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Qui est qui, du Soi ou du moi ?

dnora3x4Dans sa partie réservée aux psychistes, la psychologie ésotérique enseigne que le Soi (appelé aussi Soi Naturel) envoie une « extension » (ou un pourcentage) de lui-même sur Terre et dans un corps, cela afin d’expérimenter un ou plusieurs états d’esprit spécifiques…
Du coup, nous pourrions en déduire que nous sommes de l’esprit formel tandis que le Soi demeure ce qu’il est : La conscience d’être, l’Individualité éternelle.

Autrement dit, le Soi est conscient à notre place tandis que nous pensons et ressentons à la sienne ! Si ça c’est pas du Partenariat, je me fais petite sœur des pauvres ! Mais un moment, Gontran !… Si nous sommes l’esprit qui sert à penser, si une pensée ou des pensées « autres » (différentes) nous viennent dans notre tête et que nous les acceptons, nous allons changer et ne plus être « nous » ? (suivez un peu, sinon, ça va pas le faire, hein !)
Bon, je la refais, rien que pour vous, OK !

 

 

 

mental bla blaNotre façon de penser, nos idées et ce que nous tenons pour juste et pour vrai, voilà ce qui fait notre actuelle personnalité, notre « moi », c’est à dire ce que nous sommes maintenant et ici, sur Terre et dans ce corps. En effet, « Nous sommes ce que nous pensons » ou, du moins, toutes ces idées avec lesquelles nous commettons souvent l’erreur de nous identifier donc, nos pensées représentent ce que nous sommes, ce quelque chose qui dit « moi »
OK jusque là ?  Si des idées autres que les nôtres, si des pensées différentes ou même carrément opposées nous viennent et que nous les acceptons et le faisons notre, n’allons-nous pas changer du même coup ? N’allons-nous pas devenir un tout autre « moi » que celui que nous étions précédemment ?

Bien sur que oui ! Si nous devenons ce que nous pensons, alors nous sommes nos pensées, du moins aussi longtemps que nous incarnons un même état d’esprit général. Mais sommes-nous pour autant et vraiment, toutes ces pensées et ces idées qui nous viennent en tête à longueur de journée ?

Non, bien évidemment ! Nous ne sommes ou ne devenons que ces pensées et ces idées que nous retenons, que nous acceptons de faire notre et avec lesquelles nous associons notre « moi » humain. Gardez cela à l’esprit (c’est le cas de le dire), car la suite nécessite d’avoir déjà compris ces quelques notions spirituelles de base.

 

 

 

serpentIl nous vient parfois des idées morbides. Dès l’instant où nous arrêtons notre attention mentale sur ces idées là, nous commençons à devenir elles, si j’ose dire. Du moins, leur contenu formel, c’est-à-dire tout ce qu’elles racontent. En effet, une idée ou une pensée ne se propose pas à nous pour nous dire un truc et repartir gaiement vers d’autres cieux : sont but premier et unique est de « faire corps » avec nous !

Présentons l’enfant autrement, si vous le voulez bien. Si le fait d’avoir une pensée qui nous visite se résumait à écouter patiemment ce qu’elle raconte puis de passer à autre chose, cela ne serait rien du tout ! Accueillir une idée autre que celles qui composent notre « moi social », reviendrait à écouter deux minutes un emmerdeur nous prouver qu’il est bien un emmerdeur, puis de passer à autre chose en laissant l’emmerdeur sur place.

 

 

 

Tantrisme10Mais la vérité est toute autre, hélas ! Lorsque nous accueillons une pensée et que nous lui prêtons notre attention mentale, c’est un peu comme si nous acceptions qu’elle fasse l’amour avec nous ! L’esprit est fusionnel par nature : il est telle la Belle Maya qui danse devant les Princes de ce Monde et les fait succomber un à un ! Tous, sans exception, se retrouvent dans son lit et succombent sous ses caresses. (j’aurais du faire poète, moi, tiens !)
Vous doutez ? Alors essayez de m’expliquer pourquoi lorsque vous demeurez concentré sur une pensée agréable, cette dernière vous fait ressentir une émotion ou un sentiment ?

 

 

 

wiu5cj1bJe vais vous dire ce qui se passe : vous venez de faire l’amour avec une pensée et cette dernière vient de fusionner avec vous, elle est devenue vous et vous allez lentement devenir elle à votre tour ! Voilà la vérité. Une pensée est toujours fusionnelle et cherchera toujours à « se mélanger » à votre complexe énergétique spirituel (votre âme ou « corps psychique », c’est pareil) Pourquoi ? Parce qu’il est dans la Nature de l’esprit de chercher, par tous les moyens, à fusionner avec d’autres particules d’esprit, cela afin de donner forme à des états d’esprit complexes qui pourront être rendus vivants par le Pouvoir Divin (qui lui, comme l’esprit, ne juge jamais de la valeur ou du degré d’utilité d’un état d’esprit selon nos normes humaines.)

 

 

 

conscience10Imaginez des particules de poussière qui seraient collantes et qui s’agglutineraient à vous, devenant un peu vous et vous, un peu elles… La pensée est faite d’esprit et l’esprit, selon sa nature et les lois qui régissent son activité, cherche toujours à s’unir, à s’harmoniser, à devenir autre chose que ce qu’il est déjà, à apprendre et à expérimenter. Bref, l’esprit cherche à faire évoluer les formes qu’il compose. Lorsque vous accueillez une pensée et que vous l’acceptez, vous commencez déjà à vous transformer et… à transformer la pensée invitée. « Accepter », en l’occurrence, se résume à se concentrer sur cette pensée, à l’explorer bref, à démontrer qu’elle vous intéresse et qu’elle ne doit pas vous quitter !

Il s’agit carrément d’une déclaration d’amour que vous faites -sans vous en douter- à la pensée invitée ! Et elle le perçoit absolument ainsi !
Comme le disait un ami :

« J’ai une fois posé le regard sur cette femme avec intérêt, quelques mois après, j’étais marié, elle était enceinte de moi et nous choisissions ensemble notre nouvelle maison ! »

 

 

 

offrir fleursTout à coup, un inconnu vous offre des fleurs ! (ça vous rappelle quelque chose, non ?) Que se passe-t-il alors ? Si vous êtes un mec, vous ne le prenez pas nécessairement bien (lol) Mais si vous êtes une femme, il n’est pas certain que vous le preniez bien non plus ! Des tas de pensées, d’idées confuses, refoulées ou niées vont se bousculer au portillon de votre mental, qui risque de rentrer en effervescence ! En effet, pourquoi cet inconnu vous offrirait-il des fleurs, le con ?  » Non mais je vous jure, il y a de ces tarés !  » Que vous acceptiez ce bouquet de fleurs ou que vous le refusiez poliment (prétextant sournoisement que vous êtes déjà prise) vous ne serez peut-être pas conscient(e) de tout ce qui se sera passé dans votre tête, dans votre cœur et dans votre corps et… A votre insu.

Autres exemples.

 

 

Vous êtes couché, prêt à dormir mais vous ne pouvez pas. Des pensées se bousculent dans votre tête et cela vous empêche de dormir. C’est du moins ce que vous croyez. Vous êtes tranquillement chez vous, à ne penser à rien de spécial, et tout à coup, une pensée morbide ou très négative vous visite et dès lors, vous vous sentez très mal. Vous râlez, car vous alliez bien mieux avant que cette idée de merde ne vous visite. C’est du moins ce que vous croyez. En réalité, et dans les deux cas cités, vous êtes pleinement responsable de ce que vous vivez !

C’est de votre plein grès si vous ne pouvez pas dormir ou si vous ressentez un malaise. La vérité, c’est que dans les deux cas, vous avez jeté votre dévolu sur une des idées ou des pensées qui se sont proposées (et uniquement proposée !) à vous, qu’elle vous a littéralement fasciné, peut-être à votre insu, et que vous avez ouvert votre couche, l’invitant à y pénétrer pour y faire des coquineries pas racontables à la belle-mère de Monsieur le Curé !

Car il est des pensées morbides ou négatives qui fascinent l’être humain, même s’il les redoute par ailleurs. Souvenez-vous bien de ceci :

vous ne pouvez pas penser une chose qui vous intéresse ou retiens votre attention sans DEVENIR un peu cette chose.

Mon conseil et on ne pouffe pas :

Réfléchissez bien avant de penser !

 

 

 

psychologie2Vous risquez de devenir toute cette merde que vous accueillez tous les jours sans même le réaliser et qui vous fascine sans même que vous le sachiez ! L’esprit est un bon serviteur, mais c’est un très mauvais maître !

Lorsque nous croisons une personne, dans la rue, et que cette dernière nous demande l’heure, nous la lui donnons. Il est possible que nous prenions la peine d’un sourire… Mais nous ne restons pas là, à papoter durant une demi-journée avec cette personne, nous n’essayons pas de voir si elle est « bien » ou si elle est merdique au possible, et nous ne cherchons pas nécessairement à B… avec !

Si nous avions ce même comportement, clair, franc, détaché et ponctuel avec les pensées qui nous visitent, nous serions tous des êtres illuminés ! Et je ne déconne pas ! Lors d’un repas, un ami vous demande  :

« Passe-moi le sel, s’il te plaît »

Ce rapport, ce contact, cette relation ne durent que quelques secondes et seront carrément oubliés deux minutes après, n’est-il pas vrai ?

C’est avec le même état d’esprit qu’il faut observer les pensées qui naissent, passent puis disparaissent constamment dans le ciel de votre mental.

 

 

 

Imaginez que vous observez de simples nuages passer dans le ciel… Vous ne cherchez pas à les retenir, à vous les approprier, n’est-ce pas ? (À moins d’être con comme un verre à pied, certes !) Eh bien ! Vous devez agir de même avec vos pensées ! Observez-les passer, ne soyez pas séduit par elles et ne les craignez pas. Et si vous devez à tout prix conserver des pensées ou des idées, vérifiez au préalable si elles bossent bien pour vous, et non pas contre vous !

Comment le savoir ? C’est très simple : en « goûtant » les sentiments connexes de ces pensées et idées, c’est-à-dire ce que vous ressentez tandis que vous conservez votre attention rivée sur de telles pensées ou idées.

 

 

 

Soi Divin Contact conscientMaîtrisez ce processus d’identification à l’esprit, et non seulement vous ne serez plus « ce que vous pensez », mais vous ne serez plus l’esprit ! Vous serez LA CONSCIENCE, vous serez votre propre Soi, et vous comprendrez alors cet ancien passage mystérieux de la Bible où l’esprit -qui est Dieu- dit :

 

« J’ai mis Mon Fils au-dessus de Moi… »

 

 

 

 

Serge Baccino

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Dossier – Les fondements de la science hermétique – Chapitre 1

AcroplisFidèle à son besoin de tout mesurer, quantifier et mettre en boîte pour se donner le sentiment de comprendre, de connaître et de contrôler, l’être humain adore jouir de bases historiques ou linéaires solides. Du moins selon lui. Il veut savoir quoi, quand, comment, pourquoi et il n’a de cesse que lorsqu’il connaît par cœur sa propre généalogie.
Il en va de même pour les spiritualistes qui manifestent très tôt ce besoin typiquement académique, cherchant à tout prix à assoir sur des bases aussi vérifiables que « scientifiques » des sujets qui ne concernent en fait que l’Esprit.
L’Esprit n’a nul besoin de quantifier. Il ignore l’espace, le temps et ne connaît que la conscience du « là, tout de suite » (Hic et Nunc.) Ainsi, je suis toujours étonné de rencontrer une personne se prétendant spirituelle ou ésotériste et qui me demande sans broncher à quelles sources précises et anciennes je me réfère pour me permettre d’instruire comme je le fais…
Assurément, le fait de prétendre enseigner une connaissance vieille de plusieurs milliers d’années est bien plus rassurant que de présenter un savoir original que quelqu’un vient juste de « capter » et ce, directement du Cosmos !

 

 

Ce n’est pas que les spiritualistes ne croient pas en ces méthodes d’apprentissage, mais disons qu’ils préfèrent vérifier qu’on leur présente bien du « vieux et du bien fermenté » plutôt que du nouveau et de l’Original. Cela dit, quel âge pourrions-nous donner à une connaissance que l’on « capte » maintenant mais qui a été formulée la toute première fois « jadis » ?
Est-elle ancienne ou nouvelle ?

 

 

Depuis quand était-elle là, disponible et à portée de cœur ?
Est-ce que le très vieux mais qui est encore inconnu ou qui n’a jamais été capté, pourrait passer pour du révolutionnaire ou du novateur ?

 

 

Est-ce qu’un enseignement relativement récent mais que tout le monde connaît et commence un peu à oublier, pourrait être considéré comme vieillot ou plus d’actualité ?
Ces questions ne sont pas aussi innocentes qu’elles le paraissent, croyez-moi !
Imaginez qu’un généreux Mécène vous ait ouvert un compte bancaire à votre insu, il y a vingt ans, et sur lequel il aurait placé des millions !…

 

 

Depuis, êtes-vous pauvre ou êtes vous riche ? Lorsque vous apprenez que vous êtes riche, depuis combien de temps l’êtes-vous vraiment ? Et étiez-vous pauvre, tandis que vous ignoriez ce coquet compte bancaire à votre nom ?

 

 

Bien que cela puisse quelque peu heurter notre intellect, sachez que la Sagesse Hermétique ou l’Ontologie (étude de l’être) n’a… Aucun âge ! Elle n’est ni ancienne ni nouvelle mais toujours présente, actuelle et surtout disponible.
D’ailleurs, elle sera nouvelle pour vous quand vous l’étudierez et elle semblera ancienne pour d’autres, qui s’imaginent la connaître déjà.

Le problème, c’est qu’on ne « connaît » pas les Lois et les Principes du fonctionnement de l’esprit : on devient ces Lois et ces Principes car ils sont aussi vivants que vous et moi !

Je sais que certains se diront : « Est-il si difficile de dire, par exemple, que l’Hermétisme à trois ou quatre mille ans ? »
Non, ce n’est pas difficile, c’est seulement inexact ! Ou si vous préférez, c’est inexact, d’un point de vue technique et, bien sur, d’un point de vue absolu (dans l’Actualité de ce sujet.) Il y a quatre mille ans, les sages de cette époque connaissaient ce que pouvaient connaître les sages. Les sages de cette époque.

 

 

De fait, il y a quatre mille ans, le vrai hermétisme n’existait pas pour les hommes, même les plus instruits ou intuitifs du moment. Leur connaissance se mêlait parfois étroitement à leurs acquits antérieurs, voire à de vulgaires superstitions. Mais même pour eux, le Savoir était là, disponible « maintenant » et existait hors du temps et de l’espace.

 

 

En fait, si nous nous montrions aujourd’hui incapables d’appréhender toute la subtilité des Lois étudiées plus loin, dans cet Atelier, nous pourrions en déduire que l’hermétisme n’a encore jamais existé ! (Comprendre : N’a jamais été rendu totalement manifeste, sur Terre.) Et il n’existerait pas parce que le (très) peu que nous pourrions en comprendre dénaturerait complètement le véritable enseignement.

La véritable Connaissance ne se mesure donc pas en terme de quantité ou de durée (âge) mais en terme de… Prise de conscience !
On est ou on n’est pas conscient des Lois et des Principes du fonctionnement de l’esprit car c’est la seule façon de Connaître vraiment. Si vous devenez conscient des Lois du fonctionnement de l’esprit, alors vous devenez ces mêmes Lois et faites « Un » avec elles.

C’est un peu comme l’amour qui est un sentiment et qui, de ce fait, ne s’étudie pas, ne s’apprend pas mais se vit et s’expérimente directement et en toute conscience. La Sagesse est sans âge, elle a toujours existé et existera toujours. Elle relève de « Ici et Maintenant. » Et si cette sagesse est sans âge, alors il n’existe pas de connaissances qui puissent être « vieilles de 4 000 ans »

:hehe:

La Connaissance est toujours là, présente, disponible, toujours nouvelle et pourtant si familière ! Elle est presque aussi mystérieuse que l’esprit lui-même qui, en essence et par nature, est inconnaissable.

 

 

 

Les Psychologues Esotéristes entretiennent une profonde affection pour l’Hermétisme car à une époque (linéaire, elle), elle fut la seule base de connaissance réelle et solide sur cette Planète. En ces temps reculés, tous les initiés ou presque étaient des hermétistes, bien que peu d’entre eux vécurent en Grèce, pays inévitablement relié à Hermès qui fut, selon la légende, le fondateur de l’Hermétisme (ce qui est en partie inexact car ceux qui eurent successivement ce Grade initiatique ne firent que codifier une partie de sa méthodologie.)

 

 

 

D’où cet engouement même si, désormais, il existe des manières plus adaptés à nos mentalités Occidentales pour expliquer… L’inexplicable !
De nombreux hermétistes perdirent la vie ou virent leur carrière sociale ruinée afin que perdure ce qu’ils nommaient alors « l’Enseignement Sacré. »
Non pas que la Connaissance puisse se perdre ou disparaître vraiment, mais plutôt parce que les hommes et les femmes de Volonté de Bien qui servaient de « véhicule » à la Sagesse, pouvaient, eux, disparaître pour ne plus revenir.
Eux n’étaient pas immortels ou complètement insensibles à la souffrance et ressentaient le poids du temps qui passe, peser sur leurs frêles épaules.

 

 

 

Ce qui pouvait se perdre, c’était les lèvres disposées à Prononcer la parole et de puissants esprits capables d’expliquer et d’adapter ce Savoir Grandiose à une époque, un lieu, un peuple, etc…
Si tous les profs d’histoire venaient à mourir, dans notre pays, ce ne serait pas l’histoire de France, qui disparaîtrait, mais ceux et celles possédant cette petite flamme de la connaissance et du désir de la transmettre qui viendraient à manquer. Sans les lèvres pour énoncer les paroles de sagesse, cette dernière devient muette.

 

 

 

La Connaissance, la Vraie, est si proche de nous que nous pourrions la respirer ! Mais l’homme ne sait pas encore respirer seul. Et encore moins par « la Couronne des Élus« , comme disait un Maître du passé. Et sans toutes ces Belles Âmes passionnées et désireuses de Répandre, toute chance de rencontrer la Connaissance disparait devant la face des hommes.

 

 

 

Voilà pourquoi celui qui Désire apprendre et comprendre est dit « Œuvrer pour la Gloire de l’Humanité. » Je terminerai cet avant-propos à mon étude de l’Hermétisme, par ces quelques mots magiques tirés du Kybalion.
La première fois que je les ai lu, tout jeune, j’ai pleuré à chaudes larmes pendant une heure… Je me sentais littéralement accablé.
Certains de mes Grands Amis, à mes côtés mais invisibles aux yeux de la chair, venaient de m’autoriser à ressentir un bref instant le poids démesuré qui avait été le leur, dans le passé.
Le poids écrasant de ce Manteau de l’Initié et j’ai failli succomber en ressentant l’Amour incommensurable de ces Êtres qui illuminaient mes jours de leur Présence Magnifique… Voici cette phrase de toute beauté :

 

 

 

« Ô ne laissez pas la flamme s’éteindre ! Elle est chérie d’âge en âge dans sa caverne obscure ; dans ses temples sacrés, elle est chérie. Elle est nourrie par les purs ministres de l’amour ; ne laissez pas la flamme s’éteindre ! »

 

 

 

Bien à vous,

 

Serge Baccino

Note : Ce Dossier sur l’Hermétisme s’appuie essentiellement sur cette Œuvre Magistrale qu’est « Le Kybalion » (Éditions Perthuis)

 

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