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La Vitesse Mentale

 

Comme chacun le sait, nous vivons à une époque et dans un pays où il est largement conseillé d’être instruit, de connaître beaucoup de choses, d’être au courant de beaucoup de chose et de se maintenir volontairement et personnellement à niveau de cette sur-dose massive de connaissances intellectuelles.

 

 

 

 

L‘enseignement académique en est un exemple concret : la jeunesse actuelle est poussée à étudier le plus longtemps et le plus tard possible, ceci afin de justifier l’état d’esprit de ceux et celles qui sont à l’origine de cette course folle au savoir livresque qui ne laisse presque plus aucune place à l’individu (car il faut toujours « citer ses sources », n’est-ce pas, et donc, se laisser soi-même de côté.)

 

 

 

 

bac2Il est clair que les jeunes qui arrivent en fin d’études, après un solide « BAC + quelque chose » sont tout sauf armés pour commencer à vivre vraiment. Ils savent beaucoup de choses, certes, mais ignorent toujours « qui ils sont » , quels sont leurs désirs les plus légitimes et, surtout… Quel métiers ils veulent faire pour se plonger dans la vie active !

 

 

 

Arriver ainsi en fin d’étude sans même savoir quel métier on a vraiment envie de faire, relève presque de l’aberration mentale ! Certes, nos jeunes diplômés pourraient nous réciter par cœur tous les différents métiers qu’ils « pourraient » faire, mais cela aussi, il l’ont appris et aimeraient sans doute qu’on leur apprennent aussi quel métier ils doivent choisir en fin de compte !

 

 

 

 

Ainsi, nous voici face à des têtes bien pleines, certes, mais surtout à des jeunes hommes et des jeunes femmes qui ne savent pas s’en servir ! Cette déclaration n’est ni exagérée ni méchante et encore moins négative : c’est un fait avéré mais dont l’exposé peut en effet irriter les plus… Diplômés !

 

 

 

 

L‘expérience m’a démontré, s’il en était besoin, car la chose est largement connue, que ceux qui ont le plus étudié à l’école, sont également ceux qui ont le plus de mal à percuter avec l’enseignement spirituel véritable. Je ne parle certainement pas d’un certain « ésotérisme de Prisunic » que l’on trouve dans les livres ou sur Internet et qui pousse la jeunesse actuelle à se croire « demi-Elfe » et à lire couramment le Tolkien dans le texte ! Je parle de cet ésotérisme véritable que ne connaissent pas deux français spiritualistes sur dix (et non deux français sur dix, lisez bien !)

 

 

 

 

jeunesLà encore, il ne s’agit pas de critique gratuite mais d’un simple constat.
Lorsqu’on interroge discrètement un jeune homme ou une jeune femme dont l’âge se situe entre 17 et 24 ans et qu’on leur propose d’exprimer ce qu’ils ont appris (ou croient connaître) de l’ésotérisme ou de la spiritualité, on comprend vite que si on leur avait retiré les livres, la télé et les sites web « spécialisés » (sic), ils ne connaitraient absolument rien du sujet.

D’ailleurs, même avec ces artifices, ils ne connaissent toujours rien du vrai sujet, puisqu’ils ont encore appris tant et tant de choses, mais continuent à s’ignorer complètement eux-mêmes !

 

 

 

 

la jeunesse2Entendons-nous bien : je ne dresse pas ici le procès de la jeunesse, je donne simplement des indications précises qui permettront peut-être à quelques jeunes de freiner avant le déraillement. Leur locomotive intellectuelle adopte un rythme endiablé et elle s’apprête à prendre une courbe sans même ralentir, ce qui pourrait avoir des effets fâcheux à plus ou moins long terme (je parle pour la société qu’ils vont eux mêmes incarner dans quelques années et après le départ des « anciens. »)

Car bien que leur intellect soit en surchauffe, leur mental est désormais trop encombré pour réussir à se mouvoir avec vivacité. Trop encombré, également, pour être apte à recevoir à nouveau. A recevoir du nouveau….

 

 

 

 

Connaissez vous votre vitesse mentale ? C’est la rapidité avec laquelle votre esprit peut se mouvoir d’un sujet connu à un sujet qui ne l’est pas, d’une façon d’apprendre connue à une façon qui ne l’est pas. En général, plus on a de la peine à aborder de nouveaux sujets et à vivre de nouvelles expériences, à « se lancer« , comme on dit, moins la vitesse de votre mental est élevée.

Les ésotéristes ont la réputation d’avoir une vitesse mentale élevée… Cela serait toujours vrai si les ésotéristes, comme tout le monde, avaient eut la bonne idée d’évoluer, de « faire bouger » leur âme et de souffler sur la poussière qui recouvre certains de leurs grimoires antiques.

 

 

 

 

mental-surcharge3Les Psychologues ésotéristes expliquent que d’être un ésotériste ne met pas à l’abri de la « surcharge mentale » et que l’ont peut tout aussi bien s’accrocher à d’anciennes formulations spirituelles dépassées, qu’à une façon de vivre matérialiste dépassée elle aussi. Bref, vous comprendrez qu’il n’existe pas de « passe droit » et que pour conserver un esprit alerte, il faut le mener, de temps à autres, à une salle de musculation spirituelle.

Voici une définition, une sorte de Loi moderne du fonctionnement de l’esprit :

 

 

Plus on se libère des archétypes mentaux qui sévissent depuis des millénaires au sein de mental planétaire, plus notre mental individuel devient véloce.

 

 

 

De tels archétypes proposent, par exemple, une manière d’apprendre, de comprendre puis de concevoir les choses, qui demeure marmoréenne. Les archétypes mentaux ne concernent donc pas tant les choses apprises que la façon de les apprendre puis de s’en servir. Une des propositions de la psychologie ésotérique est de mettre l’accent sur une manière plus libre, plus dynamique et surtout plus aérée de penser et ce, grâce à des techniques simples et qui ont fait leurs preuves au court des siècles. Comme quoi, une connaissance peut durer depuis des millénaires et demeurer jeune et novatrice en même temps !

 

 

 

Serge Baccino

Licence Creative Commons
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Gnôthi seauton

logo forum newLorsqu’il y a sept ou huit ans en arrière  de cela (Nota : écrit fin 2013), ma femme et moi-même avons créé le forum Psukelogos afin de faire connaître aux français la psychologie ésotérique propre à l’enseignement issu en grande partie des Shiva Sutra (Shivaïsme du Cachemire, branche laïque), nous n’étions pas certains de rencontrer un franc succès. En effet, présenter à un public habitué à se trahir, à composer et à mentir à tout bout de champs, une technique pour redevenir intègre et véridique, cela revenait à devenir marchand d’aspirateur dans un village du Sahel ne possédant pas encore l’électricité !

Non pas qu’il n’existe pas, en France, de personnes assez matures pour affirmer leur désir de « trouver la vérité. » Disons plutôt que cette quête de vérité est censée exclure l’individu qui la conduit. Gag !

 

 

 

pouvoir sur autrui-manipulationUne technique spirituelle, ésotérique, surtout si elle offre des avantages et un pouvoir sur autrui, aurait rencontré un bien plus grand succès. Mais une vérité spirituelle qui réclame de ses chercheurs qu’ils se déprogramment et redeviennent des hommes et des femmes dignes de ce nom, voilà bien une vérité qui n’intéresse que très peu de monde. Quel ésotériste en herbe ne connaît pas et n’est pas capable de citer de mémoire la sentence qui était jadis clairement écrite sur le fronton du temple de Delphes ?

« Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les Dieux. »

 

 

 

 

Mais est-ce que ces aimables « chercheurs de vérité » ont bien compris le sens du « connais-toi toi-même » ? Puisqu’il est question de SE connaître soi-même, pourquoi se précipitent-ils ainsi sur des livres traitant de tout autre secret que celui que leur être recèle ? Il n’a jamais été question d’apprendre beaucoup ou même de savoir comment fonctionne l’univers et quels sont ses secrets : il a toujours été question de s’étudier Soi afin de se connaître Soi.

Il n’est même pas utile de savoir « se dédoubler« , de faire bouger des objets à distance, de contacter les morts ou les Maîtres, d’étudier la kabbale Hébraïque  (quelle prise de tête !) ou de déchiffrer les grimoires antiques de sorcellerie : il est question de descendre profondément en soi et d’exhumer tout ce que nous y avons préalablement enterré, avec application et secrète satisfaction.

 

 

 

Alors quoi ? L’homme a-t-il si peur de lui-même qu’il préfère encore passer pour un âne en faisant mine de ne pas voir qu’il agit à l’inverse de ses paroles, plutôt que de se rencontrer lui-même ? Une personne de mes proches me demandait, voici quelques années, pourquoi la psychologie ésotérique, vieille de six mille ans, n’était pas au moins aussi connu que l’ésotérisme traditionnel. En guise de réponse, je lui ai demandé s’il lui arrivait de se mentir, d’avoir peur de connaître la vérité et de préférer un mensonge qui sécurise qu’une vérité qui fait peur. La personne m’a répondu par l’affirmative. Je lui ai donc dit simplement ceci :  » Sache que les autres aussi. « 

 

 

 

personaIl n’est pas possible de s’étudier soi-même si on a peur de découvrir en soi des choses dérangeantes et laides. Il n’est pas possible d’aimer la vérité et de mentir pour couvrir d’autres mensonges. Et il n’est pas possible de se demeurer fidèle tandis que l’on passe une vie entière à se trahir avec application. La psy éso est faite pour les plus courageux d’entre nous, pas pour ceux qui se rangent toujours du côté où sa crie le plus fort et où ça peut faire le plus mal, en cas de désobéissance. Cela dit, on peut très bien être un matérialiste convaincu et compter parmi les plus doués des élèves de la psy éso. Il suffit, pour cela, de ne retenir de l’enseignement que la partie purement psychologique qui est valable pour tous et en tous temps, puisque adaptée à chacune des époques.

 

 

 

 

peur-immenseCroire est inutile quand l’on peut savoir. Mais pour savoir, il faut ne plus craindre de courir le risque de se faire peur, de se décevoir au point de refuser de s’assumer en l’état (tel que nous sommes pour le moment.) Il est clair que l’homme et la femme de ce présent siècle ne s’aiment pas. Ils se trouvent faibles, moches et, surtout, sans grande valeur.  Mais pour qu’ils aient pu en arriver à ce constat déplorable et sans doute un brin exagéré, encore a-t-il fallu qu’ils en arrivent à SE DÉCEVOIR EUX-MÊMES.

 

 

 

 

En somme, celui qui ne s’aime pas, qui se trouve lâche et stupide, celui-là n’a aucun intérêt à faire des efforts. Surtout sachant (ou plutôt croyant) que le moindre de ces efforts sera voué à l’échec, comme tous les autres. Avec ce genre de pensée et à partir d’un tel état d’esprit, il est clair que le plus sûr moyen de ne pas se décevoir plus encore, c’est de ne plus rien tenter du tout, ne plus jamais chercher à s’améliorer, voire de ne plus vivre vraiment.

 

 

 

en recherche de sa propre valeurLe problème c’est que cela ne consiste pas en une solution viable, bien au contraire ! En effet, ne plus rien faire n’aura pas pour seul effet de ne plus faire de conneries : cela aura surtout pour effet de fortifier l’idée que la personne n’a aucune valeur. Or, il est impossible à l’homme et à la femme de vivre sans avoir un minimum de ce sens de sa propre valeur. La question est donc celle ci :

« Comment recommencer à s’aimer, à être sinon fier de soi, du moins conscient de sa place dans la société et de la valeur du rôle que l’on a à y jouer ? »

 

 

 

 

valeur personnelleLe problème, comme toujours, contient sa propre solution. (« Tout est double. ») Puisque l’homme ne s’aime plus à cause du sentiment d’un manque de valeur, la seule façon de se remettre à s’aimer et à se respecter, c’est de faire des choses qui ont une quelconque valeur à ses yeux. C’est d’ailleurs ce qu’ont bien compris ceux et celles qui ont un comportement compulsif lorsqu’il s’agit d’aider, de conseiller, de soigner gratuitement (sic), d’agir d’une manière noble et altruiste, etc. Seulement voilà : n’ayant pas l’habitude de s’aimer et de se respecter, ils ne peuvent avoir, du moins au départ, qu’un comportement correspondant à leur propre état d’esprit. Alors nous rencontrons de ces personnes qui, pour redorer leur blason, salissent celui des autres.

 

 

 

 

critiques-colportagesQui d’entre nous ne connaît pas au moins un parent, un « ami », un collègue de bureau ou de travail, qui ne peut pas s’empêcher de critiquer les autres dans le buts de démontrer que lui, il aurait fait mieux ? A la base de ce comportement, nous trouvons toujours un mal-être profond, une carence presque totale d’amour-propre, dans tous les sens du terme. Les psy éso ont une très belle phrase pour résumer le comportement de ce genre de personnages :

« Nul ne peut s’élever en abaissant les autres. »

 

 

 

 

aller vers les autresJ‘aimerais proposer aux lecteurs de ce blog, une réflexion sur la valeur intime. vous aimez-vous vraiment ? Avez-vous du respect pour vous ? Si la réponse est quelque peu hésitante, voici une question, en fait une astuce, qui devrait vous aider à trancher tôt ou tard :  » Que faites-vous de bien pour vous ou pour autrui, qui puisse transformer l’image que vous avez de vous ? A qui servez-vous ou à quoi ? qu’attendez-vous pour faire tout ce qui est en votre pouvoir pour devenir fier de vous et heureux d’exister ? Mais s’il vous plaît, quelle que soit votre action, évitez de blesser, de tromper ou de chercher à diminuer les autres dans le but de vous élever vous, car vous ne feriez alors que condamner votre actuelle image de vous-mêmes et vous finiriez par vous haïr définitivement. « 

 

 

 

Serge Baccino

Licence Creative Commons
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Que notre âme passe !

3fnrpcdl« Que notre âme passe ! »
« Que notre âme passe ! », répondit l’homme qui croisait le moine, dans le corridor. Puis il avisa la porte, sur la droite, remarqua le symbole qui était gravé dessus, directement dans le bois et pénétra sans frapper.
Il se retrouva dans une grande pièce, remplie de livres, sur les murs, sur le sol, empilés ça et là dans une sorte de désordre à la fois rassurant et propice à la méditation.

« Assieds-toi. » Proposa un homme déjà âgé, en libérant un fauteuil d’une dizaine de livres reliés. L’homme s’assit sans mot dire et attendit poliment que le vieil homme lui adresse de nouveau la parole.
« Oui, tu as une question à me poser… je t’écoute. »

 

L’homme se racla la gorge et demanda, en ayant le sentiment qu’il allait dire une ânerie monumentale :
« J’ai croisé un moine, dans le corridor, et il m’a dit « Que notre âme passe. »… Par réflexe, j’ai répondu la même chose, mais je réalise à présent que je ne sais même pas ce que ces mots signifient vraiment….. »

 

Le vieil homme coula un regard amusé sur son vis-à-vis puis :
« Cela signifie « Puisse l’état d’esprit qui m’anime, actuellement, céder rapidement la place à un état d’esprit nouveau, supérieur et plus chargé en pouvoir. »

« Mais… Notre âme n’est-elle pas immortelle ? »
« Disons que tant qu’elle le sera, il appartiendra à l’homme de mourir à sa place jusqu’à ce qu’il comprenne Qui devrait diriger qui…. »

 

(Extrait de documents personnels)

 

 

RayonantNous sommes des individualités éternelles, invariables (en essence) et déjà parfaite (en essence aussi.) Cela dit, «ce que nous sommes vraiment» se manifeste selon divers états d’esprit qui nous animent, d’une vie à l’autre (en tant que Soi) et qui peuvent varier selon nos buts, nos besoins, nos aspirations, les époques et les ethnies. Et « ce qui nous anime «  (pensées et émotions connexes) consiste en cette fameuse «âme» ou «corps psychique» : ce qui sort du corps lors des dédoublements et au moment de la mort physique, pour vous en donner une idée plus précise.

 

Donc, dire que notre âme est «immortelle» ou espérer qu’elle le soit, revient à dire que notre Soi-Conscience (ou Soi Naturel) conservera un même état d’esprit et ce, durant des vies et des  vies !
Autant dire que l’homme qui souhaite son âme immortelle espère surtout ne jamais avoir à changer ou à évoluer d’un iota !
Fort heureusement, l’âme n’est pas immortelle en ce sens que la vie se charge de nous faire «penser autrement», parfois avec pertes et fracas ou quelques bons coups de pieds «occultes» bien sentis !

Donc, de vies en vies, notre individualité ne varie pas, mais elle pense et ressent différemment. Et c’est CELA qui évolue, ET NON PAS ce que nous sommes (conscience) qui est déjà parfait… En soi (c’est le cas de le dire.)

 

J’écrivais que le Soi est parfait «en essence», c’est à dire que tel qu’il est, il est déjà au top. Mais cela n’empêche pas ce quelque chose de parfait (en nature) d’accumuler de la connaissance, de l’expérience, de la sagesse, etc.
Bien que subtile, cette distinction ne me semble pas trop difficile à comprendre. Par ailleurs, Dieu est l’esprit universel, c’est à dire la somme illimité de particules spirituelles qui servent à tout créer. (la « Matéria Prima » des anciens philosophes.) Le Christ Cosmique est la somme de toutes les consciences individuelles considérées comme un Tout-Unique (un Collectif.)

Les Christ individuels (ou Soi-Conscients) sont tous faits d’esprit vivant et conscient qui se présente sous la forme spirituelle la plus parfaite que l’esprit puisse imaginer. En fait, l’esprit universel (Dieu) donne naissance à des formes sans nombre dont les plus parfaites demeurent éternellement, car elles incarnent parfaitement l’idéation Divine ou ce qui peut exister de mieux en esprit et en vérité.

Du microbe au Christ de l’homme, tout est vivant et conscient mais tout n’est pas aussi parfaitement élaboré pour que le génie spirituel divin puisse s’exprimer avec autant de clarté et de force. C’est dans l’aspect Christique de la Soi-conscience que l’esprit peut dire :
« Celui ci est mon Fils en qui je prends mon plaisir »

(Comprendre : En lequel et par lequel je réussi enfin à m’exprimer vraiment.)

 

 

 

bouddha02Christ et Bouddha sont les deux aspects d’une seule et même chose (Le Rayon Amour-Sagesse, le second) qui, pour le moment, ne peut pas s’incarner en entier, à cause des trop basses fréquences planétaires. Pour le moment, notre planète n’est pas une planète « sacrée », c’est pour cela qu’elle n’a que neuf plans au lieu de douze, comme les autres. Christ est l’aspect Rayonnant et Attractif (Aimant) de la divinité de l’homme, tandis que le Bouddha représente l’aspect Lumière et Sagesse (intelligence et clarté d’esprit.)

L’un trône dans le cœur, l’autre dans le sanctuaire de la tête mais prend racine du côté opposé à l’atome germe du cœur.

 

 

 

Serge Baccino

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