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Se nettoyer de toute cette crasse

 

 

Inconscient CollectifL‘idée présentée ici est celle-ci : selon l’axiome « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, et réciproquement », s’il existe un inconscient collectif qui ressemble actuellement à une grosse poubelle géante, il doit bien exister un inconscient individuel, qui représente donc notre poubelle intime ! Et si nous désirons vraiment aider la planète nous pouvons déjà commencer à cesser de nous polluer nous-mêmes, dans un premier temps, puis essayer de nous dépolluer de tous nos abus passés concernant nos constructions mentales les plus morbides.

 

 

 

oeil4Plutôt que de me lancer dans de grandes théories compliquées, je vais me borner à vous raconter, en le résumant, ce que je fais moi-même lorsque j’aide les gens à se nettoyer, énergétiquement.

Ce témoignage me servira de base de travail au niveau purement intellectuel, à savoir l’énoncé des lois et des principes impliqués.

 

 

 

aimantLa prémisse de base est celle-ci : ce que l’on nomme notre poubellescorps astral est un aimant-poubelle qui attire toutes les formes astrales (émotions, sentiments, sensations, perceptions faussées, etc.) Bien entendu, il ne peut attirer que ce qui correspond à notre façon de penser. Le corps astral contient donc les poubelles auto produites (nos processus mentaux) ainsi que celles attirées, justement, par notre façon de penser et qui leur correspondent ou qui les complètent. C’est ce qui forme les poubelles induites, en somme.

 

 

 

corps astral3Ce fameux corps astral (comme nous dirions tout aussi bien « corps d’armée ») rayonne à l’extérieur sous forme d’une aura du même nom. (Astral vient du latin « aster » = « lumineux ») Dans cette aura, on peut « lire » (percevoir) l’origine de la plupart des problèmes émotionnels, des désordres psychologiques, etc. Selon les Principes de Polarité et de Vibration (voir mon étude sur l’Hermétisme, dans ce même blog), toute forme psychique vibre à une certaine fréquence et c’est cette fréquence qui détermine sa nature ainsi que sa polarité.

 

 

 

corps astral2A noter que si l’on augmente ou diminue cette fréquence, la polarité change en fonction des cycles vibratoires qui suivent une gamme bien précise.) Sachant cela, j’ai à ma disposition deux méthodes : « attirer » (pôle opposé) la forme morbide puis accélérer ses vibrations pour la détruire, ou bien la laisser en place mais augmenter sa fréquence, changer ainsi sa polarité et lui interdire de demeurer plus longtemps dans le corps astral de la personne soignée. Selon la loi impliquée, le plus (+) et le plus (+) se repoussent, le moins (-) et le moins (-) aussi, mais les plus (+) et les moins (-) s’attirent respectivement.

 

 

 

Qu’est-ce qui me fait choisir une méthode plutôt qu’une autre ? Le plaisir de faire sentir à la personne sur qui je bosse, des effets qui concordent avec ce que je me propose de faire. Lorsqu’une personne sent ce qui se passe, elle peut mieux le « conscientiser », suivre une partie du processus et m’aider à la débarrasser définitivement de ses problèmes. En somme, elle m’aide à l’aider et ça va beaucoup plus vite et on évite ainsi l’assistanat complet.

 

 

 

vibration2Bien entendu, à la partie purement énergétique se joint la partie psychologique. J’explique à la personne ce qu’il lui faut savoir sur ce qui se passait en elle, pourquoi cela se passait et ce qui s’y passera, désormais, si elle ne commet plus l’erreur mentale à la base de la présence, en elle, de la forme astrale morbide.

 

 

 

 

esprit-matiereCar il est bon de savoir que l’astral dépend en très grande partie du mental. Nous sentons toujours ce que nous pensons. Ou, présenté autrement, chacune de nos pensées s’accompagne nécessairement de sentiments et/ou d’émotions, dont la qualité et l’intensité dépendent, bien évidemment, de la nature de nos pensées et de ce qu’elles sont capables de faire naître en nous.

 

 

 

 

Nos pensées, même apparemment anodines, peuvent provoquer de violentes émotions en réaction, si elles viennent réveiller certains schémas dormants. Dit autrement, si ce que nous pensons vient alimenter l’un quelconque de nos « démons intimes » (schémas mentaux compulsifs) nous risquons, en réaction, d’avoir un comportement qui ne correspondra pas nécessairement à ce que nous avons pensé et ressenti. Du moins, en apparence.

 

 

 

subconscientNotre subconscience regorge de blessures profondes qui ont été mémorisées et qui n’attendent qu’une occasion favorable pour refaire surface et nous submerger en quelques secondes. C’est ce qui explique pourquoi, certaines personnes, ont une réaction démesurée en regard de ce que l’on a pu faire ou dire en leur présence.

 

 

 

 

Il est dit que Jésus chassait les démons des gens. Si c’était bien le cas, pourquoi prenait-il la peine de dire, après chacune de ses interventions : « Va, et ne pêche plus  » ?  Simplement parce que ce fameux démon ne dépendait pas de circonstances extérieures ou des caprices d’un présumé Prince des Démons. Le mot hébreu qui a été traduit par « pécher » signifie en réalité « mal viser«  et se réfère à la possibilité, pour le mental humain, de se tromper de « cible », de but ou d’adresse et donc, de ne pas toujours reconnaître quels sont ses propres intérêts.

 

 

 

autruche stupideEn effet, il nous arrive souvent de parler ou d’agir d’une manière qui ne sert pas vraiment nos buts. Quand cela ne s’oppose pas carrément à l’effet que nous désirions obtenir ! Or, nos paroles et nos actes découlent TOUJOURS de ce que nous pensons. Ainsi, « pécher » revient à se tromper de cible, à ne pas viser correctement en direction de ce ce que nous désirons atteindre ou obtenir.

 

 

 

Les émotions qui en découlent sont d’une nature démoniaque et peuvent nous nuire de différentes façons et, bien évidemment, nous rendre gravement malade, à la longue.

Chasser les démons revient donc à supprimer les effets cumulés de processus mentaux morbides ou destructeurs. Hélas, si la personne recommence à penser la même chose et de la même façon, elle produira de nouveaux des énergies hautement morbides et toxiques qui reproduiront les symptômes extérieurs de la maladie, du « démon », donc. C’est pour cela qu’une réforme psychologique devrait toujours accompagner un soin purement énergétique, car l’homme est un producteur de démons en masse ! Soigner le foie d’un alcoolique peut être utile, certes, mais le convaincre de ne plus boire est préférable !

 

 

 

affirmationsDans ma pratique, j’emploie donc des méthodes dites « psycho-énergétiques », car elles font aussi bien intervenir la psychologie que les énergies de guérison. Nous ne sommes plus à l’époque où l’homme peut se contenter de dire « Médecin, soigne-moi et laisse mon esprit tranquille avec ton savoir ! » L’assistanat est chose révolue ! Nous ne devons plus nous prêter à cette sorte de jeu risqué qui consiste à maintenir les « patients » dans l’attente de notre aide : nous devons les aider à se prendre en charge, voire les libérer de nous ! C’est ce que s’appliquent à faire tous les psychologues ésotéristes, même ceux qui sont également des thérapeutes (ce qui n’est pas nécessairement le cas.)

 

 

 

esprit5Il est également intéressant de savoir que notre façon de penser s’inscrit en réaction (effets morbides) sur la surface de l’aura astrale et peut se lire comme un livre ouvert. Lorsque je rencontre quelqu’un qui est en demande de soins,  je ne sais pas tout de suite à qui j’ai affaire. Juger serait d’ailleurs présomptueux de ma part. Mais je sais, par contre, comment fonctionne l’esprit et le cœur de cette personne, ce qui me permet de m’adapter à elle, ne pas la faire réagir par la différence vibratoire, si je ne désire pas l’aider ou, au contraire, augmenter ma propre fréquence, si je sens que la personne est ouverte à l’aide bienveillante et désintéressée.

Par désintéressée, je n’entends pas nécessairement œuvrer en toute gratuité, même si, dans mon cas, ce fut souvent le cas et que ça l’est encore quelques fois. Ici, l’intérêt qui se doit d’être absent, se résume à ce besoin de pouvoir sur autrui, d’ascendance psychologique.

Méfiez-vous toujours de l’apparente  » gratuité  » qui pourrait bien vous coûter, en fin de compte, la peau des fesses de votre âme !

 

 

 

charlatansNous savons, le lecteur et moi, que certains praticiens peu scrupuleux, font un peu durer le plaisir et collectionnent les séances de soins comme d’autres les timbres postes. Bien sûr, il est rare qu’une personne soit guérie en une seule séance, j’en convient, mais si le nombre de séances est supérieur à ce que le bon sens entérine, alors le récipiendaire (le patient) est en droit de se poser des questions. Ne serait que sur l’efficacité de la méthode employée et en ce qui le concerne du moins. Ceci n’est pas valable en ce qui concerne les traitements de fond ou de long terme, en cas de maladies très lourdes, évidemment.

 

 

 

J‘attends vos réactions, vos questions et vos commentaires. Et si cela se justifie, lorsque je serai assuré que mes lecteurs ont capté l’essentiel de la partie purement théorique de ce sujet (corps astral), nous passerons alors à un petit exercice pratique très simple mais non moins efficace, non pour permettre au Moi-Idéalisé de se mettre à briller plus fort encore, mais pour laisser briller, en nous, cette Lumière, cet « Aster » primordial (Akasha) que nous avons terni, comme des polissons que nous sommes.

 

(Note : la proposition faite d’exercice en fin de cet article, n’est désormais plus d’actualité.)

 

 

Serge Baccino

Licence Creative Commons
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Que notre âme passe !

3fnrpcdl« Que notre âme passe ! »
« Que notre âme passe ! », répondit l’homme qui croisait le moine, dans le corridor. Puis il avisa la porte, sur la droite, remarqua le symbole qui était gravé dessus, directement dans le bois et pénétra sans frapper.
Il se retrouva dans une grande pièce, remplie de livres, sur les murs, sur le sol, empilés ça et là dans une sorte de désordre à la fois rassurant et propice à la méditation.

« Assieds-toi. » Proposa un homme déjà âgé, en libérant un fauteuil d’une dizaine de livres reliés. L’homme s’assit sans mot dire et attendit poliment que le vieil homme lui adresse de nouveau la parole.
« Oui, tu as une question à me poser… je t’écoute. »

 

L’homme se racla la gorge et demanda, en ayant le sentiment qu’il allait dire une ânerie monumentale :
« J’ai croisé un moine, dans le corridor, et il m’a dit « Que notre âme passe. »… Par réflexe, j’ai répondu la même chose, mais je réalise à présent que je ne sais même pas ce que ces mots signifient vraiment….. »

 

Le vieil homme coula un regard amusé sur son vis-à-vis puis :
« Cela signifie « Puisse l’état d’esprit qui m’anime, actuellement, céder rapidement la place à un état d’esprit nouveau, supérieur et plus chargé en pouvoir. »

« Mais… Notre âme n’est-elle pas immortelle ? »
« Disons que tant qu’elle le sera, il appartiendra à l’homme de mourir à sa place jusqu’à ce qu’il comprenne Qui devrait diriger qui…. »

 

(Extrait de documents personnels)

 

 

RayonantNous sommes des individualités éternelles, invariables (en essence) et déjà parfaite (en essence aussi.) Cela dit, «ce que nous sommes vraiment» se manifeste selon divers états d’esprit qui nous animent, d’une vie à l’autre (en tant que Soi) et qui peuvent varier selon nos buts, nos besoins, nos aspirations, les époques et les ethnies. Et « ce qui nous anime «  (pensées et émotions connexes) consiste en cette fameuse «âme» ou «corps psychique» : ce qui sort du corps lors des dédoublements et au moment de la mort physique, pour vous en donner une idée plus précise.

 

Donc, dire que notre âme est «immortelle» ou espérer qu’elle le soit, revient à dire que notre Soi-Conscience (ou Soi Naturel) conservera un même état d’esprit et ce, durant des vies et des  vies !
Autant dire que l’homme qui souhaite son âme immortelle espère surtout ne jamais avoir à changer ou à évoluer d’un iota !
Fort heureusement, l’âme n’est pas immortelle en ce sens que la vie se charge de nous faire «penser autrement», parfois avec pertes et fracas ou quelques bons coups de pieds «occultes» bien sentis !

Donc, de vies en vies, notre individualité ne varie pas, mais elle pense et ressent différemment. Et c’est CELA qui évolue, ET NON PAS ce que nous sommes (conscience) qui est déjà parfait… En soi (c’est le cas de le dire.)

 

J’écrivais que le Soi est parfait «en essence», c’est à dire que tel qu’il est, il est déjà au top. Mais cela n’empêche pas ce quelque chose de parfait (en nature) d’accumuler de la connaissance, de l’expérience, de la sagesse, etc.
Bien que subtile, cette distinction ne me semble pas trop difficile à comprendre. Par ailleurs, Dieu est l’esprit universel, c’est à dire la somme illimité de particules spirituelles qui servent à tout créer. (la « Matéria Prima » des anciens philosophes.) Le Christ Cosmique est la somme de toutes les consciences individuelles considérées comme un Tout-Unique (un Collectif.)

Les Christ individuels (ou Soi-Conscients) sont tous faits d’esprit vivant et conscient qui se présente sous la forme spirituelle la plus parfaite que l’esprit puisse imaginer. En fait, l’esprit universel (Dieu) donne naissance à des formes sans nombre dont les plus parfaites demeurent éternellement, car elles incarnent parfaitement l’idéation Divine ou ce qui peut exister de mieux en esprit et en vérité.

Du microbe au Christ de l’homme, tout est vivant et conscient mais tout n’est pas aussi parfaitement élaboré pour que le génie spirituel divin puisse s’exprimer avec autant de clarté et de force. C’est dans l’aspect Christique de la Soi-conscience que l’esprit peut dire :
« Celui ci est mon Fils en qui je prends mon plaisir »

(Comprendre : En lequel et par lequel je réussi enfin à m’exprimer vraiment.)

 

 

 

bouddha02Christ et Bouddha sont les deux aspects d’une seule et même chose (Le Rayon Amour-Sagesse, le second) qui, pour le moment, ne peut pas s’incarner en entier, à cause des trop basses fréquences planétaires. Pour le moment, notre planète n’est pas une planète « sacrée », c’est pour cela qu’elle n’a que neuf plans au lieu de douze, comme les autres. Christ est l’aspect Rayonnant et Attractif (Aimant) de la divinité de l’homme, tandis que le Bouddha représente l’aspect Lumière et Sagesse (intelligence et clarté d’esprit.)

L’un trône dans le cœur, l’autre dans le sanctuaire de la tête mais prend racine du côté opposé à l’atome germe du cœur.

 

 

 

Serge Baccino

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