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Engagement et désengagement

Nota : Ce texte ne parle pas de personnalités mais d’individualités conscientes (de Soi, donc) et lorsqu’il est question, dans ce texte, de « Revenir« , cela signifie que l’individualité, qui était une ancienne extension d’un autre Soi et qui avait gagné le droit de ne plus revenir sur Terre, décide tout de même de le faire, ceci pour diverses raisons qui nous mèneraient bien trop loin pour être traitées d’une manière exhaustive ici. Comme mentionné par ailleurs, une personnalité n’a qu’une seule vie, une Individualité ou « Soi » peu en avoir plusieurs, en simultané, et peu même décider d’adombrer complètement (enter dedans, se confondre avec) l’une quelconque de ses extensions ou personnalités.

 

 

 

Certains, déjà bien avancés, sont revenus sur Terre dans le but de terminer quelque chose de précis en rapport avec leurs frères et sœurs humains. Parmi les premiers, quelques-uns sont revenus pour apprendre à se désengager, c’est-à-dire à ne plus se soucier de savoir si ceux qu’ils ont aimé et aiment encore, sont capables d’être heureux sans pour autant qu’on leur tienne la main. Ils sont revenus non pas en tant que personnalités reprenant une vie à zéro mais en tant qu’anciennes personnalités devenues des Soi à leur tour et ayant ainsi obtenu le droit de se reformer une (ou plusieurs) personnalité(s) complète(s), capable(s) d’évoluer très vite cela au point de devenir de nouveau le Soi qui existait auparavant.

 

 

 

Pour ces quelques-uns, le plus difficile, après tant de millénaires à servir avec amour et une totale dévotion à autrui, sur la Terre comme au Ciel, c’est de ne plus intervenir, ne plus se sentir concerné bref, leur mission, aussi étrange et suspect que cela puisse paraître, se résume à se désengager du destin de l’humanité !

 

 

 

Coeur-RayonnementPour les autres, qui sont revenus au travers de nouvelles personnalités pour parfaire une mission commencée il y a fort longtemps, et qui se sont un peu plus avancés au sein de leur propre Soleil Intime (le Soi Divin), leur dernière mission terrestre importante se résume à un complet engagement. Car en effet, de vies en vies, et malgré leur avance notoire et évidente, ils n’ont pas osé s’engager -ou s’investir- vraiment dans ce rôle, non pas de Maître, qui ferait rire même une bécasse d’âge adulte, mais de guide.

Certes, il n’est pas ici question de guider autrui quant à sa façon de penser, de vivre et d’être en société ! Pour ça, il y a les sectes. Il est seulement question de démontrer, d’une manière vivante, qu’il est possible d’être à la fois un homme, avec ses défauts et ses faiblesses, tout en étant connecté directement et pleinement à « Dieu-En-Soi. »

 

 

 

C‘est cela guider; non pas apprendre aux autres à briller mais leur montrer que quelque chose en eux Brille déjà, depuis fort longtemps et bien mieux que leur Moi-Idéalisé ne saurait le faire. Pour ces individus, le but est de réapprendre à ne plus craindre de représenter le Soi Divin sur Terre. Mais le représenter « en tant qu’homme« , pas en tant que grand initié de telle ou telle autre tradition. Plus sobrement dit, c’est Dieu qui doit Briller à travers l’homme, et non l’homme qui doit se glorifier grâce à ce Dieu qui est en lui.
Sentez-vous que l’une des deux propositions vous concerne ?

 

 

 

 

Serge Baccino

Licence Creative Commons
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Le monde dans un regard

 

changer-transformer6Qui n’a pas rêvé de changer le monde ? Qui n’a pas refait ce même monde dans un bar ou un pub, entre deux tasses de café brûlant et trop corsé et un croissant de la veille ?

« Dis, Monsieur, c’est quoi, le monde ? »

Le monde ? Mais c’est ton Regard !

Les choses que nous voyons sont-elles exactement telles que nous les voyons ? Et que voyons-nous, au juste ? Ce qui est derrière nos yeux ou ce qui se passe en vérité sous notre nez ?

Les Grands Sages des siècles passés ont tenté d’expliquer ce qu’ils jugeaient eux-mêmes comme étant inexprimable avec des mots (ils avaient donc un sens de l’humour assez poussé.) Ils ont proposé comme matériel de méditation, des sentences du genre de celles-ci :

 

 » Le Monde est en vous; ce que vous voyez n’est pas au-dehors mais en vous-mêmes, c’est l’esprit qui est le Projecteur et c’est votre conscience qui est l’unique spectateur « 

 

 

 

illusionBien que cet énoncé soit exact d’un point de vue spirituel (relatif aux lois du fonctionnement de l’esprit, donc), il peut prêter à confusion et, de fait, il a induit en erreur des générations de chercheurs… Ah bon ?

Ouep ! (Je sais aussi faire sobre dans mes réponses.) Présentée ainsi, et même une fois traduite en langue moderne (ce que j’ai fais pour vous avec l’énoncé originel et traduit du Sanskrit), il peut sembler que le monde que nous voyons ou que nous  » croyons  » voir au-dehors, est illusoire du fait qu’il n’existe pas mais qu’il est créé par nous ! En clair, cela signifierait que rien de ce que nous voyons n’existe et que nous sommes le jouet permanent de notre ignorance et/ou de notre folie !
Alors qu’en fait, cela devrait se traduire et se comprendre ainsi :

 

 » l’illusion n’est PAS dans ce qui est vu, mais dans la croyance en le fait que ce qui est vu se trouve au-dehors et existe indépendamment de notre conscience « 

 

 

 

subconscient4Percevez-vous  la nuance, malgré sa subtilité ? Vous ne rêvez pas le monde; ce que vous voyez n’est pas  » inventé  » par votre cerveau enfiévré, MAIS ce que vous voyez ne se trouve pas « dehors » mais bien dans votre conscience (et non pas  » dans votre tête «  !)

De fait, et en me permettant d’extrapoler un brin, l’idée que tout le monde projette sur autrui et que ce qui est vu et attribué aux autres n’existe en fait que  » dans notre tête  » n’est pas une vérité mais une DEMI VÉRITÉ !

 

 

 

Aïe, ça se complique, penseront certains qui ne sont pas des familiers des apparents paradoxes de la psychologie ésotérique (paradoxes qui peuvent être conciliés par une vision déprogrammée et non dualiste) Mais réfléchissons un instant.

S’il était vrai que lorsque nous croyons voir un défaut chez autrui, ce même défaut se trouve nécessairement en nous, (puisque l’homme se bornerait, en fait, à projeter son propre paysage intérieur sur le monde et les autres) alors les Grands Maîtres, qui ont enseigné les hommes et qui dénonçaient parfois certaines aberrations mentales, étaient encore plus cons que leurs disciples et ne connaissaient rien aux lois et aux principes du fonctionnement de l’esprit ! Marrant non ?

Certes… Mais très instructif aussi, permettez-moi de vous le certifier ici !

 

 

 

babajiInstructif, car nous imaginons bien que les Grands Maîtres ne projetaient rien du tout et percevaient réellement les travers les plus importants de leurs disciples. Alors quoi ? Si la prémisse est exacte, s’il est bien possible de percevoir l’actualité (ce qui se passe en fait) et non pas seulement de tourner en boucle sur notre réalité intime, alors il existerait bien un Regard dépassionné et objectif que certains individus pourraient poser sur le monde et sur les êtres qui le composent… Qui le composent non pas  » au-dehors « , mais au véritable  » endroit  » où se trouve ce même monde et ces mêmes êtres…

Mais où se situerait un tel monde, me demanderez-vous ?

 

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illusionCe n’est pas la matière qui est illusoire puisque nous pouvons la prendre en pleine gueule et juger de sa masse !

Ce qui est illusoire, c’est de croire que la matière est vraiment telle que la perçoivent nos sens ! Puisque notre corps de chair vibre à la même fréquence que le monde dans lequel il vit, pour lui, l’environnement existe vraiment et il peut être touché ! (Il n’existe pas de différence de niveau vibratoire entre nos sens et notre perception du Monde, ce qui ne nous permet pas d’inter-pénétrer la matière.)

 

 

 

vibration2Mais si nous sortons de ce corps, de cet  » état de l’esprit «  avec lequel nous faisons corps, alors nous réalisons que la vie, ce n’est pas  » que ça «  et qu’il existe d’autres niveaux d’existence où  » la matière  » est perçue par nos sens comme étant moins dense, plus malléable, et s’adapte à merveille avec chacun de nos différents  » corps d’expression  » (nous en avons au moins sept.)

 

 

 

 

 

ShivaC‘est à cause de toutes ces conneries qu’ont lancés les orientalistes que les gens se demandent ce qu’ils pouvaient bien fumer comme marque de tapis !

Et ils ont raison de se le demander. Les traductions sont généralement déplorables, car il ne suffit pas de maîtriser une langue étrangère pour en comprendre et pénétrer l’esprit. Celles et ceux eux qui ont la possibilité de percevoir certaines choses, réalisent que la fameuse matière, même dense, est faite d’énergie, de particules de Lumière qui virevoltent joyeusement sur elles-mêmes et qui chantent la vie ! (allusion au son que produisent les vibrations de l’esprit qui forme la matière, à l’oreille interne exercée d’un psychiste.)

 

 

 

 

vibrations3Mais comme elles vibrent TRÈS BAS, en comparaison de ce qu’elles peuvent vibrer, les formes mentales qu’elles produisent sont perçues comme étant solides (ou grossières), et elles le sont effectivement POUR nos sens objectifs, pour notre cerveau et pour l’ensemble de nos cellules. A d’autres niveaux, en particulier quand nous ne sommes pas incarnés, cette même matière et si  » éthérisée  » qu’elle ressemble plus à des images mentales solidifiées qu’à des formes concrètes ayant une masse et un poids.

 

 

 

Par exemple, en dédoublement, nous pouvons passer au travers d’un mur qui demeurera  » solide  » pour ceux qui sont encore dans un corps de chair. J’ai fais cela plusieurs fois, avec toujours autant d’inquiétude à l’idée de me fracasser le museau contre le dit mur ! Les réflexes physiologiques ont la peau dure !

 

 

 

 

lni-cover-mediumIl est toujours préférable que l’expérimentation directe accompagne ou suivent de près l’étude et la compréhension purement intellectuelle d’un sujet métaphysique. S’il venait avant, il pourrait fausser ensuite le jugement et donc, rendre plus difficile l’apprentissage.

Pour terminer, sachez que ce n’est pas la connaissance ésotérique, qui manque de clarté, c’est le désir d’apprendre vraiment de l’homme, qui manque de force !

 

 

 

 

Wiki

 

Mais bon, allez, cela, même si vous ne l’acceptez pas complètement, et c’est bien humain en plus d’être compréhensible, vous le savez tout de même et c’est là l’essentiel pour que vous puissiez tous, un jour, connaître et expérimenter en même temps. Car là est le véritable ésotérisme des Origines, celui qui existait encore il y a quelques six mille ans, avant que de (trop) nombreuses traditions humaines viennent à en ternir l’éclat.

 

 

 

Serge Baccino

Licence Creative Commons
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Couple de force

 

bonheur2Tout le monde désire être heureux, n’est-ce pas ? Pourtant, que voit-on le plus souvent ? Des gens malheureux. Oh ! Je ne dis pas que nous voyons des gens qui tous, reconnaissent leur malheur, loin de là ! Je ne dis même pas que nous voyons des gens qui sont conscients de leur malheur. Je dis que nous voyons tous des gens malheureux, autour de nous.

 

 

 

souffrance7Surtout des couples malheureux. Mais comment un être humain peut-il CHOISIR d’être malheureux plutôt qu’heureux ? Car il me semble que personne ne se marie ou ne se met à la colle (vie commune sans être marié) dans le secret espoir de souffrir, n’est-ce pas ? De même, rares sont les couples forcés : on ne met plus le couteau sous la gorge d’une personne pour qu’elle s’associe de force avec une autre, ou alors, très rarement, et ces cas-là n’entrent en rien dans le présent sujet.

 

 

 

bonheur8Les gens n’osent même plus avouer leur malheur : ils n’osent même pas se l’avouer à eux-mêmes ! Alors, ils font semblant que tout va bien et ils se consolent en se disant que, selon toute vraisemblance, les autres en sont là aussi, à se mentir pour tenter de réduire les souffrances morales.

 

 

couple-dispute2Pourquoi voit-on autant de couples malheureux qui,  au lieu de s’aimer tendrement et de devoir être décollés avec un démonte-pneu tellement qu’ils sont scotchés l’un à l’autre, se querellent, se lancent des piques à la face, se font du mal et se comportent comme si l’autre devait  » payer  » pour la somme globale de toute leur souffrance passée et présente ? Que se passe-t-il, Monsieur l’Abbé, vous qui êtes éclairé par le Pape lui-même ?

Puisque le Pape ne vous répond pas, je vais le faire à sa place !
Tout le drame, au départ, provient du motif profond, secret et définitivement caché, désormais, du  » choix  » du conjoint.

 

 

 

Il faut aller fouiller dans la m… euh, dans les strates profondes de la psyché et, plus particulièrement, au sein même de la subconscience des individus, pour y trouver les causes premières des destins loupés et des mariages ratés et autres  » ma vie est un enfer ! « 

 

 

 

 

couple7Prenons le cas très répandu d’une personne (homme ou femme) qui se choisi, sans même le réaliser, puisque c’est une forme de schéma compulsif ET inconscient, une personne du sexe opposé qui lui parait inférieure, dans un quelconque domaine précis ou même dans tous (par exemple, classe sociale différente, niveau d’instruction, etc.)

 

 

 

choixUne fois mariée, cette personne va commencer aussitôt à souffrir de son propre choix. Du moins, de tout ce que ce choix implique désormais et par ailleurs. Vous me direz que dès le moment où ça ne va plus, dans un couple, on peut toujours se barrer ou envoyer ch… euh… Faire savoir à la personne qu’elle doit s’en aller. Certes ! Mais est-ce cela que nous voyons ?

 

 

couple-disputeNon, n’est-ce pas ? Nous voyons des hommes et des femmes qui persistent et signent et demeurent avec d’autres hommes et d’autres femmes qui ne les aiment pas, qui les  » cassent  » à tout bout de champs et se conduisent comme de véritables ennemis…. Tout en restant là, n’est-ce pas ! N’est-ce pas quelque peu singulier, comme réaction ?  Ce n’est en rien singulier lorsqu’on se souvient du motif secret de ce choix de vie ! Si une personne choisit tous ces conjoints amoureux sur la prémisse qu’elle doit à tout prix éviter une personne plus intelligente, plus  » classe  » ou plus évoluée qu’elle (par exemple), c’est cette prémisse qui décidera ensuite de son bonheur et en gèrera les diverses modalités.

 

 

 

couple3Une telle personne, même malheureuse avec son conjoint, préférera rester et conserver le malheur connu que de risquer de rejoindre une autre personne, plus aimante et plus raffinée, certes, mais qui mettra en danger le schéma compulsif interne, qui réagira alors et produira à son tour de la souffrance, très différente et bien plus mordante encore.  Entre deux formes de souffrances, choisir la moindre semble être le mot d’ordre des gens qui sont malheureux en amour mais conservent néanmoins leur conjoint. (j’allais écrire  » leur schéma « , ce qui revient au même, d’ailleurs.)

 

 

 

Divorce-enfants3

 

Vous me direz :  » Et les enfants, alors, tu y penses ???!!!  » Certes ! Et la personne programmée y a pensé aussi, ne vous inquiétez pas ! C’est d’ailleurs pour ça, qu’elle a  » fait des enfants «  ! Je ne dis pas que ce que je présente là est beau : je dis que comme toute vérité qu’on désire occulter, elle ne peut qu’être moche, c’est évident.

 

 

 

 

famille-divorceLes enfants apparaissent toujours, dans le genre de couple qui nous intéresse ici et  » comme par hasard « , dès que les chances de durer, pour ce même couple, menacent d’être réduites à néant. Osez dire le contraire, pour voir ! Autrement dit,  » on fait un enfant «  pour avoir une excuse de rester, de se mentir et de se trahir plus encore. Et cette excuse à l’air de payer, je vous l’accorde, puisque la majorité des gens est là pour pousser, par exemple, la pauvre femme malheureuse avec son mari, à demeurer auprès de lui tout de même….  » pour les enfants « … N’est-ce pas ? Certes.

 

 

 

 

Dans pas mal de couples malheureux (mais qui ne le montrent pas pour autant, fierté oblige), on trouve souvent soit la femme, soit le mari, qui, une seule fois, dans le passé, a eut une aventure avec quelqu’un d’autre. C’est normal, car il est dans la nature du schéma impliqué de se justifier, de se prouver à lui-même qu’il a raison. Pour ce faire, on prend un amant ou une maîtresse une seule fois, cela afin de mieux se convaincre que c’est pas bien d’agir ainsi ou encore qu’on a des devoirs, ou que finalement,  » Je ne perds rien, c’est pas si bien que ça !  » etc.

 

 

 

bsaopz6qBref, l’étau se resserre, le piège était parfait et la personne a mis en œuvre le pouvoir de son propre esprit afin de se flinguer l’existence sans même avoir ensuite le devoir d’en assumer la responsabilité, puisque c’est fait inconsciemment ! Elle est pas belle la vie ? Voyez ce pouvoir phénoménal d’un esprit qui poursuit comme noble but de se nier lui-même ! Pour certains, le marasme est devenu tel, qu’ils ne peuvent même plus espérer aller voir ailleurs et être enfin heureux, puisqu’ils en ont trop pris dans la gueule pour espérer ensuite avoir une relation équilibrée avec d’autres personnes plus saines ou plus objectives avec elles-mêmes.

 

 

 

acceptation03Ce serait alors eux qui seraient un peu justes face à l’équilibre d’une personne certainement plus aimante, OK, mais qui pourrait alors leur faire honte, car supérieure en certains domaines jugés névralgiques. Car on se souvient qu’à la base, beaucoup de gens recherchent (sans le réaliser vraiment) un conjoint qui leur soit inférieur, non pas uniquement pour le dominer (comme c’est parfois le cas) mais surtout pour ne pas AVOIR HONTE face à plus clean, meilleur ou plus grand que soi.

 

 

 

subconscient-conscientIl va sans dire que le principe de polarité agit ici à plein rendement ! Tout comme la victime recherche compulsivement son bourreau, cela pour ne pas avoir à assumer la paternité de ses souffrances mentales, de même, une personne qui est complexée ou/et qui ne s’aime pas, cherchera tout naturellement, et trouvera immanquablement le pôle opposé mais complémentaire de son aberration mentale. Voici quelques exemples concrets, avant d’en terminer avec ce sujet :

 

*** Celui ou celle qui souffre mais ne désire pas assumer ses responsabilités, va se transformer en victime idéale et attirer celui (ou celle) qui en a assez de se faire souffrir lui-même (ou elle-même) et qui ressent le besoin de transférer cette aberration sur autrui.

 

*** Celui ou celle qui a peur de décider, d’agir, de se positionner, etc., attirera celui ou celle qui adore ordonner, commander, régenter et même tyranniser.

 

*** Celui ou celle qui ne s’aime pas et qui se sent inférieur(e) attirera immanquablement celui ou celle qui a besoin de quelqu’un de  » plus bas  » pour se sentir  » plus haut.  »

 

*** Celui ou celle qui se sait (ou se croit) incapable de vivre avec une personne équilibrée et rationnelle, attirera et conservera une autre personne qui est persuadée d’être déséquilibrée, irrationnelle et difficile à vivre (le genre  » Je sais bien que je dois m’améliorer sans cesse ! « )

 

*** La personne honnête attirera la personne hypocrite et inversement, tant il est vrai que l’être humain a un cruel besoin des autres non pas pour réussir à s’aimer et à être aimé, mais bien pour réussir à se mentir à lui-même, encore et toujours, jusqu’à ce que la pire des dégradations morale et mentale le sorte de force du bourbier qu’il a lui-même engendré et qui est cultivé, par le Soi Naturel, avec application, et de vies en vies (pour ceux qui connaissent.)

 

 

 

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Évidemment, il existe des gens sains et Lumineux qui attireront des gens identiques, mais cela, c’est une autre histoire, voire un autre article à venir !

 

 

 

 

 

 

 

Serge Baccino

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