanés, sans chercher à « faire » une chose qui se fait bien mieux lorsque nous la « subissons » au lieu de la produire ou de chercher à la gérer afin de s’épargner un peu de souffrance et donc, de prise de conscience.

 

Si vous avez des questions, des commentaires, je suis à votre disposition.

 

Serge Baccino