Tous les articles par Serge

Je m'appelle Serge BACCINO et suis auteur de livres au format numérique qui sont vendus sur Amazon (fr.) Ces ouvrages à prix modérés (moins de 10€ chacun) traitent de psychologie ésotérique (essais) et de spiritualité (romans à caractère initiatique) J'ai pensé qu'à une époque où tout devenait cher, un blog de présentation tel que mien serait perçu comme étant le bienvenu ! Je vous attends sur mon Blog et vous invite à participer aux différents échanges qui s'y produisent, en ce moment même, sur des thèmes aussi intéressants que variés ! Cordialement à toutes et à tous. Serge BACCINO –Auteur- -

Produire l’énergie ou la recevoir ?

aura04Le simple fait de penser produit de l’énergie.
C’est d’ailleurs cette même énergie émise par la puissance de nos pensées qui nous permet, et permet à autrui, de ressentir le contenu formel de ces pensées (ce qu’elles racontent et leur degré de créativité, par exemple.)
OK, mais sommes-nous vraiment certains d’être les géniteurs de nos pensées ? Entendez par là, sommes nous certains de penser d’une manière originale, ou nous bornons-nous à reproduire la pensée d’autrui puis de la faire notre ensuite ?

 

 

cerveau2Notre cerveau est à la fois un émetteur ET un récepteur pour la pensée. Ainsi, à longueur d’existence, nous « captons » les processus mentaux des autres personnes et nous participons, à notre tour, à la production incessante de pensées. Et tout cela produit une quantité d’énergie faramineuse ! Nous ressentons toujours le contenu de nos pensées, c’est à dire l’énergie qu’elles produisent et que nous pouvons percevoir d’une manière sensorielle et émotionnelle.

 

 

conscience-subjectiveMais nous ressentons aussi bien l’énergie produite par les processus mentaux des autres ! Cela à tel point que nous en arrivons parfois à avoir ce genre de réaction :

« Est-ce bien moi qui vient de penser ça ? »

Nous avons des doutes.

Non pas sur la véracité de notre ressenti (nous ne sommes pas fous, n’est-ce pas !) mais sur la validité et sur la paternité de ce que nous ressentons parfois.

 

 

 

mg1j3uv5Nous pouvons être effarés par nos réactions, parfois.
Mais est-ce bien NOS réactions ?
Ce que nous ressentons alors est-il vraiment issu de NOS processus mentaux ? Sommes-nous toujours des producteurs ? Mais si nous ne sommes que des récepteurs, pourquoi avons-nous été ainsi « réceptifs » ?

Je livre ces quelques considérations techniques à votre méditation.

 

 

 

 

    Serge

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Symbolisme

mage sorcier 163Le mot « symbolisme » provient de deux mots grecs « sin » et « bolein », qui signifient « qui va dans le même sens »
Est dit « symbolique » tout ce qui va dans le même sens que l’information ou le message que l’on désire transmettre. Par exemple, est symbolique ce geste qui consiste à caresser une personne que nous aimons : ici, la caresse « va dans le même sens » que ce que nous désirons faire passer comme message. Par extension, le symbolisme s’applique également à tout ce qui sert nos intérêts humains les plus immédiats.

 

L’inverse du symbole étant le « diabole » (du Grec dia et bolein), dont on a fait le mot « diabolique » et qui signifie « qui va dans le sens opposé. »
Est « diabolique » le fait de prétendre aimer une personne et, parallèlement, ofuxw2npfaire en sorte de la priver de sa liberté, cela sous le prétexte fallacieux de notre « amour » pour elle. Et également « diabolique » le fait de se servir du concept de Dieu pour justifier des crimes, des guerres et des manipulations mentales. De même que de s’abriter derrière le manteau du chercheur de Lumière pour pouvoir nuire ou se vider de son mal-vivre sur autrui en toute impunité.

 

Le symbole et le diabole sont les deux béquilles psychologiques qui aident l’ésotériste véritable à avancer. En effet, si ce que je ressens correspond à ce que je souhaite et va dans le même sens que le but que je me suis fixé, alors mon action devient le symbole vivant de ce que je suis, intérieurement.

A l’inverse, si ce que je ressens s’oppose à ce que je souhaite obtenir, mon action devient un diabole et me donne la preuve de l’existence, en moi-même, d’un « divorce » entre le coeur et l’esprit.

 

ManpowerMais attention ! Ce n’est jamais un autre que vous qui doit définir si votre action est symbolique ou diabolique, c’est à dire si vos actes coïncident vraiment avec vos paroles. Car si vous laissez à un autre que vous le soin de définir si vous êtes bien en harmonie avec ce que vous prêchez, il ne réussira, au mieux, qu’à démontrer que ce que vous faites n’est pas en harmonie avec ce que lui pense de ce que vous devriez faire !

Bien évidemment, il faut déjà pas mal de discernement et cette possibilité rare de prendre un minimum de recul avec nos processus mentaux, pour être capable de distinguer un symbole d’un diabole.

Même après deux décennies, certains étudiants de l’ésotérisme n’y parviennent toujours pas !

 

 

 

    Serge

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L’Initiation, C’est quoi ?

abjInitiation est un terme qui est très mal compris de la plupart des gens, y compris de certains qui se réclament de l’ésotérisme… Ce mot provient du latin « initiaré » qui signifie « commencement » ou « début. » Un « initié » est donc une personne qui commence à connaitre, à comprendre et à pratiquer correctement l’ésotérisme ou la spiritualité. C’est un vrai élève, digne de ce nom, mais ce n’est rien de plus qu’une personne qui commence tout juste à y voir plus clair en elle-même.
Et celui qui n’est pas encore « initié », c’est a dire celui qui n’a même pas commencé à vraiment comprendre, qu’est-il selon les termes de l’ésotérisme ? Il est un « profane » (de pro et fanum = « Qui se tient devant le temple », sous entendu sans y entrer.)

 

Et celui qui est bien après l’initié, quel est-il ? Son niveau est sanctionné par le terme générique de « maître » (sans majuscule à « m »), du latin « magister » = « qui maîtrise. » Qui maîtrise quoi, au juste ? Qui maîtrise intellectuellement la connaissance ésotérique, tout simplement. Et ensuite ?

 

 

Ensuite Neb kheperou ravient le « Maître » (Magister Templi, en Latin) qui lui, maîtrise non seulement l’aspect théorique mais également, commence à avoir une nette maîtrise de…. Lui-même. Sans pour autant qu’elle soit totale, loin s’en faut. Il maîtrise le « corpus », c’est à dire la connaissance avec laquelle il fait « corps » (il est identifié à elle, pour ainsi dire, car le mot latin « templi » fait allusion au temple du Saint-Esprit, et non pas vraiment ni même directement au corps physique de l’homme.)

 

 

Enfin, viennent les « Grands-Maîtres » (les plus populaires pour les non-initiés) qui eux, qu’ils soient dans un corps ou hors d’un corps de chair, comprennent « Qui ils sont vraiment » et possèdent la pleine Maîtrise de leur humanité. Et après ?

Après… Eh bien ! Il y a l’Ouverture Universelle, l’évolution Infinie et Illimitée !
Qui peut dire ce qui se trouve dans un « Après » qui, tandis que nous avançons de dix pas, recule de mille ?

Je suis certain que tous ceux qui savent déjà « lire entre les lignes » sauront tirer, de cette modeste explication, un énorme encouragement pour leur propre « marche en avant » vers l’Illimité.

 

 

 

    Serge

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Jean-Baptiste (Symbolisme)

baptemeDans l’un de ses plus célèbres sermons, Jean-Baptiste a ces paroles superbes : « Il faut que je décroisse afin que Lui puisse croitre… » Le sens symbolique de cette phrase est évident, si on se souvient que Jean-Baptiste n’est que le précurseur, « celui qui aplanit le chemin…de celui pour lequel il n’est même pas digne de lacer les sandales… » Jésus (Yéshuah, en Hébreu) est le « Je Suis », c’est à dire la conscience de SOI, l’étincelle Christique ou « la part-Dieu » en l’homme. Jean-Baptiste assume donc la partie « technique » de l’entité humaine : il s’occupe de l’intellect et du mental cellulaire (génétique et subconscience.)
Jean-Baptiste est relié à la glande endocrine Pancréas (de Pan et Kréas = « toute-chair », en Grec) au plexus solaire et au troisième Chakra (Manipura, en sanskrit, ce qui signifie « gemme flamboyant. »)

L’Apôtre est donc la représentation symbolique du subconscient qui « forme le temple » (corps) doté d’un « moi intellectuel » , partie insécable de l’entité globale qui doit à tout prix « bosser pour son Seigneur » (la conscience psychique et intérieure) et non pas pour lui-même (ce qui génèrerait l’ego.) Jésus représente quand à lui la véritable individualité humaine, celle qui peut dire : « Je dois m’occuper des affaires de mon Père… »

uzpj0jjyJésus est en fait la conscience de Soi, représentée par la glande pituitaire et le chakra Frontal (Ajna), dernier bastion avant le niveau divin (Chakra Coronal, Sahasrara et Plan Atmique ou « conscience divine. ») A la fin de sa mission, Jean-Baptiste est « emprisonné » ; entendez par là qu’il lui est retiré le droit de faire tout ce qu’il veut, attendu que Jésus (le moi humain éclairé) était devenu Manifeste et Actif. Plus loin, il est dit que « la femme du roi réclame sa tête et l’obtient sur un plateau. » Quand Jean-Baptiste « perd la tête », il perd surtout le pouvoir de diriger la vie de l’entité humaine !

Il est dit dans la Bible que : « Jésus fut peiné d’apprendre la mort de Jean-Baptiste… » En effet, nous hésitons à « sacrifier » ce confort si rassurant d’une intelligence subconsciente qui fait tout à notre place et pour nous, cela au profit de notre conscience intérieure qui elle, nous fait parfois ressentir des choses dont nous nous passerions volontiers !

Subconscient-rayonsDonc, bien que se soit l’intelligence autonome du corps (le subconscient) qui ait pour mission lumineuse de nous mener de l’enfance à l’age adulte, arrivé à cet âge adulte, c’est aussi elle qui a généré, en cours de route, un rutilant intellect qui a pour mission de « baptiser Jésus » (voir symbolisme plus loin) et pour FIN DE MISSION de nous laisser les rênes de notre vie. Seulement voilà : l’intellect ne l’entend pas de cette oreille. Il est tellement habitué à briller des milles feux ( Chakra Manipura = Gemme Flamboyant) de celui qui règne par procuration, qu’il en oublie l’existence de Celui qui lui a signé cette même procuration ! (Soi, la conscience individuelle, intérieure et immortelle, représenté par Jésus)

Bien plus tôt, alors que Jésus s’approche de Jean-Baptiste pour se faire baptiser, Jean se montre timide et dit :

« Seigneur, c’est plutôt à toi de me baptiser… »
Jésus répond : « Laisse faire, il est bon que je soi baptisé par toi… »

Entendez par là : « Il est bon que ce que JE SUIS soit reconnu par ce que tu es toi… » (Que la subconscience ainsi que le « moi raisonnant » ou intellect, reconnaisse ma Souveraineté sans n’avoir à subir aucune pression.) Pour en terminer, il est intéressant de savoir et de noter le fait qu’un pancréas (intellect, moi humain) en hyperactivité, empêche la pleine activité de la glande pituitaire (conscience de soi.) A méditer…

 

 Serge Baccino

 

 

Des choses que l’on ignore

sakyamuniTout le monde a entendu parler du Bouddhisme…
Tout le monde sait que cette philosophie découle de l’enseignement de « Bouddha »… Ce que moins de personnes savent, c’est ce qui suit : Le terme Bouddha n’est pas un nom propre et ne désigne pas exclusivement le prince Gautama mais toute personne dont l’esprit n’est plus aberré mais au contraire éclairé par la lumière du pur discernement (Hamsa swamini, le Cygne spirituel) La racine Sanskrite « bod » dans le mot «Bouddha » signifie à la fois « lumière » et « éclairage » (spirituel.)

Les plus grands Initiés du passés dont l’esprit était complètement éclairé, étaient des « Bod-Yul », c’est à dire des « illuminateurs », à savoir des Maîtres qui permettaient aux autres de retrouver clarté d’esprit et discernement. Le mot « Yul » ne signifie pas « village », comme pourrait le laisser supposer une traduction littérale, mais regroupement d’états d’esprit, chaque état d’esprit pouvant être considéré comme une « Demeure de l’âme », un « temple » ou une « Maison » (comme en astrologie.)  Un Bod-Yul est donc un être qui est capable d’éclairer les autres au sujet de leur propre état d’esprit. Il y eut plusieurs Bouddha, au cours des millénaires passés, et il y en a encore, même d’incarnés, mais tous n’ont pas été aussi « médiatisés » (si je puis dire) que Gautama, qu’on appelait aussi « Siddhartha. »

Ce nom, « Siddhartha », témoigne de l’origine réelle et profonde de la clarté d’esprit (ou degré très élevé de discernement) de Gautama. Peu de gens savent, encore à notre époque, que les fondements du Bouddhisme primitif et purement ésotérique, reposent entièrement sur une très vieille philosophie, âgée de six mille ans au moins, issue du Cachemire (ou « Kashmir »), en Inde, et nommée « Shivaïsme. »

 

pat1v2rLes « Shiva sutra » sont des textes d’une beauté, d’une profondeur et d’un degré de spiritualité uniques au monde. Le « Siddha-Yoga » est la voie que suivent tous les grands Adeptes du Shivaïsme du Cachemire. Il ne reste plus grand chose des enseignements primitifs attribués, à tort ou à raison, nous le saurons bien un jour, à Gautama, supposé être un prince d’un royaume offrant des symboles et archétypes mentaux des plus intéressants.

Karma8Toutefois, même si le Bouddhisme exotérique (celui que nous connaissons aujourd’hui) est un peu moins intéressant, pour un ésotériste, que celui véhiculé par certains Lama du Tibet, il faut savoir qu’il existe toujours la connaissance primitive (originelle), véhiculée par un forme de Bouddhisme infiniment plus profond et ésotérique et qui, selon ce que me chuchote mon petit doigt, devrait être « redécouvert par le plus grand des hasards » d’ici quelques petites années. Ce Bouddhisme là est encore plus ésotérique et pur que celui des Lamas Tibétains ou même du Zen.

Ceux qui en parleront à nouveau et dans un langage moderne et adapté, se réfèreront d’abord au mental aberré de nos contemporains et à son opposé, le mental éclairé (ou analytique) qui apporte paix, discernement et équilibre psychologique. Il est vrai que tant que nos émotions interfèrent dans notre jugement, notre discernement se retrouve dilué par une eau plus ou moins limpide. Essayez de voir correctement en nageant sous l’eau et sans masque de plongée. Essayez de voir sous l’eau lorsque cette eau est devenue de la boue, et vous comprendrez la nature et la qualité du Regard posé sur le monde et sur les êtres, par la masse « bien pensante » de nos contemporains.

 

    Serge Baccino

 

Les Dragons

dragonComme chacun l’aura sans doute constaté, la jeunesse actuelle est très attirée par des thèmes qui furent récurrents dans l’histoire de l’humanité. Les Fées, les elfes, les lutins et autres farfadets, sans oublier, bien entendu, la vedette toutes catégories confondues : les dragons ! Certains disent que ces dragons existent « pour de vrai » D’autres affirment qu’ils existent et sont même très puissants. D’autres encore sourient et préfèrent se référer à un symbolisme quelconque… Tous ont raison ! Mais aucun n’a vraiment la bonne définition, toutefois. Voici cette «bonne définition» : Les Dragons sont des « vaisseaux », c’est à dire des « formations mentales » immenses qui correspondent toutes à un état d’esprit de totale dépendance.

Le Dragon se réfère à l’intellect et aux égrégores mentaux formé par le premier. Imaginez des « nuages » mentaux qui ont été formés par les humains eux-mêmes, psychiquement, et sans qu’ils en soient conscients, par le fait même d’un ego qui redoute de devoir laisser la place à la partie Divine qui sommeille en l’homme.

Placer le pouvoir à l’extérieur est un excellent moyen de « faire taire » Celui qui attend patiemment son heure à l’intérieur. Les Dragons permettent à l’homme de se trahir sans culpabiliser, c’est à dire sans en être réellement conscients. Pour culpabiliser, il faut savoir qu’on fait un truc pas bien, n’est-ce pas ? Il existe donc autant de « Dragons » que de différentes formes d’allégeances mentales ou, si vous préférez, de schémas mentaux relatifs à la peur de laisser notre Lumière Intérieure nous Guider vraiment.

De fait, est-il plus justifié de compter sur autrui pour résoudre nos problèmes, que de chercher en soi la solution à tous ces problèmes.
C’est du moins ce que prétendent les Dragons, qui sont le symbole vivant, dans le plan mental inférieur, d’un intellect surchauffé qui ne sait plus comment nier la Présence de Dieu en lui. Si vous avez la patience de lire l’Apocalypse, vous verrez alors que cette idée de « dragons qui initient les hommes » n’est pas de toute jeunesse ! Il est dit que c’est le Dragon qui donna naissance à la Bête (Chap. 13, versets 1 à 2).  Le Dragon est bien évidemment l’intellect qui, par peur de ne pas tout gérer, donne naissance à « la Bête » qui est cette monstruosité humaine qu’on appelle l’ego, dans ce qu’il a de plus compulsif et animal.

vierge_apocalypseLa fameuse « femme revêtue de soleil, avec la lune à ses pieds » et qui pourrait bien se faire dévorer par le Dragon (Ch. 12, v. 1 à 6) n’est autre que notre âme dont la sensibilité et l’intuition qui en résulte, pourraient bien se faire « bouffer » par l’intellect orgueilleux qui sait déjà tout sur tout. Les Dragons crachent le feu et volent dans les cieux. Leur physique est disgracieux et ils représentent en fait une atteintes aux lois de l’aérodynamisme. Bref, et une fois traduit, ça nous donne que l’intellect se prend pour un ange mais ressemble au mieux à un lézard volant. Et lorsqu’il veut enseigner la parole de Dieu, il ne réussit qu’à cracher des flammes qui brûlent ceux-la même qui ont eut l’imprudence de leur prêter oreille et attention.

Donc, mesdames et messieurs qui avaient « un certain âge » et dont les enfants qui ont entre 17 et 24 ans se passionnent pour les Dragons, voici ce que je vous conseille : Apprenez au plus tôt à votre gosse à s’émanciper de vous et des autres pour ne compter que sur lui-même, car il est fort possible que, pour cette vie, le contenu de son âme, qui n’est la lui, se place de nouveau sous la tutelle tyrannique d’un égrégore mental très ancien qui a permis à des générations d’humains de devenir les esclaves de leur peur de s’assumer vraiment.

Pour terminer, je dirais que l’un des Dragons qui a le plus « la côte », dans nos société, pousse les gens à voter pour un homme qui décidera de leur avenir. Évidemment, malheur à cet homme s’il préside mal ! Car il a été mis non pas « au pouvoir » mais à un « poste à (lourdes) responsabilités », au cas qu’il faille, à un moment, trouver un seul coupable pour le manque de maturité de tous. Et vous, quel Dragon vous domine, décide pour vous et conduit votre vie ?

 

Serge Baccino