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Illogisme de l’éducation

Illogisme de l’éducation

 

 

Lorsque nous sommes enfants, on nous apprend généralement à toujours dire la vérité, parce que cela est « Bien. » Lorsque nous faisons une bêtise, que nous cassons quelque chose ou commettons une erreur notoire, nous devons avouer notre faute parce que, justement, la vérité est « le Bien » et le mensonge est « le Mal. » Et lorsque nous avouons notre faute, notre erreur ou notre manquement aux règles des adultes, nous sommes punis car on nous apprend aussi que toute erreur commise, toute faute, mérité sa juste punition.

Et cela aussi, c’est « le Bien. » Un bien qui peut éventuellement nous empêcher de nous assoir durant quelques heures.

Voilà que l’enfant se retrouve avec un paradoxe sur les bras : s’il commet une faute et l’avoue, il est fidèle à l’idéal de Bien mais s’en prend plein la tronche !
S’il ment et cache la vérité, il penche inexorablement vers le « Mal », mais il conserve ses joues ou fesses intactes. Si vous étiez un enfant, comment réagiriez-vous à cette forme d’éducation ?
Que choisiriez-vous, « le Bien » (avec le cul qui cuit !) ou « le Mal », avec l’occasion de pouvoir vous assoir sans aucun problème ?

Vous avez été des enfants, nous l’avons tous été. Et devinez ce que certains d’entre nous ont choisi, finalement, comme option ? Appelez votre passé, il a des choses à vous raconter ! De toutes façons, ce « passé » est bien présent en vous et il conditionne depuis des lustres certains de vos comportements les plus intimes et involontaires.

Quand on n’est plus un enfant, on est en droit de réclamer la liberté qui ne nous a pas été offerte (et pour cause) lorsque nous étions des bambins inconscients.
Vivre sur un passé conditionné « à cause des parents et de leur éducation » est non seulement stupide, mais aussi très lâche.

 

 

La responsabilité des parents s’arrête là où l’adulte a commencé à refuser d’assumer les siennes.

 

 

Il est bon par contre de remarquer le « confort mental » qu’offre à certains le fait de réagir encore comme un enfant ! (n’est-ce pas ?) Mentir est aisé et en plus, cela permet de ne pas avoir à payer pour la pomme volée sur l’étalage du marchand. La faim est une excuse mais la négation est bien plus payante, surtout quand elle se transforme en réflexe.

Oui mais voilà : quand on veut s’améliorer, évoluer, s’unir à la partie divine de nous-mêmes, etc., il devient alors urgent de revisiter nos bases, assises ou repères psychologiques. Et l’une de ces bases, foyer de problèmes et de névroses en tous genres, est justement la période de l’enfance durant laquelle certaines prédispositions ont peut-être été contrariées et durant laquelle certaines habitudes malsaines ont été contractées.

Même lorsqu’un enfant fait mine d’obéir, de céder à la pression psychologique quand ce n’est pas à la violence physique, il COMPENSE toujours cette obéissance par quelque chose d’autre. Quelque chose qui, plus tard, lui nuira encore plus que le sentiment de sa dépendance passée.

 

 

Défense ou tentative de manipulation ?

 

 

Il arrive souvent qu’un mécanisme de défense (ex : mentir pour ne pas se faire punir) se transforme avec le temps en mécanisme de domination (mentir parce que ça sert à obtenir ce que l’on veut) Le subconscient raisonne par déductions et associations d’idées : pour lui, il est évident que si le mensonge préserve de la fessée, alors le mensonge est efficace puisque il préserve du mal véritable ! Énoncé ainsi… Oui mais voilà : plus ça marche et plus on emploi le mensonge, et plus on ment et moins… on ressent la vérité !

Pourquoi ? Parce que nous ressentons toujours ce que nous pensons (son contenu formel) et si nous changeons notre façon de penser, nous changeons du même coup notre ressenti.
Entendons-nous bien : la psychologie ésotérique n’a rien à voir avec les règles de morales, parfois aussi stupides et inadaptées que contraignantes à souhait. Ce qui nous intéresse ici, c’est l’efficacité réelle de nos divers états d’esprit. Nous désirons savoir ce qui est bon pour nous et rejeter ce qui ne l’est pas, un point c’est tout. Mentir aux autres n’est pas le problème, je vous l’assure, mais mentir au point de ne plus être capable de ressentir la vérité, pour soi et même en secret, alors là, ça commence sérieusement à craindre !

Une fois installé comme règle de vie (voir le mode de raisonnement déductif propre au subconscient) le mensonge nous coupe de notre ressenti et donc de notre Soi car ce dernier se manifeste surtout par ce que l’on ressent (et qui est censé provenir de lui, n’est-ce pas ?)

 

 

La conscience préfère toujours Abel à Caïn.

 

 
La vérité se résume toujours à ce que nous SENTONS, cela parce que ce que nous sentons est véritable, puisque nous le sentons en nous ! Et bien qu’il s’agisse de « notre vérité », de toute façon, nous ne pourrons jamais accéder à une autre vérité que celle qui passe par le filtre (plus ou moins propre) de notre mentalité. Pour nous, le ressenti est la plus haute forme de perception directe car elle passe par la conscience.

 

Et il n’est pas possible, pour nous, de prendre conscience d’une chose si elle n’existe pas au moins pour nous !

 

Lorsque nous étions petits, nos parents nous faisaient parfois sentir leur déception à notre égard. Par exemple, une promesse non tenues, un devoir mal (ou pas) fait ou une habitude mauvaise qu’ils pensaient que nous avions perdue (ben non, on mentait, comme eux, et toc !) Leur façon de nous faire sentir leur déception à notre sujet était soit « doucereuse », soit brutale, soit plaintive, soit vicieuse (piques, allusions, etc.)

Une fois devenus adultes, nous nous comporterons d’une certaine façon lorsque nous serons déçu par le comportement d’autrui. Cela parce qu’un tel comportement réveillera (ou évoquera) en nous des souvenirs liés aux diverses déceptions de nos parents à notre sujet. Soit nous reproduirons la manière toute particulière de réagir de nos parents, soit et à l’inverse, nous tenterons de nier ces réactions en nous comportant comme nous aurions aimé que nos parents le fassent avec nous.

 

Inutile de dire que, dans les deux cas, ce pauvre adulte ne l’est guère et que nous sommes devenus, avec le temps, se comportera d’une manière largement conditionnée.  En effet, réagir comme ou réagir à l’inverse de, cela revient à réagir et non à AGIR. Or, une individualité (du latin « Indivi » = Qui ne peut être divisé) est une chose insécable, unique et dont les actes sont sans antériorité, sans aucun schéma directionnel relatif au passé ou à l’expérience d’autrui.

Dès lors, nous ne saurons jamais comment nous aurions réagi en tant que nous et dans des conditions identiques à celles de notre enfance mais en occupant, à notre tour, ce rôle si délicat de parent ou d’éducateur. Et nous ne pourrons pas le savoir parce que ce que nous sommes devenus demeure conditionné par ce que nous avons vécu au contact d’autrui.
A moins que nous puissions nous libérer ce conditionnement.

 

 

Reproduire ou tenter de nier ?

 

 

Si nous repensons à la manière dont nos parents se comportaient envers nous lorsqu’ils étaient déçus par nos actes et si nous prenons le temps d’observer comment nous réagissons, à notre tour et aujourd’hui, lorsque une autre personne trahit nos attentes jugées « légitimes », nous en apprendrons bien plus sur nous-mêmes qu’en cinquante séances chez un psychiatre !

Et nous conserverons notre argent, surtout. Une fois les mécanismes éventés, une fois que l’on comprend pourquoi « maman faisait ceci » et pourquoi « Merde, je refais pareil qu’elle, au secours !!! » (lol) il reste à observer tranquillement, sans passion mais sans complaisance, notre degré exact de probité mentale (et non « morale. ») En clair, une fois que nous avons compris que nous reproduisons le comportement de nos parents ou que, et à l’inverse, nous essayons de nier leur influence « rien que pour les faire suer », reste à nous avouer si on tient à ce mécanisme ou s’il nous fait vraiment gerber.

 

Car ne vous y trompez pas : vous risquez d’être étonné lorsqu’il sera question pour vous de vous débarrasser d’une chose qui produit pourtant de la souffrance… Vous pourriez bien découvrir, horrifiés, que vous ADOREZ ces mécanismes et qu’il n’est pas question de les laisser tomber ! Mais même dans ce cas, vous aurez fait un grand pas : vous aurez repris le contrôle de votre vie et même vos souffrances passeraient alors immédiatement sous votre pleine et entière responsabilité. Et qui dit « redevenir responsable » dit du même coup « retrouver le pouvoir » car nous ne pouvons agir que sur ce qui nous appartient et dont nous avons la pleine responsabilité.

 

 

L’amour, une chose qui se mérite ?

 

 

Parlons à présent de ce qui fâche ou choque les frileux de l’esprit…  Il existe très certainement des enfants qui ne méritent pas l’amour inconditionnel que leur prodigue leurs parents. Suis-je dur ? Pas vraiment… En tout cas infiniment moins que ces petits morveux qui en font baver à leurs parents, cela parce qu’ils savent que ces derniers n’oseront jamais leur nuire et préfèreront plutôt souffrir en silence. « Par amour », diront-ils en grimaçant.
Et oui ! Il y en a pour tout le monde est le fait d’être objectif ne protège ni des déceptions, ni de passer pour « une personne mauvaise » en dénonçant le véritable mal chez les autres.

Il suffit d’être libre de conscience, objectif et honnête envers soi-même pour comprendre ces choses… Avoir de l’amour, de la compassion, vouloir jouer aux super héros de la spiritualité qui s’obstinent à aimer durant leurs séance journalière sodomie sans vaseline (lol), ceci est l’affaire des faibles, pas de ceux qui ont calmé les mouvements de leur propre esprit et peuvent donc voir les choses « en l’état » et d’un œil aussi détaché que viril.

 

Notez au passage que les plus grands mystiques n’avaient pas d’enfant ou s’ils en avaient, ils avaient cessé toute relation avec eux. Cela vous choque aussi ? Si oui, contrôlez par vous-mêmes et vous verrez bien. Pour les bouddhistes, revoyez donc la vie du Prince Siddhartha.
Ceux qui pensent que de bons parents « attirent » des enfants de M… et que des enfants merveilleux attirent des parents pourris ont parfaitement raison !
Cela dit, il n’est pas certain que ceux qui ont déjà trouvé cette synchro soient aussi capables d’en définir la raison logique sous-jacente. Et encore moins la Loi spirituelle qui se cache (à peine) derrière les faits.

J’arrêterai là mes propos, préférant encore répondre aux questions, commentaires et autres critiques qui, toutes, en ce qui concerne ces dernières, seront accueillies de la même manière : sans passion et avec cette objectivité qui n’est guère du goût des tempéraments par trop émotifs, dirai-je pour demeurer poli.

 

 

 

    Serge

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Dossier – Les fondements de la science hermétique – Chapitre 9

LE TOUT DANS TOUT

 

« S’il est vrai que Tout est dans LE TOUT, il est également vrai que LE TOUT est dans Tout. Celui qui comprend parfaitement cette vérité possède déjà un grand savoir. »

LE KYBALION.

 

Présenté comme ça, il faut déjà bien s’accrocher pour comprendre quelque chose de valable, hein ? Nous sommes bien d’accord.
Et encore, cette version est-elle une formulation « moderne » des textes anciens (dont la table d’émeraude, texte le plus connu, et quasiment imbuvable ! )
En fait, il s’agit là d’un vieux sujet récurrent datant des premiers siècles du Christianisme ésotérique jusqu’à la lisière des temps modernes (de 200 après J.-C. aux années 1800, en gros)
Celui mieux connu sous les termes de « Immanence et Transcendance« 

Selon les Anciens, Dieu était à la fois « contenu au sein même de sa Création » tout en étant « au-delà d’elle et non sujet à ses limites usuelles »
Il était donc « immanent » (présent au cœur même de sa Création) et la transcendait en même temps (n’était pas limité par elle, allait au-delà)
Ce thème fit couler beaucoup d’encre et pas seulement de l’encre (sic) et fut à l’origine de quelques fumages de neurones et pétages de câbles.
Les puristes se demandaient comment un être, fut-il Divin, pouvait bien se retrouver à la fois inclus en toutes choses tout en étant dans aucune d’entre elles…

Évidemment, à question mal posée, réponse erronée ! La bonne formulation aurait du souligner le fait que le Divin était à la fois contenu en toutes choses mais dans aucune d’entre elles il ne se trouvait entièrement présent. Ce qui est logique car Dieu ne pourrait se trouver « complètement ou entièrement ici » et, en même temps, un peu ici et un peu plus là-bas !
De plus, un Dieu situé dans un coin de son univers et ignorant ce qui se passe hors de son regard, ça ne faisait pas très sérieux.

Mais le simple fait de voir en Dieu un « Être » (anthropomorphisme) était déjà une grossière erreur que ne pouvaient tolérer les ésotéristes. Un être est forcément inclut dans la forme qui lui sert de véhicule de manifestation. De plus, son attention mentale ne peut se concentrer que sur un seul objet à la fois (mais passer très vite d’un objet d’attention à une autre, donnant ainsi l’illusion de simultanéité.) Ainsi, le Divin ou « Dieu » ne peut pas se présenter sous la forme d’un être car cette forme consisterait déjà en une limitation.

Les ésotéristes affirmaient que Dieu était une sorte d’Essence qui se trouvait en toutes choses mais qu’aucune de ces choses n’était assez vaste pour le contenir en entier. De plus, et toujours selon les ésotéristes (surtout les Chrétiens), Dieu devait être à la fois « dedans » sa création tout en n’étant non impliqué par elle ou limité en une quelconque façon par sa propre Création.

Lorsque les premiers ésotéristes non Chrétiens (bien avant Jésus, donc) avaient sorti l’idée que toutes choses étaient faites de Lumière et que cette Lumière était Dieu et se nommait « l’esprit » (ou l’équivalent, dans d’autres langues), les autres initiés s’étaient mis à rire comme de gros débiles ou comme s’il se fût agi de la plus poilante des blagues ! Pourtant, cette assertion était parfaite et avait l’avantage d’être la seule à donner enfin une explication à l’Immanence et à la Transcendance de Dieu. Et cela expliquait du même coup pourquoi il est exact de dire que l’esprit, cela même qui nous sert à penser, est créateur !

 

En effet, si « Dieu crée en esprit et dans son Mental Infini« , alors il peut être en toutes choses sans se retrouver enfermé en elles, car tout est le fruit de son Mental Créateur, tout est une visualisation dans laquelle il existe « un peu de Lui » sans que Lui-même soit vraiment inclut dans ce qu’il imagine ainsi en esprit et dans son Mental illimité.
Partant, Dieu n’avait plus besoin de se couper un doigt pour créer un système solaire !

Oui mais voilà : à l’époque des premiers Rishi, puis des Siddha (entre – 8 000 et – 6 000 ans, donc) tous les « initiés » croyaient dur comme fer que Dieu créait avec sa propre substance et qu’il était donc absolument impliqué (voire enfermé) dans sa création. On retrouve d’ailleurs des traces très nette de cette croyance empirique dans de nombreuses traditions, plus ou moins ésotériques, d’ailleurs. Pourtant, investir son esprit et s’investir soi-même sont deux choses bien différentes.

Les Rosicruciens, membres de la fraternité bien connue des Rose-Croix,  furent les seuls, durant des siècles, à adopter la Doctrine du « Dieu est esprit et crée mentalement« , avec, bien entendu, les psychologue ésotéristes qui avaient l’avantage non négligeable d’être directement enseignés par les Mages Rouges (pour ceux qui connaissent ces Grands Philosophes de l’Invisible.)

Or, ce n’est pas le Divin Rêveur, qui est enfermé au sein des formes mentales mais bien son esprit, ce qui est pourtant une nuance de taille ! En effet, entre se retrouver physiquement en prison et avoir son esprit préoccupé par quelque souci plus ou moins important, il y a une marge ! Dans le premier cas, vous êtes en prison et avez donc perdu vote liberté. Dans le second cas, seul votre esprit est « enfermé » au sein de mouvances mentales (karma Chitta, en sanskrit) plus ou moins agréables, mais un simple effort de votre part suffirait à l’en libérer.
Mais disons que, contrairement à nous, la Conscience Cosmique ou Divine (le Brahman passif, pour les Hindous) préfère observer tranquillement les mouvements de son propre esprit (Dieu, le Brahman Actif ou l’Aspect « Mère ») et, très intéressé, désire voir où tout ça va le mener s’il ne fait rien pour agir sur cette Monumentale Prise De Tête Cosmique !
🙂
Ainsi, et comme mentionné ailleurs, nous savons que c’est bien l’esprit -Dieu ou « Brahman Actif » ou encore « le Divin Architecte« –  qui crée toutes choses, et que cet esprit est contenu dans le Mental Divin.
Mais ce que nous ignorons, c’est « à qui est ce Mental colossal » ! Et sans doute ne le saurons-nous jamais. Mais cela importe peu, vue le mal que nous avons déjà à comprendre l’esprit, « qui est plus proche de nous que nos mains, que nos pieds et que notre respiration même » (Bible dixit)

Et puisque l’esprit est Dieu (du moins sa partie accessible à notre entendement), si tout est fait de Dieu, Dieu est à la fois inclut dans sa Création et extérieur à elle (puisqu’il la pense mais ne se sert pas de lui-même comme matériau, n’est-ce pas.) Ceux qui écrivent des romans ou des essais, savent très bien ce qu’il en est : leurs personnages sont contenus dans leur mental, mais eux-mêmes sont en quelque sorte contenus ou « véhiculés » dans et par ces mêmes personnages, auxquels il prête un peu de sa substance spirituelle pour les faire exister, ne serait-ce qu’en imagination.

 

Pareillement, c’est au sein même du Grand Mental Divin (l’Univers) que « Nous avons la vie, le mouvement et l’être« , comme disaient les premiers Mystiques.
Pour Dieu, c’est la même chose que pour un romancier, mais en plus grand, plus beau, plus parfait et plus… Tout !
Bon, remarquez, c’est de la triche puisque c’est Dieu…

 

Quels sont vos réactions face à ce que vous venez de lire ?

N’ayez plus peur de dire ou même de faire des bêtises : Dieu-l’esprit les dit et les fait bien mieux que vous, pour vous, par vous et… à votre place ! (puisque tout est Dieu, en somme ^^)

Pour lire le Chapitre 10 : Cliquer ICI

Dossier – Les fondements de la science hermétique – Chapitre 7

L’UNIVERS MENTAL

 

« L’Univers est Mental ; il est contenu dans l’âme DU TOUT. »
LE KYBALION.
De tout temps, le problème des Mystiques fut de comprendre comment le Divin pouvait bien créer et, surtout, à partir de quoi !
En effet, puisque Dieu ou l’esprit universel est Toutes Choses et que rien ne peut lui être ajouté ou retranché, à partir de quel matériau peut-il bien créer ?
S’il se sert d’un matériau extérieur à Lui ou différent de Lui, alors ce matériau est « ajouté » à Dieu, au Tout, or, nous savons que cela est impossible.

Dieu se sert-il de sa propre substance, pour créer ? Dans ce cas, il se sectionne, n’est plus Intègre et n’est donc plus le Tout !
Les Hermétistes proposèrent les premiers d’étudier « le bas » pour comprendre « le haut », c’est à dire et en l’occurrence, d’étudier l’homme pour comprendre Dieu.
Puisque l’homme est fait « à l’image et à la ressemblance » de son Créateur, alors l’homme et Dieu doivent très certainement créer de la même façon, bien que l’un des deux soit capable de créer toutes choses en simultané, à l’infini, éternellement et sans aucunes limites !

Comment l’homme fait-il pour créer sa propre réalité ?
A-t-il le pouvoir de créer ? Oui, il peut créer : mentalement et en esprit.
Et tout ce que l’esprit engendre dans son mental est aussi réel pour l’homme que ce qui se trouve à l’extérieur de lui.
Parfois même est-ce plus réel encore !

 

Pour l’individu qui est amoureux, par exemple, ce sentiment de l’amour en soi est on ne peut plus « tangible » et réel, n’est-ce pas ?
Pourtant, tout ce que l’homme peut créer en esprit et dans son mental, dépend de sa propre volonté pour exister et demeurer vivant.
L’homme peut se construire des univers et les détruire en quelques instants.
Du moins le croit-il car le seul fait de ne plus penser à une chose ne suffit pas à lui ôter toute existence, loin de là !

L’esprit est vivant et conscient : toutes formes engendrées en esprit auront donc tout naturellement tendance à vouloir subsister, survivre, voire progresser, acquérir plus de vitalité et d’autonomie.
Sauf si la forme première n’implique aucune progression ou transformation possible (ça arrive souvent.)
Auquel cas la forme trainera dans le « dépotoir mental universel« , attendant qu’une âme charitable veuille bien s’en emparer de nouveau afin de l’associer à d’autres formes mentales compatibles ou évolutives… (ça arrive aussi, mais moins souvent.)

L’homme moderne n’a aucune idée de sa responsabilité et de son pouvoir, en matière de créativité. Il ignore qu’il peut surcharger le dépotoir cosmique ou, au contraire, le purger d’une bonne partie de ses « cadavres »
Je vais vous apprendre une chose peu connue, surtout en France : il existe des groupes d’entités célestes dont le « boulot » consiste justement à épurer les différentes couches du mental planétaire ou solaire, voire galactique.

Pour ce qui nous concerne, certaines entités se chargent de tenir constant le degré de saturation mentale des différentes couches du Grand Plan Mental planétaire (surtout les 4,5 et 6eme sous-plans, qui concernent les manifestations physiques relatives aux pensées des hommes.)

Mais ces entités fonctionnent un peu comme des « robots » ou, du moins, n’ont aucun humour, aucune intelligence autre que celle propre à leur fonction.
Un seul être humain, grâce à sa connaissance du vécu terrestre, peut en une seule journée abattre le travail de toute une années de labeur d’une équipe (collectif) de ces entités !

Du point de vue de l’évolution globale, l’homme est bien plus « haut » que de nombreuses collectivités (entités) célestes, anges compris.
Seuls les Archanges peuvent prétendre à un degré d’évolution et de perfection supérieur à celui d’un homme vraiment évolué… Du moins pour le moment.

Il est HEUREUX que certains humains ignorent encore ces choses… Puissent-ils l’ignorer encore quelques décades ! (si vous me suivez)
Ceux qui disent que l’homme est une vraie merde ont parfaitement raison ! (lol) Ceux qui disent que l’homme est au moins l’égal des Dieux ont parfaitement raison aussi !

 

L’apparent paradoxe peut être réconcilié avec la raison si on se réfère tantôt à ce que l’homme est conscient d’être POUR LE MOMENT et tantôt à ce qu’il est en vérité ou sera dans un avenir proche.
Une simple question de point de vue, donc, facile à comprendre pour le mental d’un individu de notre époque. Ainsi donc, tout comme l’homme peut créer en esprit et dans son mental sans avoir rien à se soustraire ou à s’ajouter, de même l’esprit universel ou « Dieu », maintient-il l’univers et les Dieux dans son mental et sous sa bienveillante Attention.

Il agit de la sorte car il sait qu’étant à la fois le Tout et la moindre de ses particules le composant, il doit libérer chacune d’elles pour se libérer lui et diviniser chacune d’elles pour prendre lui-même conscience de Sa Splendeur Incommensurable.

Dieu DONNE pour Recevoir; il est sa propre Loi, son propre But et sa plus haute forme de manifestation. C’est cette Volonté de Donner pour recevoir qui engendre « Le Grand Courant Universel »
Et tout cela, il le maintient fermement établi dans son Mental infini et n’aura de cesse que lorsque chacune de ses particules d’esprit qui composent son Corps Divin, sera devenue aussi puissante et intelligente que Lui-Même.

 

 

Autant dire que nous avons le temps et que ce n’est pas pour demain !
Nous disions, plus haut, que n’importe quel être humain est plus puissant -pour purger le dépotoir planétaire- que les entités célestes dont c’est l’une des principales fonctions, ceci pour la bonne raison que ces entités ne sont pas à l’origine de ces créations mentales et doivent donc bosser beaucoup plus que n’importe quel péquin humain pour les transmuter.

 

Et encore, cette transmutation est-elle originaire d’un Décret Divin, c’est à dire d’une sorte de « passe-droit » leur permettant d’effacer discrètement les « Oups » humanoïdes ! Sans un tel Décret, sans l’aide de la Divinité Générale, PERSONNE ne pourrait nettoyer ce dépotoir, sinon l’homme lui-même.
Autant dire que nous serions très rapidement dans la… enfin, vous voyez :siffle:

 

Le fait que tous les hommes ont le droit et le pouvoir de nettoyer les merdes des autres (lol) provient d’une Loi Secondaire Planétaire connue plus facilement sous le générique de : Karma Collectif. (« Mouvements de l’esprit Collectif ») D’un côté il est exact que nous subissons la Règle d’Équilibre ou de Moyenne, mais d’un autre, nous bénéficions du pouvoir de nous nettoyer les uns les autres.

Et c’est ce pouvoir qui a permis la naissance de la fameuse « Grande Fraternité Blanche » dont le Dessein premier était d’aider les moins favorisés des humains dont les expériences vivantes les avaient par trop éloigné de leur propre Divinité (ou « Source énergétique« , pour ceux qui n’aiment pas le mot « Dieu » qui n’est, après tout, qu’un simple adjectif)

Les anciens Gourous (ou Guru, sans « s » si écrit en Sanskrit, merci) qui prétendaient « prendre sur eux le Karma de leurs disciples » (sic) faisaient en réalité allusion à ce pouvoir offert à tous, et pas seulement aux Gourou (les polissons) de Transmuter les productions mentales d’autrui.
Quand à la Règle évoquée plus haut (d’Équilibre ou de Moyenne), elle se résume au fait que tant que nous sommes sur Terre, nous ne pouvons pas être « plus bas » ou « plus haut » que ceux qui se trouvent inscrits aux deux pôles de la fourchette d’évolution moyenne de l’humanité.
Vous captez l’idée ?

Cette Règle a obligé certains « Seigneurs » (Des Grands Maître de stature Christique) à venir s’incarner sous certaines conditions de protection et d’assistance spirituelle. On les connait sous le terme générique de « Avatars » (il y en a eu dix d’individualisés, il y en aura encore deux de « Collectifs », ce qui correspond aux douze notes cosmiques majeures ou au zodiaque.)
Ils ont agi de la sorte dans l’espoir de hausser sensiblement le pôle absolu de droite, celui du « plus haut niveau » (On est en droit de se demander si cela a été vraiment efficace ^^)
Le Mental Divin contient l’esprit Divin, ce que l’on nomme « Dieu » et qui, on pourrait s’en douter, ne désigne pas un individu ou une entité cosmique mais une Loi, un pouvoir ou un adjectif.
Ce Dieu là est en partie investi dans sa création, se confond avec elle, du fait que les particules d’esprit qui composent la matière et les pensées qui vibrent bas, ont oublié qui elles sont vraiment.

En somme, puisque nous sommes fait d’esprit et que l’esprit est Dieu, si nous ne savons plus qui nous sommes, Dieu investi en nous ne le sait plus non plus et cela donne le Soi Naturel (le Soi Divin étant la partie qui n’est pas investie et qui se souvient de tout)
Chaque fois que l’esprit, en tant que partie (particule) se souvient de sa véritable Nature, c’est Dieu-le-Tout-esprit qui se souvient aussi et qui s’éveille.
Comme il est dit : « Le Dormeur doit se Réveiller ! »
Au niveau purement humain, on comprend facilement l’idée que si la moindre de nos cellules est en bonne santé, c’est le corps physique tout entier qui sera en bonne santé aussi.
Ce sujet est encore un peu prématuré à ce stade de notre étude, mais il vous semblera sans doute plus abordable un peu plus tard.

Pour le moment, inspirez-vous, pour comprendre intuitivement les faits, de la version Indienne de la Divinité, qui dit qu’il existe le « Brahman Actif » et le « Brahman Passif »
Des deux, seul le premier (Actif) est impliqué dans (et se confond avec) la Création Cosmique continue.

Le Brahman Actif est donc l’esprit contenu dans le Mental du Brahman Passif, celui sur lequel rien ne peut être dit et qui demeure inconnaissable…

 

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Dossier – Les fondements de la science hermétique – Chapitre 6

LE TOUT

« Derrière l’Univers du Temps et de l’Espace se cache toujours la Réalité Substantielle, la Vérité Fondamentale. » LE KYBALION.

Lorsqu’on observe l’univers et la « matière » à partir de laquelle il semble avoir été créé, on en arrive à la conclusion logique que cette matière ne peut pas être si « solide » et « définitive » que cela. Si c’était le cas, rien ne pourrait changer, évoluer et se transformer !

Et comme tout évolue et se transforme, ne serait-ce que par le processus connu sous le nom de vieillissement (ou oxydation) force nous est de constater que cette matière n’est pas une chose « terminée » ou « finie » et qu’elle doit nécessairement être formée par quelque chose d’autre qui ne désire pas demeurer éternellement statique.

Avec le temps et une observation plus poussée, l’homme s’est rendu compte que l’univers agissait comme s’il lui fallait économiser l’énergie ou la matière première qui est à la base de toutes choses considérées encore comme étant « tangibles. »

Par exemple, on sait maintenant que « Rien ne se perd, rien ne se crée mais tout se retransforme sans cesse. » Ce qui a servi à créer « ceci » sera comme « refondu » et ses constituants premiers serviront alors à créer « cela« , parfois très différent ou d’un degré d’évolution supérieur à « ceci. »

Songez au compost de feuilles d’arbres, par exemple. Ou, exemple un rien plus morbide, à nos propres corps humains, lorsqu’ils sont enterrés et entament leur processus naturel de putréfaction.
Imaginez le mouton qui mange l’herbe… Ses excréments servent alors d’engrais et ce même engrais servira à faire pousser des légumes que nous mangerons à notre tour, puis que nous restituerons au grand réservoir planétaire.

(Si c’est pas de la poésie, ça, Madame !) 😎
Vraiment, rien ne se perd ou ne se crée vraiment mais tout se retransforme sans cesse ! L’idée qui nous vient immédiatement (et qui était d’ailleurs venue aux premiers mystiques) est que ce qui compose la matière terrestre (on parle ici juste de notre environnement immédiat, n’est-ce pas) est si précieux et rare que la Loi qui préside à sa formation, à sa transformation puis à sa réutilisation, est une preuve évidente que l’énergie pourrait venir à manquer si la Loi n’agissait pas comme elle le fait. Vous captez bien l’idée ?

Ceci est, bien entendu, l’exposé de la raison ou, à tout le moins, l’exposé d’un intellect qui se fend le derrière en deux (lol) pour tenter de percer ce qu’il nomme lui-même : « Les mystères de l’Univers » !

Mais pour autant, est-ce la vérité ?
Est-ce que c’est pour cela que la Loi retransforme tout et réutilise ce qui a été précédemment employé ? L’énergie viendrait-elle réellement à manquer si la Loi agissait tout autrement ?

Procédons par ordre et sans se précipiter, afin d’être certain de bien tout comprendre correctement. Quand nous pensons, nous utilisons des particules d’esprit. Jusque là, nous pouvons suivre sans peine.

Si vous créez une pensée, vous « enfermez » l’esprit dans la forme qu’il manifeste.

Également, vous conditionnez du même coup son pouvoir d’expression car une fois devenu formel, l’esprit se limite automatiquement à sa nouvelle capacité à exprimer ce qu’il est vraiment (sa Nature intrinsèque) en fonction de la forme qu’il a adopté. Retenez bien ce dernier point car il pourrait vous servir à comprendre de nombreuses choses « mystérieuses » un peu plus tard, en avançant dans notre étude et dans le présent Dossier.

Ainsi donc, tant qu’une pensée n’est pas soit « décréé » (ses constituants dispersés) soit revisitée à la hausse (améliorée, évoluée) l’esprit qui la compose demeure à la même fréquence de vibration, c’est à dire celle propre à la forme mentale (ou spirituelle) qu’il manifeste. Et du même coup, il se retrouve limité.
Et cela peut durer des milliards d’années !

L’esprit peut se retrouver prisonnier de sa propre création et, de ce fait, ne plus évoluer, ne plus rien faire d’autre que ce que les limites propres à sa nouvelle forme lui permettent d’accomplir.

Plus exactement, les particules d’esprit qui forment une pensée (ou une forme moins sophistiquée) qui devient statique et n’évolue plus, n’évoluent plus non plus ! Ce qui fait que ces particules là ne deviendront soit jamais conscientes d’elles-mêmes, soit de nouveau conscientes mais… Dans des milliards d’années, au mieux !
Le pouvoir d’un être vivant et conscient tel que l’être humain est IMMENSE car il peut venir soutenir très efficacement l’Œuvre Divine. Il peut respiritualiser la matière ! Une telle Œuvre ne consiste pas à créer un tas de formes mentales (idées, concepts) et ce, à tort et à travers. Elle consiste plutôt à créer des formes qui pourront évoluer le plus vite possible et s’orienter vers la Splendeur de la réalisation du Soi.

 

Le seul fait que l’homme puisse prendre conscience conscience de lui-même et Se Savoir distinct de ses processus mentaux, suffit à dynamiser l’ensemble des particules d’esprit qui forment son entité globale ! (corps de chair compris, bien évidemment.)

 

Savoir que l’on existe indépendamment de ce que l’on manifeste, apporte un grand pouvoir évolutif. En fait, et en ce qui concerne l’homme, le seul fait d’exister en pleine conscience de demeurer distinct de l’ensemble de ses processus mentaux, suffit à Devenir Partenaire du Divin Architecte !

Cela suffit à aider la Création Continue à se poursuivre dans les meilleurs conditions ! (excusez du peu.)

L’esprit a pour Intention Première (ce que d’autres nomment « Volonté ») de devenir conscient de Lui-Même. Non pas conscient dans le sens usuel de ce terme, puisque l’esprit est déjà pleinement conscient, bien évidemment !

 

Son deal est bien plus élevé que cela : il veut devenir conscient AU TRAVERS de sa propre création mentale ! C’est un peu comme si vous vouliez, à votre niveau, devenir conscient à l’intérieur de tous vos rêves et d’une manière définitive et parfaite. Comprenez-vous cette Vérité renversante ?

L’esprit désire s’éveiller à sa propre réalisation au travers des formes qu’il génère, les suivre dans leurs évolutions et partager leur expérience vivante et consciente. Et au passage, les baigner de Son Pouvoir Infini.

Mes amis ! Sachez que chaque fois que vous instruisez une personne, vous permettez à son esprit d’évoluer et de devenir plus conscient encore !
Vous faites en cela « Œuvre Divine » et elle devient presque aussi Magnifique que celle de Dieu-Lui-Même !
Vous aidez votre Créateur et « Les Anges chantent vos louanges en dansant autour du Trône. »
Vous devenez « Co-Créateur » ou « Co-Acteur Conscient » et travaillez en bonne intelligence avec l’esprit universel.

Il s’agit là du plus sublime des Partenariat.
Et je ne dis pas cela pour « faire beau« …

Nous pouvons donc comprendre, désormais, que l’énergie spirituelle est bien potentiel inépuisable, certes, puisque l’esprit est infini, mais si chaque forme mentale devient statique au lieu de rester dynamique, alors l’énergie décroît rapidement. Seul le mouvement constant et exponentiel de l’esprit peut engendrer de l’énergie vitale en quantité inépuisable !
Tout doit « Bouger », Remuer, Vibrer et danser sans cesse !
Dit autrement, et sous la forme d’une Loi :

 

« La force vitale d’une forme-pensée dépend de la fréquence vibratoire des particules d’esprit qui la composent. Plus une forme vibre haut, plus elle produit de la vitalité. Et inversement. »

Les formes mentales évolutives (par exemple celles exprimées au présent et au futur) produisent assez d’énergie pour s’auto-alimenter, c’est à dire se faire évoluer toutes seules et si je puis dire.

Mais les formes mentales émises au passé ou contenant une négation au présent (Ex : « J’étais idiot » ou « Je ne suis pas idiot« ) condamnent l’esprit qui les composent à demeurer indéfiniment au même taux vibratoire, c’est à dire produire juste assez d’énergie pour subsister quelques siècles.

 

Car l’esprit stagne ou progresse mais ne régresse jamais. (Veuillez notez ce « détail » d’une importance capitale si vous abritez encore quelques formes superstitieuses en votre mental.) Ces formes là enferment l’esprit qui soupire après plus de liberté.

Comment libérer l’esprit ? (nous le verrons plus en détails à la fin de cet Atelier)
Bien que nous aurons à étudier cela plus tard, voici déjà un indice qui devrait exciter votre imagination.

La prémisse de la technique est que l’esprit est intelligent de Nature mais… Pas nécessairement instruit ! (lol)
Or, savoir c’est pouvoir.
Il suffirait d’apprendre à l’esprit qu’il n’est pas cette forme qu’il manifeste mais Dieu Lui-Même et le tour serait joué ! Et les effets quasiment magiques !

 

(Et que croyez-vous que vous êtes justement en train de faire, en ce moment même, hum ?)
D’ailleurs, si vous voulez tout savoir, la Magie se fonde sur la transmutation Mentale et sur RIEN d’autre ! Mais que cela reste entre nous et le reste de l’univers !
:lol:
Sachez pour finir que celui qui libère Dieu (les particules d’esprit) se libère lui-même car l’homme est fait d’esprit et donc, de Dieu.

Un Dieu qui est venu se visiter en prison pour se réconforter et pour s’insuffler la Vie, le Mouvement et l’Être !
Et cela, seul Dieu peut le faire…

 

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