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La Lumière Astrale

Cette expression est assez vieille et se réfère simplement à cette énergie dont nous avons tous besoin : l’énergie astrale. Qu’est-ce que l’énergie astrale et pourquoi ce nom ? Le mot «astral» provient du mot latin «aster» qui signifie «lumineux.» Les astres sont donc des «luminaires» et leur rayonnement touche notre planète et trouve une réponse directe en l’homme grâce aux glandes endocrines. Ces dernières sont très sensibles à la «lumière astrale», c’est-à-dire à cette énergie qui circule dans le système nerveux et nous permet tout bêtement de ressentir. L’énergie astrale -ou lumière astrale- est donc cette énergie qui permet les sensations, les sentiments, les émotions et, il est important de le souligner, une forme de perception directe, immédiate et vivante de la vérité, c’est à dire de «Tout ce qui existe vraiment, que ça nous convienne ou non.»

 

 

 

OK, la lumière (ou énergie) astrale est ce qui nous sert à ressentir, mais pourquoi cette connotation de «lumière» plutôt que d’énergie ? Parce que le terme seul d’énergie ne rend pas pleinement justice à l’importance vitale de l’astral. La lumière a toujours été associée à la compréhension. Ne dit-on pas «la clarté d’esprit» ou encore «la lumière est faite sur cette affaire» ? Mais il est possible (voire hautement souhaitable) de comprendre directement sans passer par le processus linéaire d’intellectualisation puis de mémorisation (pour savoir par la suite et ne pas perdre le savoir ainsi acquit.)

 

 

 

La Lumière astrale est cette forme de pouvoir divin ou Cosmique qui nous permet de SENTIR les choses avec une précision ou une exactitude extraordinaire, sans pour autant faire appel à tout le matériel contenu dans notre mental. Se servir de la tête pour savoir, revient à rechercher dans le passé (les acquits) et dans tout ce que nous savons déjà (Mémoires), pour y trouver une connaissance « nouvelle. » Je vous laisse, au passage, savourer notre candeur lorsque nous essayons de comprendre une nouveauté (personne, évènement) avec tout ce qui est déjà ancien !

 

 

 

La Lumière Astrale était un sujet très prisé par le Maître Jésus, du moins, dans les écrits primitifs qui étaient largement teintés de sagesse Essénienne… Les premiers pontes de l’église catholique romaine firent de leur mieux pour dissocier les enseignements du Maître des écrits Esséniens existants. Ce qui est compréhensible, car s’il était un jour prouvé que le contenu formel de l’enseignement Christique existait bien avant la venue charnelle du Maître, cela serait la preuve irréfutable que Jésus ne faisait que répandre une sagesse déjà présente sur Terre et était un homme de haute valeur, certes, mais un simple homme tout de même et non pas le «Fils Unique de Dieu.»

Mais laissons la responsabilité de cette mascarade et de ces mensonges honteux à ceux qui se déclarent les dignes successeurs des premiers traîtres chrétiens: tout se paye un jour ou l’autre, c’est-à-dire au moment le plus opportun pour apprendre, comprendre puis accepter, de grès ou de force.

 

 

 

Ainsi, tous les Maîtres qui n’ont pas eu l’immense privilège de voir leur enseignement massacré par l’ego d’hommes incapables d’apprendre mais très soucieux d’enseigner leur propre ignorance aux autres, ont un jour ou l’autre fait allusion à cette lumière astrale, à ce «Chaleureux manteau de la Mère du Monde», de L’Épouse aux Noces Éternelles, etc… (les anciens ésotéristes étaient d’incorrigibles poètes, vous l’aviez remarqué ?) D’ailleurs, lorsque Jésus refuse de répondre à la question de Pilate («Qu’est-ce que la vérité ?») c’est à cette lumière astrale qu’il se réfère. Son silence signifie en gros : « Puisque tu refuses toi-même d’accepter la vérité que ton cœur te propose, pourquoi répondrais-je à ta place de tes peurs et lâcheté qui en résultent ? »

 

 

 

 

Serge Baccino

Licence Creative Commons
(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Comment se comporter…

relationnel-bureauLes plus courageux et objectifs d’entre nous ont du remarquer que « les choses s’accélèrent » et que, selon toute apparence, les gens ont choisi délibérément de devenir fous ! Déjà que le domaine des relations humaines était « chaud » pour un ésotériste ou un spiritualiste, à présent, il avoisine la lecture « invivable » sur son thermomètre social intime !

 

 

relationsLa question qui se pose est celle ci : « Si je m’adapte et suis le mouvement en dents de scie du mental tortueux de mes relations, ne vais-je pas attraper le mal de mer, voire risquer de péter un câble à mon tour ? » Non, justement !  Cela dit, autant vous prévenir qu’aucun psychiatre sain de corps et d’esprit (corps et esprit de psychiatre, je précise) ne reconnaîtra la part de vérité dans ce que je vais vous proposer ici (sinon, il ne pourrait plus faire psychiatre, le pauvre chou) mais lisez tout de même la suite.

 

 

les autresSi vous partez de la prémisse que vous avez un gros problème parce que vous sentez que les autres partent un brin en quenouille, vous allez vous placer vous-même dans une très fâcheuse posture voire dans un sacré merdier psychologique ! (En français dans le texte) De même et à l’inverse, si vous partez de la prémisse que c’est les autres qui sont cons et que leur connerie ne vous concerne pas, vous allez finir vos jours bien seuls !

 

 

 

 

Votre liberté de conscience et celle des autres ne vous laisse pas trente six mille options : vous devez vous adapter avec souplesse mais fermeté. Vous adapter à quoi, aux autres, à leur connerie feinte ou avérée ? Certes non ! Désirez-vous vivre de prostitution spirituelle ?
Vous devez tenir compte de ce que vous voyez, et non plus, comme vous le faites sans doute pour le moment, le critiquer, le nier, l’embellir, le justifier, le condamner, vous en servir d’armes pour casser ceux que vous n’aimez pas, etc.
Tout cela, c’est de la merde ! (En français dans le texte également)

 

 

 

 

mains-prochesJe sais bien qu’il vous est plus difficile d’être objectif envers vos proches (parents, amis) qu’envers ceux dont vous n’avez rien à cirer ! Mais l’objectivité n’a pas d’a priori ni de préférences. Et encore moins de faiblesses. Et puis… Avez-vous vraiment le choix, désormais ? Vous avez été conditionnés, tels des moutons, à bêler en cœur et en cadence ! (Mèèèèèè !) Vous croyez devoir pardonner, excuser ou, à l’inverse, vous croyez qu’il vous faut carrément massacrer l’adversité !

 

Cette dualité au sein même de votre mental est votre seul et unique ennemi !

 

 

 

subconscient-conscientC’est elle qui vous fera mettre genoux à terre et qui vous achèvera si vous n’y prêtez pas attention. La solution est simple et se trouve sous votre nez : Réagissez seulement en fonction du matériel mental que vous proposent les autres :

 

 

A. S’ils se conduisent en pourceaux, quittez la porcherie sans vous retourner.

B. S’ils se conduisent en être raffinés et aimants, sautez-leur dessus et violez-les de bisous sans même crier gare ! (Ni même « Arrêt de Bus ! »)

 

 

 

subconscient-filsQuoi de plus SIMPLE que de vous fier à votre ressenti ? Avoir tort ou raison est si secondaire, en l’occurrence ! Essayez de le comprendre, je vous en prie !
Toute la merde qui se trouve désormais dans votre tête, toutes ces certitudes, ce savoir inutile, tout cela va bientôt fermenter et vous faire péter du chakra du sommet du crâne, à cause des gaz produits par la fermentation. (Prouuut !)

 

 

 

s'adapter-surfS’adapter et réagir en fonction de chaque évènement est la seule façon de participer activement et courageusement à la vie sans pour autant devenir fou. Évidemment, cela nécessite d’être immergé dans le moment présent, d’être attentif et Présent à tout ce que vous faites et qui se passe vraiment, autour de vous et en vous. Ne faites pas (ou plus) comme ces spiritualistes de pacotille, dégoulinant d’hypocrisie et de vanité, qui prétendent « ne plus être affecté par le vulgaire. »

 

 

 

 

DieuxVous n’êtes pas encore des Dieux, tandis que vous êtes occupés à vivre comme des hommes, le saviez-vous ? Alors conduisez-vous en humains et arrêtez de jouer aux êtres parfaits que plus rien n’affecte. Honorez votre sensibilité, votre fragilité, même, surtout si vous êtes une femme ! Honorez ou rendez hommage à votre agacement à la vue de la méchanceté gratuite et de l’injustice flagrante, surtout si vous êtes un homme !

 

 

faiblesseMais n’en faites pas un caca nerveux pour autant et n’empoisonnez ni votre vie, ni celle des autres avec vos prétentions arrogantes d’être «différents», car sur ce point, je vous l’affirme :

Vous êtes aussi humain et peu fiable que n’importe qui !

Acceptez-le et voyez comme tout devient plus facile, comme vous vous sentez tout de suite plus paisible, n’ayant plus rien à prouver, que ce soit à vous ou bien aux autres ! Offrez-vous la paix, bon sang !

 

 

 

tricherPour ne pas risquer de péter un câble, ne trichez plus ! Ne vous faites pas « plus beau », ne vous faites pas « plus moche » et par pitié, évitez de vous dire humble alors qu’il est question de cesser de parler de vous ! Soyez SIMPLE, soyez simplement vous-mêmes. Et si quelqu’un vous emmerde copieusement, fut-il votre frère par le sang, évitez-le, tout simplement. Vous ne devez rien à personne. Laissez les donneurs de morale vous démontrer qu’ils mettent en pratique ce qu’ils prêchent aux autres; comme ils en sont incapables, ils vous foutront vite la paix.

 

 

 

 

mort-luneNe condamnez personne, ne jugez personne avec méchanceté, évitez les « piques » et remarques désobligeantes, car elles vous rendraient aussi puant que tous ces autres paumés qui vous agacent tant ! Fuyez seulement les cons et ce, aussi longtemps qu’ils manifesteront cette même connerie ! Ensuite revenez leur faire des bisous, si vous en ressentez de nouveau l’envie ! De toute manière, la rancune et le mépris pour autrui ne feront du mal qu’à votre système nerveux, pas à celui des autres.

 

 

 

 

Serge Baccino

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(Note : Sauf pour les images, trouvées sur le Web et réputées libres et gratuites)

Rester chez Soi !

Rentrer chez soiVoilà bien un sujet typique de l’état d’esprit extraordinaire de la psychologie ésotérique ! Je dis extraordinaire car seuls des psy éso auraient le courage et l’aplomb nécessaire pour présenter une idée qui semble aller dans le sens inverse (ou contraire) de ce que proposent (ou imposent ?) la plupart des ténors de la spiritualité moderne ou même ancienne. On se croirait revenus à cette époque lointaine durant laquelle les Rishi, en Inde, faisaient « Tss, tss! » en souriant, cela en observant les agissements des gourous et autres maitres spirituels essayant de transmettre La Connaissance Sacrée.

A noter qu’à l’époque, ils durent capituler face à la vindicte des castes spirituelles dominantes et se réfugier dans les hautes montagnes pour ne pas être pourchassés ou même pire. Allons-nous vers le même résultat ? Nous verrons bien, « Le temps explique tout. »  Smile

Alors, je vais ici vous présenter ce sujet que j’ai nommé :

 

Rester chez Soi.

 

 

Quiconque versé dans « les choses de l’esprit » et qui lirait ce titre, penserait immédiatement : « Évidemment, qu’il faut demeurer centré sur le Soi, ne pas s’éparpiller, disperser son esprit, etc. » Mais ceci n’est PAS le sens de mon présent propos (et toc !) Rester centré sur notre Soi est une chose déjà entendue, non ? Ou alors il nous faut aller plutôt vendre des fraises que nos salades spirituelles ! L’idée est bien plus virile et dérangeante que cela : elle se veut pratique ! Et la pratique, le pratique adapté à notre vie de tous les jours, a toujours fait peur aux spiritualistes seulement capables de demeurer « centrés sur leur Soi » lorsqu’ils sont chez eux, seuls ou en confiance avec leurs proches  (ou dans un monastère où on peut entendre péter une mouche, donc vous imaginez le « degré de stress ambiant »! )

 

 

 

trajectoireDans la vie sociale ordinaire, les bonnes résolutions ne semblent plus tenir et les voici, tout spiritualistes qu’ils sont, à se conduire comme des cochons et ne pas faire mieux que leurs contemporains qu’ils commençaient déjà à snober du haut de leur « initiation » ! L’idée présentée ici nécessite des testicules et des ovaires spirituelles, si vous me suivez bien… Les femmes sont donc admises ! Mais de quoi parlons-nous ici et au juste ?

Nous parlons de ce dont je parlais déjà, avant, sur le tout premier forum de l’association culturelle présidé par mon épouse (2006) Un forum peu commun il est vrai, et auquel ce Blog « Vivre Livres! » (le 3e) n’est pas (ou plus) directement relié. Mais nous allons présenter l’enfant autrement, cela pour être certain qu’il passera le col de l’utérus de notre âme.

 

 

 

Comme vous le savez, nous vivons une époque particulière qui se résume à un puissant barattage de nos âmes. Et tout le monde y passe, ignorant ou Maître ! Tout le monde se fait secouer les puces et cela a été voulu et hautement désiré par l’Âme Planétaire ou, si vous préférez, par l’ensemble des consciences individuelles impliquées dans le processus évolutif de l’Aventure Humaine.

Comme tout le monde a pu depuis le constater, 2012 n’était en rien une « date fatidique.» C’était simplement un poteau indicateur pour nous signifier que à cette date, plus personne sur la Terre comme au Ciel, ne pourrait prétendre ne pas sentir qu’il se passe quelque chose d’extraordinaire et de bouleversant.

Pour devenir libre vraiment, à un moment donné, nous devons laisser sur place nos certitudes, ne croyez-vous pas ? S’accrocher à nos croyances, connaissances et idéaux, est désormais un signe d’immaturité spirituelle.

 

 

 

Changement2Le problème, toutefois, c’est que du coup, on ne peut plus faire la différence entre une personne paumée qui s’accroche encore à ses croyances enfantines et désire les enseigner à autrui, et une individualité pleinement consciente de ce qui se passe, qui était déjà éveillée AVANT et qui, tout naturellement, continue d’être un exemple vivant d’être humain qui exprime de son mieux Qui il Est en vérité.  Tout le monde peut incarner Dieu, mais tout le monde n’en partage pas l’envie ou le désir. Pour être certains de bien nous comprendre, nous allons exagérer volontairement notre exemple.

 

 

 

Conscience4Supposons que, sur Terre et actuellement, il y ait des gens paumés mais qui s’accrochent de toutes leurs forces à des vérités plus ou moins valables, et qu’il y ait aussi et en même temps, sur cette même Terre, des gens alignés sur « Dieu-En-Eux » et qui ne font que montrer comment arriver à y parvenir aussi… Et ce « Dieu-En-Eux » bouge à toute vitesse !!! Et cela n’était jamais arrivé auparavant et nulle part ailleurs. Alors, nous avons d’un côté, « ceux qui bougent de concert avec Dieu-Qui-Tient-Plus-En-Place » (lol) et de l’autre, ceux qui étaient effectivement connectés, auparavant, mais… N’arrivent plus à suivre et commencent à s’affoler !

 

 

 

Pour celui ou celle qui recherche toujours comment s’aligner vraiment sur le Divin au-dedans, ce n’est pas un parcours aisé que de faire le tri entre les fous, les gourous en Rolls, les scientifiques inspirés par Dieu (sic) et toutes ces écoles, ces stages, ces cours payants -et très chers- qui foisonnent actuellement… Et encore, nous ne sommes pas en Amérique, Berceau du New-Age donc, soyons reconnaissants !

A quel saint se vouer, désormais ? En plus, on dirait que même les spiritualistes commencent à se crêper le chignon et ne sont même plus d’accord sur la façon exacte de formuler une vérité unique.  Si vous ne me croyez pas, allez sur tous ces forums et Blogs qui traitent de spiritualité, essayez de vous exprimer librement et… Attendez les résultats !

 

 

 

Vous me direz : « Mais n’est-ce pas ainsi depuis des dizaines d’années ? »
En effet, ce n’est pas nouveau. Ce qui est nouveau, par contre, c’est ce sentiment d’urgence que ressentent désormais tous ceux qui ont longtemps laissé de côté leur part de Divinité. Et un tel sentiment les rend désormais très agressifs.

Donc, pour demeurer «centré», comme disent ceux qui sont soit à gauche, soit à droite mais jamais au centre, il convient de mettre en pratique certaines astuces qui ne sont pas plus vraies et ésotériques que d’autres, mais simplement plus efficaces pour ce qui se passe maintenant et désormais.

 

 

 

545387Dernièrement, je conseillais à qui voulait l’entendre et l’appliquer librement, qu’il était devenu essentiel (ou vital) de ne plus perdre notre temps avec ceux qui pensent que tout le monde doit régulièrement comparer sa façon de penser à celle des autres. L’idée de base (ou prétexte) étant de demeurer « l’esprit ouvert » et accueillir fraternellement (prout ! ) la vérité des autres et ne pas se cantonner uniquement à la nôtre…

Cette façon de voir les choses part d’une idée louable mais non applicable pour le moment. Premièrement, parce que les gens sont trop peu confiants en eux-mêmes pour pouvoir courir le risque d’écouter d’autres vérités que les leurs. Deuxièmement, parce qu’il est devenu évident que pour quelques-uns, imposer leurs propres versions de la vérité sous le prétexte ringard de demeurer ouvert aux autres, est devenu un leitmotiv, voire un nouveau sport national !

 

 

 

Il est dit que chacun doit trouver SA vérité, alors pourquoi se mettre la queue en tire-bouchon et courir dans tous les sens afin d’écouter religieusement la vérité d’un autre ? Si Dieu est en tous, alors il est aussi en vous, n’est-ce pas ?
Alors pourquoi cavaler ailleurs que vers votre propre cœur ? La peur de se tromper et de devoir ensuite assumer ses erreurs, sans compter d’affronter le regard goguenard de tous ceux « Qui  nous l’avaient bien dit, hein ! » est à la base du manque de foi en eux que manifestent beaucoup de gens à notre époque. Ils ont très peur de ne pas être « dans la vérité », sans réaliser que c’est justement cette peur qui leur ôte toute possibilité d’accéder à leur propre Essence Divine, à une vérité bien supérieure à toutes les autres : la leur !  Ainsi, écouter les autres, méditer sur leur propre vérité revient finalement à s’éloigner de notre propre cœur, de notre vérité la plus authentique. Comprenez-vous vraiment ces choses ?

 

 

 

Le but n’est pas de vous couper des autres, de vous cloîtrer chez vous et d’asperger d’eau bénite toute personne ayant le culot de venir vous parler dans la rue ! (Je visualise la scène que me transmet mon Soi et me marre comme un imbécile !) L’idée est d’apprendre, pour une fois, à vous faire confiance ! Tiens, je vais même aller plus loin à la demande de « Dieu-En-Moi » : Et si vous vous trompez carrément ? Et si vous faites erreur et confondez votre vérité avec les conditionnements mentaux qui vous encombrent encore ? Réponse de Dieu-Soi :

« Alors je te bénirai pour ton courage et pour ta loyauté et la fois suivante, c’est Moi qui réussirai à ta place, car je t’aime et ne te juge jamais ! »

(Petit moment d’émotion à partager avec vous… Puis on reprend en se bidonnant de plus belle !)

 

 

 

Attendu que nous ne sommes pas des Apôtres (sauf de la plaisanterie et de l’humour), nous n’avons pas à « aller vers le monde et nos frères et sœurs pour les sortir de l’ignorance et du péché… » (prouuuut !) Nous ne devons rien à personne et personne n’est en dette envers nous, la chose est, du moins je l’espère, définitivement entendue. Alors nous demeurons « chez Soi », c’est à dire que nous sommes concentrés sur une vérité qui ne concerne que nous et… Tous ceux qui ressentent la même chose que nous ! Aucune vérité n’étant supérieure à une autre, en conservant cet état d’esprit (rester chez Soi) on commence à attirer toute personne, hommes, femmes, enfants (canards, couvées, cochons) qui partagent déjà un même état d’esprit : Le Nôtre ! (Qui est donc aussi le leur.)

Ceci à l’avantage de nous  conforter et de les conforter à leur tour dans une forme de vérité que nous partageons et qui, de ce fait, se renforce.
Exemple : Nous sommes pour la paix dans le monde. En discuter ne sert à rien : nous devons devenir paisibles nous-mêmes et avant toutes choses, sinon, nous serons un rigolo et un hypocrite de plus qui ne trompera que lui-même.

 

 

 

limitations humainesSi nous sommes pour la PAIX, nous ne devons parler que de cela et non pas perdre notre temps avec ceux qui préfèrent la guerre (c’est leur problème) afin de tenter de les amener à notre façon de penser. Ceci est ÉPUISANT et nous fait perdre un temps précieux ! En plus de notre propre paix. Depuis que le Monde est Monde, n’avons-nous pas eut le temps de nous positionner ? Qui sommes nous pour aller trouver un autre chez lui et lui dire : « Tu as tort, épouse plutôt ma réalité » ? Et qui sont les autres pour nous dire que nous nous abusons et perdons notre temps ? Et que font-ils, eux-mêmes, si ce n’est perdre un temps précieux avec nous ?

 

 

 

toile de mainJe sais que ce sujet est très subtil et que certains lecteurs (de passage) n’arriveront pas à dépasser le filtre de leur propre conditionnement mental pour en savourer la fraîcheur ainsi que la Beauté. Mais ce texte ne s’adresse pas à eux ! Il s’adresse à tout ceux qui découvrent, en le lisant, qu’ils ont toujours pensé ainsi mais ne le savaient pas Smile

Je ne sais plus quel membre du premier forum Psukelogos, parlait de N.D. Walsch, dans un des topics… Je me souviens que dans un des volets de sa trilogie, Walsch écrit que Dieu lui dit que l’être humain n’a rien à apprendre vraiment mais tout à se souvenir. Ce qu’il vit est là pour l’aider à recouvrer la mémoire divine puis à choisir librement ce qu’il désire être et manifester, selon la plus haute vision qu’il peut avoir de lui-même.

 

 

 

moine-natureAinsi et selon ces sages paroles, on pourrait dire que lorsque nous arrivons sur cette Terre et dans ce corps, nous savons déjà « quel est notre camps » ou ce qu’il nous faut choisir comme état d’esprit pour incarner « Qui nous sommes vraiment. » Et nous le savons… Nous savons déjà tout mais pour quelque obscure raison, nous hésitons à prendre part, à choisir et, en un mot, à nous Positionner !

Sur l’ancien forum précité et sur le dernier en date, nous partageons librement un même état d’esprit et ce partage devient le garant de notre réussite future. En fait, nous avons déjà réussi, mais nous prenons plaisir à vivre cette réussite dans le temps et dans l’espace, sur le temps d’une vie humaine. Et lorsque quelqu’un fait mine de critiquer nos idées, nous l’invitons à ne pas perdre son temps et à ne pas abuser du notre et d’aller au plus vite s’unir à « qui pense déjà comme lui. »

 

Pourquoi s’épuiser à convaincre quand on peut ne côtoyer que des convaincus ?

 

 

 

Avis des autres2Mais certains peinent à le faire et préfèrent rester et nous faire connaître tout ce qu’ils pensent « fraternellement » de nous. Comment pourrions-nous interpréter cette manière d’agir, si ce n’est comme un manque de maturité spirituelle et un besoin devenu viscéral de se frotter à autrui, plutôt qu’à son propre cœur ? Je me souviens qu’étant petit, en entrant dans une modeste chaumière d’un village provençal, j’ai dit spontanément :

« Oh purée, il fait chaud, ici ! »

Tout aussi spontanément, le maître des lieux m’a rétorqué :

« Tu vois la porte par laquelle tu viens d’entrer ? Elle sert aussi à sortir ! Dehors il fait moins chaud, te gène surtout pas pour ressortir d’ici si la chaleur du lieu t’incommode ! »

 

 

 

pensee-positiveD’un point de vue pratique, vous saurez si vous avez été capables de mettre en pratique pleinement ce qui est proposé dans cet article, lorsque vous ne cèderez plus à ce «plaisir» morbide qui consiste à sauter sur un boulet et à faire durer des dialogues inutiles durant des heures et pour le mesquin résultat d’avoir le dernier mot. Avoir le dernier mot sur la bêtise revient à se placer volontairement en dessous de son niveau qui est déjà bien bas !
Si on entretien le dialogue avec l’ennemi, c’est que l’on aime encore la guerre, au moins en secret.
Les autres sont aussi là pour vous permettre d’être honnêtes envers vous-mêmes en testant la solidité de vos convictions intimes…

 

 

relationnel01Les gens se groupent par affinité, qu’ils veuillent le reconnaître ou non. Observez les footballeurs et ceux qui sont fanas de foot à la tv (à la grande joie de leurs épouses.) Observez ceux qui aiment le tennis, le basket, le sport automobile ou le vélo… Voyez ceux qui collectionnent quelque chose… Tout le monde tend à se grouper avec ceux qui partagent une même passion et donc, un même état d’esprit

Les riches fréquentent-ils les pauvres ? Les Ministres qui sont censés nous représenter et bosser pour nous (sic) viennent-ils manger à la guinguette de la plage ou nous allons l’été ? Existe-t-il des gens assez tordus pour aller visionner un film qu’ils détestent et faire suer toute une salle de cinéma par leurs commentaires désobligeants durant la projection ? Non, n’est-ce pas ?

Alors pourquoi cela ne semble pas fonctionner aussi simplement, en spiritualité ? Les enjeux seraient-il différents ? Voilà une question franche et honnête qui mérite une réponse du même tonneau.

 

 

 

religion2Il va sans dire que lorsqu’on quitte un groupe quelconque, on quitte aussi et dans une large mesure, l’état d’esprit commun à ce groupe. Alors forcément, on peut avoir l’impression que quelque chose est « cassé » et qu’il ne nous est plus possible de communiquer avec ceux qui sont restés.  Cela dit, c’est aussi un moyen de vérifier le degré d’intelligence des participants de ce groupe, car si vous partez «proprement» et sans faire de vagues (ce qui est rarement le cas, mais bon), il n’existe aucune raison pour que ses membres ne vous adressent plus la parole ou cherchent à vous snober par la suite.

 

 

 

sagit poingHélas et à l’inverse de ce que je viens d’écrire, j’ai pu noter, depuis presque sept ans, maintenant, que ceux qui quittent le forum de l’association culturelle présidée par ma femme (Psukelogos), le font généralement en démontrant aux yeux de tous qu’ils ne vont pas très bien et ont besoin d’un bouc émissaire extérieur quelconque pour justifier leur comportement émotif. Et ceux-là oui, nous les évitons ensuite, pour notre seul bien et pour leur bien également.

Ceci est bien plus visible dans les groupes ésotériques et spirituels. Moi qui ai eu l’occasion unique d’appartenir à un Ordre Initiatique connu, j’ai pu vérifier qu’en le quittant, je quittais du même coup l’hypocrisie de nombreux membres qui étaient « frères et sœurs » aussi longtemps que l’on faisait partie de la bande et payait la cotisation mensuelle. Mais bon, dans mon cas, j’avais terminé le cycle général des études (sur 19 longues années, tout de même) et la suite du « programme » qui semblait sans fin était surtout relatif au travail que pouvait faire chaque membre non pas pour lui-même ou pour la collectivité mais pour la structure interne elle-même.

Lorsque le dirigeant mondial de cette École a changé, tout s’est mis à déconner et j’ai préféré me barrer plutôt que d’assister à la lente mais certaine agonie d’une tradition qui est censée être vieille de plus de 3500 ans.

 

 

Tradition PrimordialeBref, tout cela pour dire qu’il est normal de se sentir coupé des gens qui forment un groupe uni lorsqu’on quitte ce même groupe et l’énergie de cohésion qui est le sien. Cela dit, et aussi bizarre que cela puisse paraître, c’est le comportement des membres faisant parties de groupes mystiques, religieux ou ésotériques, qui s’avère être, en fin de compte, le plus navrant et cela, dès que nous faisons mine d’aller voir ailleurs ou de ne plus partager complètement leur état d’esprit.

Certaines écoles de pensée sont récemment parties en quenouille et on vu 70% de leurs membres les plus anciens et fidèles, se barrer en quelques mois. Parfois c’est le membre qui déconne, bien sur, mais parfois aussi, c’est la tête du groupe qui a des courants d’air entre les deux oreilles, osons le dire ici.

 

 

 

ombre vitreSi vous voulez savoir, avec certitude, celui qui déconne, du groupe ou de vous, qui en êtes le simple membre, observez froidement dans quel état d’âme vous quittez le groupe et surtout, de quelle manière. Bien sur, il peut arriver également que l’élément avance plus vite que le tout, que le membre ait besoin de plus de matériel que le groupe ne peut réussir à lui en offrir et, dans ce cas, il est certain qu’il est préférable de partir voir ailleurs. Là encore, la manière de partir, en silence, sur la pointe des pieds ou d’une manière fracassante et grandiloquente, en tentant d’abaisser la valeur de ce que l’on quitte ou en remerciant pour les trésors reçus, donne la température exacte de notre état d’esprit.

Du moins si rien de ce qui est présenté comme excuse, n’est valable ou relatif à des faits extérieurs avérés.

Ajoutons que seuls les êtres les plus souples et dynamiques, mentalement, sont capables de changer ou de s’adapter en fonction de l’environnement sans pour autant trahir leur nature intime. Quand ce que nous exprimons de ce que nous sommes ne semble plus approprié, alors il convient d’exprimer autre chose, tout en demeurant ce que nous sommes.

 

 

humain2Il faut beaucoup de courage et de force de caractère pour y parvenir, mais c’est réalisable avec de la volonté. De tous temps, ce sont les plus puissants et les plus avancés de l’espèce humaine, qui ont su céder aux plus capricieux, aux moins matures, car ces derniers, de toutes façons, ne le voulaient pas et… Ne le pouvaient pas encore, surtout. Les Occultistes du siècle passé appelaient «Unité de direction vers le but» cette capacité à se grouper selon un même état d’esprit. Les psy éso parlent de cohésion mentale, ce qui revient au même.

 

 

 

Electrons revolve around the brain. Concept of idea.Ne pourrait-on pas confondre «ils sont tous pareils» avec «ils partagent un même état d’esprit général» ? Dans le premier cas, «Dieu y perdrait», en effet ! Dans le second cas, «Dieu y gagnerait», car chaque groupe porterait alors l’état d’esprit partagé à un sommet non encore atteint. Et ce n’est pas les états d’esprit différents qui manquent, croyez-moi ! Se grouper revient à «penser plus fort» et donc, à être plus fort. A être plus fortement soi-même, en fait. Mais je reconnais que le sujet est délicat et peut laisser croire à une tentative de «planification des consciences.» Ce qui, notez-le, est justement l’effet obtenus souvent alors que les gens prétendent «penser différemment.» A croire que tous pensent autrement ou différemment mais… De la même façon !

 

 

 

 

Serge Baccino

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(Sauf pour les images, réputées gratuites et libres de droits)

La Prophétie des Andes

Voici un article un peu spécial qui vous présente « La Prophétie des Andes », ouvrage écrit par James Redfield (voir photos de l’auteur ci-dessous.)


           L’auteur, James Redfield


 

Commençons par présenter, pour ceux qui n’ont pas lu le livre et ne connaissent donc pas le matériel qu’il contient, la première révélation du livre qui nous parle de :

 

Prophétie des Andes : Révélation 1

 

1. Une masse critique.

Un nouveau réveil spirituel se fait jour dans la culture de l’humanité. Ce phénomène est lié à l’apparition d’une masse critique d’individus qui découvrent que leur vie est une révélation spirituelle permanente, un voyage vers lequel ils sont guidés par de mystérieuses coïncidences.

 

 

 

Dans cette première Révélation (ou du moins nommée ainsi dans le premier livre de J. Redfield), il nous est présenté une première idée-force que l’on peut résumer ainsi :

 

 

Lorsque un certain nombre d’êtres humains partage une même vision, un même état d’esprit ou ou prise de conscience semblable, une « masse critique » est atteinte, ce qui a pour effet de provoquer une réaction en chaîne et de transformer « par sympathie », l’ensemble de l’humanité, quel que soit le temps que prendra cette réaction spirituelle en chaîne.

 

La seconde idée proposée est que les gens attentifs commencent à réaliser que leur vie même, leur existence apparemment « banale » de tous les jours, consiste en la véritable et unique révélation spirituelle qui se puisse concevoir, durant l’incarnation !

Cette révélation permanente se présente, en particulier, sous la forme de « synchronicités », c’est à dire d’évènements symboliques (sin bolein = « qui va dans le même sens ») qui nous poussent gentiment vers le but que nous nous étions fixé, avant de nous incarner, et que nous avions oublié depuis. Ces synchronicités nous permettent de renouer avec notre trajectoire spirituelle, d’en redéfinir le fil conducteur et de s’y accrocher pour ne plus le lâcher.

 

 

Prophétie des Andes : Révélation 2

 

2. Une vaste perspective historique.

Ce réveil spirituel se traduit par la création d’une nouvelle conception du monde, plus complète; elle doit se substituer à la conception dominante depuis cinq cents ans, qui nous poussait à chercher à survivre sur cette Terre et à nous y assurer une certain confort. Cette ambition technologique a certes représenté une étape importante,mais, en nous intéressant aux coïncidences dans notre existence, nous comprendrons le véritable but de la vie humaine sur cette planète et la nature réelle de notre univers.

 

 

 

Cette seconde révélation nous apprend que si notre conscience évolue, si elle ne se réfère plus aux mêmes critères qu’auparavant, notre conception du monde va changer radicalement.

Autrement dit, et selon ce qu’enseigne l’ésotérisme depuis toujours, ce dont nous sommes conscient ne correspond pas forcément à ce qui existe en fait, mais à l’idée que nous entretenons sur les choses, les êtres et la vie en général. C’est ce qui se trouve déjà dans notre tête sous forme de concepts mentaux, que nous projetons à l’extérieur et que nous appelons ensuite ma réalité.

 

Si ce que nous conservons en nous change, ce que nous projetterons alors à l’extérieur changera nécessairement, et notre réalité deviendra de ce fait différente.

Par ailleurs, cette seconde révélation nous explique également que notre désir de répondre à nos besoins humains légitimes, nous a obligé, depuis des siècles, à nous concentrer sur un plan « horizontal », c’est à dire presque exclusivement sur des sujets qui ne concernent que notre vie sociale et matérielle.

 

Bien que ce désir de jouir de tout ce que notre siècle propose de meilleur soit très légitime, il n’en reste pas moins que nous n’étions plus capables de penser à autre chose qu’à cela, ce qui limitait considérablement notre existence en nous faisant croire que ce que nous connaissons et aimons à juste titre, consiste en la seule chose à connaitre et digne d’intérêt.

Changer de façon de voir nous permet de nous ouvrir à une vision plus « verticale » de la vie, qui dépasse, tout en l’englobant, notre vie matérielle. Enfin, cette seconde révélation nous propose d’orienter notre attention mentale sur certaines coïncidences qui émaillent notre quotidien et nous démontrent que notre vie serait bien plus riche et féconde si nous n’étions pas si préoccupés par notre confort et notre bien-être immédiat. Le fait de rechercher consciemment de telles synchronicités, développe notre pouvoir de les reconnaître et de s’y référer lorsqu’elles apparaissent dans notre quotidien.

Voici la troisième révélation du livre de J. Redfield :

 

 

Prophétie des Andes : Révélation 3

 

3. Une question d’énergie.

Nous découvrons aujourd’hui que nous ne vivons pas dans un univers matériel, mais dans un univers d’énergie dynamique. Chaque chose qui existe est un champ d’énergie sacrée que nous pouvons saisir par les sens et l’intuition. En outre, nous, les humains, nous pouvons projeter notre énergie en canalisant toute notre attention dans la direction désirée (« l’énergie coule là où se dirige notre attention. »), ce qui agit ainsi sur d’autres systèmes d’énergie et multiplie la fréquence des coïncidences dans notre vie.

 

 

 

Dans cette révélation, nous comprenons que même nos scientifiques reconnaissent aujourd’hui que « tout est énergie » et que même la matière, telle qu’on la concevait, jadis, est en fait de l’énergie sous forme très condensée. Si la base de notre univers est énergétique, alors notre réalité même est dépendante de l’énergie, et non de la matière.

Il y est dit aussi que l’être humain a ce pouvoir étonnant de projeter de l’énergie vers son monde extérieur et d’interférer ainsi avec lui. Car il va sans dire que tout apport d’énergie supplémentaire dans un champ d’expérience énergétique, engendre nécessairement des mouvements, des déplacements et, en quelque sorte, produit des effets qui, avec le temps, se feront sentir matériellement.

Enfin, nous apprenons qu’en projetant notre énergie sur les choses, les êtres et les évènements extérieurs, nous participons directement à l’élaboration d’une grande quantités supplémentaire de coïncidences (synchronicités) En fait, le simple fait de participer attentivement à notre vie de tous les jours, suffit à nous créer de nouvelles opportunités et de nouvelles directions probables.

Voici la suite, la quatrième prophétie :

 

Prophétie des Andes : Révélation 4

 

4. La lutte pour le pouvoir.

Trop souvent les hommes se coupent de la source principale de cette énergie et se sentent donc faibles et peu sûrs d’eux-mêmes. Pour obtenir de l’énergie, nous tendons à manipuler les autres ou à les forcer à s’intéresser à nous et à nous fournir ainsi de l’énergie. Quand nous réussissons à dominer les autres de cette façon, nous nous sentons plus forts, mais eux sont affaiblis et souvent ils réagissent en nous agressant. L’énergie humaine existant en petite quantité, la compétition pour capter cette énergie est la cause de tous les conflits entre les hommes.

 

 

 

Dans cette quatrième prophétie, qui est une des plus importantes, pour nous, nous apprenons que c’est parce que l’homme s’est lui-même coupé de sa source d’énergie intérieure, qu’il ressent désormais le besoin compulsif d’aller se recharger sur le dos des autres en leur volant leur propre énergie, énergie dont ces mêmes autres manquent cruellement. La plupart des conflits naissent de cette lutte pour le pouvoir, pouvoir qui s’acquiert en vampirisant les autres pour leur extraire la vitalité qui est la leur. Il est précisé que c’est en forçant les autres, par diverses méthodes (étudiées dans un post ultérieur) à nous accorder leur attention mentale, que ce vol d’énergie a lieu.

Il est primordial de bien retenir cette idée que c’est « en forçant » autrui à se concentrer sur nous, que nous les vampirisons, et non pas seulement en réclamant, dans notre vie de tous les jours, l’attention et la sympathie que nous sommes tous en droit de réclamer de nos proches. Il est important de clarifier ce dernier point afin de ne pas tomber dans la paranoïa à ce sujet ! (ce que j’ai déjà vu, soit dit en passant) J’ajoute que c’est par la parfaite compréhension de cette quatrième révélation (et en la mettant en pratique, surtout) que l’homme et la femme « ordinaires » peuvent atteindre immédiatement à une plus haute lumière et, en fait, à un accès direct avec leur propre divinité intérieure.

La 5e révélation du livre :

 

Prophétie des Andes : Révélation 5

 

5. Le message des mystiques.

L‘insécurité et la violence prennent fin lorsque nous percevons à l’intérieur de nous-mêmes que nous sommes reliés à l’énergie divine, phénomène qui est décrit par les mystiques de toutes les traditions spirituelles. Une sensation de légèreté, l’impression de flotter et un sentiment d’amour permanent sont les signes d’un tel lien. Si on éprouve ces sensations, alors le lien est réel. Sinon, il n’est que simulé.

 

 

 

Cette 5eme Révélation nous apprend que notre sentiment d’insécurité et la violence qui peut éventuellement en résulter, par peur de souffrir, a pour cause notre incapacité actuelle à ressentir qu’en nous-mêmes se trouve la Source de toute énergie, de toute sécurité et de tout bonheur. Lorsque nous percevons de nouveau la vérité, c’est à dire lorsque nous RESSENTONS que ces choses là sont vraies, que « le Royaume des cieux est bien à l’intérieur de nous », alors nous connaissons une sorte de paix qui ne ressemble en rien à cette tranquillité provisoire que nous connaissons et qui résulte d’un sentiment de maîtrise des évènements et, donc, de sécurité.

Cette paix là ressemble plus à de la quiétude mentale… Mieux encore, nous pouvons être stressés, d’un point de vue nerveux ou physiologique, mais notre mental, lui, demeure serein et stable, cela parce que nous connaissons la vérité et que nous ne pouvons plus l’oublier.

Quand aux sentiments de légèreté et d’amour dont parle cette révélation, ils sont le résultat naturel d’un esprit qui n’est plus sous la tutelle laborieuse et tyrannique de l’ego humain. La sixième Révélation :

 

Prophétie des Andes : Révélation 6


6. Éclaircir le passé.

Plus nous restons reliés à l’énergie divine, plus nous sommes intensément conscients des moments où nous perdons ce lien, habituellement sous l’effet du stress. Dans ce cas, nous pouvons observer notre façon particulière de dérober de l’énergie aux autres. Une fois que nous sommes conscients de nos techniques de manipulation, nous restons de plus en plus longtemps reliés à l’énergie divine et alors nous découvrons le chemin de notre croissance, notre mission spirituelle et notre façon de contribuer personnellement à l’évolution de ce monde.

 

 

 

Cette révélation nous apprend que le simple fait de se sentir connecter au moins une fois et durant quelques secondes seulement, nous permet, en toute logique, de sentir instantanément, par la suite, lorsque nous perdons cette connexion. Et si nous sommes suffisamment attentifs, nous pouvons même définir avec exactitude ce qui nous a fait perdre cette connexion, cela simplement en se remémorant ce que nous avons dit, fais ou pensé juste avant de nous déconnecter. En général, notre habitude de gérer la vie des autres ou de tenter de les manipuler pour les obliger à faire à notre place ce que nous sommes bien incapables de faire nous-mêmes, est ce qui nous fait perdre le plus rapidement cette connexion à Soi.

Et si nous sommes assez honnêtes pour le faire, nous pouvons même observer la façon dont nous agissons pour tenter de plier la volonté d’autrui à la notre, tout cela dans le but unique (et pas toujours conscient) de leur voler leur énergie ou de les forcer à nous la donner d’eux-mêmes.

En un sens, « notre façon de contribuer personnellement à l’évolution de ce monde », pourrait débuter par notre volonté de nous déprogrammer et de faire don de notre lumière nouvellement acquise aux autres, au lieu de les dépouiller du peu d’énergie qui leur reste et de nous conduire comme des pestes ambulantes ! lol

Septième révélation


 

Prophétie des Andes : Révélation 7

 

7. Déclencher l’évolution.

Le fait de connaître notre mission personnelle renforce encore le flux de coïncidences mystérieuses qui nous guident vers notre destin. D’abord, nous nous posons une question, ensuite, nos rêves, nos songes éveillés et nos intuitions nous conduisent aux réponses qui sont généralement fournies aussi, de façon synchronistique, grâce au conseil avisé d’un autre être humain.

 

 

 

Attendu que « l’énergie suit l’attention mentale », en nous concentrant sur une question précise, nous la dynamisons et nous l’obligeons, pour ainsi dire, à produire une réponse à la fois précise et efficace. Cette réponse pourra être obtenue par le biais des rêves, d’imagerie mentale durant notre période éveillée ou d’intuitions. Il est également possible que d’autres personnes soient mises sur notre route, juste le temps, peut-être, de nous fournir une indication ou de répondre carrément à notre interrogation.

Prophétie des Andes 08


 

Prophétie des Andes : Révélation 8

 

8. Une nouvelle éthique des relations.

Nous pouvons accroître le nombre de coïncidences éclairantes en élevant l’esprit des êtres que nous rencontrons dans notre vie. Nous devons veiller à ne pas perdre notre connexion intérieure avec l’énergie divine dans nos relations amoureuses. Élever l’esprit des autres est spécialement efficace en groupe, du fait que chaque membre peut sentir l’énergie de tous les autres. Cette démarche est extrêmement importante pour les enfants, car elle fortifie leur sentiment de sécurité et leur croissance personnelle. En observant la beauté dans chaque visage, nous augmentons la sagesse intérieure d’autrui et multiplions les chances d’écouter un message synchronistique.

 

 

 

Pour vous prouver que vous êtes tous capables de bosser sur vous et pour vous, je ne vais pas développer cette 8eme Révélation, vous laissant l’honneur et l’avantage de le faire vous-mêmes !

lol!

 

La Prophétie des Andes N0 9.

Voici la dernière Révélation du premier livre de James Redfield. Elle est censée donner la clef qui unifie ou synthétise les huit premières Révélations. Je vous laisse le plaisir de la découvrir et de ne pas vous fier à sa simplicité apparente…

 

Prophétie des Andes : Révélation 9


9. La culture de demain.

Au fur et à mesure que chacun de nous saura mieux réaliser sa mission spirituelle, les moyens technologiques de survie sur la Terre seront totalement automatisés et les hommes se concentreront ainsi sur la croissance synchronistique. Cette évolution nous entraînera dans des états d’énergie de plus en plus élevés, transformant finalement notre corps en une forme spirituelle et unissant cette dimension de l’existence à celle de la vie après la mort, ce qui mettra fin au cycle de la vie et de la mort.

Cette dernière Révélation est riche en double sens et sa profondeur nécessiterait un bouquin entier ! Mais je vais vous laisser la méditer et la détailler vous-mêmes et dans vos commentaires. Smile

 

 

 

    Serge

Mention légale : La copie entière ou partielle de ce post est bien évidemment autorisée.

 

LA GLANDE PINÉALE (ou épiphyse)

 

 

 

 

 

 

 

 

Sur cette image tournante, nous pouvons  apercevoir (en rouge) la position approximative de cette glande très importante qui se trouve dans notre cerveau.

 

LA GLANDE PINÉALE (ou épiphyse)

De toutes les glandes endocrines (à sécrétion interne), la pinéale est certainement la plus fascinante de toutes. Non pas seulement parce que le monde scientifique et médical est loin d’avoir épuisé le sujet, mais parce que le monde spirituel et ésotérique lui-même ignore encore de nombreuses choses à son sujet.

En effet, il n’y a que quatre cents ans (au plus) que les plus hauts initiés d’Europe connaissent l’existence de cette glande, quelques-unes de ses principales fonctions psychiques et spirituelle et, surtout, comment développer d’une manière raisonnable et sans dangers quelques-unes des facultés magnifiques offertes par une activité notoirement accrue de cette glande, et ce, à ses niveaux physiologiques, psychologiques, psychiques et spirituels.

 

Avant cela, les Égyptiens (aux alentours de 1500 avant J.-C.) et plus tard les Grecs (Dès les deux ou trois premiers siècles après J.-C.) reçurent une connaissance plus ou moins complète et valable sur les activités et fonctions secrètes de ce minuscule organe physique, véritable trait d’union entre le Ciel et la Terre, entre les hommes et les Dieux. Certains textes anciens précisent que les Atlantes furent les tout premiers hommes à détenir des connaissances vraiment poussées sur les glandes endocrines et, en particulier, sur la glande pinéale.

 

Bien évidemment, il n’existe plus de preuves tangibles (écrites) de ces affirmations mais ceux dont les fonctions et attributs de cette glande ont été légèrement activés, prétendent que « Les Archives de la Nature » , des Hommes et de La Vie Terrestre en général » (Annales Akashiques) tendent à démontrer qu’il en est bien ainsi, que les Atlantes avaient poussé leur études et leurs connaissances bien au-delà de ce que nous avons pu réussir à faire et ce, même à notre époque moderne. Leur avance proviendrait moins de la chance ou du « piston divin » (sic) que de leur manière toute particulière d’aborder le sujet (à l’inverse de nos scientifiques et de leurs appareillages essentiellement matérialiste.)

 

Ainsi, il existe encore, de nos jours, un savoir théorique et pratique qui n’a pas encore été complètement exhumé des temples enfouis sous les sables de l’oublie, et qui concerne les fonctions et pouvoirs exacts de cette glande mystérieuse. Plus près de nous, les Rosicruciens, malgré leurs ridicules luttes intestines entre écoles et groupements plus ou moins « autorisés », détiennent un savoir plus que respectable concernant ce noble sujet.

Selon ces mêmes Rosicruciens, nos glandes se comportent comme « Nos invisibles gardiennes » et ont un impact prononcé sur notre caractère et nos facultés mentales (un fait désormais reconnu scientifiquement, depuis plus de cinquante ans, et…même en France ! (sic) Comment se positionnent les psychologues ésotéristes par rapport à ce sujet des plus intéressants ?

Comme à l’accoutumée, leur version est à la fois sobre, logique et non linéaire, en plus d’être non scientifique, ceci afin de ne pas avoir à se justifier pour demeurer dans le courant rétrograde de la science, qui avance en avouant à peine qu’elle s’était trompée auparavant mais détient désormais la nouvelle vérité. Voici ce qu’ils proposent, une fois les plus récents textes remodelés, afin de les adapter un peu plus à notre langue et à notre actuel état d’esprit moderne :

 

« Il importe peu de savoir si les fonctions d’un organe ou d’une partie d’un organe plus complexe (comme le cerveau, par exemple, N.D.L.T.) sont utiles à ceci ou à cela car en vérité, tout ce que contient le corps, de visible ou d’invisible aux yeux de la chair, existe pour servir dans un domaine ou dans un autre. Ces domaines sont, partant du niveau le plus bas, la santé et l’équilibre, à la fois du corps, de l’âme et de la Conscience. »

 

Ils ajoutent plus loin :

 

« … Il serait laborieux autant que grossier, pour ne pas dire orgueilleux, de chercher à définir avec quelque exactitude les fonctions pertinentes de chacun des organes ou partie d’organe et ce, que leur nature vibratoire fasse d’eux des organes physiques, psychiques ou même spirituels. Ce qui importe pour l’initiable aux choses de l’esprit, c’est de savoir qu’ils existent et comment leur offrir un terrain favorable à leur pleine et entière activité, quelle que soient la nature et le plan sur lequel se situe et s’exprime cette même activité… »

 

(Notes : Les dernières traductions ont été élaborées à partir de textes ayant un peu moins de deux cents ans, mais il est plaisant de leur laisser un peu de leur rythme et de leur cachet d’antan)

 

La glande pinéale

 

Que nous faut-il savoir exactement à propos de cette glande pinéale ? D’un point de vue purement physiologique, peu de choses en vérité, c’est à dire juste le nécessaire pour ne pas trop frustrer notre intellect ! Toutefois, et attendu que certains des étudiants de l’ésotérisme pourraient désirer connaître le point de vu généralement partagé et véhiculé par le biais du Net, voici et pour notre seul plaisir, un condensé de ce qu’il est possible d’y découvrir.

 

Un peu de théorie, de physiologie et d’histoire :

 

Jusque dans les années 1950, on a considéré la glande pinéale comme un organe unique, probablement vestigial. Les études d’anatomie comparée démontraient en effet que la pinéale avait la même origine embryologique que le  » troisième œil  » d’autres vertébrés moins évolués. Chez plusieurs lézards par exemple, un  » œil pariétal  » qui comprend une cornée, un cristallin et une rétine est relié au cerveau par un pédicule comparable au nerf optique. Il vient ainsi se loger sous la peau du crâne en passant à travers le trou pariétal qui existe dans le crâne de ces espèces. Chez les amphibiens, les oiseaux et les mammifères, ce trou pariétal étant fermé, la glande pinéale demeure dans le crâne.

 

Elle a évidemment perdu sa fonction visuelle, mais son action sur le reste du corps par l’entremise de la mélatonine est loin d’être négligeable. Des études histologiques subséquentes ont aussi démontré que la glande pinéale est bien un organe double mais que les deux hémisphères qui la constituent sont presque fusionnés. Comme mentionné plus haut, l’hormone sécrétée par la glande pinéale, la mélatonine, ne fut découverte que vers la fin des années 1950. Le rôle de cette hormone dans les rythmes biologiques se dévoila ensuite progressivement. Il n’en demeure pas moins que la glande pinéale fut la dernière des glandes endocrines dont la fonction fut identifiée. Pendant des siècles, le rôle de la glande pinéale a donné lieu à de nombreuses spéculations, tant physiologiques que métaphysiques.

 

Le fait que cette glande soit la seule structure du cerveau à ne pas apparaître en double a sans doute contribué à alimenter les hypothèses à son égard. En effet, contrairement aux autres structures du cerveau qui se présentent toujours en deux exemplaires, l’un à gauche et l’autre à droite du plan sagittal, la pinéale semble unique et se trouve exactement au milieu de cette ligne virtuelle qui passe entre nos deux hémisphères cérébraux. La plus célèbre de ces théories est sans doute celle du philosophe français René Descartes (qui était d’ailleurs Rosicrucien) qui fit de cette glande le siège de l’âme. Descartes était dualiste et voyait dans cette structure unique l’interface possible entre le corps matériel et l’âme immatérielle. D’autres y virent un symbole signifiant, à savoir que cette glande devait sans doute être la seule partie physiologique du corps humain a pouvoir communiquer avec « l’Unité des choses et des êtres. »

 

 

Pour Descartes, prendre conscience de la présence d’un objet quelconque (une flèche par exemple) nécessitait dans un premier temps une action mécanique sur la rétine, signal qui était ensuite retransmis mécaniquement par un autre médium jusqu’à la pinéale où le signal devenait finalement immatériel pour atteindre notre champ de conscience. Cette transformation, inexplicable de l’aveu même de Descartes, devait aussi pouvoir se faire dans l’autre sens si l’individu voulait par exemple pointer la flèche : la décision de l’esprit immatériel devait se matérialiser au niveau de la glande pinéal qui pouvait ensuite initier la réponse musculaire responsable du mouvement.

 

D’autres partent du principe que puisque « tout est double », si la vision consiste à percevoir des vibrations issues de l’extérieur transformées ensuite en images, dans notre conscience, alors il doit être possible de former des images dans notre conscience puis de les projeter ensuite vers l’extérieur et vers les autres. Pierre Gassendi, philosophe contemporain de Descartes, situait pour sa part ce mystérieux lieu de rencontre entre l’âme et le corps au niveau du corps calleux. De nos jours les neurobiologistes, travaillant uniquement dans une perspective matérialiste, rejettent le dualisme cartésien, comme ils rejettent, bien évidemment, tout autre interprétation, analyse ou propositions jugées comme étant par trop fantaisistes, c’est à dire ne correspondant pas à leur vision des faits.

 

 

 

D‘un point de vue uniquement ésotérique, la Pinéale est le lieu de rencontre du Haut et du Bas, c’est à dire des énergies Cosmiques et des Plans Invisibles avec les énergies planétaires et de la personnalité terrestre. Comme l’apprennent nos élèves dans les cours privés réservés aux étudiants de notre Association Culturelle, la glande Pinéale n’est pas le troisième œil, même si elle joue un rôle très important dans l’élaboration de ce dernier. Ce sujet du 3e œil est étudié en rapport avec la glande Pituitaire (hypophyse.)

Tandis que nous sommes incarnés, notre perception passe en grande partie par nos sens et, de toutes manières, les limites de notre véhicule de chair se confondent avec nos limites de perception usuelles.

 

En somme, nous pourrions dire que nous ne percevons pas plus haut que notre corps ne nous le permet. Toutefois, la glande Pinéale est capable à elle seule de faire mentir cette assertion. En effet, cette glande est capable de capter des fréquences vibratoires cosmiques puis de les transformer en fréquences basses afin que notre cerveau puisse transcrire en sons et en images ce qui a été préalablement capté sous formes d’ondes et/ou de particules. Dit autrement, la glande Pinéale est notre « Tuner Spirituel », capable de nous offrir la « FM universelle », même tandis que nous sommes incarnés. Bien entendu, deux conditions essentielles se posent afin que nous puissions bénéficier de cette capacité :

 

1. Que la glande Pinéale soit correctement éveillée ou développée, d’un point de vue purement énergétique (ou psychique.)

2. Que la glande Pituitaire soit elle aussi correctement développée, ceci afin que soient retransmis au cerveau puis à la conscience du « moi », tout ce que la Pinéale aura permis de « capter » des hautes fréquences cosmiques.

 

Bien sur, l’idéal serait que toutes les glandes endocrines fonctionnent correctement et d’une manière équilibrée, toujours d’un point de vue spirituel ou psychique, mais lorsque ces deux glandes de notre cerveau (Pinéale + Pituitaire) fonctionnent correctement, nous devenons alors capables de participer de la Grande Vie d’une manière déjà satisfaisante. Nos capacités mentales et notre intuition s’en voit accrues et, parfois, multipliées par trois ou même cinq. Nous verrons un peu plus tard que l’idéal est que les glandes Pinéale, Pituitaire, Thyroïde et Surrénales soient développées et actives pour avoir toutes les facultés d’un maître véritable. Mais il est rare (pour ne pas dire mieux) de trouver des individus présentant ce degré de fonctionnement psychique (énergie) et physiologique (sécrétions) optimal.

 

 

Entre l’âge de 5 et 7 ans, certaines glandes endocrines s’étiolent ou diminuent, soit pour céder la place à l’activité antagoniste (opposée) d’une autre glande ou à des caractéristiques secondaires (tels que ceux liés à la sexualité, par exemple) soit par manque d’utilité et donc, d’utilisation. En plus du Thymus (étudié dans l’une de nos Leçons privées), la glande Pinéale est l’une des rares glandes à s’étioler après les premières années de l’enfance. Quelles que soient les explications scientifiques ou médicales, nous savons que la véritable raison du dépérissement de la Pinéale provient de la suractivité mentale et, surtout, intellectuelle du cerveau, dès l’âge de cinq ou six ans (programmes scolaires.)

Nous ne ferons ici aucun commentaire désobligeant sur les programmes scolaires imposés aux enfants dès leur plus jeune âge… Disons, plus sobrement, que tout ce que doit apprendre, comprendre et retenir l’enfant, dès ce jeune âge, perturbe puis fait cesser l’activité psychique de la pinéale.

 

 

L’attention consciente que polarise la glande pituitaire se porte sur les processus mentaux et sur les évènements extérieurs, ce qui oblige l’enfant à délaisser puis à abandonner carrément le type de perception psychique qui était également le sien, durant les cinq ou sept premières années. Il est rare qu’un enfant conserve ses facultés spirituelles et psychiques issues en droite ligne du Soi naturel après l’âge de sept ans. En règle générale, c’est même avant cet âge que la conscience individuelle s’est repliée sur les deux « mondes » du bas : le monde intérieur formé par les processus mentaux et le monde extérieur, formés par les évènements, les lieux, les personnes, etc.

 

Dès lors, « le Troisième Monde » (le spirituel) est abandonné et devient, comme la glande Pinéale, un vestige de nos capacités d’antan. Mais tout comme « le passé » demeure PRÉSENT en notre conscience, de même, nos pouvoirs d’antan demeurent présents en notre cerveau physique. Ils le demeurent sous la forme d’une « Oreille Interne » qui n’est plus habituée à entendre puis à écouter des sons qui échappent aux oreilles ordinaires.

On pense généralement que la Pinéale est tel un œil ancien qui se serait fermé mais cela n’est pas la bonne « disposition d’esprit. » La Pinéale est comparable à une Oreille Divine, et non à un organe visuel.

 

De fait, ce ne sont pas des images qui ont le pouvoir de l’éveiller de son sommeil mais… Des sons ! Les Psychologues Esotéristes savent que, selon la Loi, le chemin qui a servi à s’éloigner d’un lieu doit être aussi celui qui peut servir à s’en rapprocher de nouveau. L’erreur de l’homme à été d’orienter son attention mentale dans une seule et unique « direction psychologique » (le bas, la matière, l’évènementiel, etc.) Pourtant, il bénéficiait de deux yeux et de deux oreilles pour voir et pour entendre le monde de la Dualité et d’un œil et d’une oreille pour percevoir les images et les sons de l’invisible et de l’inaudible.

 

 

L’homme a oublié que « Tout est double » et désormais, il ne connaît plus que la dualité ! (ce qui fait assez gag, soit dit en passant !) Voilà qui serait amusant s’il ne s’agissait pas là d’un sacrifice aussi inutile que dramatique. Mais nous disions, plus haut, qu’il est possible de remédier à tout cela, de donner à l’homme le moyen de redevenir le Médiateur, le Médium (dans le sens de « entre deux-Mondes ») qu’il a toujours été et qu’il aurait du d’ailleurs demeurer, même une fois dans la chair.  Pour cela, il lui faut retrouver le chemin exact qui lui a servi à s’éloigner de sa propre Source, de son propre Soi-Conscient qui, lui seul, est capable de participer de tous les Mondes en simultané.

Dans un premier temps, il est donc nécessaire d’orienter notre conscience dans « l’Autre Direction » puis de Réveiller ce qui sommeille encore. Comme il est dit à juste titre dans le célèbre film de Science-Fiction « Dune » :

« Le Dormeur doit se Réveiller ! »

 

Qu’est-ce que « le Dormeur » ? Un Être ? Non ! Notre Soi-Conscient, c’est à dire « le reste de nos capacités inemployées depuis notre incarnation » ? Oui, tout à fait ! Le Dormeur est le résumé de notre source, de notre potentiel à être. Ce n’est pas notre Soi dans le sens individualiste de ce terme, c’est à dire que ce n’est pas une chose ou un être vivant et conscient mais tout ce qui nous manque encore pour être complet, cette partie divine de nous-mêmes que nous avons dû abandonner derrière nous en croyant pouvoir mieux jouer le Jeu de la Conscience dans sa partie la plus matérielle (basses fréquences.)

 

Il existe différentes manières de reconnaître les effets physiologiques et psychiques des efforts fournis par cette glande pour s’éveiller. De même qu’il existe diverses manières de l’éveiller, lentement et surement ou rapidement et en prenant quelques risques plus ou moins importants au passage. En règle générale, les « Kriya » (effets, symptômes, résultats, en sanskrit) relatifs à l’effort d’éveil d’une pinéale se présentent ainsi :

 

1. Douleurs dans la tête et en particulier, au-dessus de chaque oreilles et légèrement en arrière ou carrément au sommet du crâne (effet « clou enfoncé »)

2. Des effets de couleurs devant les yeux fermés, la nuit et avant l’endormissement, même si la pièce est plongée dans le noir.

3. L’impression que quelqu’un nous appelle par notre prénom, dans notre tête, juste avant de s’endormir ou lorsqu’on « pique du nez » lors de certaines méditations conduite alors qu’on a déjà sommeil (ou que l’on est trop fatigué pour veiller.)

4. L’impression que la pression atmosphérique varie dans nos deux oreilles à la fois, comme lorsqu’on monte à 500 mètres, en avion.

 

 

Bien évidemment, il peut y avoir d’autres Kriya (ou effets) mais ces quatre-là sont les plus répandus et, surtout, les plus significatifs d’un réel éveil de conscience. Dans tous les cas, les éventuelles douleurs ressenties ne doivent ni durer plus d’une semaine, ni provoquer de troubles auditifs ou visuels sérieux.

Mais dans un cas aussi extrême, il est préférable de consulter un médecin, à tout hasard car d’autres troubles purement physiologiques se partagent ce genre de symptômes, comme par exemple l’effet « battement d’ailes de papillon » dans une oreille, signal d’alarme d’une tension artérielle dans les choux.

 

Lorsque le travail psychique est suivi avec application et sérieux, c’est à dire non pas d’une manière abusive et par trop intensive mais exactement comme les exercices sont proposés, il ne peut arriver rien de fâcheux, tout au plus et pour les plus sensibles, quelques douleurs aussi légères que passagères ne durant jamais plus d’une journée ou deux. La Nature a pour habitude de « forcer les barrages » sans pour autant les faire éclater à chaque fois. Fort heureusement pour nous ! Les psychologues ésotéristes insistent toujours sur un point :

Les exercices présentés doivent absolument être pratiqués comme indiqué.

 

Dans ce domaine comme d’ailleurs dans bien d’autres, le manque de rigueur, de souplesse mentale (obéissance) et un zèle par trop appuyés, peuvent donner des résultats tout à fait contraires à ceux espérés. Pour ne pas dire mieux. De toutes manières, les exercices les plus poussés et donc les plus dangereux (et il y en a) ne sont jamais donnés par écrit ou d’une manière accessible à tout public, ceci afin d’éviter tout accident fâcheux. C’est sous l’autorité d’un Professeur compétent et, souvent, avec l’aide invisible mais très puissante d’entités d’un autre monde que celui de la chair, que les exercices les plus poussés sont présentés.

Mais même dans ce cas, il est exigé de l’étudiant qu’il se borne à exécuter les exercices comme indiqué et non comme il croit pouvoir ou devoir les faire.

 

Fait amusant, lorsque certains élèves (c’est déjà arrivé dans le passé) ont fait mine de pouvoir se passer des conseils éclairés de leurs aînés en connaissance et en pratique ésotériques, il s’est produit quelques incidents notoires mais la responsabilité des professeurs n’a bien évidemment pas pu être engagée.

Pourquoi cela ? C’est hélas très simple : les personnes qui détiennent le pouvoir social et représentent « la loi humaine » ne croient pas à « toutes ces salades », ce qui évite donc à de généreuses personnes de devoir assumer l’inconscience des élèves en lesquels ils avaient placé une confiance non méritée. La vie fait bien les choses et ce qui est malheur pour les uns peut s’avérer un bonheur pour d’autres.

Dans nos leçons par correspondance et sur le forum des cours privés, sont proposés des exercices qui sont puissants mais sans danger aucun.

 

Toutefois, il serait peu inspiré d’interpréter notre propos comme signifiant qu’ils ne peuvent absolument pas induire quelques déconvenues à ceux et celles qui essayeront ces exercices sans tenir aucun compte de nos conseils et avertissements à leur sujet. Mais comme le disent les gens qui n’ont jamais réussi à devenir libres par leurs propres efforts :

« Chacun est libre de faire ce qu’il lui plaît ! » (sic)

Pour les psy éso, chacun est surtout libre d’assumer ensuite chacun de ses choix. Il est vrai que nous sommes en République, voire en Démocratie.

C’est du moins ce qu’affirme la plupart des Français atteints de cécité et qui connaissent de nom le sens à donner aux racines grecques « Démos » et « Kratos. »

 

La glande Pinéale : Partie Dynamique (exercices)

 

 

 

 

Sur le schéma ci-dessus, nous pouvons trouver la position approximative de la glande pinéale dans notre tête. La vue de côté nous sera tout particulièrement utile, attendu que c’est par les deux points d’émergence énergétique (voir plus loin) que nous pourrons commencer à éveiller cette glande très importante aux yeux des psy éso. Qu’est-ce qu’un « point d’émergence énergétique » ?

Pour résumer très brièvement, il s’agit d’un point virtuel qui apparaît à la surface de la peau et qui est en relation directe, via un Nadi (circuit énergétique), entre cette position géographique à la surface de la peau et un Chakra (Centre énergétique), une glande, un organe ou un vortex énergétique. Autant de sujets étudiés dans nos leçons privées.

 

En somme, cela ressemble à un point d’acupuncture qui serait relié, vers l’intérieur du corps et par le biais d’une circuit énergétique, à une chose matérielle (glande) ou immatérielle (Chakra)

 

 

Sur le schéma ci-dessus on peut se faire une meilleure idée du point d’émergence énergétique relié à la pinéale, située au centre du cerveau.

 

EXERCICE N° 1

 

Assis sur une chaise ou un fauteuil, le dos droit, détendu, les pieds séparés et bien à plat sur le sol. Les trois doigts (index, majeur et annulaire) de chaque main sont placés au-dessus de l’oreille, de chaque côté, sur le point d’émergence. Les yeux fermés, inspirez puis expirez profondément, en prononçant le son vocal AUM lors de chaque expir, en trois syllabes :

Aaaa-Ouuuuu-Mmmmmmm

Faite-le d’une manière verbale (non chantée) sur votre voix naturelle ou à peine plus grave. Répétez une douzaine de fois maxi l’opération (le son AUM sur l’expir) puis baissez les deux mains, les poser sur les deux cuisses puis demeurer les yeux fermés et concentrés sur les deux points d’émergence, de chaque côté du crâne et juste au-dessus des oreilles.

Conservez cet état de concentration (sans forcer) durant dix minutes environ puis levez-vous et vaquez à vos occupations usuelles.

 

Note : Cet exercice complet doit être effectué au moins une fois mais pas plus de quatre fois dans une même journée de 24 heures. Pour chacune des séances, pratiquez une quinzaine de minutes,  durant trois semaines si possible. Les premiers effets ne se font pas sentir avant une semaine environ.

Ne jamais faire cet exercice plus d’un mois d’affilé !

Vos glandes doivent suivre des cycles d’activité et de repos et ne doivent pas être stimulées sur un rythme trop soutenu. De toutes manières, d’autres exercices existent et permettent également de stimuler voire d’éveiller l’activité psychique et spirituelle de cette glande.

 

Pour peu que l’on se donne la peine d’y réfléchir, il n’existe en fait que deux directions de concentration mentale : celle relative aux objets, aux évènements et aux personnes, à l’extérieur, et celle relative à nos processus mentaux, « dans notre tête » ou « à l’intérieur. » (« ésotérikos », en Grec) Durant une vie entière, notre attention est soit volontairement orientée vers l’une de ces deux directions, soit elle y est attirée, par exemple par un bruit, au-dehors ou par une idée subite, au-dedans.

Lorsque notre attention se fixe sur les objets et « le monde extérieur », notre énergie, qui suit toujours notre attention mentale, s’échappe de nous vers l’extérieur et au bout de quelques heures, nous sommes épuisés. Lorsqu’elle se fixe « au-dedans », c’est à dire sur nos divers processus mentaux, volontaires et conscients ou autonomes et plus ou moins conscientisés, notre énergie de vie, notre vitalité ou « force vitale » sert en grande partie à alimenter ces processus mentaux et nous ressentons également une grande lassitude au bout de quelques temps. Phénomène qui découle de la dynamisation de nos processus mentaux les plus morbides.

 

Pourtant, nous pourrions tous demeurer conscients et actifs, mentalement et physiquement, sans pour cela avoir à dépenser plus d’énergie vitale que la Nature ne l’avait prévue au départ. Pour cela, il nous faudrait nous concentrer, quelques précieuses minutes par jour, dans ou sur « la Troisième Direction », qui ne dirige notre attention NI vers l’extérieur, NI vers l’intérieur mais… Vers la Conscience d’être, vers notre « Soi-Conscience »

 

La Troisième Direction.

 

Si on s’inspire de la position des deux centres d’émergences énergétiques (voir schémas plus haut dans la leçon) et que l’on imagine, partant du dessus des deux oreilles, qu’il existe une ligne virtuelle, droite, qui se dirige vers le centre du cerveau, on arrive à situer approximativement la glande pinéale à l’intérieur de notre tête.

 

 

Exercice N° 2

 

Assis dans un fauteuil, sur une chaise, le dos droit, les mains posées à plat sur les cuisses, les pieds bien à plat sur le sol et séparés, fermez les yeux et partagez votre attention mentale entre les deux points d’émergence énergétiques de la glande pinéale, qui se situent de chaque côté et juste au-dessus de vos oreilles.

A partir de ces deux points que vous pouvez sans doute sentir s’activer légèrement, dirigez votre conscience vers l’intérieur, en partant des deux côtés à la fois, puis imaginez que vous atteignez le centre de votre cerveau ou de votre tête et que vous voyez la pinéale, qui se présente à votre vue mentale comme une petite boule rouge terne (ou de couleur brique)

 

Conservez votre attention polarisée (centrée) sur cette petite boule rouge terne et imaginez alors que votre conscience s’écoule dans la troisième direction, la Direction Spirituelle, celle qui RENFORCE votre conscience, votre volonté d’être, vos pouvoirs personnels, votre énergie vitale, etc. Ne faites rien d’autre que de demeurer centré ou focalisé sur cette petite boule de chair plus petite qu’un pois chiche.

Restez de la sorte concentré sans penser à rien, juste en étant CONSCIENT du fait que vous êtes conscience et que cette conscience se focalise en cette direction et en ce point précis de votre tête.

 

Autrement dit, en voyant en esprit cette petite boule rouge terne, vous concentrez votre conscience sur ce point et comme vous êtes cette conscience qui se concentre ainsi sur elle-même, vous renforcez ce que vous êtes vraiment d’une manière exponentielle. Vous créez littéralement cette Troisième Direction !

Cessez au bout d’une dizaine de minutes ou plus, sans excéder plus d’une demi-heure, même si cet exercice vous semble agréable et digne d’être conduit bien plus longtemps.

Plutôt que d’augmenter le temps de focalisation mentale sur la pinéale, augmentez plutôt le nombre de séances, deux à trois fois par jour durant dix minutes étant un idéal.

 

Conseils : Si vous ne réussissez pas à rester ainsi durant dix minutes ou si des pensées parasites vous viennent, ne soyez pas agacés, ne vous découragez pas et sachez que cela est on ne peut plus normal, surtout au début.

Ne vous concentrez pas sur les pensées qui vous viennent et n’essayez pas de les chasser non plus : ramenez à chaque fois et inexorablement votre attention mentale à la glande pinéale, la petite boule rouge brique, et au bout de quelques minutes, les pensées cesserons toutes seules de venir vous agacer.

Sachez que votre intellect s’ennuie rapidement si vous essayez de faire taire la moulinette mentale à laquelle il est habitué et dans laquelle il adore se pavaner. Il n’aime pas ce genre d’exercice qui lui fait sentir le poids de son inutilité ou de son inefficacité en matière d’évolution et de spiritualité.

 

Poursuivez les séances, persistez courageusement et au bout de quelques jours, vous aurez le plaisir de vous sentir vraiment immergé dans votre propre conscience d’être, un peu comme si, pour une fois, vous pouviez « vous toucher du doigt », spirituellement parlant. Il n’existe pas de mot pour expliquer ou pour désigner ce que l’on ressent alors mais ce qui est certain, c’est que lorsque vous y parviendrez, vous reconnaîtrez cette sensation unique, sans la moindre chance d’erreur.

Cet exercice doit être conduit pendant trois semaine AVANT de pouvoir effectuer n’importe quel autre exercice. Ne cumulez pas les exercices car vous annuleriez alors leurs effets et obtiendriez des effets inverses à ceux désirés.

 

Ne vous pressez pas : l’essentiel est de commencer, pas de vite arriver car commencer consiste à se remettre dans le Courant et ce remettre dans le Courant est la seule et unique chose à faire, le seul « but » à atteindre et un tel but est atteint… Dès que vous avez commencé !

N’hésitez pas à poster vos commentaires ou vos questions. Ce serait également sympa de venir ensuite témoigner de votre expérience personnelle car chacun de nous réagit à sa façon à ce genre d’exercice et, parfois, l’expérience d’autrui nous en apprend presque autant sur nous que nos propres cogitations isolées.

Bien à vous.

Serge.

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